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Geostorm, le film annonce de la catastrophe de Valence en Espagne ?

QactusLa Catastrophe de Valence, un Scénario de Film Devenu Réalité ?

Qactus - 06 nov 2024

Avez-vous vu ce qui s’est passé en Espagne ? Avez-vous vu ce que nous avons écrit sur ce sujet ?

   

Beaucoup restent toujours dans le déni ou ne croient pas du tout. Vous allez mieux comprendre ce que nous vous disons depuis des années : ils vous le disent aussi dans les films, comme nous vous l’avons toujours dit.

Désormais, on dirait que la réalité dépasse la fiction, regardez le film GEOSTORM.

Nous avons l’impression que ce qui s’est passé en Espagne, à Dubaï et en Turquie, bah, c’est ce film qui l’a créé en fait, non ?, c’est un truc de fou. Nous savons que par les films, ils nous font passer des messages, comme ceux des Simpsons. Vous voyez, les Simpsons, ils font des trucs ? Et comme par hasard, quelques années après, ça se prédit en fait. On dirait que les Simpsons ont prédit tout dans la vie. Mais ici, avec ce film, non seulement nous pourrions dire que c’est vraiment réel, mais les Espagnols viennent de le subir, non ?

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l'addiction aux séries télévisées

L'âge de faireQuand les séries séquencent le temps à notre place

L'âge de faire - 01 oct 2024

Pour le philosophe Bertrand Cochard, notre addiction aux séries disponibles à la demande est un signe de notre rapport au temps et à l’histoire, dans des sociétés inertes face aux enjeux écologiques.

   

« Six ans de vie perdue » : c’est ainsi que certains téléspectateurs, frustrés par son dénouement, ont réagi au dernier épisode de la série Lost, qui s’est terminée en 2010 après 121 épisodes de 42 minutes environ, répartis en 6 saisons. Près de 85 heures réparties sur six années, cela peut sembler peu de chose, mais ça n’a rien d’anodin si l’on considère le peu de « temps libre » dont nous disposons. Sans compter qu’une série dans laquelle on plonge n’occupe pas seulement notre esprit durant les moments de visionnage : les personnages s’immiscent dans nos imaginaires, les intrigues se font et se défont dans nos têtes, occupent les conversations.

Dans son livre Vide à la demande, le philosophe Bertrand Cochard interroge les significations de ce « passe-temps » qui a colonisé nos vies. Leur omniprésence est étroitement mêlée à l’organisation du travail, qui « nous vide chaque jour du capital attentionnel disponible pour pratiquer d’autres activités plus exigeantes ». Elle est aussi le fruit de « l’infrastructure numérique dans laquelle nous baignons », qui nous laisse chaque soir dans un état « d’épuisement et d’excitation ».

« L’histoire n’est plus que la somme de ce que nous ne faisons pas »

Confrontant le phénomène des séries à différents concepts philosophiques, l’auteur n’a pas choisi le mot de « passe-temps » au hasard. Regardées le soir après le boulot, mais aussi suivies dans les transports, sous la douche ou en cuisinant, elles répondent à l’horreur du vide « qui caractérise la condition de l’individu contemporain », écrit-il. La consommation d’un passe-temps en appelle un autre, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus besoin de choisir ni de cliquer : la machine le fait pour nous.

Mais la série ne se contente pas de remplir le temps : « Elle le séquence, et ce séquençage qu’elle accomplit à notre place traduit, dans la vie réelle, les difficultés que nous avons à séquencer le temps, aussi bien sur un plan individuel que collectif. » Pour Bertrand Cochard, « ce besoin de séquençage fictionnel peut nous renseigner sur la condition temporelle caractéristique des sociétés actuelles […] Devenues “conscientes” de l’impossibilité de continuer à croître de manière infinie dans un monde fini, [nos] sociétés ont paradoxalement décidé d’y faire face en se voilant la face. Depuis, le processus historique est comme enrayé, ou lancé à un rythme accéléré sur une trajectoire désespérément inertielle. Le temps, cette “bouillie”, n’avance plus. L’histoire n’est plus que la somme de tout ce que nous ne faisons pas, alors même que nous savons pertinemment que nous devons le faire. […] Plus d’histoire, que des histoires, en profusion, à la demande. »

Vide à la demande, Critique des séries, Bertrand Cochard, L’ Échappée, 2024, 169 p., 17 euros.

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Vexille 2007 VF

Revolution 2030 : autre sourceExtrait du fillm Vexille (2007)

Revolution 2030 : autre source - 19 mar 2024

Film d'animation de science-fiction japonais réalisé par Fumihiko Sori, sorti le 18 août 2007.

   

Extrait du fillm Vexille (2007) en français.

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Netflix - Leave the world behind

Le Saker FrancophoneLe film étrange d’Obama et l’extrême vulnérabilité de l’Amérique aux cyberattaques

Le Saker Francophone - 16 jan 2024

Un film récemment sorti sur Netflix, intitulé “Leave The World Behind“ et basé sur un roman du même nom, a fait couler beaucoup d’encre ces derniers temps.

   

L’intrigue tourne autour d’un effondrement catastrophique aux États-Unis déclenché par une cyberattaque (et une attaque massive de drones) qui coupe l’internet et perturbe l’économie mondiale, ce qui amène à se demander qui pourrait être à l’origine de ce sabotage.

L’aspect le plus intéressant du film n’est pas tant l’histoire (qui est au mieux terne) que le fait que Barack Obama ait été si profondément impliqué dans la réalisation du film en tant que producteur exécutif et conseiller sur le scénario. Cela a conduit de nombreuses personnes à suggérer que le film est en fait une programmation prédictive – de la propagande conçue pour acclimater les masses à l’idée d’un événement qui devrait se produire dans un avenir proche.

Des inquiétudes similaires ont été soulevées en 2021 lorsque le Forum économique mondial a supervisé un “jeu de guerre” appelé Cyber-polygon, un événement destiné à simuler une cyberattaque massive sur les fonctions vulnérables du web mondial. La raison pour laquelle Cyber-polygon a tant fait sourciller est parfaitement compréhensible : le WEF avait également organisé une autre simulation à la fin de l’année 2019, appelée Event 201. Ce jeu, auquel participaient les PDG de certaines des plus puissantes entreprises de santé et de médias du monde, ainsi que de nombreux responsables gouvernementaux, portait “par coïncidence” sur l’apparition d’une pandémie mondiale de coronavirus, et il s’est déroulé quelques mois seulement avant que la réalité ne se produise.

En d’autres termes, c’est comme si les globalistes du WEF savaient que le coronavirus allait frapper.

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Arrivée en France du film "Sound of Freedom"

France SoirArrivée en France du film "Sound of Freedom"

France Soir - 05 nov 2023

Après un succès retentissant aux Etats-Unis, le film Sound of Freedom, réalisé par Alejandro Monteverde, arrive sur les écrans français. Il sortira dans les salles le 15 novembre, cinq jours avant la Journée internationale des droits de l’enfant, célébrée le 20 novembre.

   

Les plus impatients peuvent cependant acheter des places pour la projection en avant-première publique du 7 novembre à 20 heures, à l’UGC Normandie, avenue des Champs-Élysées. Nous avons vu ce film qui a déjà fait couler beaucoup d’encre, pas toujours dans le sens souhaité par ses auteurs.

"En tant que coscénaristes du film Sound of Freedom, il a été difficile de voir la controverse partisane nous détourner de l’intention profonde de notre travail : utiliser le pouvoir du cinéma pour sensibiliser à la réalité de la traite des enfants", déplorent Alejandro Monteverde (également réalisateur du film) et Rod Barr dans une tribune publiée le 14 août 2023 dans The Hollywood Reporter.

"Nous avons été sidérés de découvrir la polémique qui a entouré la sortie du film aux États-Unis en juillet dernier, tant l’écart avec le contenu du film était grand", commente en écho le distributeur, Saje Distribution.

Une polémique arrivée jusqu’en France, puisque avant même la sortie du film dans l’Hexagone, des médias ont évoqué les "thèses complotistes" qu'il relaierait selon eux.

Il n’en est rien. Sound of Freedom est avant tout un film d’action haletant, inspiré de la vie de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure des États-Unis, affecté à l’unité chargée de la lutte contre la pédocriminalité sur Internet. Après des missions d’infiltration pour combattre le tourisme sexuel impliquant des enfants, Tim Ballard démissionne en 2013 pour créer Opération Undergroung Railroad, une fondation dont l’objet est de sauver les enfants victimes de réseaux les réduisant à l’esclavage sexuel.

Avec Sound of Freedom, le spectateur suit le héros, incarné par Jim Caviezel, dans son travail d’agent fédéral puis dans de périlleuses opérations de sauvetage qui le conduiront en Amérique du Sud.

Un thriller captivant inspiré de faits réels.

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Yallah Gaza

Hérisson Rebelle ProductionFilm : Yallah Gaza : la « rage de vivre » en territoire occupé

Hérisson Rebelle Production - 19 oct 2023

Le documentaire Yallah Gaza tente de comprendre comment l’on fait pour vivre dans la bande de Gaza, territoire occupé, maintenu sous blocus, avec un taux de chômage de plus de 50%. Des Gazaouis se livrent sans réserve face caméra.

   

Film documentaire sur le territoire de Gaza (Palestine) réalisé par Hérisson Rebelle Production

Le film démystifie les préjugés, tord le coup au "prêt à penser" et témoigne que Gaza est une société normale qui vit dans un environnement totalement anormal.

Sortie du film 8 novembre 2023. 1h41min

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Il n’y aura plus de nuit de Éléonore Weber

Réseau InternationalCelui qui filme tue

Réseau International - 24 sep 2023

Documentaire de Éléonore Weber : Il n’y aura plus de nuit

   

Il n’y aura plus de nuit montre des images que ne devraient pas être vues. «Ces images ne sont pas faites pour être regardées». Non, ces images sont faites pour être simplement, pour exister car elles doivent rendre compte de la substance d’une opération, d’un mouvement, d’un moment. Il n’y plus de frontière entre réel et fictionnel car l’image même incarne la vision propre de celui qui voit et de celui qui agit.

Nous voyons ce que voit le pilote de l’hélicoptère de combat dans lequel la caméra est embarquée. Elle suit les mouvements du pilote, elle filme ce qu’il regarde. Ou plutôt, elle est l’extension de l’œil du pilote, elle lui apporte ce qu’il n’a pas : la possibilité de voir à plusieurs kilomètres, la nyctalopie, la vision thermique. Mais au-delà même de la technicité — cette caméra enregistre, aide mais aussi astreint le pilote à un contrôle permanent — c’est le rapport à l’autre qui commande. Celui qui est regardé mais qui ne le sait pas. Le jour, à des centaines de mètres voire à des kilomètres de la cible, le pilote distingue le genre, les vêtements, les détails d’une voiture, ou encore à quoi un groupe d’enfants est en train de jouer. En Syrie, en Irak, en Afghanistan et en règle générale partout où l’armée d’une grande puissance militaire impose sa force, cette armée voit, presque divinement, les individus vivre. De jour comme de nuit : la nuit, ils sont aussi visibles que le jour, mais les hélicoptères, eux, ne sont plus repérés qu’au roulis de leurs pales.

Il n’y aura plus de nuit est le cri sourd d’une industrie de la guerre, d’une technologie grandissante, d’une jouissance de puissance : voir sans être vu, voir celui qui ne nous voit pas.

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Critique du film « Sound of Freedom »

Nouveau Monde« Sound of Freedom » : le film ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants

Nouveau Monde - 17 juil 2023

Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin.

   

Hier soir, j’ai pu voir le film « Sound of Freedom », sorti récemment, dans un cinéma local qui, étonnamment, affichait complet pour une séance du lundi soir, plus d’une semaine après la sortie du film.

Le film met en scène Jim Caviezel dans le rôle de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure qui a été affecté au groupe de travail sur les crimes contre les enfants sur Internet (ICAC) et a créé sa propre organisation, Operation Underground Railroad, une association à but non lucratif qui se consacre au sauvetage des enfants victimes de la traite des êtres humains. La production de ce film aurait commencé il y a plus de 5 ans, et depuis au moins 2021, j’ai vu de nombreuses interviews et articles sur Jim Caviezel parlant de ce film ainsi que de sujets tels que l’adrénochrome, les abus rituels sataniques, le prélèvement d’organes, et d’autres sujets sombres que nous avons couverts pendant la majeure partie d’une décennie ici à Health Impact News. Bien qu’il s’agisse d’un bon film que je recommande à tous de regarder s’ils en ont l’occasion, sachez qu’aucun de ces sujets sombres n’est abordé dans ce film, et qu’il n’y a pas non plus de véritable appel à l’action avec des conseils pratiques sur la façon de mettre fin au trafic d’enfants. Alors que j’étais sur le point de quitter la salle au moment où le générique commençait à défiler, l’écran a affiché un chronomètre indiquant qu’il y avait un « message spécial » de Jim Caviezel après le générique. Ah, c’est peut-être là que Caviezel va aborder ces autres sujets, me suis-je dit, et donner des conseils pratiques sur la manière de mettre fin à tout cela. Mais il ne l’a pas fait. Le seul « appel à l’action » consistait à inciter un plus grand nombre de personnes à voir le film, en leur donnant la possibilité de scanner un code QR et de faire un don pour que d’autres puissent voir le film s’ils n’en ont pas les moyens.

 

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un commerce de 150 milliards

Le Media en 4-4-2The Sound of Freedom : Un film qui dévoile l’horreur du trafic d’enfants

Le Media en 4-4-2 - 07 juil 2023

Un commerce à 150 milliards de dollars.

   

Le film "The Sound of Freedom" a récemment captivé les spectateurs, dont le tiktoker Marc Mercier, qui en est ressorti profondément ému. Ce long-métrage rappelle la réalité horrifiante du marché des enfants victimes de trafic. Ce film suscite des réactions intenses chez les spectateurs qui vont le voir, les plongeant dans un état de choc et de larmes.

« The Sound of Freedom », réalisé par Alejandro Monteverde, met en scène l’acteur Jim Caviezel, connu pour son rôle de Jésus-Christ dans « La Passion du Christ » de Mel Gibson. L’histoire tourne autour d’un agent fédéral qui, après avoir sauvé un jeune garçon de trafiquants impitoyables, découvre que la sœur du garçon est toujours captive. Déterminé à la sauver, il se lance dans une mission périlleuse.

« The Sound of Freedom » aborde un marché dont l’ampleur est méconnue : l’esclavage moderne, un commerce estimé à 150 milliards de dollars et en augmentation de 5 000 % ces dernières années. La majorité des victimes sont des enfants, surpassant ainsi tous les records historiques de l’esclavage. Contrairement aux idées reçues sur une évolution positive de notre société, notre planète est un enfer sur terre pour des millions d’enfants.

« Ils ne veulent pas que les gens voient ce film. Je me bats pour ma vie en ce moment, vous comprenez ? »

Jim Caviezel

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Sound of Freedom - film

Echelle de Jacob«Sound of Freedom» : film n°1 en Amérique le 4 juillet

Echelle de Jacob - 07 juil 2023

"Sound of Freedom" est sorti en salles mardi, et grâce à la technologie "Pay It Forward" utilisée par Angel Studios, ce thriller de la vraie vie a été rapporté comme lié a en fait battu "Indiana Jones et le cadran du destin" de Disney/Lucasfilm, le géant des studios, pour la première place au box-office, le jour de l'indépendance.

   

Comme enregistré par Box Office Mojo, "Sound of Freedom" a rapporté plus de 14 millions de dollars au total : 11,5 millions de dollars en ventes directes au box-office et 2,6 millions de dollars provenant des billets Pay It Forward vendus pendant les vacances du 4 juillet. Selon Deadline, "Indiana Jones" a rapporté 11,698 millions de dollars au total, malgré le double de nombre de salles.

"Sound of Freedom", diffusé dans seulement 2.600 salles, raconte l'histoire vraie du parcours d'un homme pour lutter contre le trafic sexuel d'enfants. Le film d'Angel Studios est basé sur la vie de Tim Ballard, un ancien agent du Département américain de la sécurité intérieure, qui a quitté son emploi parce qu'il voulait faire plus pour sauver les enfants de l'esclavage moderne.

Le film délivre un message audacieux appelant à la liberté de millions d'enfants réduits en esclavage dans la traite des êtres humains, déclarant que "les enfants de Dieu ne sont pas à vendre".

Réalisé par Alejandro Monteverde, "Sound of Freedom" met en vedette Jim Caviezel ("Passion of The Christ"), l'actrice oscarisée Mira Sorvino ("The Final Cut"), Bill Camp ("12 Years a Slave") et José Zúñiga ("Twilight "). En plus d'agir dans le film, Eduardo Verástegui ("Unplanned") est le producteur du film.

Le film a reçu un A+ CinemaScore, un score de critiques de 85% et un score d'audience de 99% sur Rotten Tomatoes.

"Grâce aux fans de tout le pays, 'Sound Of Freedom' a remporté la première place en tant que film américain numéro un le jour de l'indépendance. Nous avons reçu de nombreux messages nous informant que les cinémas sont pleins à craquer. Ce film a maintenant pris vie de lui-même pour devenir quelque chose de plus, un mouvement populaire", a partagé Neal Harmon, PDG d'Angel Studios, dans un communiqué avec The Christian Post.

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