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en finir avec les mythes sur l'eau

Le Media en 4-4-2La Naturopathe Doria : Déconstruire les mythes sur l’eau

Le Media en 4-4-2 - 08 mai 2023

Avez-vous déjà entendu cette citation « L’eau est plus important par ce qu’elle emporte, que par ce qu’elle apporte », de Louis-Claude Vincent ?

   

Rappelons que notre corps est constitué à 70% d’eau (jusqu’à 90% lors de notre naissance). Vous imaginez donc l’importance de la qualité de notre eau.
D’ailleurs, si on peut jeûner plusieurs semaines, on ne peut tenir que 8 jours sans eau. L’or bleu est bien un élément vital.
Le scandale de l’eau du robinet impropre à la consommation

On n’arrête pas de nous dire qu’on a vraiment beaucoup de chance d’avoir de l’eau dite « potable » à portée de main. Quelle chance oui ! Si comme moi, vous souhaitez vérifier la qualité de l’eau de votre région, cliquez ici. Dans le 44 (Loire-Atlantique), selon le moteur de recherche, la qualité de l’eau est bonne. Et pourtant, les pesticides et dérivés sont au nombre de 300, contrairement à une moyenne plus basse en France, qui se situe à 200.
Ça commence bien.
Depuis quelques années, le scandale enfle et devient si énorme qu’il arrive à percer dans certains médias. On nous sert une soupe à base de fluor, métaux lourds, résidus médicamenteux (coucou la pilule) nitrates, pesticides, chlore et autres joyeusetés. Si vous buvez encore quotidiennement l’eau du robinet sans la filtrer : bonne chance !
Le mythe de la carafe Brita vient de se briser ? Ne vous inquiétez pas, c’est pour le meilleur !

Le business de l’eau en bouteille

L’eau en bouteille, c’est environ 5 milliards d’euros par an, rien que ça !
Sur le marché, des géants bien connus :
– Nestlé (Vittel, San Pellegrino, Contrex)
– Danone (Evian, Volvic, Badoit)
– Cristalline (la moins chère, 11 centimes le litre)

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fin de l'eau gratuite

Le Libre PenseurDes compteurs d’eau sur vos puits privés, c’est fini l’eau gratuite…

Le Libre Penseur - 06 mai 2023

Pendant ce temps Coca-Cola pille les ressources en eau pour fabriquer du poison en bouteille !

   

ul n’a besoin d’être un grand génie des mathématiques ou de la physique et encore moins de l’intelligence artificielle pour comprendre à quel point cette mascarade de la sécheresse et de la gestion de l’eau n’a absolument aucun sens. D’abord parce qu’il a beaucoup plu aux mois de mars et avril et que, malgré des inondations et des crues, la propagande continue de nous expliquer que l’on va manquer d’eau. Mais pire encore, alors que tout le monde doit serrer la ceinture, que l’on va devoir payer plus cher l’eau, l’entreprise Coca-Cola continue de piller les ressources en eau de l’Hexagone pour fabriquer une boisson ultra sucrée très dangereuse pour la santé et responsable d’un nombre incalculable de maladies comme le diabète, l’obésité, les caries dentaires… On vous l’annonce dès maintenant, aucune restriction ne concernera Coca-Cola ou Pepsi-Cola dans un futur proche. Par contre, on vous imposera de mettre un compteur d’eau sur votre puits, on vous interdira d’arroser vos plantes, remplir votre piscine…

Bien sûr, Coca-Cola va expliquer qu’ils vont cesser de pomper l’eau de la nappe phréatique mais ne vous inquiétez pas, les 800 000 m³ annuels utilisés sur le site de Grigny seront pompés ailleurs, car il faut absolument continuer à vendre ce poison dangereux.

Il est toujours pratique d’avoir un puits chez soi. Surtout s’il permet d’alléger la facture d’eau potable. Et la loi l’autorise : l’article 552 du code civil stipule que le propriétaire d’un terrain l’est aussi de son sous-sol, jusqu’à 10 mètres de profondeur.

Mais depuis le 1er janvier dernier, un décret est venu changer la donne. Les propriétaires de puits doivent désormais déclarer leur installation en mairie. Si l’installation est antérieure au 31 décembre 2008, il ne reste plus que quelques jours, jusqu’au 31 décembre, pour la déclarer. Si vous voulez construire, la déclaration est, naturellement, également obligatoire. Mais que dire d’une simple déclaration ? À première vue, rien de bien contraignant. Sauf qu’il faut, également, équiper le puits d’un dispositif de comptage du volume d’eau prélevé. En clair : installer un compteur.

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agriculture verticale

Mr MondialisationLes ambivalences de l’agriculture verticale

Mr Mondialisation - 28 avr 2023

L’agriculture verticale est avantageuse en matière de gain de place, de temps de culture et de consommation en eau.

   

Elle peut répondre, en complémentarité avec l’agriculture traditionnelle, à des situations critiques de l’écologie actuelle. Pour autant, elle présente aussi quelques limites qu’il ne faudrait pas invisibiliser. Analyse en demi-teinte.

Bien que récente, cette agriculture verticale, hors-sol et urbain, s’inscrit en prolongement de techniques millénaires comme l’aquaponie, l’aéroponie et l’hydroponie. Pour autant, cette pratique qui ressemble plus à innovation technologique qu’un savoir ancestrale. À partir du témoignage d’un fervent pratiquant de l’agriculture verticale et de l’exemple d’initiatives existantes, en voici un état des lieux.

Santiago Helou milite pour la protection de l’environnement. Il vit depuis longtemps au Canada et s’est intéressé de près à l’agriculture verticale dans les centres urbains environnants qu’il fréquente. Il va d’ailleurs chercher sa roquette à Goodleaf, une ferme verticale située à 70 km de Toronto, dans la ville de Guelph.

Ce type d’agriculture l’a rapidement captivé tant pour son aspect dynamique, dans un milieu où l’agriculture est un métier qui attire de moins en moins de main d’oeuvre, que pour son adaptabilité aux enjeux climatiques : « L’agriculture verticale est l’une des nombreuses solutions nécessaires pour créer une industrie agricole plus durable, à la fois écologique et capable d’éliminer l’insécurité alimentaire. Il ne s’agit pas d’une solution miracle et elle devra faire partie d’une stratégie plus large qui implique une restructuration radicale des institutions de notre société ».

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la garrigue super-héroïne

ReporterreLa garrigue, super-héroïne contre la sécheresse

Reporterre - 19 avr 2023

Alors que les pénuries d’eau s’installent sur l’ensemble de la France, promenons-nous dans la garrigue. Ce milieu typique du pourtour méditerranéen foisonne de plantes adaptées à la sécheresse. Pour autant, il reste menacé.

   

Ça pique, ça griffe, ça gratte. Sous un soleil déjà vif, notre balade printanière prend vite des airs de parcours du combattant. Slalomer entre les chênes kermès aux feuilles dentelées et les genêts scorpions, veiller à ne pas trébucher sur les rocailles, guetter l’ombre bienfaisante d’un pin. « Bienvenue dans la garrigue ! » dit dans un sourire Thibault Suisse. Notre guide du jour est botaniste au sein des Écologistes de l’Euzière, une association héraultaise qui fait, entre autres, de l’éducation à l’environnement.

« La particularité de ce milieu, c’est qu’il est semi-aride », explique le naturaliste. Et c’est justement ce qui nous amène ici, dans ce massif buissonnant à quelques kilomètres de Montpellier : en ces temps de sécheresse chronique, la région méditerranéenne, qui vit depuis des millénaires sans beaucoup d’eau, fait figure de modèle. Demain peut-être, d’autres zones de France ressembleront à ces collines pelées et étonnantes. n ces temps de sécheresse chronique, la garrigue, qui vit depuis des millénaires sans beaucoup d’eau, fait figure de modèle en France.

L’habit ne fait pas le moine, dit l’adage. Et la garrigue, sous ses allures revêches, cache une multitude d’espèces aux super-pouvoirs. Pour survivre ici, la végétation a en effet dû s’adapter au manque d’eau, aux étés caniculaires, aux feux…
Petits, feuillus et luisants

Première singularité, « les plantes d’ici ne perdent pas leurs feuilles, explique Thibault Suisse. Elles les gardent toute l’année pour pouvoir faire de la photosynthèse et se développer dès que les conditions sont optimales ». Nombre de végétaux méditerranéens germent et fleurissent ainsi à l’automne, quand la plupart de leurs congénères continentaux préfèrent le printemps ou l’été. Autre originalité, leur taille : « Plus on est petits, moins a besoin d’eau », précise le naturaliste.

Face aux sécheresses, il s’agit aussi — et surtout — de garder son eau, autrement dit, de ne pas trop transpirer. « Beaucoup d’espèces ont développé la “technique du K-Way”, souligne notre guide. Leurs feuilles sont enduites d’une mince pellicule de cire, qu’on appelle une cuticule. » Avec leur feuillage luisant, le chêne kermès ou le chêne vert suent moins l’été.

Autre astuce imparable : « Le thym ou le romarin ont des feuilles toutes fines, le genévrier cade s’est plutôt doté d’aiguille, décrit le naturaliste. Le genévrier de Phénicie a opté pour des sortes d’écailles. » Différentes options pour un même résultat : réduire la surface d’évapotranspiration.

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eau - solidarité

L'Age de faire« L’eau vitale » ruisselle depuis Roquevaire

L'Age de faire - 18 avr 2023

La municipalité de Roquevaire a mis en place, il y a dix ans, une tarification sociale et solidaire de l’eau, permettant à chacun d’avoir accès, gratuitement, à un volume d’eau potable considéré comme un minimum vital.

   

Cela fait maintenant dix ans que la commune de Roquevaire, dans les Bouches-du-Rhône, a établi la gratuité de « l’eau vitale » pour ses habitant·es (lire L’âdf n° 102). Le principe : chaque humain a un besoin irrépressible en eau potable pour survivre, il convient donc de lui en donner libre accès. Et ainsi, chaque foyer a droit à 30 mètres cubes de flotte gratuits (1), le conseil municipal considérant, à travers une délibération prise en décembre 2011, que « l’eau potable ne doit pas être une marchandise source de profits injustifiés, mais qu’elle est un bien commun de l’humanité ».

Les 120 mètres cubes suivants, considérés comme de « l’eau utile », sont payants, à un tarif relativement classique. Et au-delà, arrive « l’eau de confort », pour remplir sa piscine par exemple, pour laquelle le prix est nettement plus élevé.

En une petite décennie, ce système, qui était géré jusqu’en 2019 en régie directe, a fait ses preuves. Il a permis de rémunérer les cinq agents qui s’occupaient de la gestion des 92 kilomètres du réseau de distribution. Ils en ont amélioré la qualité par rapport à l’époque où il était géré par le privé, diminuant sensiblement les pertes liées aux fuites : en quelques années, le rendement est passé de 60 % à 76 %. La consommation globale d’eau potable n’a pas augmenté, elle a même légèrement baissé. Loin d’être un gouffre financier, cette tarification sociale et solidaire a au contraire permis de dégager des bénéfices qui ont abondé les comptes de la commune.

Bref, pour les 9 000 Roquevairois·es, ce fonctionnement ne présentait à peu près que des avantages. À moins, peut-être, d’avoir une piscine olympique au fond du jardin, mais dans ce cas, il est plutôt logique et sans doute pas insoutenable de payer un peu pour les autres. C’est même le principe d’une tarification solidaire.

Et puis, des décisions venues de loin – de Paris, pour être exact – ont contraint la municipalité à dissoudre sa régie. Au 1er janvier 2018, c’est en effet la métropole d’Aix-Marseille-Provence nouvellement créée qui hérite de la compétence de l’eau. Roquevaire est alors obligée de rejoindre l’une des régies de la grande métropole. Yves Mesnard, le maire de la commune, se sent « dépossédé » : « avant, je faisais ce que je voulais. Nous avions des excédents et comme, nous étions en régie directe, je pouvais les réintégrer sur mon budget principal. Maintenant, c’est fini », regrette-t-il.

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les traumatisés de Sainte Soline

ReporterreLes traumatisés de Sainte-Soline

Reporterre - 10 avr 2023

15 jours après la manifestation à Sainte-Soline, de nombreux manifestants gardent des séquelles de la répression policière.

   

Des « traumatisés » qui souffrent de blessures physiques mais aussi psychologiques.

En apparence, c’est un tableur Excel tout ce qu’il y a de plus banal. 150 cases, fond blanc, police d’écriture noire. Entre les lignes de ce « recensement » – non exhaustif, précisent ses auteurs – des blessures constatées par des soignants sur les manifestants de Sainte-Soline, publié le 31 mars par Les Soulèvements de la Terre, se dessine un effroyable tableau, empli de douleurs vives aux conséquences durables. Deux urgences vitales, deux nez « délabrés », un œil meurtri par des morceaux de verre, une plaie aux testicules, des dizaines d’éclats de grenades, une pelletée de blessures « profondes », parfois nécrosées, pouvant atteindre la « taille d’un œuf »… Ainsi que de l’anxiété, de la panique, des sensations de « dissociation ». Autant de troubles qui continuent, deux semaines après les faits, d’affecter un grand nombre de militants.

Sur le plan physique, d’abord. Nombreux sont ceux à porter les stigmates de la répression policière. Le pronostic vital de Serge, un manifestant touché à la tête par une grenade, est encore aujourd’hui engagé. Victime d’un tir de LBD à la gorge, Mickaël, la trentaine, a quant à lui dû être plongé dans le coma pendant plus d’une semaine, et subir une importante opération du cerveau. Il s’est depuis réveillé.

À ces deux cas très médiatisés s’ajoutent des dizaines d’autres. Médecin généraliste venue manifester à Sainte-Soline, Perle raconte avoir eu l’impression de se trouver « dans une zone de guerre ». Après avoir pris en charge Mickaël, la jeune femme s’est retrouvée sur un chemin où se trouvaient de nombreux blessés. « Tout le monde hurlait. Il y avait plusieurs personnes avec le visage en sang, des gens à terre, sous des couvertures de survie, qui pleuraient, à moitié conscients... » Les organes de certains ont été, selon ses observations, durablement endommagés. « Quand on ouvrait l’œil d’un d’entre eux, on voyait juste un globe [oculaire] rouge. Dans ce type de cas, le pronostic fonctionnel est engagé. »

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La guerre de l'eau

ReporterreDanone et Nestlé accaparent l’eau, des collectifs citoyens répliquent

Reporterre - 28 mars 2023

À Vittel ou à Volvic, plusieurs collectifs citoyens se battent contre les multinationales de l’eau, accusées d’épuiser les nappes. Ils entendent mutualiser leurs combats pour que l’or bleu reste un bien commun.

   

« De l’eau, pas des euros ! » Cet appel s’élève depuis les plus lointaines communes de montagnes du pays. Du Haut-Languedoc aux Vosges en passant par l’Auvergne, des citoyens se sont retrouvés le 18 mars à Murat-sur-Vèbre, dans le Tarn, pour échanger sur les moyens de résister à la soif inépuisable des multinationales de l’eau.

Premier pas essentiel : connaître les intentions des embouteilleurs. À Murat-sur-Vèbre, des agriculteurs ont découvert il y a un an l’existence d’un forage sur une exploitation voisine. Pour quelle raison ? La nouvelle n’a filtré qu’auprès de quelques personnes avant que Danone, qui exploite dans la commune voisine l’eau de la Salvetat, ne concède à prévenir quelques agriculteurs. « Ce qui nous a choqué, c’est qu’un forage énorme se présentait et que personne ne donnait d’information », raconte Jessica Théron, éleveuse locale qui a rapidement diffusé l’information et participé à la création d’une association locale.

Cette mauvaise publicité semble avoir permis de suspendre momentanément les velléités de Danone à Murat-sur-Vèbre. Le 8 mars dernier, le groupe a annoncé dans un communiqué que « les besoins actuels de la marque étant couverts, nous ne prévoyons pas à ce jour de déposer une demande d’homologation de l’eau issue de cette nappe ». Une première victoire loin de satisfaire pleinement les habitants, qui ignorent la raison réelle ayant fait reculer l’entreprise.
Garder la tête froide face aux embouteilleurs et leurs soutiens.

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sécheresse hivernale 2023

ReporterreEn Ariège, le lac de Montbel est vide

Reporterre - 07 mars 2023

Avec la sécheresse hivernale, le lac artificiel de Montbel est à nu. Une situation extrêmement préoccupante, pour un lac qui doit notamment soutenir les besoins en eau de l’agriculture.

   

« Désormais, c’est certain, on ne pourra pas remplir le lac avant l’été. » Perché sur le barrage de Montbel, soumis aux vents particulièrement soutenus dans la région, Xavier Rouja sait de quoi il parle. Responsable d’exploitation pour le Syndicat mixte départemental de l’eau et de l’assainissement de l’Ariège (SMDEA), il travaille ici depuis plus de vingt ans. En haut de cette infrastructure, construite en même temps que le lac dans les années 80, le constat est frappant tant le niveau de l’eau est au plus bas. « Cette année est exceptionnelle, c’est le troisième hiver le plus sec jamais enregistré », explique-t-il.

Chaque année, ce lac artificiel se vide et se remplit. Cette réserve d’eau de 60 millions de mètres cubes est exclusivement alimentée par une dérivation de l’Hers-Vif, la rivière qui contourne le lac. Le réservoir de Montbel permet ainsi de stocker l’eau et de la relâcher pour répondre à différents besoins, principalement celui de soutenir les prélèvements des agriculteurs pour l’irrigation. C’est en effet une réserve d’eau pour plus de 500 irrigants et 13 000 hectares de cultures.

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Sensibilité de l'eau morphogénique aux ondes électromagnétiques

VivovojoSensibilité de l'eau morphogénique aux ondes électromagnétiques

Vivovojo - 14 nov 2022

Professeur Marc Henry.

De multiples études scientifiques le prouvent, les champs électromagnétiques artificiels (WiFi, bluetooth, téléphone portable, ordinateur, compteur Linky, etc) perturbent notre biologie interne (impacts sur l’activité du cerveau, modifications neurologiques/neuropsychiatriques, augmentation de l’hypersensibilité électromagnétique apparente, etc).

Dans ce webinaire présenté par Mathilde Dufourcq, le Professeur Marc Henry nous explique de manière très concrète et très détaillée comment toutes ces belles technologies (dont nous apprécions pourtant pour beaucoup les avantages qu’elles nous procurent au quotidien) produisent des dégâts sur notre santé.

Par bonheur, le Pr Marc Henry nous livre des préconisations avisées des meilleures solutions de protection contre les ondes électromagnétiques extérieures… validées par la science !

   

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Data centers Microsoft - pompe l'eau

France SoirLes data centers de Microsoft pompent l'eau des Pays-Bas

France Soir - 23 août 2022

Alors que toute l’Europe fait face à une sécheresse inédite, les Pays-Bas découvrent que les centres de stockage de données de la firme Microsoft, sont de véritables pompes insoupçonnées.

   

En 2021, ils ont consommé quatre à sept fois plus d’eau que ce qui avait été consigné dans les engagements, soit 84 millions de litres d’eau potable.

Les centres de stockage de données, plus communément appelés "data centers", sont les lieux où sont regroupés tous les équipements et constituants d’un système d’information. Occupé par Microsoft, le site de Middenmeer s’était engagé à ne consommer qu’entre 12 et 20 millions de litres d’eau potable par an, en accord avec la municipalité de Hollands-Kroon.

Or, bien que l’information ait été classifiée, le média local Noordhollands Dagblab a eu accès aux chiffres réels, et a révélé que 84 millions de litres d’eau ont été dépensés pour l’année 2021. Dans le détail, l’enquête indique que Microsoft a consommé 75 millions de litres d’eau pour refroidir ses centres de données, et neuf millions de litres pour d’autres usages.

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Eau de pluie

Mr MondialisationÉtude : l’eau de pluie est devenue nocive pour la santé

Mr Mondialisation - 09 août 2022

Une récente étude a révélé que les produits chimiques « perfluoroakyles » et « polyfluoralkyles » (PFAS), autrement appelées « produits chimiques éternels » ont atteint un niveau tel de concentration dans les rivières, océans et sols, qu’on les retrouve désormais dans l’eau de pluie et dans la neige.

   

Non sans risque pour la santé humaine et l’environnement, ces substances toxiques, qui appartiennent à une famille chimique composées de plus 9000 sous-produits hautement persistants dans la nature, sont régulièrement associés à de nombreux problèmes de santé et maladies graves. Alors que les limites fixées pour garantir la protection de la santé humaine et de l’environnement ont déjà été dépassées, il est essentiel d’adopter un moratoire ambitieux visant à assurer leur interdiction générale à échelle mondiale.

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Dernière modification par Kelib - 55 ans il y a
Berlin eau potable rationnement

Aube DigitaleLa municipalité de Berlin va rationner l’eau potable

Aube Digitale - 25 avr 2022

Avec le « plan directeur pour l’eau » de Berlin, une ville soucieuse de l’environnement, la consommation d’eau est rationnée pour la première fois, même en l’absence de sécheresse.