L’outil permet de zoomer pour obtenir une vue satellite et des informations détaillées sur chaque base. Il permet également de filtrer la carte ou la liste des bases par pays, type de gouvernement, date d’ouverture, nombre d’employés ou superficie de terrain occupée.
Cette base de données visuelle a été conçue et développée par World Beyond War pour aider les journalistes, les activistes, les chercheurs et les lecteurs individuels à comprendre l’immense problème de la préparation excessive à la guerre, qui conduit inévitablement à l’intimidation internationale, à l’ingérence, aux menaces, à l’escalade et aux atrocités de masse. En illustrant l’étendue de l’empire américain des avant-postes militaires, World Beyond War espère attirer l’attention sur le problème plus vaste des préparatifs de guerre.
Les États-Unis d’Amérique, contrairement à toute autre nation, entretiennent ce réseau massif d’installations militaires étrangères dans le monde entier. Comment cela a-t-il été créé et comment cela se poursuit-il ? Certaines de ces installations physiques se trouvent sur des terres occupées comme butin de guerre.
La plupart sont maintenues grâce à des collaborations avec des gouvernements, dont beaucoup sont des gouvernements brutaux et oppressifs qui bénéficient de la présence des bases. Dans de nombreux cas, des êtres humains ont été déplacés pour faire de la place à ces installations militaires, privant souvent les gens de terres agricoles, ajoutant d’énormes quantités de pollution aux systèmes d’eau locaux et à l’air, et existant comme une présence indésirable.
Article complet sur l'Échelle de Jacob
00:00 Ouverture du canal Telegram "Stratpol exclusif"
02:10 Vers la fin des sanctions ?
07:36 Réunion du G20
08:20 Kalibrage massif
11:12 Négociations russo-américaines ?
15:40 Prise de Kherson selon le colonel Mac Gregor
17:52 L'armée kiévienne : impuissance et représailles
23:15 Carte des opérations militaires
Les activités du corps expéditionnaire américain, qui est resté dans le pays pendant 18 mois, ont depuis longtemps disparu des livres d’histoire aux États-Unis, mais les Russes considèrent toujours cet incident comme un nouvel exemple de l’intervention incessante des États-Unis dans les affaires de leurs voisins. Le fait est que les élites de Washington se sont toujours mêlées des affaires de la Russie malgré les fortes objections de Moscou. En fait, un grand nombre d’élites occidentales pensent non seulement que la Russie devrait être divisée en unités géographiques plus petites, mais aussi que le peuple russe devrait se réjouir d’une telle issue. Les dirigeants occidentaux de l’anglosphère sont tellement consumés par leur orgueil démesuré et leur sentiment aveugle d’être dans leur bon droit qu’ils croient sincèrement que les Russes ordinaires aimeraient voir leur pays divisé en petits États qui resteraient ouverts à l’exploitation vorace des géants pétroliers occidentaux, des sociétés minières et, bien sûr, du Pentagone. Voici comment le cerveau géopolitique de Washington, Zbigniew Brzezinski, résume la situation dans un article de Foreign Affairs.
« L’objectif de l’Occident est d’affaiblir, de diviser et finalement de détruire notre nation. Ils déclarent ouvertement que, puisqu’ils ont réussi à briser l’Union soviétique en 1991, il est maintenant temps de diviser la Russie en de nombreuses régions distinctes qui se disputeront les unes les autres. »
La dette et les usuriers des fonds de pension comme Fink, c’est elle ; le transhumain et le Reset c’est elle et ses milliardaires ; le virus et les vaccins c’est elle (Bourla veut dire « plaisanterie », burla, en espagnol) ; la russophobie et l’extermination nucléaire en Europe, ce sera aussi elle (elle est sûre que jamais la Russie complexée ne s’en prendra à elle directement) ; les nouvelles chasses aux sorcières et le nouveau puritanisme moral, c’est elle ; les privatisations et la déglingue à la Dick, c’est toujours elle. Elle va nous exterminer et nous l’en remercions, et nous la divinisons. Elle fait penser au serpent biblique : elle amène la connaissance, une connaissance vide et creuse, et nous perdons tout au passage. Mais nous sommes contents. Comme le serpent du Livre de Jungle, elle nous hypnotise avant de nous bouffer l’Amérique.
« Quoi qu’il arrive, et quoi qu’on pense de l’arrogance du dollar ou des multinationales, c’est cette culture qui fascine mondialement ceux mêmes qui ont à en souffrir, et ce de par cette conviction intime et délirante d’avoir matérialisé tous leurs rêves. »
Immédiatement après que la preuve de l’explosion des gazoducs a été apportée, tout le monde (y compris moi-même) a avancé sa théorie sur le coupable.
Nombreux sont ceux qui, par réflexe, pointent du doigt les déclarations de Joe Biden et de Victoria Nuland concernant la suppression du gazoduc Nordstream 2 avant que la guerre en Ukraine n’éclate. Mais, et alors ? Pourquoi avoir attendu sept mois pour mettre cette menace à exécution ? Et pourquoi se débarrasser en même temps de Nordstream 1 ?
L’argument repose sur l’idée que les États-Unis sont désormais un État voyou entièrement contrôlé par des néoconservateurs qui y voient l’occasion de faire d’une pierre deux coups sur le plan géopolitique, en entrant en guerre contre la Russie tout en reprenant la domination sur une Europe vassale.
C’est en effet le sentiment qui prévaut dans l’ensemble des médias alternatifs anti-américains. De Pepe Escobar à Bernard de Moon of Alabama, l’empressement à faire le lien entre le mobile (Escobar) et les moyens (MoA) est assez convaincant.
Cependant, je ne suis pas d’accord...
Elle devient la plaque-tournante des actions secrètes de l’Otan qui agit, en définitive, contre elle. Le conflit actuel est particulièrement opaque lorsque l’on ignore les liens entre les straussiens US, les sionistes révisionnistes et les nationalistes intégraux ukrainiens.
La guerre en Ukraine agit comme un leurre. Nous ne voyons qu’elle et avons oublié le conflit majeur dans laquelle elle se situe. Du coup, nous ne comprenons pas ce qui se passe sur le champ de bataille, ni ne percevons correctement la manière dont le monde se réorganise et particulièrement la manière dont le continent européen évolue.
Une façon de faire qui déconcerte les Américains autant qu'elle déstabilisa Napoléon.
Le mode panique est bien réel.
Entretien avec Alexandre N.
CdS: Quand nous en avons parlé il y a quelques jours, déjà, vous étiez formels: “A Washington, ils sont en mode panique”, m’avez-vous déclaré.
Alexandre N: Pour la Maison Blanche, la messe est quasiment dite, si j’ose dire : la momie vivante et son entreprise d’embaumeurs lutte de plus en plus contre une démence sénile de moins en moins contrôlable.
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En effet, les trois voies d’approvisionnement en gaz des Européens de l’Ouest viennent d’être coupées simultanément, tandis que, toujours concomitamment, un nouveau gazoduc vient d’être inauguré à destination de la Pologne.
De même que Mikhaïl Gorbatchev avait vu dans la catastrophe de Tchernobyl la dislocation inévitable de l’URSS, de même nous pensons que le sabotage des gazoducs Nord Stream marque le début de la chute économique de l’Union européenne.
Ses demandes de prestations de décès ont augmenté de 6 milliards de dollars depuis le lancement des « vaccins » anti-covid.
Une autre grande compagnie d’assurance-vie des États-Unis est confrontée à des difficultés alors que les demandes de prestations de décès montent en flèche en raison des « vaccins » contre le Covid-19.
Le rôle du dollar américain dans l’économie mondiale en tant que monnaie de réserve est aujourd’hui plus faible que jamais, pour diverses raisons qui convergent ensemble ; à tel point que la situation a incité le Conseil de la Réserve fédérale à organiser une toute première conférence sur les rôles internationaux du dollar.
Les crypto-monnaies décentralisées, qui n’ont pas d’autorité centrale d’émission, sont censées être une des causes possibles de l’affaiblissement du statut du dollar dans les économies du monde entier.