C’est pourquoi le gouvernement socialiste de gauche est en train de faire passer une loi autorisant les expropriations de la propriété privée et un « corralito ».
Ce dernier point signifie que l’État peut accéder à l’épargne que les gens ont sur leurs comptes bancaires. Dans ces « situations de crise », le citoyen n’aurait le droit de retirer que de petites sommes. Le reste de l’argent pourrait être « temporairement » confisqué. Le montant maximal serait déterminé par l’autorité du pays concerné, expliquait le portail "La Información" en mars 2021.
Comment arrive-t-on à ce chiffre qui tient la route ?
« Avec 20 % de hausse, les carburants contraignent déjà à acquitter en moyenne 27 euros de plus par mois », tandis que les factures d’énergie, en hausse de 25 %, « provoquent des prélèvements supplémentaires d’un montant moyen de 32 euros par mois ».
Enfin, la « hausse générale de 7 % des produits de consommation courante, attendue cet été, entraînera une dépense supplémentaire de 30 euros par ménage chaque mois ».
Et cela nous amène à un 90 euros de dépenses de plus par mois soit 1 080 euros sur 12 mois.
Pendant ce temps, la Chine et la Russie ont pris de grandes mesures pour se séparer de la politique monétaire et des économies de l’Ouest – et personne ne l’a remarqué...