En 2021, ils ont consommé quatre à sept fois plus d’eau que ce qui avait été consigné dans les engagements, soit 84 millions de litres d’eau potable.
Les centres de stockage de données, plus communément appelés "data centers", sont les lieux où sont regroupés tous les équipements et constituants d’un système d’information. Occupé par Microsoft, le site de Middenmeer s’était engagé à ne consommer qu’entre 12 et 20 millions de litres d’eau potable par an, en accord avec la municipalité de Hollands-Kroon.
Or, bien que l’information ait été classifiée, le média local Noordhollands Dagblab a eu accès aux chiffres réels, et a révélé que 84 millions de litres d’eau ont été dépensés pour l’année 2021. Dans le détail, l’enquête indique que Microsoft a consommé 75 millions de litres d’eau pour refroidir ses centres de données, et neuf millions de litres pour d’autres usages.
Non sans risque pour la santé humaine et l’environnement, ces substances toxiques, qui appartiennent à une famille chimique composées de plus 9000 sous-produits hautement persistants dans la nature, sont régulièrement associés à de nombreux problèmes de santé et maladies graves. Alors que les limites fixées pour garantir la protection de la santé humaine et de l’environnement ont déjà été dépassées, il est essentiel d’adopter un moratoire ambitieux visant à assurer leur interdiction générale à échelle mondiale.