Cet article se base sur la tribune de Stéphane Bern, parue dans le Figaro, intitulée « Madame Pompili, les éoliennes sont une négation de l’écologie ! »
Sept mois après, le traumatisme est encore tenace. Le grand gel au Texas a fait la Une des journaux dans le monde en février dernier. A raison. Alors que l’on se baigne dans les eaux du golfe du Mexique à Noël, le thermomètre a plongé autour de -20° C pendant quatre jours. Les centrales électriques ont gelé, 4 millions de Texans ont été privés d’électricité parfois pendant une semaine et, conséquence terrible, 200 personnes sont mortes de froid ou d’intoxication au monoxyde de carbone dans leur logement.
L’équipe, dirigée par des chercheurs de l’Université de Tokyo, a fait la démonstration de la technologie dans une salle d’essai en aluminium construite à cet effet, mesurant environ 3 mètres sur 3. Ils ont alimenté sans fil des lampes, des ventilateurs et des téléphones portables qui pouvaient tirer du courant de n’importe où dans la pièce, indépendamment de l’emplacement des personnes et des meubles.
Au vu de l'existence de divers lieux naturellement radioactif ne générant pas de problèmes sanitaires, ainsi que de catastrophes radioactives sans effets sur les populations adjacentes, il est probable que la radioactivité soit pointée du doigt de manière exagérée. À qui profite le crime ? Et qui dessert-il ?
Peu après son approbation par l’administration de Donald Trump, des autochtones de l’Alaska et des associations environnementales avaient poursuivi en justice le projet. Ce recours avait conduit, en février 2021, la Cour d’appel des États-Unis pour le neuvième circuit à suspendre toute construction, le temps, pour les juges, d’examiner le dossier.
Christian Gerondeau, auteur de l'ouvrage « La religion écologiste », mentionné dans cet article, est un essayiste et haut fonctionnaire français. Il est un ancien élève de l'École polytechnique et diplômé de l'École nationale des ponts et chaussées.
« L'écologie c’est la négation de la liberté humaine et la volonté d’imposer au peuple les mesures nécessaires à son bonheur. L’écologie est la nouvelle maladie infantile du communisme. Ses principaux animateurs sont passés du rouge au vert. Ils ont été repeints, mais ils défendent toujours la même vision du monde : l’individu ne sait pas ce qui est bon pour lui, c’est à la société de le lui apprendre. »