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Washington sur l'ONU

VoltairenetLa survie de la domination de Washington sur l’Onu

Voltairenet - 21 déc 2023

Lors de leur création, les Nations unies portaient un idéal d’égalité des peuples et des nations.

   

Cependant, dès les premiers mois de son fonctionnement, Washington et Londres ont soutenu Israël contre le peuple palestinien. Puis, Washington a falsifié le Conseil de sécurité en faisant siéger Formose à la place de la Chine et en provoquant le boycott de l’URSS. Aujourd’hui, la domination des États-Unis sur cette institution est dénoncée par une vaste majorité d’États membres. Tandis que les BRICS se placent en ordre de bataille pour que l’institution revienne au Droit international.

En une année, l’Assemblée générale des Nations unies s’est profondément modifiée : en octobre 2022, 143 États, conduits par Washington, condamnaient les « annexions illégales » de la Russie en Ukraine, tandis qu’en décembre 2023, 153 États appelaient à un cessez-le-feu humanitaire immédiat à Gaza, contre l’avis de Washington.

Par le passé, Washington pouvait menacer quantité d’États et leur imposer de se prononcer comme lui et d’adopter ses règles. Aujourd’hui il fait moins peur :
Certes, le Commandement des opérations spéciales des États-Unis (USSoCom) peut à tout instant mener des ingérences militaires secrètes dans n’importe quel pays dans le monde et assassiner tel ou tel de ses dirigeants, mais ce déploiement semble de plus en plus improbable dans de grands pays.
Certes, le département du Trésor peut interdire de commercer avec tel ou tel État et ainsi couler l’économie du récalcitrant, voire affamer sa population. Mais, désormais, la Russie et la Chine offrent un moyen de briser ce siège économique.
Certes la gigantesque machine d’interception des communications des « Cinq Yeux » (Australie, Canada, États-Unis, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni) peut révéler les turpitudes de n’importe quel récalcitrant, mais certains dirigeants sont honnêtes et ne peuvent donc faire l’objet de chantage au détriment de leur population.

De ce point de vue, la liste des États ayant voté contre le cessez-le-feu à Gaza est éclairante, outre les États-Unis et Israël, elle comporte un certain nombre de régimes aux caractères surprenants [...]

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Pentagone - blanchiment d'argent

Réseau InternationalPentagone : des milliers de milliards de dollars ont disparu

Réseau International - 25 nov 2023

Le Pentagone échoue à un nouvel audit. Ce n’est pas pour rien que l’on dit que le Pentagone est l’outil de blanchiment d’argent préféré du gouvernement.

   

Il est comique qu’ils tentent même d’auditer le Pentagone alors qu’ils savent que l’agence échouera lamentablement. Le gouvernement a dépensé 187 millions de dollars pour réaliser cet audit insignifiant sur 700 sites. Cette année, comme l’année précédente, seuls 7 des 29 sous-audits ont été couronnés de succès. LA MOITIÉ des actifs déclarés n’a été trouvée nulle part par les 1600 auditeurs engagés. Comment des milliers de milliards de dollars peuvent-ils disparaître ?

Des milliers de milliards ont disparu depuis la période qui a précédé le 11 septembre 2001. Aucune enquête n’est en cours pour déterminer où se trouvent ces fonds qui appartiennent aux citoyens contribuables. L’attentat du 11 septembre 2001 a eu lieu un jour après que l’ancien secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld, a tiré la sonnette d’alarme et informé le public que 2300 milliards de dollars de transactions ne pouvaient être retrouvés. La démolition du WTC7 le 11 septembre a détruit la salle où se déroulait l’audit du Pentagone et qui se trouvait être l’emplacement de mon système informatique. J’ai reçu une lettre de la SEC m’expliquant que tout avait simplement été détruit et qu’aucune question ne pouvait plus être posée.

Ce n’était que la partie émergée de la longue histoire du Pentagone en matière d’égarement de milliers de milliards de dollars. En mai, le Pentagone a admis avoir égaré des milliers de pièces d’avions F-35 pour un montant de 1,6 milliard de dollars. Puis, en juin, le Pentagone a annoncé qu’il avait égaré plus de 6,2 milliards de dollars de fonds destinés à l’Ukraine. «Nous avons confirmé que pour l’exercice 2023, le calcul final est de 3,6 milliards de dollars, et pour l’exercice 22, de 2,6 milliards de dollars, soit un total combiné de 6,2 milliards de dollars», a déclaré le secrétaire de presse du Pentagone. «Ces erreurs d’évaluation ne limitent ni ne restreignent en aucune manière la taille de nos programmes d’aide à la Défense, ni n’ont d’incidence sur le soutien apporté à l’Ukraine». Le Pentagone a mis les fonds manquants sur le compte d’une «erreur comptable» et n’a plus jamais évoqué la situation. Le secrétaire de presse a déclaré que leur principale préoccupation était simplement de pouvoir continuer à verser de l’argent à l’Ukraine.

Lloyd Austin est secrétaire à la Défense depuis janvier 2021. Au lieu de se concentrer sur ses fonctions dans son pays, Austin s’est rendu en Ukraine quelques jours après l’échec de l’audit pour apporter son soutien à Zelensky. «Nous resterons à vos côtés pour le long terme. Ce qui s’est passé ici en Ukraine est important non seulement pour l’Ukraine, mais aussi pour le reste du monde. C’est certainement important pour les États-Unis d’Amérique», a-t-il déclaré.

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Israël - USA : l'effondrement

VoltairenetL’effondrement d’Israël et des États-Unis

Voltairenet - 19 nov 2023

Pour la première fois, le monde assiste en direct à un crime contre l’Humanité, à la télévision.

   

Les États-Unis et Israël, qui ont uni leur sort depuis longtemps, seront tous deux tenus pour responsables des massacres de masse commis à Gaza. Partout, sauf en Europe, les alliés de Washington retirent leurs ambassadeurs à Tel-Aviv. Demain, ils le feront à Washington. Tout se passe comme lors de la dislocation de l’URSS et se terminera de la même manière : l’Empire américain est menacé dans son existence. Le processus qui vient de s’enclencher ne pourra pas être stoppé.

lors que nous avons les yeux rivés sur les massacres de civils en Israël et à Gaza, nous ne percevons ni les divisions internes en Israël et aux USA, ni le changement considérable que ce drame provoque dans le monde. Pour la première fois dans l’Histoire, on tue massivement et en direct des civils à la télévision.

Partout — sauf en Europe — les juifs et les arabes s’unissent pour crier leur douleur et appeler à la paix.
Partout, les peuples réalisent que ce génocide ne serait pas possible si les États-Unis ne fournissaient pas en temps réel des bombes à l’armée israélienne.
Partout, des États rappellent leurs ambassadeurs à Tel-Aviv et se demandent s’ils doivent rappeler ceux qu’ils ont envoyés à Washington.

Il va de soi que les États-Unis n’ont accepté ce spectacle qu’à contre-cœur, mais ils ne l’ont pas simplement autorisé, ils l’ont rendu possible avec des subventions et des armes. Ils sont effrayés de perdre leur Pouvoir après leur défaite en Syrie, leur défaite en Ukraine et peut-être bientôt leur défaite en Palestine. En effet, si les armées de l’Empire ne font plus peur, qui continuera à effectuer des transactions en dollars au lieu de sa propre monnaie ? Et dans cette éventualité, comment Washington fera-t-il payer aux autres ce qu’il dépense, comment les États-Unis maintiendront-ils leur niveau de vie ?

Mais que se passera-t-il à la fin de cette histoire ? Que le Moyen-Orient se révolte ou qu’Israël écrase le Hamas au prix de milliers de vies ?

Nous retiendrons que le président Joe Biden avait d’abord sommé Israël de renoncer à son projet de déplacer vers l’Égypte ou, à défaut, d’éradiquer le peuple palestinien de la surface de la Terre, et que Tel-Aviv ne lui a pas obéi.

Les « suprémacistes juifs » se comportent aujourd’hui comme en 1948.
Lorsque les Nations unies votèrent la création de deux États fédérés en Palestine, un hébreu et un arabe, les forces armées auto-proclamèrent l’État hébreu avant qu’on en ait fixé les frontières. Les « suprémacistes juifs » expulsèrent immédiatement des millions de Palestiniens de chez eux (la « Nakhba ») et assassinèrent le représentant spécial de l’Onu venu créer un État palestinien. Les sept armées arabes (Arabie saoudite, Égypte, Iraq, Jordanie, Liban, Syrie et Yémen du Nord) qui tentèrent de s’opposer à eux furent rapidement balayées.
Aujourd’hui, ils n’obéissent pas plus à leurs protecteurs et massacrent encore, sans se rendre compte que, cette fois, le monde les observe et que plus personne ne viendra à leur secours. Au moment où les chiites admettent le principe d’un État hébreu, leur folie met en péril l’existence de cet État.

Nous nous souvenons de la manière dont l’Union soviétique s’est effondrée. L’État n’avait pas été capable de protéger sa propre population lors d’un accident catastrophique. 4 000 Soviétiques sont morts à la centrale nucléaire de Tchernobyl (1986), en sauvant leurs concitoyens. Les survivants s’étaient alors demandés pourquoi ils continuaient à accepter, 69 ans après la Révolution d’Octobre, un régime autoritaire. Le Premier secrétaire du PCUS, Mikhail Gorbachev, a écrit que c’est lorsqu’il a vu ce désastre, qu’il a compris que son régime était menacé.
Puis ce furent les émeutes de décembre au Kazakhstan, les manifestations d’indépendance dans les pays baltes et en Arménie. Gorbatchev modifia la Constitution pour écarter la vieille garde du Parti. Mais ses réformes ne suffirent pas à arrêter l’incendie qui se propagea en Azerbaïdjan, en Géorgie, en Moldavie, en Ukraine et en Biélorussie. Le soulèvement des Jeunes communistes est-allemands contre la doctrine Brejnev conduisit à la chute du Mur de Berlin (1989). L’effritement du Pouvoir à Moscou conduisit à l’arrêt de l’aide aux alliés, dont Cuba (1990). Enfin ce furent la dissolution du Pacte de Varsovie et le déchirement de l’Union (1991). En un peu plus de 5 ans, un Empire, que tous pensaient éternel, s’est effondré sur lui-même.

Ce processus inéluctable vient de débuter pour l’« Empire américain ». La question n’est pas de savoir jusqu’où les « sionistes révisionnistes » de Benjamin Netanyahu iront, mais jusqu’à quand les impérialistes états-uniens les soutiendront. À quel moment, Washington estimera qu’il a plus à perdre à laisser massacrer des civils palestiniens qu’à corriger les dirigeants israéliens ?

Le même problème se pose pour lui en Ukraine. La contre-offensive militaire du gouvernement de Volodymyr Zelensky a échoué. Désormais, la Russie ne cherche plus à détruire les armes ukrainiennes, qui sont immédiatement remplacées par des armes offertes par Washington, mais à tuer ceux qui les manient. Les armées russes se comportent comme une gigantesque machine à broyer qui, lentement et inexorablement, tue tous les soldats ukrainiens qui s’approchent des lignes de défense russe. Kiev ne parvient plus à mobiliser de combattants et ses soldats refusent d’obéir à des ordres qui les condamnent à une mort certaine. Ses officiers n’ont d’autre choix que de fusiller les pacifistes.

Déjà de nombreux leaders US, ukrainiens et israéliens évoquent un remplacement de la coalition « nationaliste intégrale » ukrainienne et de la coalition « suprémaciste juive », mais la période de guerre ne s’y prête pas. Il va pourtant falloir le faire.

Le président Joe Biden doit remplacer sa marionnette ukrainienne et ses alliés barbares israéliens, comme le Premier secrétaire Mikhail Gorbachev avait dû remplacer son insensible représentant au Khazakhstan, ouvrant la voie à la généralisation de la contestation des dirigeants corrompus. Lorsque Zelensky et Netanyahu auront été renvoyés, chacun saura qu’il est possible d’obtenir la tête d’un représentant de Washington et chacun de ceux-ci saura qu’il doit fuir avant d’être sacrifié.

Ce processus n’est pas seulement inéluctable, il est inexorable. Le président Joe Biden peut juste faire tout ce qui est en son pouvoir pour le ralentir, pour le faire durer, pas pour l’arrêter.

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Medvedev impitoyable avec l'UE

Égalité et RéconciliationMedvedev impitoyable avec l’UE, cette "prostituée vieillissante"

Égalité et Réconciliation - 02 nov 2023

Ce texte a été écrit par le député et patron du conseil de sécurité russe Dmitri Medvedev.

   

L’Union européenne est aujourd’hui de facto incapable d’agir de manière indépendante non seulement sur la scène internationale, mais aussi sur la scène européenne.

Pratiquement tous les pays de l’UE se sont mis au garde-à-vous devant les États-Unis et la Grande-Bretagne et ont docilement commencé à suivre leurs instructions pour soutenir le régime nazi de Kiev. Et maintenant, il n’y a plus d’ordre du tout. L’UE a dilapidé son autorité internationale en tant que médiateur dans tout conflit. Et l’Europe joue aujourd’hui, hélas, le rôle d’une prostituée vieillissante, répondant sans broncher à tous les caprices de la clientèle étrangère.

L’Europe s’est castrée de façon sanglante et sans anesthésie en refusant la coopération énergétique avec notre pays. Elle a été gâtée ou gelée pendant très longtemps. Mais voilà que l’Amérique, se frottant les mains, fournit à l’Europe son GNL au triple du prix. Les temps difficiles sont arrivés pour longtemps.

Les entreprises européennes ont subi des pertes colossales irrécupérables en quittant notre pays. Leur préjudice se mesure en dizaines de milliards de dollars (et avec les pertes de profits, en centaines). Mais si elles pourront peut-être couvrir leurs pertes financières à un moment donné, elles ne pourront guère couvrir leurs pertes d’image et de réputation. Il sera très difficile, voire impossible, de revenir en Russie.

Nous ne sommes même plus des voisins, mais de véritables ennemis. L’UE a perdu la Russie en tant que partenaire stratégique à long terme. Nous ne nous en réjouissons pas, mais c’est un fait. En décidant de devenir le pire ennemi de notre pays à la demande des États-Unis, l’Europe s’est rapprochée de la dégénérescence finale.

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Police State - are you next

Aube DigitaleLe documentaire « Police State » impressionne par ses ventes de tickets

Aube Digitale - 02 nov 2023

L’érosion des libertés civiles au cours des dernières années a fait l’objet d’une attention toute particulière.

   

France : VPN nécessaire pour regarder la bande annonce : https://rumble.com/v3rodbv-police-state-a-film-by-dinesh-dsouza.html

Le documentaire « Police State » a indéniablement touché une corde sensible dans le cœur du public américain et a connu un succès retentissant cette semaine. Fruit de l’imagination du cinéaste Dinesh D’Souza, le film a généré un nombre impressionnant de spectateurs dans le pays, dépassant sans peine le précédent record détenu par un autre projet de D’Souza, « 2000 Mules« .

En exprimant les sentiments qui résonnent dans le pays, « Police State » touche une corde sensible. Son succès signifie que les Américains aspirent à un contenu perspicace qui en dit long sur les problèmes urgents qui pèsent sur leur réalité actuelle, principalement en ce qui concerne la liberté d’expression et l’érosion des libertés civiles.

Les ventes de billets en ligne pour le 25 octobre ont dépassé les attentes. Pour prolonger le discours, une première virtuelle est également prévue pour le 27 octobre et sera exclusivement disponible en streaming sur Rumble. Cette vague récente d’immense popularité s’est traduite par des projections à guichets fermés dans plusieurs cinémas – un gage de la réputation saisissante du film.

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Bill Mher - Universities don't go

Aube DigitaleBill Maher compare les universités à un « camp de rééducation nord-coréen »

Aube Digitale - 25 oct 2023

Bill Maher : « N’allez pas à l’université »

   

Bill Maher a conseillé aux jeunes Américains de ne pas aller à l’université parce que cela les rend stupides et que les écoles d’élite ressemblent à des camps de rééducation nord-coréens, racistes à l’égard des Asiatiques et qui n’enseignent pas l’histoire avec exactitude.

« Si l’ignorance est une maladie, Harvard Yard est le marché de Wuhan », a déclaré l’animateur de l’émission « Real Time » sur HBO. « En tant que diplômé de l’Ivy League qui connaît la valeur d’une éducation libérale, j’ai un conseil à donner à la jeunesse américaine : N’allez pas à l’université, et si vous devez absolument y aller, n’allez pas dans une université d’élite, car, comme l’ont montré les événements récents, cela ne fait que vous rendre stupide. Ce qui s’est passé en Israël n’a que peu d’effets positifs, voire aucun, mais l’un d’entre eux est d’avoir ouvert les yeux de l’Amérique sur la façon dont l’enseignement supérieur s’est transformé en un endoctrinement dans un ragoût de mauvaises idées, parmi lesquelles la notion simpliste que le monde est un endroit binaire où chacun est soit un oppresseur, soit un opprimé. Dans le cas d’Israël, les oppresseurs sont les bébés et les enfants. Les mêmes étudiants qui vous diront que les mots sont de la violence, et que le silence est de la violence, ont été d’un grand soutien lorsque les terroristes du Hamas se sont livrés à des viols et à des meurtres dignes des Vikings. Ils savaient où pointer le doigt, vers les assassinés. Et ensuite, ils sont allés en cours d’éthique ». Maher poursuit : « Je reconnais qu’on attend des étudiants une certaine dose de folie, mais mélanger du Jägermeister et du jus de tomate, ce n’est pas la même chose que se ranger du côté des terroristes. Trente-quatre groupes d’étudiants de Harvard ont signé une lettre disant que « le régime d’apartheid est le seul à blâmer« , ce qui prouve qu’ils ne savent pas ce qu’est l’apartheid. En fait, ils ne savent pas grand-chose. Mais cela ne les empêche pas d’avoir une opinion. Ils se sont convaincus qu’Israël est le régime le plus répressif de l’histoire, parce qu’ils n’ont aucune connaissance de l’histoire, ni même le désir de la connaître, et que l’histoire réelle n’est pas abordée dans leur cours sur l’intersectionnalité de la politique et des identités de genre. »

 

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Vanguard investissements massifs en Chine

France SoirVanguard : Investissement massif en Chine

France Soir - 19 oct 2023

Des “dizaines de milliards de dollars” investis par Vanguard en Chine, notamment dans des sociétés militaires qui “menacent la sécurité des États-Unis"

   

Les investissements de Vanguard dans des sociétés militaires chinoises passent mal aux États-Unis. Selon le rapport d’une organisation américaine bipartite, le numéro 2 mondial de la gestion des actifs, après le tout-puissant BlackRock, a investi dans plus de 2 000 entreprises chinoises, dont une soixantaine de filiales du complexe militaro-industriel. Vanguard dit maintenir “les plus hauts niveaux de conformité avec toutes les lois applicables” mais la Coalition pour une Amérique prospère (CPA) estime que “la sécurité nationale” et “le bien-être économique des États-Unis devraient être la priorité”, dans un contexte marqué par de fortes tensions entre Washington et Pékin.

Tout comme son concurrent direct, BlackRock, Vanguard est un fonds d’investissements qui gère 7 200 milliards de dollars d’actifs pour un portefeuille de 30 millions de clients. Ces deux léviathans de la finance détiennent des parts dans les plus grandes sociétés du monde, comme les laboratoires pharmaceutiques (Pfizer dont il est le premier actionnaire, Jonhson & Jonhson, Moderna, AstraZeneca et Sanofi) ou les compagnies tech ou autres (Microsoft, Meta, Alphabet, Netflix, ExxonMobil...). Avec State Street, ces trois géants forment le “Big Three”, en détenant 80 % des encours d’ETF (Exchange Traded Funds - fonds négocié en bourse ou fonds coté en bourse) américains.

L’omniprésence de BlackRock et de Vanguard dans la majorité des plus grandes compagnies mondiales est telle que certains y voient un danger économique. Et le complexe militaro-industriel chinois, l’un des plus gros employeurs mondiaux du secteur, n’y échappe pas.

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suicides US army

Réseau InternationalLe Pentagone n’arrive pas à empêcher les suicides dans l’armée US

Réseau International - 07 oct 2023

Le nombre de suicides dans l’armée américaine a dépassé ses pertes dans les guerres en Irak, en Afghanistan et ailleurs depuis le 11 septembre.

   

Le Pentagone a, à plusieurs reprises, annoncé des mesures pour empêcher les suicides parmi ses soldats. À nouveau, il relance le sujet car rien ne change et l’armée des États-Unis a la particularité de s’autodétruire dans l’ensemble des forces armées. La santé mentale des soldats US est en question car c’est elle qui les pousse à se suicider.

Le nombre des suicides dépasse les guerres Irak, en Afghanistan et ailleurs depuis le 11 septembre. Le site du Watson Institute a annoncé en juillet 2021 que «plus de 7000 militaires américains et plus de 8000 sous-traitants sont morts dans les guerres qui ont suivi le 11 septembre en Irak, en Afghanistan et ailleurs», rajoutant : «Plus de 30 177 militaires et vétérans américains des guerres d’après le 11 septembre se sont suicidés».

Le Pentagone a présenté plus d’une centaine de mesures visant à résoudre ce problème. Cependant, l’efficacité de ces mesures suscitent de sérieux doutes parmi les experts. Observateur Continental faisait, déjà, savoir en 2022 que ce problème préoccupe sérieusement le secrétaire américain à la Défense Lloyd J. Austin III, qui a évoqué ce sujet lors de sa visite à la base d’Eielson en Alaska car c’est dans cette base que les militaires américains mettent le plus souvent fin à leurs jours. Les annonces du Pentagone se succèdent, mais rien ne change.

À nouveau, ce 28 septembre dernier, le Pentagone a relancé le sujet : «Le ministère de la Défense US annonce de nouvelles actions pour prévenir le suicide dans l’armée». «Le secrétaire américain à la Défense Lloyd J. Austin III a publié une note ordonnant des actions urgentes pour lutter contre le suicide dans la communauté militaire, s’appuyant sur deux années de travail important en faveur de la prévention du suicide au sein du ministère de la Défense (DoD)», est-il annoncé.

Le Comité d’examen indépendant sur la prévention et la réponse au suicide (SPRIRC) a étudié le phénomène. Les experts ont formulé 127 recommandations à court et à long terme pour résoudre ce problème critique au sein des rangs.

Le communiqué de presse du Pentagone affirme : «Le département reste déterminé à réduire le nombre de décès par suicide dans l’ensemble des forces armées et suit un calendrier ambitieux pour la planification et la mise en œuvre des cinq axes d’action du secrétaire, en donnant la priorité aux actions les plus efficaces afin d’établir une base solide pour des progrès à long terme. Le sous-secrétaire à la Défense chargé du personnel et de l’état de préparation supervisera les efforts de mise en œuvre dans l’ensemble du ministère et veillera à ce que la mise en œuvre soit menée de manière rapide et méthodique. Le DoD vise à mettre en œuvre pleinement chaque axe d’effort d’ici la fin de l’exercice 2030».

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Philadelphie - walking dead

Aube Digitale« Voici Philadelphie »

Aube Digitale - 15 sep 2023

La vidéo choquante d’une autre ville démocrate en train de sombrer

   

La mort, la destruction et le chaos sont les conséquences de l’échec des politiques progressistes dans de nombreuses villes dirigées par les démocrates, comme Detroit, Baltimore City, San Francisco, Portland, Chicago, Minneapolis, la Nouvelle-Orléans, Chicago et Philadelphie. Les démocrates sont à la tête des grandes villes depuis suffisamment longtemps pour assumer la responsabilité de la chute de ces zones métropolitaines, mais ils ont rejeté la faute sur tout le monde, sauf sur eux-mêmes.

La gravité du jeu des reproches est si alarmante qu’au Nouveau-Mexique, le gouverneur démocrate tyrannique vient de suspendre les droits constitutionnels sur les armes à feu pour les citoyens respectueux de la loi d’Albuquerque, rejetant la responsabilité de la montée en flèche des crimes violents sur les armes à feu plutôt que sur les politiques désastreuses et l’ouverture des frontières dans le sud.

Si nous concentrons notre attention sur Philadelphie, juste au nord de la ville de Baltimore en pleine implosion et juste au sud de la ville de New York infestée de migrants, la « ville de l’amour fraternel » a des rues qui semblent tout droit sorties de la série télévisée sur l’apocalypse zombie « The Walking Dead ».

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le sort de l'Allemagne et de la France

Réseau InternationalLe sort de l’Allemagne a été réglé, maintenant c’est au tour de la France

Réseau International - 15 sep 2023

Washington n’a jamais eu de scrupules à abandonner, voire à éliminer, les alliés une fois leur fonction au service de l’empire épuisée. L’occupation des Philippines, les abandons honteux de Hanoï et de Kaboul, les accords du Plaza avec le Japon, l’arrestation de Noriega et l’assassinat de Ben Laden, entre autres exemples, sont là pour le prouver.

   

N’en déplaise aux libéraux épris des mirages d’une communauté euro-atlantique, pour les États-Unis, entre le dictateur d’un pays du tiers-monde, le chef d’une milice extrémiste et un pays du Vieux Continent, il n’y a pas de différence substantielle. Les événements récents le prouvent. Avec le manque de marge de manœuvre garanti par les nécessités de la guerre froide, qui ont obligé les États-Unis à garantir la stabilité de l’Europe avec la carotte et le bâton, les pays du continent se sont retrouvés avec un maître de plus en plus encombrant derrière eux, inquiets d’un éventuel défi international représenté par l’euro, vite désamorcé, et surtout intéressés à éviter que, dans un monde qui désavoue formellement, ou renie, la politique des blocs, les États européens ne commencent à interagir avantageusement avec la Russie et la Chine.

Le cas de l’Allemagne est à cet égard emblématique. Du scandale Volkswagen à la destruction du Nord Stream, des sanctions anti-russes au soutien à la Pologne, les États-Unis ont sciemment ignoré les intérêts de leur soi-disant allié dans le double but d’éliminer un dangereux concurrent international et de renforcer le rideau de fer qu’ils voulaient à tout prix ériger aux frontières de l’Eurasie occidentale. Mission accomplie : l’Allemagne en récession et l’ennemi de ce qui aurait été un partenaire naturel, la Russie, ne représentent plus un danger. En même temps, on peut la piller sans craindre de porter atteinte à la dignité nationale. La flambée des prix de l’énergie et les milliards de dollars d’investissements attirés par l’Allemagne grâce à l’Inflation Reduction Act ont contribué à maintenir le système américain debout face à une criticité et une instabilité de plus en plus graves et manifestes.

Après avoir épuisé l’Allemagne, il faut nécessairement se tourner vers la France...

« Les États n’ont ni amis permanents ni ennemis permanents : ils n’ont que des intérêts stables »

Henry Kissinger

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Xi Van Fleet

Aube DigitaleL’Agenda 2030 du FEM transforme les États-Unis en « dictature marxiste »

Aube Digitale - 12 sep 2023

Une femme qui a survécu à la Chine maoïste déclare que l’Agenda 2030 du FEM transforme les États-Unis en « dictature marxiste »

   

Une femme ayant survécu au régime communiste chinois brutal a mis en garde le Forum économique mondial et les démocrates américains contre la transformation du pays en une « dictature marxiste prolétarienne ».

« J’ai vécu le régime communiste le plus brutal de Chine », a déclaré Xi Van Fleet. « J’ai été témoin de beaucoup de choses. Et maintenant, je vais vous raconter l’un des moments les plus sombres dont j’ai été témoin. Lorsque l’ancien président des États-Unis a été inculpé et pris en photo dans une prison de Géorgie. »

« Je dois dire que l’Amérique devient rapidement un pays communiste et que notre État de droit a été transformé en dictature prolétarienne », a averti Xi. « Le parti au pouvoir s’en prend à l’opposition politique, et pas seulement au président, mais aussi à des gens comme les activistes. Ils sont maintenant en prison. Ce sont des prisonniers politiques dans ce pays « libre » que sont les États-Unis. »

« Bienvenue dans la Chine de Mao en 2030 »

Xi Van Fleet

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Robert F. Kennedy Jr.

Égalité et RéconciliationPourquoi les médias ont peur de Robert F. Kennedy Jr.

Égalité et Réconciliation - 01 sep 2023

La semaine dernière, le New York Times a publié en première page un article tapageur s’en prenant à Robert F. Kennedy Jr., le rejeton de la famille politique la plus célèbre des États-Unis qui est également l’outsider défiant le président Joseph Biden dans la course à l’investiture Démocrate pour les élections présidentielles de 2024.

   

Dernièrement, la campagne menée par Kennedy, mue d’un élan jusqu’alors surprenant, avait trébuché après que le candidat novice avait prononcé des propos imprudents, au cours d’un dîner privé, au sujet du biais ethnique des vulnérabilités induites par le virus du Covid, et qu’une vidéo montrant ces propos avait été diffusée frénétiquement sur les médias. Le Times et les autres médias dominants se montrent extrêmement hostiles au courant lancé par Kennedy, et les rédactions de ces médias ont pu espérer que ce tir de barrage aurait pu enrayer l’émergence de sa campagne.

Il est peu probable que le contenu de cet article, signé par Peter Baker, le principal correspondant à la Maison-Blanche pour ce journal, ait appris quoi que ce soit de bien neuf à ses lecteurs, que ceux-ci soient des soutiens ou des opposants à Kennedy. Le début de l’article énonce que Kennedy « est devenu une source de profonde angoisse parmi ses nombreux frères et sœurs, cousins, nièces et neveux ». Le candidat est présenté comme un ancien toxicomane, mis à la porte des écoles privées qu’il a fréquentées, marié à trois reprises, et dont la seconde épouse s’est suicidée. En revanche, on ne trouve dans cet article que fort peu de commentaires sur les grandes réussites de sa longue et brillante carrière de procureur dans le domaine de l’environnement.

L’article se concentre principalement sur les relations à vif entre Kennedy et sa grande famille, constituée uniquement de Démocrates purs et durs, perplexes et attristés par son comportement étrange et auto-destructeur. L’article est perclus de citations négatives au sujet de ses opinions — « déplorables et fausses » selon sa sœur Kerry Kennedy, qualifiées de « moralement et factuellement fausses » par son frère Joseph P. Kennedy II, cependant que son neveu Joseph P. Kennedy III twittait « Je réprouve sans équivoque ce qu’il a dit. » L’article démarre sur une dénonciation prononcée par le seul petit-fils du président John F. Kennedy, affirmant que son cousin « à l’esprit conspirationniste ternissait l’héritage de son grand-père et de son illustre famille du fait de son projet orgueilleux ». J’ai compté dans cet article pas moins de 13 citations provenant de différents membres de la famille Kennedy, et la quasi-totalité de ces citations relevaient de la même veine peu flatteuse.

La tonalité générale de l’article est implacablement négative, et vise clairement à présenter le candidat démocrate non-aligné comme entretenant des opinions étranges, voire comme une personnalité déstabilisée, et certainement pas comme un personnage digne d’assurer un avenir à la nation des États-Unis. Il est plausible que des sbires très bien payés par le Parti démocrate ont passé soigneusement en revue chaque mot prononcé ou écrit par les divers membres de la famille Kennedy au cours de la décennie passée, pour en retirer les extraits les plus savamment choisis, ensuite publiés par les nombreux alliés médiatiques du Parti démocrate, dont le Times.

On peut donc supposer sans crainte de se tromper que chaque faux pas commis par Kennedy, et que la moindre tâche de boue le concernant, auront désormais été étalés dans la presse, et cela peut nous amener à entrevoir du sens derrière tout silence le concernant. J’ai donc lu l’article du Times avec attention, en me concentrant davantage sur ce qu’il omet étrangement de présenter, plutôt que sur les éléments qu’il présente.

Au fil des années, Kennedy a répété publiquement à de nombreuses reprises que son père comme son oncle étaient morts du fait d’un complot, et a désigné la CIA comme le coupable le plus plausible. Il est probable que plusieurs millions d’Étasuniens ont pu lire ses écrits ou écouter une de ses interviews à ce sujet, ce qui le positionne parmi la frange la plus explicite des « théoriciens du complot », un terme fortement péjoratif que les médias s’emploient systématiquement à affubler à l’image des candidats politiques qui ne leur plaisent pas.

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