Depuis le 8 novembre, Adrien Cano et sa famille, jeune couple de maraîchers installé en Vendée, sont redevables de 50 euros par jour à leur commune, soit 1500 euros par mois. Le maire les a mis en demeure pour avoir installé un mobile home sur la ferme où ils travaillent. Le couple a déposé un recours contre l’arrêté. Leur recours était examiné ce 22 novembre au tribunal administratif de Nantes. « On espère la suspension de cette astreinte ridicule de 50 euros par jour, en attendant un jugement sur le fond ou un dénouement autre de cette affaire. » La décision du tribunal devrait être rendue dans quelques jours.
L’affaire est loin d’être anecdotique. Il y a quelques semaines, un couple d’agriculteurs cultivant du safran dans les Alpes-Maritimes a saisi le tribunal de Nice. La mairie les menaçait de 200 euros d’amende par jour s’ils n’enlevaient pas la tiny house qu’ils ont construite sur leur ferme. « Le tribunal a suspendu l’arrêté pour doute sérieux sur la légalité, c’est une première jurisprudence sur l’habitat léger », se réjouit Paul Lacoste, du réseau Halem (Habitants de logements éphémères ou mobiles) qui renseigne et accompagne juridiquement les personnes en habitat léger.
La voiture électrique est un non-sens écologique, économique, social, environnemental.
Elle ne coche aucune des cases d’un avenir « soutenable » et pourtant nos brillants décideurs, ont plongé les deux pieds dedans.
Tous en électrique, fin du tout thermique et illusions techniques et technologiques d’un avenir radieux où l’on se déplacerait tous en Tesla.
Il va en falloir des batteries, des centrales nucléaires et… du charbon pour recharger toutes ces batteries !
En d’autres termes, le gouvernement néerlandais oblige des centaines d’agriculteurs à vendre leurs terres à l’État.
Dans un tweet, la commentatrice politique, animatrice et ancienne membre du parti Forum pour la démocratie, Eva Vlaardingerbroek a déclaré : « Notre gouvernement criminel a annoncé (mercredi 5 octobre) qu’il allait accélérer le vol des terres de nos agriculteurs. 500 à 600 agriculteurs seront contraints de vendre leurs terres à l’État au cours de l’année prochaine. Les agriculteurs ont annoncé de nouvelles protestations, alors restez à l’écoute. »
Elle a qualifié le plan néerlandais de « vol ».
« Le gouvernement néerlandais accélère l’expropriation de nos agriculteurs, poussant certains d’entre eux à se suicider. C’est une bande de menteurs et de voleurs inhumains et avides qui ont créé une fausse crise pour voler aux gens leurs droits et leurs biens. »
La façon dont le cartel de la presse subventionnée a volé au secours d'Enedis a démontré, s'il le fallait encore, combien le régime s'appuie sur des "journalistes de confiance" pour convaincre les gueux de ne pas s'inquiéter et d'obéir sans broncher à tous les délires qui ont pris le pouvoir.
Les réactions à une dépêche de l’AFP publiée mardi, annonçant qu’Enedis interromprait l’alimentation électrique des ballons d’eau chaude entre 12h et 14h pendant six mois ont constitué un puissant révélateur du malaise français qui devrait fortement inquiéter le pouvoir. Jamais encore les citoyens ordinaires n’ont autant exprimé de défiance vis-à-vis des mensonges incessants de la caste qui les dirige et les manipule.
[ENQUÊTE 1/4]
Décembre 2021, Saint-Chamas, au bord de l’étang de Berre, au nord de Marseille. Un hangar métallique gigantesque vomissait des déchets en fusion dans une odeur épouvantable. Des fumées toxiques saturaient l’air des environs. Les taux de particules fines mesurés étaient « équivalents à ceux de Pékin », dit Dominique Robin, directeur général d’AtmoSud, l’organisme de contrôle de qualité de l’air dans la région. Pendant près d’un mois, l’incendie a ravagé cet entrepôt rempli jusqu’au toit de déchets industriels banals, des DIB dans le jargon administratif : des emballages carton, du plastique, de la ferraille dont des entreprises cherchent à se débarrasser, moyennant finance. Recyclage Concept 13, la société à qui appartient le hangar, détenait une autorisation d’en stocker 1 000 mètres cubes. Sur place, les pompiers en ont découvert trente fois plus…
En procès le 19 septembre, il sera fixé sur son sort le 3 octobre. Un cas illustrant bien la complexité qui entoure les habitats légers.
Avec ses murs en terre-paille et ses formes arrondies, le logis d’Amalia et Harald ressemble à une maison de hobbit, tout droit sortie d’un film. Nichée dans une ancienne carrière, la maisonnette surplombe un petit coin de paradis où chèvres, oies, poules et chiens cohabitent en liberté. Protégé des animaux par une clôture, un espace est consacré au maraîchage en permaculture. Tomates, courges et butternut : le conte de fées continue dans ce potager, où tout n’est qu’abondance et profusion. « C’est la magie du compost fabriqué aux toilettes sèches ! » plaisante Amalia, en cueillant des tomates juteuses au goût sucré. Pourtant, l’aventure pourrait bientôt s’arrêter.
Le 19 septembre, Harald et Amalia ont été convoqués devant le tribunal correctionnel de Quimper : il leur est reproché d’avoir fait des aménagements sur une zone non constructible sans autorisation de la mairie. Leur maison risque d’être détruite, et leur beau projet abandonné. Sans avocat, et peu préparé aux rouages de la justice, le couple a eu du mal à se faire entendre pendant l’audience : « Ça a été un fiasco total... », témoigne Amalia au téléphone, la voix encore tremblante à la sortie du tribunal. Comment en sont-ils arrivés là ? Pour comprendre, il faut remonter trois ans en arrière.
Nous prenant pour des débiles mentaux profonds ou des séniles précoces, il nous a expliqué qu’en coupant toutes les veilleuses de nos appareils électriques, nous pouvions économiser 15 % de notre consommation. Faux, nous économiserions alors 2 à 3 %.
Le même nous a expliqué qu’en remplaçant nos lampes traditionnelles par des lampes à économie d’énergie, nous pouvions économiser 30 à 35 % d’énergie. Faux c’est de 4 à 5 % que l’on peut économiser.
Il est temps d’arrêter de nous rabâcher tous les soirs à la météo « c’est bon pour la planète », parce que là, on ne sait plus trop où est le bien et le mal, et on va finir par penser que ceux qui donnent des conseils sont, en plus d’être malhonnêtes ou incompétents, les plus dangereux.
Selon le président Vladimir Poutine lors de son entrevue avec le directeur du fisc russe, Daniil Yegorov, les revenus de la Fédération de Russie lors du premier semestre 2022 ont augmentés de 32 %, principalement en raison de la hausse des prix de l’énergie.
D’après le réseau Vélos et territoires, le nombre de cyclistes sur les EuroVelo françaises – un réseau de routes cyclables longue distance à travers le continent européen – a bondi de 26 % entre 2017 et 2021.
Un boom indissociable de la crise sanitaire.
« Le Covid a joué un rôle d’accélérateur. Mais le vélo avait déjà commencé à s’installer dans les villes et dans les vies quotidiennes il y a une quinzaine d’années, et on voyait de plus en plus de cyclotouristes. »
Le conflit naît soit de l’insuffisance de ressources matérielles, alors c’est la guerre déclenchée par celui qui est ou se croit le plus fort à la gagner. Le conflit peut également naître d’une suffisance de ressources mais où un protagoniste (individu, clan, classe ou nation) veut avoir plus au détriment de l’autre protagoniste.
Si, au contraire, les deux protagonistes ont assez de sagesse à propos de l’acquisition et de la répartition équitables des biens matérielles, ils optent pour la coopération. Pour être authentique, elle implique liberté, égalité et solidarité.
Cette collecte marquera un nouveau tournant dans la collecte de données et la surveillance pour le SSB, puisque l’agence cherche désormais à obliger les entreprises privées, et non plus seulement les entreprises publiques, à se conformer à la surveillance de l’État. Compte tenu de l’augmentation du nombre d’usurpations d’identité en Norvège, beaucoup s’inquiètent de la nécessité d’accroître la collecte de données.