La Banque Centrale Européenne (BCE) s'apprête à secourir les finances publiques françaises, mais ce geste de solidarité européenne cache un tour de passe-passe financier au profit des sociétés allemandes...
Selon les analystes Tom Benoit et Philippe Béchade, la BCE va imprimer de la monnaie pour financer la dépense publique française, ce qui fera baisser la valeur de l’euro. Les Allemands, qui verront leur monnaie commune se déprécier, réclameront leur part du gâteau. C’est là qu’intervient l’Union des marchés de capitaux : elle permettra de mobiliser l’épargne privée des Européens pour financer des contrats de transition écologique et numérique, dont les sociétés industrielles allemandes seront les principaux bénéficiaires.
Un scénario qui met en péril nos démocraties libérales et annonce un avenir sombre pour l’Europe…
Yoann
Comme nous l’explique dans le menu Renaud Beauchard, le financement des manifestations et des occupations universitaires sert à alimenter un chaos qui exaspèrent les étudiants non militants, qui irritent les témoins d’un spectacle de violence et de chaos, et qui justifie ensuite le tour de vis par les autorités en faveur de la sacro-sainte sécurité. On arrive alors au nœud gordien – ou plutôt sorosien : la censure des idées en général et la répression de tout ce qui sera qualifié de près ou de loin d’antisémitisme.
Rien de neuf, donc, les gauchistes sont ici utilisés comme les idiots utiles qu’ils ont toujours été, mais à un niveau confinant présentement à un remarquable tour de force.
Ainsi, sont en cours ou déjà réalisés, une loi de type loi Gayssot – malgré le sacro-saint Premier amendement – mais aussi la « loi Tik Tok », le National Security Act, les aides monstrueuses à l’Ukraine, la reconduction de la Foreign Intelligence Surveillance Act (FISA), etc. Tout cela permet la mise en place d’une oligarchie de surveillance nous entraînant vers une dystopie dangereuse mais bien réelle.
Le pire étant le ralliement de la plupart des Républicains à toutes ces volontés liberticides et ces censures. Même Donald Trump, empêtré dans ses procès, se rallie à un certain nombre de ces positions. Les optimistes espéreront qu’il cherche à ne pas faire trop de vagues et à envoyer des signaux lui permettant de disposer d’un meilleur traitement. L’avenir nous le dira.
Enfin, même Robert Kennedy Jr, qu’on espérait comme vrai subversif (là où Trump se félicite encore de sa politique vaccinale et n’a jamais renvoyé Anthony Fauci), semble s’aligner sur certaines positions peu recommandables, que ce soit sur le conflit israélo-palestinien ou son choix de Nicole Shanahan, ex-femme du cofondateur de Google Sergey Brin, comme colistière.
L’avenir paraît sombre, mais n’oublions pas que le pire n’est jamais certain, et que l’espoir fait vivre, parfois même jusqu’à la victoire.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit le terme« One Health » [Une seule santé]comme étant une « approche intégrée et unificatrice qui vise à équilibrer et à optimiser durablement la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes », car ils sont « étroitement liés et interdépendants » – un concept qui, à première vue, semble promouvoir des objectifs nobles reliant la santé humaine et la santé environnementale.
Toutefois, certains scientifiques et experts médicaux s’inquiètent des objectifs vagues de One Health. Soutenant que le concept a été « détourné », ils remettent en question l’intention des personnes impliquées dans le développement et le déploiement mondial du concept, notamment l’OMS, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et la Banque mondiale.
Les experts qui se sont entretenus avec le Defender ont également soulevé des questions sur d’autres aspects du concept « One Health », notamment un programme de biosécurité, un système de surveillance mondial, des passeports pour les vaccins et des restrictions sur le comportement humain.
Bien que ces objectifs soient étayés par une « théorie du changement » vaguement définie, des experts ont déclaré au Defender que des intérêts financiers majeurs sont au cœur du programme « One Health », qui semble être étroitement lié au changement climatique et aux initiatives de développement durable promues par les mêmes organisations mondiales.
Les objectifs de One Health incluent une « prise de contrôle globale de tout »
Depuis octobre 2022, le fisc français utilise un logiciel d’intelligence artificielle (IA) pour détecter les piscines non déclarées dans neuf départements. Ce dispositif, qui a permis de récolter environ 10 millions d’euros, va être étendu à l’ensemble du territoire d’ici le printemps 2023. Mais le fisc ne compte pas s’arrêter là : il envisage aussi de traquer les vérandas, les pergolas, les carports et autres abris de jardin qui ne sont pas inscrits au cadastre.
Le logiciel, baptisé “Foncier innovant”, a été conçu par Google et développé par Capgemini pour le compte de la Direction générale des Finances publiques (DGFIP). Il se base sur des images satellitaires qu’il compare aux déclarations des contribuables. Grâce à l’IA, il peut identifier les constructions qui augmentent la valeur locative d’un bien et qui sont donc imposables.
“Nous visons particulièrement les extensions de maison, comme les vérandas par exemple”, a confié Antoine Magnant, le directeur général adjoint de la DGFIP, au Parisien. “Mais nous devons être sûrs que le logiciel pourra trouver des bâtiments avec de grosses emprises au sol et pas la niche du chien ou la cabane des enfants”, a-t-il précisé.
En effet, le logiciel n’est pas encore parfait et peut commettre des erreurs, comme confondre une piscine hors-sol non taxable avec une piscine creusée imposable. C’est pourquoi le fisc doit vérifier manuellement les anomalies détectées par l’IA avant de procéder à des révisions de taxes foncières ou à des redressements fiscaux.
Les soldats ukrainiens n’ont jamais eu la moindre chance de résister à la puissance de l’armée russe. Pas la moindre. Cela était évident dès le début de la guerre. Il est illogique que le gouvernement ukrainien et ses partisans aient tenté de résister à cet assaut.
L’« Occident » aurait dû abandonner et faire les concessions que la Russie avait exigées. Il devra les faire de toute façon.
La situation n’est pas différente aujourd’hui, car il est clair que la Fed américaine agit avec l’arme des taux d’intérêt pour faire s’effondrer ce qui est la plus grande bulle financière spéculative de l’histoire humaine, une bulle qu’elle a elle-même créée.
Les krachs mondiaux commencent toujours à la périphérie, comme le Creditanstalt autrichien de 1931 ou la faillite de Lehman Brother, en septembre 2008. La décision du 15 juin de la Fed d’imposer la plus forte hausse de taux en près de 30 ans, alors que les marchés financiers sont déjà en plein effondrement, garantit désormais une dépression mondiale, voire pire.
Chaque année, les dirigeants d’entreprise, les banquiers, les responsables des médias, les universitaires et les politiciens les plus riches et les plus puissants du monde se réunissent à huis clos pour discuter de la manière de façonner le monde tout en perpétuant un statu quo qui a été très bénéfique pour une poignée de personnes. Nous parlons, bien sûr, de la réunion annuelle, et toujours très secrète, du Groupe Bilderberg.
La 68e réunion Bilderberg est déjà en cours à Washington, D.C., et a débuté jeudi pour se poursuivre jusqu’à dimanche.
Albert Bourla, PDG de Pfizer, Eric Schmidt, ancien PDG de Google, Henry Kissinger et William J. Burns, directeur de la CIA, figurent parmi les 120 invités (cliquez ici pour la liste complète) de cette année, originaires de 21 pays… mais rares sont les Russes.
« Si le groupe Bilderberg n’est pas une conspiration quelconque, il est dirigé de manière à en donner une imitation remarquablement bonne »
Selon Austin Fitts, votre santé et vos finances personnelles ne peuvent tout simplement pas être séparées. Les deux sont vraiment comme les deux faces d'une même pièce et les personnes qui n'apprennent pas à naviguer à travers les mensonges des industries médicales et financières peuvent se retrouver en très mauvaise situation, tant du point de vue de la santé que du point de vue financier.
Comme l'explique Austin Fitts, les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et trace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.
« Tout ce que je peux vous dire c'est qu'avoir dit non s'est avéré être la chose la plus intelligente que je n'aie jamais faite. Je ne dis pas que ce n'est pas difficile. C'est exceptionnellement gênant. Je suis passé de personne nantie à une personne ayant à vivre des périodes de pauvreté extrême. C'était assez horrible.
Mais en même temps, vous sortez de l'autre bout et c'est une belle vie. C'est juste une belle vie que d'être libre ... Je ne pense pas qu'il y ait un autre moyen de parvenir à une vie libre et inspirée que de s'y lancer. Il vous faut dire non. Et si nous ne disons pas non, nous allons être des esclaves. Franchement, je préfère être morte que de prendre ces injections. Dieu sait ce qui s'y trouve. »