Elon Musk devrait prendre les clés de Twitter d’ici la fin de la semaine prochaine, après une série de batailles juridiques, de prises de bec en ligne et de négociations complexes. Quel que soit le propriétaire de la plateforme, le géant des médias sociaux semble prêt à procéder à des coupes sombres dans ses effectifs.
C’est ce qui ressort d’un nouveau rapport du Washington Post, qui a enquêté sur le rachat de Twitter au moyen d’un certain nombre d’entretiens et de documents obtenus. M. Musk aurait déclaré à des investisseurs potentiels que son rachat de l’entreprise impliquerait le licenciement de près de 75 % des 7 500 employés de Twitter. En réponse à cette information, le principal avocat de Twitter, Sean Edgett, a envoyé un courriel aux employés jeudi pour leur dire que l’entreprise n’avait pas prévu de licenciements, rapporte Reuters.
Musk et Twitter souhaitent tous deux conclure l’accord d’ici le 28 octobre, à l’issue d’une période de négociation controversée qui s’est étalée sur plusieurs mois.
Le commandant en chef de l’armée ukrainienne, le général « nationaliste intégral » Valeri Zaloujny, a écrit il y a un mois à SpaceX pour lui demander 8 000 terminaux supplémentaires. Son armée en a préalablement reçu 20 000 —les terminaux valent entre 1 500 et 2 500 dollars selon le modèle—, largement payés par la Pologne, les États-Unis et le Royaume-Uni.
Elon Musk est le propriétaire de SpaceX, société aérospatiale dont le siège est en Californie.
SpaceX construit des fusées et satellites pour réaliser Starlink, système Internet à large spectre qui, une fois terminé, couvrira le monde entier. SpaceX qui jusqu’à présent a mis en orbite 2 500 satellites avec des fusées qui en transportent 50 à la foi, a en programme de mettre 42 000 satellites Starlink en orbite basse, occupant 80 % de cet espace.
Les satellites Starlink de SpaceX se trouvent utilisés par l’armée ukrainienne pour guider des drones, des projectiles d’artillerie et des missiles contre les positions russes