A ceux qui vont intervenir, peut-être mais qui attendent des ordres de leurs supérieurs;
– A ceux qui parmi ces supérieurs ont encore le sens de l’honneur et de la patrie, car il y en a.
– A ceux parmi les militaires qui savent encore ce qu’est un vrai Français, et la vraie France, nos vraies valeurs, notre culture avec une majuscule, car une noble culture;
– A ceux qui se tiennent droits dans leurs bottes au niveau de l’Esprit autant qu’au niveau des pieds;
– A ceux qui ne sont plus dupes du macronescu-circus et de sa cohorte maléfique de « mignons » dont Attal, de vampires organisateurs comme Attali-Rothschild et compagnie;
– A ceux qui aiment encore notre belle langue, notre culture, notre Histoire;
– A ceux dont le choix de la carrière militaire avait pour enseigne morale et spirituelle, l’amour de la France;
– A ceux qui refusent de gober un mensonge de plus, une tromperie de plus, un crime de plus de la part des gouvernants, qu’ils soient pantins ou encore doté de libre arbitre qu’ils dévoient;
– A ceux parmi les gradés qui disent : « Assez », mais qui le disent encore trop bas alors que le temps de l’action est là, dans l’urgence absolue;
– A ceux parmi les gradés qui veulent pouvoir se regarder dans la glace sans remords, ni culpabilité dans deux ou trois ans, l’échelle de temps étant rétrécie pour agir;
– A ceux qui ont encore le souvenir de nos grands militaires, dont Jeanne d’Arc (et oui), mais aussi le général (maréchal à titre posthume) Leclerc de Hautecloque, qui surent outrepasser les ordres et parfois s’affranchir du commandement pour le bien et le salut du pays;
– A ceux qui avancent dans la vie avec la conscience éclairée, une conscience chrétienne, celle qui a construit la France glorieuse durant de nombreux siècles.
– A ceux, rarissimes, cela va de soi, qui auraient l’étoffe dont on fait les héros;
– A ceux et celles qui n’ont pas du tout envie que la France et tous ses habitants, plus sans doute une bonne partie des européens soient atomisés en rien de temps, dans quelques semaines, jours ou heures, à cause du cinglé et de sa clique non humaine qui décident de notre MORT: Ils ont déjà commencé leur travail de fossoyeur, avec le confinement, le » vaccin » et l’apartheid, l’inclusif, les lois scélérates qu’on n’en finirait pas de citer et dont la vocation est le bûcher, des lois votés par des députés au très bas niveau intellectuel, cérébral et spirituel, mais au très haut niveau vénal;
– A ceux et celles qui ont encore ce petit truc que nous partageons avec les animaux : l’instinct de survie;
– A ceux qui ont encore une cervelle bien construite, selon les mots de Michel de Montaigne, selon l’instruction donnée jusqu’au début des années 80, qui aiment notre Histoire et qui se souviennent que la France doit porter le flambeau, pas le truc du cirque olympique, mais le flambeau de la conscience et de la mission hautement spirituelle de la France, depuis son baptême au cinquième siècle.
Cela fait peut-être peu de monde, mais ce sont parfois des hommes et des femmes seules qui surent entraîner assez de monde pour sauver la France, et parmi ces héros, citons nos héroïnes :
– Geneviève, alors jeune femme maire de Paris (et oui) qui avec seulement une garde de cent individus, sut se débarrasser des terribles HUNS, en invitant toute la population à la prière à Marie !
Elle devint Ste Geneviève.
– Jeanne (probablement demi-sœur du dauphin, surgie de nulle part, pas du tout bergère, mais élevée dans une famille de petite noblesse, adolescente qui conduisit l’armée à la victoire contre l’envahisseur anglais !
Leur esprit est toujours avec nous,et c’est une force en nous, si nous savons encore avoir la vraie foi, pas celle des grenouilles de bénitier, du béni-oui-ouisme qui fait entrer l’envahisseur et l’entretien dans son imposture, mais de la résistance.
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La responsabilité est la capacité de répondre à l’engagement que nous avons pris. C’est garantir que nous accomplirons notre engagement. Cela signifie que nous ne pouvons nous sentir responsables que d’un engagement que nous sommes conscients d’avoir pris !
Ainsi, la responsabilité découle d’un engagement choisi consciemment et librement.
Être responsable, c’est être capable de prendre une décision par sa propre autorité, sans faire appel à une autorité extérieure. Généralement, les gens qui craignent les responsabilités s’arrangent toujours pour que d’autres prennent les décisions à leur place. Ils se placent dans une position de faiblesse, de soumission (étant ainsi « sous » leur mission) ou de victime, afin de pouvoir faire appel à un « sauveur » qui prendra la décision adéquate, et endossera donc la responsabilité du résultat à leur place. Ne nous étonnons pas alors que ces personnes éprouvent des difficultés à trouver leur place en ce monde ! Ceci est normal car elles donnent leur pouvoir décisionnaire à d’autres et, ainsi, refusent de jouer le rôle qui leur est propre.
En réalité, être responsable, c’est tenir ses engagements dans le temps (être persévérant), c’est-à-dire être une personne sur laquelle les autres peuvent compter.
En résumé : si nous refusons d’assumer nos engagements, nous nous soumettons à ceux qui les rempliront à notre place, à savoir des « autorités. »
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