Même lorsqu’elles sont configurées de manière minimale et que le combiné est inactif, à l’exception notable de e/OS, ces variantes d’Android personnalisées par les fournisseurs transmettent des quantités substantielles d’informations au développeur du système d’exploitation et à des tiers tels que Google, Microsoft, LinkedIn et Facebook qui ont des applications système préinstallées. Il n’y a pas d’option de retrait pour cette collecte de données.
C’est le moyen par lequel l’organisation obtient des financements de partenaires publicitaires. Êtes-vous adepte de l’idée ? Seriez-vous prêt à faire des concessions de ce type pour la survie de Mozilla ?
Selon l’entreprise, il n’y a aucun signe montrant que les données des utilisateurs aient pu être compromises. Mais... La plupart des données des utilisateurs sont déjà en vente sur le net donc...
En soi, l’histoire de ProtonMail est un exemple d’entreprise résistante, puisqu’elle n’a pu donner qu’une adresse IP. Si le militant utilisait Gmail, LaPoste ou Orange, alors le gouvernement aurait mis la main sur l’ensemble de ses mails et de ses correspondants. Or grâce au chiffrement mis en place, ProtonMail est techniquement incapable de livrer toutes ces données.
Le fondateur et PDG de ProtonMail, Andy Yen, explique qu’il n’a commencé à enregistrer les adresses IP des utilisateurs spécifiques qu’après avoir été légalement contraint de le faire par les autorités suisses...
C’est en effet en 1971 au Chili que le gouvernement socialiste de Salvador Allende embauche Anthony Stafford Beer afin de créer une économie planifiée reposant sur les principes de la cybernétique. Le projet n’est pas à l’origine policier ou sécuritaire, mais repose sur l’accumulation et la rationalisation de l’information de toutes les strates de la société.
Facebook est dans le pétrin pour avoir dépassé les limites de la loi sud-coréenne sur les informations personnelles lorsque l’entreprise a créé et conservé des modèles de reconnaissance faciale de quelque 200 000 utilisateurs, du 18 avril à septembre 2019. Cela se passait sans le consentement de ces utilisateurs.
Toutefois, cette clarification n’a pas apaisé les groupes de défense de la vie privée, qui continuent de souligner que la technologie pourrait facilement être modifiée pour traquer les dissidents et servir les intérêts des personnes au pouvoir, laissant très peu de place à la vie privée d’un individu.