Deux déclarations de Kennedy retiennent l’attention : 1) je n’interdirai pas les vaccins ; 2) je vais faire en sorte qu’on cesse de mettre du fluor dans l’eau de boisson.
Sur le premier point – alors qu’il a été présenté comme un antivax hystérique – c’est filou.
Il nous fait comprendre que ce qu’il veut c’est : 1) rétablir la liberté de se vacciner (ou pas) ; 2) injecter un peu de science dans la médecine des vaccins.
Dit autrement, les citoyens doivent être correctement informés et ensuite pouvoir décider eux-mêmes (Vive la Liberté !) s’ils veulent se vacciner (ou vacciner leurs bébés) ou pas.
Qui peut être contre ?
Bien sûr, les bureaucrates de ministères et des sociétés (supposées) savantes vont hurler qu’il faut vacciner tout le monde pour protéger les plus faibles.
C’est une idée stupide et Kennedy permet d’ouvrir le débat, enfin ! On pourra enfin discuter des concepts de «couverture vaccinale» et autres slogans tels «protège-toi pour protéger les autres» dont on a vu l’efficacité pendant la Covid.
Tout cela est un acquis fantastique pour quiconque aime les réalités et veut échapper à la censure.
C’est un gain important pour la santé publique et celle de chaque personne. On peut clarifier. Il était temps !
Sur le deuxième point, c’est magnifique : on analyse enfin les données existantes concernant la toxicité du fluor dans l’eau distribuée aux citoyens américains.
D’abord, je dois me confesser : je n’ai jamais travaillé sur la toxicité du fluor et j’ignorais que du fluor était administré aux américains (y compris les bébés) via les eaux de boisson.
Plus précisément, je savais que nos vallées alpines avaient été massivement polluées par le fluor utilisé dans l’industrie de l’aluminium mais je pensais l’affaire «classée».
À la suite de Kennedy déclarant la guerre aux eaux fluorées – fluoration supposément destinée à protéger contre les caries dentaires de nos chérubins – j’ai entrepris un travail d’analyse des données existantes sur le sujet ; c’est mon sport favori !
Quelle ne fut pas ma surprise !
Première constatation : si la fréquence des caries chez les enfants s’est effondrée au cours des dernières décennies, il est peu probable que ce soit dû à la fluoration des eaux.
Pourquoi suis-je affirmatif ? Parce que la même chute des caries a été observée dans les pays qui fluorent leurs eaux et ceux qui ne fluorent pas. Facile à vérifier, je copie deux graphiques extraits d’une publication de l’Université Harvard à Boston : https://www.hsph.harvard.edu/fluoridated-drinking-water
Les anglophones disent «cavitiy rates» pour fréquence des caries dentaires.
[...]
M. Connett est l’avocat principal des plaignants dans un procès fédéral historique sur la neurotoxicité de la fluoration de l’eau, intenté contre l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA).
Le procès, qui a repris aujourd’hui après une pause de quatre ans, vise à interdire l’ajout de fluorure dans l’eau.
Le tribunal fédéral du district nord de Californie, à San Francisco, a prévu neuf jours pour le témoignage et le contre-interrogatoire d’experts et de témoins de fait.
Dans l’épisode d’hier du “Kim Iversen Show“, M. Connett a évoqué l’affaire et expliqué pourquoi elle est si importante. Il a dit :
“Nous disposons maintenant de données – des données de haute qualité financées par le NIH [National Institutes of Health] – qui établissent un lien entre l’exposition maternelle au fluorure et les déficits de QI… c’est vraiment l’objet de notre action en justice.
La Cour n’a qu’une question à poser, et c’est la suivante : “La fluoration présente-t-elle un risque déraisonnable d’effets sur le développement neurologique ? Si le tribunal décide que c’est le cas, l’EPA sera alors mandatée par la loi pour prendre des mesures afin de faire face à ce risque.
Bien que le tribunal ne puisse pas dire à l’EPA comment traiter le risque, l’EPA a le pouvoir, en vertu de la loi sur le contrôle des substances toxiques (Toxic Substances Control Act ), d’interdire la fluoration.
“Si nous gagnons”, a déclaré M. Connett, “et si l’EPA fait ce que la logique semble dicter – à savoir si son obligation est d’éliminer le risque posé par les produits chimiques de fluoration– alors le moyen évident d’y parvenir est d’interdire cette pratique”.
Actuellement, le choix de la fluoration de l’eau incombe aux États et aux collectivités locales. Mais si l’EPA interdit cette pratique, “aucune municipalité, même si elle le souhaite, ne pourra fluorer son eau car l’EPA sera la plus haute autorité en la matière”.
Aujourd’hui, plus de 200 millions d’Américains dans des milliers de communautés boivent de l’eau fluorée.
La plupart des grandes villes, y compris Los Angeles, où réside Kim Iversen, fluorent leur eau. “Je ne veux certainement plus boire de fluor”, a déclaré Mme Iversen.
Le 13 janvier, Children’s Health Defense (CHD) a publié un documentaire intitulé “Fluoride on Trial: The Censored Science on Fluoride and Your Health, dans lequel Michael Connett et Mary Holland, présidente de CHD, discutent de la suppression de la recherche scientifique révélant les effets toxiques du fluorure, en particulier sur les enfants.
M. Connett a également évoqué cette suppression avec Mme Iversen.
Par exemple, lorsque le Programme national de toxicologie(NTP) a effectué une revue systématique et a conclu dans son rapport de 1573 pages que 64 études sur 72 montraient un lien entre le fluorure et la baisse du QI, les responsables dentaires des Centers for Disease Control and Prevention et de l’Institut national de recherche sur le visage dentaire et crânien du NIH ont fait pression sur le secrétaire adjoint à la santé du ministère américain des services sociaux, le Dr. Rachel Levine,pour empêcher la publication du rapport.
Mme Levine a demandé au NPT de ne pas publier le rapport, mais de le mettre en attente et de le soumettre à un examen plus approfondi.
“Il n’est même pas nécessaire de l’avaler”
Bien que d’autres produits chimiques comme le chlore soient ajoutés à l’eau publique à des fins de traitement de l’eau, le fluor est le seul produit chimique ajouté à des fins médicales – dans ce cas, pour prévenir les caries dentaires chez les personnes qui boivent l’eau, a déclaré M. Connett.
La fluoration de l’eau est “un programme né aux États-Unis”, a-t-il déclaré à Mme Iversen. L’Europe a étudié l’idée d’ajouter du fluorure à l’eau pour prévenir les caries, mais a décidé de ne pas le faire, car cela viole le droit des personnes à un consentement éclairé.
Il a dit :
“L’Europe a dit qu’il ne fallait pas ajouter un médicament à l’eau parce que cela enlevait à l’individu le droit de prendre ses propres décisions en matière de santé, de donner son consentement éclairé. Et en Europe, comme aux États-Unis, il y a certainement beaucoup de produits fluorés dans les rayons, comme le dentifrice, que tout le monde peut acheter à la pharmacie ou à l’épicerie”.
Connett a déclaré que la recherche montre que le fluorure peut être utilisé pour prévenir les caries dentaires en l’appliquant sur les dents. “Il n’est pas nécessaire de l’avaler.”
D’autres substances pourraient-elles être ajoutées à notre eau ?
Mouton Lucide est le nom d'une chaîne YouTube qui met en évidence des vérités majeures comme la nuisance des produits laitiers, l’obsolescence programmée ou encore la surveillance de masse... L'auteur y partage également son mode de vie résiliant et atypique...
« Quand on ne sait pas c'est qu'on ne veut pas savoir »