Les parents et les élèves sont de plus en plus préoccupés par l’utilisation des technologies d’intelligence artificielle (IA) en classe, en particulier la technologie de reconnaissance faciale, selon une enquête du Center for Democracy and Technology (Centre pour la démocratie et la technologie, CDT ).
Le rapport du CDT, publié le 12 décembre, révèle que plus de la moitié des parents et des élèves interrogés s’inquiètent de l’utilisation de la reconnaissance faciale et d’autres technologies d’intelligence artificielle, y compris les systèmes de localisation, dans les écoles.
Les enseignants, qui ont également été interrogés, ont montré un degré d’acceptation plus élevé des technologies.
Selon le rapport, un nombre croissant d’écoles ont mis en place de tels outils.
Les partisans de ces technologies affirment qu’elles peuvent contribuer à protéger les environnements scolaires contre les menaces violentes, telles que les tireurs dans les écoles.
Les défenseurs de la vie privée soutiennent que les technologies qui présentent un risque pour la vie privée et les données personnelles des élèves n’ont pas prouvé qu’elles renforçaient la sécurité dans les écoles..
Un fossé profond entre les écoles, les parents et les élèves
Selon le CDT, “des outils de sécurité expérimentaux et potentiellement dangereux sont utilisés sans tenir compte des préoccupations des élèves et des parents”, y compris des technologies “que nous considérions auparavant comme trop extravagantes”.
Il s’agit notamment de l’analyse prédictive, de la surveillance à distance, de la reconnaissance faciale, du partage des données des forces de l’ordre, des systèmes de détection d’armes et de la géolocalisation des étudiants.
Poussées par [l’industrie de] l’IA, ces technologies “sont déployées dans les écoles pour répondre aux fusillades de masse, à la crise de la santé mentale des jeunes et à d’autres menaces permanentes pour la sécurité du personnel et des élèves”, a déclaré le CDT – une tendance “alarmante” selon laquelle les écoles poursuivent le déploiement de ces technologies en dépit des “niveaux élevés d’inquiétude” des parents et des élèves.
Ces “niveaux élevés d’inquiétude” étaient évidents dans les résultats de l’enquête:
58 % des parents et 55 % des élèves (et 33 % des enseignants) sont préoccupés par l’utilisation de caméras de reconnaissance faciale pour vérifier qui devrait être autorisé à entrer dans un bâtiment scolaire ou qui est autorisé à s’y trouver.
71 % des parents et 74 % des élèves (et 36 % des enseignants) se sont dits préoccupés par l’utilisation de ces technologies pour localiser physiquement les élèves.
60 % des parents et 58 % des élèves (et 31 % des enseignants) s’inquiètent de l’utilisation de caméras d’IA “pour remarquer des mouvements physiques inhabituels ou irréguliers”.
55% des parents et 45% des élèves (et 27% des enseignants) ont exprimé leur inquiétude quant à l’utilisation de ces technologies pour détecter les coups de feu dans l’enceinte de l’école.
69 % des élèves et des parents (et 36 % des enseignants) sont préoccupés par le fait que les données relatives aux élèves sont analysées afin de prédire quels élèves sont les plus susceptibles de commettre un crime, un acte violent ou un acte d’automutilation.
66 % des parents et 65 % des élèves (et 38 % des enseignants) ont exprimé leur inquiétude quant à la possibilité que les informations scolaires des élèves, telles que leurs notes et leur assiduité, soient communiquées aux forces de l’ordre.
68 % des parents et 71 % des élèves (et 37 % des enseignants) s’inquiètent de l’utilisation de ces technologies pour surveiller les comptes de médias sociaux des élèves.
Ces résultats montrent “un profond décalage entre les priorités des écoles, des parents et des élèves en ce qui concerne les décisions d’achat d’edtech [educational data and technology] “, écrit le CDT.
Les écoles utilisent les fonds de récupération COVID pour acheter des technologies de surveillance
De nos jours, dans les écoles, l'image d'élèves absorbés par leurs téléphones est devenue la norme, qu'ils soient jeunes ou adolescents. Cependant, la Russie vient d'opérer un changement radical : l'interdiction des smartphones dans les écoles primaires et secondaires.
La Douma a approuvé un amendement à la « loi sur l’éducation », imposant une interdiction stricte des outils de communication, dont les smartphones, au sein des établissements scolaires. Cette modification entrera officiellement en vigueur dès le 1er décembre 2024, marquant ainsi un tournant radical dans les politiques éducatives du pays.
Le document a été publié sur le portail officiel d’information juridique.
Conformément à cette réglementation, l’utilisation des téléphones portables sera strictement réservée à des fins éducatives ou en cas d’urgence. L’année dernière, la Russie avait déjà proscrit l’usage des téléphones portables en classe dans les écoles primaires et secondaires, une mesure visant à prévenir la distraction des élèves et à maintenir leur concentration sur le contenu des cours.
Sophie Cha a récemment choisi de rendre sa blouse blanche, démissionnant de son rôle de médecin-conseiller au sein de la DRAJES de Bretagne. Son départ programmé pour le 31 décembre s'avère être un cri d'alerte percutant.
Durant huit ans, elle a occupé cette fonction cruciale au sein de la Délégation Régionale Académique Jeunesse Engagement et Sport de Bretagne, relevant une détérioration constante de la situation. Le constat est grave : la condition physique des jeunes s’est amenuisée de 25% en 40 ans, un déclin inquiétant aux conséquences potentiellement fatales.
Sophie Cha met en lumière le constat alarmant des professeurs d’éducation physique : les jeunes ne parviennent plus à des prouesses simples, comme courir plus d’une minute sans être essoufflés, ou réaliser des mouvements de base comme une roulade. Cette tendance, constatée depuis plus de deux décennies, menace sérieusement la santé future de cette génération.
Les recommandations de l’OMS indiquent que les enfants et adolescents devraient pratiquer au moins 60 minutes d’activité physique soutenue par jour, ainsi que des activités musculaires et osseuses trois fois par semaine. Cependant, plus de trois quarts des adolescents ne respectent pas ces recommandations, constate Sophie Cha.
Cette dégradation se manifeste dès le plus jeune âge : les enfants sont de plus en plus sédentaires, préférant être transportés en poussette plutôt que de marcher. Ce manque d’activité impacte la constitution osseuse et la santé globale des enfants, alerte la médecin.
Elle pointe du doigt les dispenses d’éducation physique, pourtant officiellement abolies depuis 1988, mais toujours appliquées en pratique. Pour Sophie Cha, le sport devrait être traité comme toute autre matière obligatoire, sans dispensation systématique. Elle souligne le paradoxe : on n’exempte pas un élève en difficulté en mathématiques, on l’aide à progresser, pourquoi ne serait-ce pas le cas pour le sport ?
Cette régression physique des jeunes a des répercussions non seulement sur leur santé physique, mais aussi sur leur santé mentale. Les enquêtes épidémiologiques révèlent une augmentation alarmante des troubles mentaux chez les jeunes, avec des prescriptions d’antidépresseurs et d’anxiolytiques en hausse exponentielle.
Face à quelques milliers de combattants (2000/3000), sous les yeux du monde entier, cette armée n’a rien pu faire de significatif contre des hommes à moto et en parapentes qui ont réussi à anéantir son mythe d’invulnérabilité en se permettant de faire des prisonniers, mettant aussi dans l’embarras leurs soutiens occidentaux qui voient s’annihiler leurs fables humanistes tant vantées.
Les sionistes et leurs mentors sont conscients que sans les aides anglo-saxonnes (principalement américaines), Israël se désagrège !
Un génocide ! Incapables d’affronter les combattants, ils bombardent les civils !
Les Israéliens ne seront désormais jamais tranquilles si les Palestiniens ne recouvrent pas leurs droits imprescriptibles. Notamment, cette fois-ci, lorsqu’on observe ces bombardements de vengeance, défiant les règles de la guerre en détruisant les infrastructures civiles, tuant des milliers de civils ! Ils en sont, selon diverses sources, à plus 14 500 personnes tuées, dont près de 6000 enfants et 4000 femmes ainsi que plus de 35 000 blessés ; au moins 200 membres du personnel soignants tués ; une centaine de personnes de l’UNRWA tuées ; 64 journalistes ; 18 000 enfants déclarés orphelins ; plus de 75 hôpitaux, cliniques et Centres de soins endommagés ; 200 000 logements détruits ; 250 écoles bombardées ! Selon le rapport présenté par la Directrice exécutive de l’ONU-femmes, Sima Sami Bahous, «67% des morts sont des femmes et des enfants… toutes les heures, on tue deux mères, et sept femmes toutes les deux heures». Des monstres ! Toutes les manipulations de l’information consistant à falsifier la réalité du génocide – aidé par la presse sioniste ou servile, européenne en particulier française – n’ont pas eu d’effet sur le soutien de la majorité des États qui savent qu’Israël est une entité colonialiste et que les Palestiniens défendent leur pays spolié et leur dignité en luttant contre une colonisation de peuplement des plus démoniaque. Une colonisation qui vise, stratégiquement, à éliminer les descendances (bébés, enfants et les femmes) pour dissoudre la «cause palestinienne» par la disparition du Palestinien. «Une terre sans peuple» quoi ! L’écueil, voire le piège, est que les Palestiniens ne seront jamais seuls !
Les génocidaires seront traqués jusqu’à payer pour leurs crimes !
Tous les responsables directs et indirects identifiés seront traqués jusqu’à ce qu’ils paient leurs crimes ! Aucune force alliée de l`axe Anglo-Saxon et de France ne pourra leur porter secours. Même avec le concours de tous les milliardaires de la diaspora juive et autres qui tiennent la finance internationale, ils ne pourront pas s’échapper ou dévier le processus d’évolution historique du monde ! En plus, ils ne sont pas stupides pour ne pas distinguer les économies virtuelles spéculatives des économies réelles et s’adapter suivant des cadres appropriés. Quand la «cause sioniste» s’opposera à leurs intérêts, elle ne sera plus leur priorité. Les langues se délient déjà comme celle de Derek Penslar, professeur d’histoire juive à Harvard qui affirme dans un entretien1 que : «Les juifs américains considèrent désormais Israël comme un enfant à charge et à risque».
Le monde sait que ces êtres arrogants et sans morale sont une espèce humaine démoniaque qui ne reconnaît le droit à la vie qu’à leur catégorie. Les autres êtres n’ont aucune valeur, ou ne le sont que le temps de les exploiter, les dépouiller, jusqu’à les rendre esclaves ou mourir ! Même les chrétiens arméniens font l’objet d’expropriation2 à Jérusalem par la force de police aidée par les colons en armes !
Si la situation infernale a fait réagir des États et autres associations ou personnalités par des dépôts de plaintes à la Cour Internationale de Justice (on cite 500) et par une lettre de démission de Craig Mokhiber3, directeur du Bureau de New York du Haut-Commissariat aux droits de l’homme, c’est que ce système unilatéral de domination du monde est en train de finir ! On peut donc déduire qu’après l’échec magistral acté des Atlantistes en Ukraine, l’impossibilité de mener la guerre vers l’Asie du fait de la puissance de la Chine, la fin de l’Hégémon va se jouer en Palestine – berceau des religions monothéistes – pour cause d’imposture érigée en système impérial de domination du monde ! Le Sommet extraordinaire des BRICS, du 21 novembre, sur le génocide à Gaza4, auquel ont participé également l’Arabie saoudite, l’Argentine, l’Égypte, l’Éthiopie, l’Iran, les Émirats arabes unis et le secrétaire général des Nations unies, doit donner à réfléchir sérieusement aux conséquences qui peuvent en découler.
Les Palestiniens ne se plieront jamais, car ils n’ont plus rien à perdre après avoir perdu leurs parents, leurs enfants, leurs proches. Ils ne leur restent que mourir en martyrs. Dans ces conditions, ils ne peuvent que souhaiter une guerre globale dans cette région.
Les plus impatients peuvent cependant acheter des places pour la projection en avant-première publique du 7 novembre à 20 heures, à l’UGC Normandie, avenue des Champs-Élysées. Nous avons vu ce film qui a déjà fait couler beaucoup d’encre, pas toujours dans le sens souhaité par ses auteurs.
"En tant que coscénaristes du film Sound of Freedom, il a été difficile de voir la controverse partisane nous détourner de l’intention profonde de notre travail : utiliser le pouvoir du cinéma pour sensibiliser à la réalité de la traite des enfants", déplorent Alejandro Monteverde (également réalisateur du film) et Rod Barr dans une tribune publiée le 14 août 2023 dans The Hollywood Reporter.
"Nous avons été sidérés de découvrir la polémique qui a entouré la sortie du film aux États-Unis en juillet dernier, tant l’écart avec le contenu du film était grand", commente en écho le distributeur, Saje Distribution.
Une polémique arrivée jusqu’en France, puisque avant même la sortie du film dans l’Hexagone, des médias ont évoqué les "thèses complotistes" qu'il relaierait selon eux.
Il n’en est rien. Sound of Freedom est avant tout un film d’action haletant, inspiré de la vie de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure des États-Unis, affecté à l’unité chargée de la lutte contre la pédocriminalité sur Internet. Après des missions d’infiltration pour combattre le tourisme sexuel impliquant des enfants, Tim Ballard démissionne en 2013 pour créer Opération Undergroung Railroad, une fondation dont l’objet est de sauver les enfants victimes de réseaux les réduisant à l’esclavage sexuel.
Avec Sound of Freedom, le spectateur suit le héros, incarné par Jim Caviezel, dans son travail d’agent fédéral puis dans de périlleuses opérations de sauvetage qui le conduiront en Amérique du Sud.
Un thriller captivant inspiré de faits réels.
Les fabricants de trois médicaments populaires pour la perte de poids, qui présentent tous des risques connus pour la santé physique et mentale, ont annoncé la semaine dernière qu’ils testaient ces produits sur des enfants dès l’âge de 6 ans.
Novo Nordisk, fabricant d’Ozempic et de Wegovy, et Eli Lilly, fabricant de Mounjaro, ont obtenu l’autorisation de mise sur le marché de ces médicaments aux États-Unis et dans l’Union européenne (UE) pour les personnes âgées de 12 ans et plus.
Novo Nordisk aurait déjà entamé des essais de phase 3 sur des enfants de 6 à 12 ans, en testant son produit Saxenda, une version plus ancienne et moins puissante de ses médicaments les plus vendus. Eli Lilly a commencé à recruter des enfants pour ses essais la semaine dernière.
Un porte-parole d’Eli Lilly a déclaré à Bloomberg : “Nous nous engageons certainement à innover dans ce domaine pour répondre aux besoins de tous les segments de la population qui sont touchés”.
Crise cardiaque dans le bain, noyade, décès. Ce n’est pas le genre de mort que l’on imagine pour un garçon de 8 ans, et c’est pourtant le sort tragique qui a frappé le petit Yonatan Moshe Erlichman en septembre dernier. La petite victime a été emmenée aussitôt aux urgences à l’hôpital Hadassah-Mount-Scopus à Jérusalem ; il y est mort quelques jours plus tard, le 28 septembre. Yonatan avait figuré il y a trois ans dans une vidéo de propagande du gouvernement israélien visant à encourager les parents à faire vacciner les jeunes enfants contre le Covid-19.
Le vaccin Covid en Israël a été donné à 20 % des enfants de 5 à 11 ans
Son petit visage angélique était devenu emblématique des campagnes officielles pour la vaccination, alors qu’Israël figurait dans le peloton de tête des pays qui avait imposé les mesures les plus draconiennes à cet égard. La vidéo avait été diffusée juste avant le début de la première campagne de vaccination en décembre 2020. En définitive, en septembre 2022, seuls 20 % des enfants avaient été vaccinés dans l’Etat hébreu, témoignant de la marche arrière de nombreux parents qui n’avaient envisagé cette option qu’en raison des mesures de quarantaine et d’exclusion imposées par les autorités. Dès les mesures levées, une bonne proportion des parents qui avaient annoncé vouloir faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans avaient renoncé.
Yonatan était le petit-fils d’un médecin respecté de la région.
Les entreprises de surveillance technologique qui vendent leurs produits aux administrateurs scolaires créent une "dystopie numérique" pour les écoliers américains, conclut un nouveau rapport de l'Union américaine pour les libertés civiles (American Civil Liberties Union).
Les entreprises de surveillance technologique qui vendent leurs produits aux administrateurs scolaires créent une “dystopie numérique” pour les écoliers américains, conclut un nouveau rapport de l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU).
Dans le sillage de la pandémie Covid-19, et de l’augmentation de fusillades dans les écoles, un projet de technologie éducative (EdTech) de 3,1 milliards de dollars de d’industrie de surveillance a réalisé d’énormes profits en affirmant que ses outils numériques – notamment les caméras vidéo, les logiciels de reconnaissance faciale, les systèmes de détection des comportements basés sur l’intelligence artificielle (IA), et de surveillance des médias sociaux et en ligne, et bien d’autres choses encore, permettent de prévenir le harcèlement, l’automutilation et la violence à l’école.
Toutefois, l’industrie n’a pas étayé cette affirmation par des preuves et a plutôt utilisé la peur comme principale tactique de marketing, selon le rapport de l’ACLU.
L’ACLU, après avoir mené ses propres recherches et examiné d’autres études commandées par le ministère américain de la justice, a constaté un “manque de preuves évidentes” que les produits annoncés par les entreprises EdTech garantissent la sécurité des élèves.
Chad Marlow, l’auteur principal du rapport, a déclaré qu’en tant que parent de deux élèves de la maternelle à la terminale, il comprend les inquiétudes des parents et des responsables d’établissements scolaires quant à la sécurité des enfants.
M. Marlow a déclaré au Defender qu’il voyait avec regret les administrateurs scolaires et les assemblées législatives des États d’utiliser des fonds pour des technologies de surveillance “pour assurer la sécurité de nos enfants”.
“Ces décisions me hantent”, a-t-il déclaré, “car, en tant que conseiller politique principal de l’ACLU spécialisé dans les questions de vie privée, de surveillance et de technologie, je sais pertinemment que la surveillance ne dissuade pas les mauvais comportements et qu’elle ne protège certainement pas nos étudiants”.
M. Marlow a déclaré que le rapport de 61 pages révèle un “cauchemar de surveillance” qui “nuit involontairement à nos enfants” en leur refusant l’accès à des informations importantes, en sapant leur confiance dans les adultes et en rendant “trop risqué” le fait de communiquer certaines de leurs pensées.
“C’est exactement le contraire de la leçon que nous devrions enseigner à nos élèves”, a-t-il déclaré.
Dans une tribune parue le 17 octobre, des parlementaires et des associations tirent la sonnette d’alarme sur l’explosion du nombre d’enfants sans-abris en France avec une augmentation de 42% «en un mois seulement», portant leur nombre à au moins 2 822. Ces chiffres de l’Unicef France et de la FAS, la Fédération des acteurs de solidarité, sont publiés alors que le froid revient en France.
Le 21 août, l’Unicef et la FAS dénombraient 1 990 enfants restés sans solution d’hébergement. Deux mois plus tard, ils seraient au moins 2 822. En effet, le qualificatif au moins est ici de rigueur puisque les données ne tiennent compte que des appels reçus par le 115. Sont ainsi exclus les mineurs non accompagnés sans abri et les familles vivant en squats ou en bidonvilles. Les familles n’appelant pas ou plus ne sont pas non plus répertoriés.
Des chiffres «sous-estimés»
La tribune intitulée «Agir pour en finir avec le sans-abrisme des enfants : un devoir commun» dénonce l’absence de respect des «droits fondamentaux» des enfants sans abris qui sont par ailleurs «pénalisés dans leur développement, leur santé, leur scolarité, et confrontés dès le plus jeune âge aux inégalités et à la grande pauvreté».
Sous prétexte de santé, les idéologies de la sexualité précoce et de l’identité de genre sont partout.
Éducation précoce à la sexualité, théories des genres, droits sexuels, les programmes sur la sexualité sont à la une de la rentrée et font des mécontents. De nombreux parents expriment leur colère face à des activités qu’ils estiment inadaptées voire choquantes. En Belgique, la question est au centre de l’attention et a donné lieu à des manifestations contre les obligations autour des animations ‘à la Vie Relationnelle Affective et Sexuelle’ votées il y a peu. En toile de fond, une volonté des organisations internationales de faire de la santé sexuelle et de l’identité des genres une priorité de l’agenda 2030.
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Pour Eve Vaguerlant, l’École est le théâtre d’une banalisation de la violence et « beaucoup d’élèves n’interagissent désormais plus qu’à travers les coups et l’insulte » : « On leur apprend l’impunité, cette culture de la victimisation où rien n’est jamais de leur faute, ils ne savent pas s’excuser, il n’y a jamais de sanction pour leur faire comprendre qu’ils ont fauté. »
Une violence endémique qui est aussi le produit du manque d’instruction : « Les élèves fonctionnent avec très peu de mots de vocabulaire, ils utilisent des béquilles de langage comme “wallah”, “wesh”, etc. Cela crée un climat d’agressivité verbale permanent. […] Nous produisons des masses de jeunes qui ne connaissent que la violence comme mode d’expression, c’est très inquiétant. » Si Pap Ndiaye a fait de l’éducation à la sexualité l’une de ses priorités, Eve Vaguerlant estime que le ministre se trompe de combat : « Quand on voit la violence dans les établissements scolaires, la chute vertigineuse du niveau, ça me paraît en décalage total avec la réalité et les besoins du terrain. »