Eh bien, il faudrait évacuer les douze millions d’habitants de la région. Car pas d’électricité, c’est pas d’eau courante, pas d’essence dans les stations services (les cuves sont enterrées, et les pompes sont électriques), les supermarchés (3 jours de réserve) non approvisionnés, les hôpitaux idem etc. Après trois jours maximum, il faut commencer à vivre sur ses réserves, ou alors avoir un point de chute bien approvisionné quelque part, et les moyens d’y aller.
Pas de téléphone (les antennes-relais fonctionnent à l’électricité), pas d’Internet, pas de télé ni de radio non plus, sauf la radio par ondes courtes, mais qui a un poste de radio à ondes courtes ? Je vous dis pas la panique. La zombie apocalypse en live.
Ceci étant, le pire n’est pas toujours sûr. Je vois plutôt un effondrement économique, moins dramatique mais dont le résultat final sera le même.
Alors que l’Europe affiche un optimisme de façade en prévision de l’hiver qui s’annonce, signalant qu’elle a plus qu’assez de gaz en stock pour compenser la perte de l’approvisionnement russe, même dans le scénario du « plus grand froid », en coulisses, la plus grande économie d’Europe se prépare tranquillement au pire des scénarios, à savoir des foules en colère et des faillites si des pannes d’électricité empêchent la population d’avoir accès à des liquidités.
La décomposition du joug bruxellois de bureaucrates non élus est déjà visible depuis longtemps et son effondrement a été prédit il y a des années. Il y a d’abord eu le Grexit (qui a été évité au dernier moment à un coût énorme), puis le Brexit, qui s’est effectivement produit, et ensuite une jungle alphabétique de Frexit, Italexit, Nexit, Dexit, Polexit, etc. Aujourd’hui, la question est la suivante : après le Royaume-Uni, qui sera le prochain ? Un choix populaire est la Hongrie. Mais qui sait ? En dehors du Royaume-Uni, pays aux prises avec des problèmes d’imbécillité, trois pays de l’UE, la Bulgarie, l’Estonie et l’Italie, connaissent déjà des turbulences politiques.
Tout porte à croire qu’il ne s’agit là que du « début des problèmes ». L’hiver arrive en Europe le 1er décembre avec de probables émeutes de la faim, des pillages et des désobéissances civiles massives, provoquées par le refus et l’incapacité de payer des factures d’énergie qui s’envolent à cause du refus de l’élite millionnaire européenne d’acheter du gaz russe. La seule issue est que les pays européens se libèrent des chaînes des USA pour retrouver leur place naturelle en tant que partie du monde eurasien, ou plutôt afro-eurasien. Cette libération mérite un signe. Il n’y a pas de signe plus actuel – ou plus indigène au monde occidental – que le signe « Z ».
Explications...
Vous (et moi) nous avons un budget, et quand on ne le tient pas bien, généralement le banquier vous appelle (c’est quand vous vous entendez bien avec lui, sinon, il vous enverra juste les prélèvements de frais et des courriers à 15 euros pièce).
L’état c’est différent, ce qui veut dire que ce n’est pas pareil.
L’état, lui, grâce à tous les Mozarts de la finance qui se sont succédés à la tête de notre pays pour le ruiner, fait un budget. Un budget qui évidemment ne sera pas tenu, et vous trouverez toujours une bonne raison pour ne pas tenir votre budget, surtout quand c’est pas vous payez mais les « zotres ». Les « zotres » c’est les « zimpozables », les riches qui payent des « nimpots » tous beaux et tous chauds.
Ils le préparent depuis des années sous vos yeux qui n’en croient pas une miette, après le Covid et les injections mortelles, la guerre en Ukraine repris à grand renfort médiatique par les mondialistes satanique qui leur procure là, la meilleure couverture et excuse pour poursuivre leurs plans de dépopulation mondiale, voici la famine organisée sous vos yeux.