Samedi 7 décembre, Macron sera face à Trump : le camouflet du siècle pour « Manu sans gouvernement », Après plus de cinq ans d’absence, Donald Trump revient en France. Au début de son premier mandat, il avait visité le pays à quatre reprises, mais les relations avec Emmanuel Macron s’étaient refroidies. Ce 7 décembre, il visitera la cathédrale Notre-Dame de Paris, récemment restaurée.
Le théâtre politique français atteint des sommets de grotesque. Emmanuel Macron, président désavoué et isolé, s’accroche désespérément à son trône alors que Donald Trump, l’éternel showman de la politique mondiale, débarque à Paris. Entre une allocution télévisée vide de sens, des vacances dans le désert avec ses vieux conseillers et une situation intérieure désastreuse, Macron donne l’image d’un homme qui a tout perdu. Et comme si cela ne suffisait pas, la visite de Trump promet de transformer ce naufrage en humiliation planétaire.
[...]
Ignorez tous les faux drames. Oubliez toute la rhétorique de la campagne et les conflits kayfabe. Voici ce qui est réel. C’est cela qui mérite votre attention.
Ils ne se détestent pas. Ils ne se considèrent pas comme une menace existentielle pour le pays. Ce ne sont pas des ennemis. Ce sont à peine des adversaires. À la fin du spectacle, ils s’étreignent et s’embrassent comme des boxeurs après des semaines d’affrontements bidons destinés uniquement à vendre des billets.
L’un peut dire que son adversaire est le prochain Hitler, qu’il vient pour mettre fin à la démocratie, prendre les votes de tout le monde et détruire le pays. L’autre peut dire que son adversaire est un dictateur communiste, venu pour faire la même chose. À la fin de la pièce, les acteurs se tiennent la main et saluent, puis ils sortent et boivent un verre ensemble.
Ils font chacun semblant de se battre contre l’autre pour vous défendre, vous et vos intérêts, alors qu’en réalité ils sont du même côté, se battant contre vous, pour défendre les intérêts de l’oligarchie et de l’empire.
Vous pouvez le voir là. Ils ne le cachent plus. Ils n’ont pas besoin de le faire. Ce n’était qu’une mise en scène et ils l’admettent ouvertement. Un match amical, comme deux riches dames jouant au tennis dans les Hamptons.
Ils peuvent le montrer ouvertement parce qu’ils savent que la plupart d’entre vous ne prêteront pas attention à ce qu’ils voient ou, s’ils le font, qu’ils l’oublieront et se laisseront emporter par la fièvre du prochain cycle électoral. Il y a tellement de messages qui renforcent le clivage partisan illusoire que ces petits aveux tacites ont tendance à passer complètement inaperçus.
Ne vous méprenez pas, la dépravation de Trump lui-même n’est pas illusoire. De vraies personnes vont souffrir et mourir sous son administration, tout comme de vraies personnes ont souffert et sont mortes sous celle de Biden. Mais ils savent eux-mêmes qu’ils n’ont rien à craindre. Eux et les puissances qu’ils servent seront totalement épargnés par la machine à tuer impériale. Ils mourront de vieillesse, entourés de richesse et de luxe, sans aucune conséquence pour leurs actes.
Tout cela n’était qu’un leurre. C’est toujours le cas. Les élections sont fausses et le jeu est truqué. L’empire continuera à marcher sans interruption et sans changement, servi par un président frauduleux après l’autre, jusqu’à son effondrement final.
Cessez d’adhérer au spectacle. Arrêtez de crier pour votre lutteur politique favori et remarquez que les coups ne sont pas vraiment portés et que tout le match n’est qu’un spectacle.
Si vous voulez combattre le pouvoir, concentrez votre opposition là où se trouve le vrai pouvoir. La machine de guerre. Les structures de pouvoir impériales. Les agences de renseignement. La ploutocratie. Le capitalisme. Débranchez complètement votre énergie émotionnelle de l’illusion de la politique électorale et consacrez plutôt votre attention aux mouvements concrets des armes, des ressources et des richesses.
Tant qu’ils pourront nous faire applaudir au spectacle des marionnettes, nous ne prêterons jamais attention aux forces qui tirent les ficelles. Nous ne serons jamais assez conscients des vrais problèmes pour trouver de vraies solutions et les mettre en œuvre. Nous ne serons jamais en mesure d’opposer une véritable opposition à un véritable pouvoir.
Et c’est là toute l’idée. C’est pourquoi ce stupide spectacle de marionnettes revient tous les quatre ans.
Arrêtez d’applaudir et commencez à regarder autour du théâtre. Vous savez où les dirigeants de l’empire veulent que vous portiez votre attention, alors commencez à regarder là où ils ne veulent pas que vous regardiez.
Réveillez-vous.
La réélection de Donald Trump, malgré la campagne de la quasi totalité des intellectuels occidentaux contre lui, redistribue les cartes.
Les deux dernières semaines, nous avons montré que l’Iran avait abandonné son idéal révolutionnaire et s’était éloigné de ses alliés sunnites du Hamas et du Jihad islamique, et même chiites du Hezbollah libanais, d’Hachd al-Chaabi iraquien et d’Ansar Allah yéménite. Ces points sont largement confirmés par la réunion au cours de laquelle Hassan Nasrallah fut assassiné par les FDI « grâce » à des informations iraniennes, les déclarations confuses de l’ayatollah Ali Sistani en Iraq, et les mesures prises pour prévenir l’assassinat d’Abdel Malek al-Houthi au Yémen.
Puis, nous avons montré que les BRICS, au sommet de Kazan, ont affirmé leur attachement au droit international contre « l’ordre fondé sur des règles » des anglo-saxons.
Cette semaine, la victoire écrasante de Donald Trump aux élections états-uniennes marque le triomphe des jacksoniens sur les démocrates, mais aussi sur les républicains, bien que Trump ait été soutenu par leur parti. Il devrait s’ensuivre que les États-Unis cesseront leurs guerres en Ukraine et au Moyen-Orient au profit d’une guerre commerciale généralisée.
Sur le continent européen, nous avons assisté au Royaume-Uni à la chute de Rishi Sunak et à son remplacement par un membre de la Commission trilatérale (c’est-à-dire un soutien des intérêts patronaux US), Keir Starmer. Nous nous attendons, en Allemagne, à la chute du chancelier Olaf Scholz et, en France, à celle du Premier ministre Michel Barnier, sans savoir qui les remplacera.
En Occident, ces évènements ont partout le même sens : l’idéologie néo-conservatrice et la religion woke sont condamnées au profit de la défense des nations. Il s’agit d’une révolte des classes moyennes. Celles-ci, qui ne sont pas xénophobes, n’acceptent plus d’être sacrifiées, au nom de la spécialisation du monde imposée par la globalisation anglo-saxonnes.
D’une manière générale, on se dirige, dans les prochaines années, vers l’abandon aussi bien de la volonté impérialiste des Anglo-Saxons que de celle, anti-impérialiste, de l’Iran. Simultanément, on devrait assister à un renforcement du droit international, bien qu’il ne soit pas reconnu par les jacksoniens. Ceux-ci admettent cependant, en matière commerciale, l’importance des signatures. Il est probable que Washington poussera l’Initiative des trois mers en Europe centrale après avoir contraint l’Ukraine à reconnaître sa défaite face à la Russie. Il s’en suivra une montée de la Pologne au détriment de l’Allemagne et un affaiblissement de l’Union européenne. Les États-Unis et les BRICS se rejoindront sur la nécessité de coopérer, mais s’affronteront autour du statut de référence du dollar.
Ces modifications importantes nous sont encore masquées parce que nous ne comprenons pas la manière dont réfléchissent chacun de ces acteurs. Nous interprétons à tort ce qu’ils disent et ce qu’ils font en fonction de leur place dans l’ancien monde.
Nous sommes particulièrement aveugles vis-à-vis des États-Unis que nous persistons à considérer comme nos maîtres. Nous ne connaissons que la doxa néo-conservatrice et nous imaginons que les États-Unis pensent de cette manière alors qu’ils viennent de s’affranchir de leur férule.
L’élection, ou plutôt la réélection, de Donald Trump, sa victoire écrasante pour la Maison-Blanche comme pour le Congrès, marque la révolte des classes moyennes US contre les intellectuels occidentaux qui s’étaient tous ligués contre lui.
Rappelons que Donald Trump, alors qu’il était promoteur immobilier à New York, fut la première personnalité, le 11 septembre 2001 dans l’après-midi, à remettre en cause la version officielle des attentats prétendument islamistes. Par la suite, il finança, au sein du Tea Party, la contestation de la légitimité du président Barack Obama. Enfin, il s’empara du Parti républicain malgré la résistance de l’ancien vice-président Dick Cheney (qui était membre du « gouvernement de continuité » [continuity government], de ce que Trump a désigné comme « l’État profond » [Deep State]). Il fit campagne d’une manière nouvelle en se fondant sur l’observation des réseaux sociaux et en répondant de manière symbolique aux attentes des classes moyennes. Dès son élection et avant même qu’il ne siège à la Maison-Blanche, le Parti démocrate lança une campagne mondiale de diffamation contre lui. Durant tout son mandat, il dut affronter ses propres collaborateurs qui n’hésitèrent pas à lui mentir et à faire le contraire de ce qu’il leur ordonnait, puis à s’en vanter. Cependant, il parvint, seul contre tous, à interrompre la « guerre sans fin » au Moyen-Orient et le soutien militaire et financier de la CIA à Al-Qaeda et à Daesh.
Au contraire, Joe Biden composa son équipe à partir du personnel du Center for Strategic and international Studies (CSIS), du Center for a New American Security (CNAS), de la Rand Corporation, et de General Dynamics, Raytheon, Northrop Grumman et Lockheed Martin. Il relança les guerres au Moyen-Orient, puis en débuta une nouvelle en Ukraine.
Nous ignorons si Donald Trump tentera de poursuivre durant son second mandat ce qu’il avait entrepris durant le premier. Il connaît désormais les chausse-trapes de Washington et a composé une équipe dont il était dépourvu la première fois. La seule inconnue est de savoir ce qu’il a dû concéder pour pouvoir vaincre cette fois. Sa politique au Moyen-Orient a consisté à remplacer la guerre par le commerce avec les accords d’Abraham. Elle a été mal comprise car son gendre, Jared Kushner, qui avait été chargé de les mettre en œuvre, est profondément raciste. Il avait aussi transféré l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem, laissant entendre que celle-ci était la capitale du seul État juif. Durant sa campagne, il a accepté des dons considérables de la veuve de Sheldon Adelson, un soutien inconditionnel des « sionistes révisionnistes ». Nul ne sait s’il s’est engagé à soutenir en retour l’État d’Israël ou le projet colonial de Vladimir Jabotinsky.
La victoire de Donald Trump ne mettra pas fin aux affrontements, mais les déplacera du champ de bataille militaire vers celui de l’économie. Attention, pour analyser sa politique, les catégories politiques avec lesquelles nous réfléchissons depuis le XVIII° siècle s’avéreront inopérantes. Il n’entend pas choisir entre le protectionnisme et le libre-échange, mais entre des secteurs économiques : les produits qu’il défendra avec des droits de douanes parce qu’ils ne seront pas capables de rivaliser avec ceux de ses concurrents, et les produits qui sont capables d’inonder le marché global. Donald Trump n’est pas l’ami de tous les entrepreneurs, bien loin de là. Il s’oppose à ceux qui vivent au crochet de l’État en lui vendant de mauvais produits comme le fait le complexe militaro-industriel états-unien depuis trente ans. Les notions de droite et de gauche, d’interventionniste et d’isolationniste sont toutes aussi obsolètes. Ce qui se joue aujourd’hui est d’une autre nature.
Thierry Meyssan
Ce duo audacieux, Musk et Ramaswamy, a pour mission d’économiser 2 000 milliards de dollars, avec pour objectif un gouvernement plus léger d’ici 2026.
Coup de tonnerre à Washington ! Donald Trump, fraichement réélu et désormais seul maître à bord, vient de surprendre la planète entière en confiant à Elon Musk, le magnat de Tesla et SpaceX, la mission de réinventer le gouvernement américain. Son arme secrète ? Un tout nouveau ministère de l’« efficacité gouvernementale », surnommé avec une touche d’humour très « Muskienne » : le Department of Government Efficiency ou… « Doge » ! Ce clin d’œil au célèbre mème du chien Shiba Inu est à la fois une déclaration d’amour à la culture web et un pied de nez audacieux à la bureaucratie traditionnelle.
Le duo de choc : Musk et Ramaswamy, pour un gouvernement plus léger et agile
Aux côtés du climatosceptique Vivek Ramaswamy, autre homme d’affaires et soutien inébranlable du Parti républicain, Elon Musk s’attaque désormais à la bureaucratie comme il l’a fait pour les voitures électriques et les fusées : avec audace et passion. Investissant plus de 100 millions de dollars dans la campagne de Trump, Musk n’a pas hésité à plonger tête baissée dans ce défi d’envergure, fermement décidé à couper dans les dépenses « inutiles » du gouvernement. Donald Trump, avec son enthousiasme habituel, a déclaré : « Ces deux génies vont faire souffler un vent de liberté et d’efficacité dans nos agences fédérales. »
L’objectif ? Pas moins de 2.000 milliards de dollars d’économies dans un budget annuel d’environ 7.000 milliards. Avec cet argent « libéré », Trump promet de donner un nouvel élan à l’économie et de réduire le poids de la dette publique. « Apurer les dépenses excessives et rationaliser l’administration, voilà ce que veut le peuple ! » a affirmé Trump. Pour lui, ce ministère inédit, confié à deux alliés de premier plan, représente une véritable révolution, qu’il n’hésite pas à qualifier de « Projet Manhattan de notre temps ».
Le ministère Doge : quand la bureaucratie rencontre la culture internet
Le choix du nom « Doge » pour ce ministère a fait sourire plus d’un observateur. Ce clin d’œil au dogecoin, cryptomonnaie née d’une blague sur internet mais adoptée avec ferveur par Elon Musk, est le reflet d’une culture de l’innovation, mais aussi d’un humour mordant. Imaginez le ministère fédéral de l’efficacité orné d’un logo Shiba Inu ! Si Musk a souvent flirté avec l’absurde et les mèmes, il semble prêt à injecter une bonne dose de fantaisie dans la machinerie étatique. Le message est clair : l’administration Doge ne reculera devant rien pour bousculer les conventions.
Un « cadeau parfait » pour l’Amérique du 4 juillet 2026
Le duo Musk-Ramaswamy se voit confier une mission avec un timing qui fait déjà sourire : transformer le gouvernement d’ici au 4 juillet 2026, date symbolique du 250e anniversaire de la Déclaration d’Indépendance. Un objectif que Trump qualifie de « cadeau parfait » pour l’Amérique.
Alors que Musk et Ramaswamy s’attellent à cette tâche titanesque, la capitale bruisse déjà des ambitions et des changements à venir. Ce ministère, né sous le signe de l’audace, pourrait bien insuffler un vent nouveau et décoiffant dans les couloirs feutrés de Washington. D’ici là, chacun se demande : jusqu’où iront Musk et Ramaswamy pour faire de l’administration américaine une institution à la fois efficace… et un brin excentrique ?
Les prochains mois s’annoncent captivants – et qui sait, peut-être que le célèbre Shiba Inu finira par trôner dans les bureaux fédéraux.
Bonne nouvelle mes amis !
Enfin bonne, pas pour toutes les âmes sensibles de gauche qui pleurent la défaite de Kamalaty Jane, dont personne n’a voulu voir le manque de valeur face à Trump, un tantinet combattif (et que l’on peut ne pas aimer, tel n’est pas le sujet).
La bonne nouvelle c’est que l’or baisse, il s’effondre même depuis la victoire de Trump.
Pourquoi est-ce une bonne nouvelle me direz vous si l’on est détenteur d’or ?
Simple.
Je préfère un monde en paix avec de l’or qui baisse et mes enfants en vie, que mon or qui monte, une troisième guerre mondiale avec les Russes et les Chinois et mes fils se battant sur le front de l’Est contre des Nord-Coréens…
Simple.
Je vous le dis.
Un économiste de grenier normand est un homme simple, avec des préoccupations simples.
Tout mon “or” contre la vie de mes enfants.
Qu’a dit Trump ?
Qu’il n’allait pas déclencher de guerre mais mettre fin aux guerres.
Alors dites ce que vous voulez de Trump le fasciste, le raciste, le méchant, mais s’il devient un artisan de paix, alors le monde y gagnera, surtout les fils d’Ukraine et de Russie qui tombent par centaines de milliers depuis deux ans. Les mères ukrainiennes et russes y gagneront aussi. Les mères européennes, espérons-le, n’auront pas à pleurer leurs fils.
Alors oui.
L’or baisse sur des anticipations de paix.
J’aime la paix et vous ne me ferez jamais aimer la guerre.
Poutine n’arrive déjà pas occuper l’Ukraine… alors avant qu’il s’aventure plus loin cela relève de la pure imbécilité militaire et stratégique.
L’or baisse mes amis et c’est une bonne nouvelle.
Cela nous donne aussi le “montant” et le pourcentage exact de la prime de risque “géopolitique”. Merveilleux chiffre que l’on va pouvoir calculer avec précision.
L’or baisse et c’est une bonne nouvelle, car vous allez pouvoir en racheter à un meilleur prix. Nous allons avoir notre nouveau point d’entrée, parce que… l’or va remonter encore et encore.
Pourquoi ?
Parce que les taux vont baisser et que le problème des dettes ici en Europe comme là-bas en Amérique reste entier !
C’est la série spéciale d’ERTV qui vous plonge chaque semaine dans les coulisses de l’élection présidentielle américaine, un enjeu majeur qui se jouera le 5 novembre prochain.
Paul Verbeke accueillera Xavier Moreau pour décrypter en profondeur la relation Trump-Poutine, un sujet qui a nourri tant de spéculations et de controverses dans les médias internationaux. À cette occasion, Alain Soral se joindra également à la discussion pour enrichir le débat.
Cette décision a été révélée lors d’une conférence de presse, où Kennedy a critiqué le Parti démocrate, citant des préoccupations concernant la liberté d’expression et la guerre en Ukraine comme raisons de son soutien à Trump.
Kennedy a précisé que son nom resterait sur les bulletins de vote dans de nombreux États, mais qu’il se retirerait des bulletins dans environ dix États clés où sa candidature pourrait influencer le résultat. Il a également noté qu’il n’avait plus de « chemin réaliste vers la victoire » en raison de ce qu’il appelle une « censure systématique » dans le paysage politique américain.
Sa décision a été accueillie avec des réactions mitigées de la part de certains membres de sa famille, qui ont exprimé leur désaccord avec son choix de soutenir Trump. Mais Kennedy ne s’en est pas laissé compter et a expliqué dans un discours émouvant les raisons de sa décision, prise après une longue prière et un recueillement intérieur.
Au cours de l’année écoulée, j’ai commencé à utiliser l’expression «la grande inversion» ou, plus simplement, le faux réveil. Je dois encore expliquer pourquoi j’utilise ce terme et ce qu’il signifie exactement, bien que je sois sûr que les lecteurs/téléspectateurs l’ont en grande partie compris maintenant.
Je définis la Grande Inversion comme suit :
«Un faux réveil par lequel les masses d’amoureux de la liberté qui se réveillent régulièrement sont dupées (une fois de plus) et tombent dans le piège de faux héros et messies, et sont furtivement manipulées pour soutenir leur propre asservissement».
Essentiellement, je crois que la montée d’acteurs comme Elon Musk, Donald Trump, Tucker Carlson et d’autres figures fait partie d’un faux réveil en cours où de nombreux amoureux de la liberté à travers le monde se tournent vers ces figures comme la dernière ligne de défense contre la Classe des prédateurs et l’État technocratique.
Malgré les attaques contre Trump et Musk, leurs actions révèlent leur véritable caractère. J’ai largement documenté les façons dont Donald Trump sert le marais et n’est pas un ami de la liberté. Au moment même où j’écris ces lignes, Donald Trump vient d’annoncer que son choix pour la vice-présidence se porte sur J.D. Vance, un sioniste dont l’ascension a été rendue possible grâce aux 15 millions de dollars versés par Peter Thiel, le tristement célèbre «tech bro» de PayPal et de la société de surveillance Palantir, et membre du comité directeur du groupe Bilderberg.
Je sais que cela sera difficile à accepter pour certains à la lumière de la tentative d’assassinat, mais lisez la suite.
Pendant ce temps, Musk promeut les puces cérébrales, le transhumanisme, utilise ses satellites Starlink pour soutenir la guerre en Ukraine et, de manière générale, promeut une vision du monde qui ressemble beaucoup à la 4ème révolution industrielle du Forum économique mondial.
Je pense que le tableau d’ensemble est que la Classe Predator veut que Donald Trump gagne les (s)élections américaines pour créer plus de faux espoirs chez les Américains désillusionnés, les conservateurs et les libertariens qui n’ont pas encore vu ce que Trump représente réellement. À partir de là, nous assisterons à une poussée vers plus de chaos avant que l’ordre ne soit mis en œuvre.
Prenons, par exemple, le récent changement de cap des médias, qui ont appelé Biden à se retirer de la course en raison de son horrible performance au débat. Il est impossible que la Classe des prédateurs, les médias d’entreprise complaisants et les valets du parti démocrate n’aient pas su ce que des millions d’Américains savaient depuis plus d’un an.
Le DNC (et ses contrôleurs) aurait pu écarter Biden depuis longtemps, mais il est plus intéressant et permet de maintenir l’attention du public sur les (s)élections si, tous les deux jours, les gros titres sont : «Va-t-il se présenter ? Va-t-il se retirer ?»
Si Trump remporte l’élection (ce qui semble très probable), les puissances qui souhaitent qu’elles le soient seront en mesure d’apaiser de nombreux amoureux de la liberté qui se sont laissés séduire par la tromperie de Trump et de déclencher à nouveau la colère de la gauche. Nous devrions nous attendre à plus d’émeutes, plus de combats dans les rues et plus d’autoritarisme de la part de l’administration de Trump.
Les grandes lignes de la Grande Inversion
J’ai entendu pour la première fois le terme Grande Inversion de la part d’une créatrice de contenu chrétienne, Probably Alexandra. Bien que je ne partage pas son point de vue chrétien, je pense qu’elle a raison dans son analyse.
À la suite de la tentative d’assassinat, Alexandra a rappelé à ses lecteurs l’existence de TGI :
«Le concept de «Grande Inversion» suggère que les événements sociétaux majeurs sont manipulés ou mis en scène pour créer un récit spécifique ou atteindre certains objectifs. Les incidents violents, en particulier ceux qui impliquent des personnalités importantes, suscitent la peur et l’incertitude au sein de la population. Cette peur peut être exploitée pour introduire de nouvelles politiques, renforcer la surveillance ou justifier des mesures autoritaires. Dans ce cas, il est probable que cela favorise le «programme du côté lumineux», qui consiste à prendre le contrôle des institutions actuelles et à apporter des changements. Ils veulent modifier le récit et continuer à faire avancer «l’inversion»».
Dans un blog plus ancien, Alexandra définit plus précisément l’IGC :
«L’inversion représente le passage de l’ordre mondial actuel à un nouvel ordre mondial, mais pas de la manière à laquelle la plupart des gens sont conditionnés à s’attendre. C’est l’inversion de l’obscurité vers la lumière».
La Grande Réinitialisation (sombre) contre le Grand Réveil (clair)
Les mondialistes constituent la majeure partie du côté «sombre». Ils sont identifiés par leurs croyances. Dans le cadre de cet article, toute personne (aux yeux du public) qui s’oppose aux idéaux mondialistes serait considérée comme étant en faveur de l’agenda du côté «lumineux» et de tout ce qu’il implique, c’est-à-dire le contraire.
En ce moment, c’est le «Globalisme» (centralisation, censure de masse, la Grande Réinitialisation, etc.) contre le «Nationalisme» (décentralisation, liberté d’expression, le Grand Réveil, la souveraineté, etc.).
Inversion : le mot «inversion» signifie l’action d’inverser quelque chose ou l’état d’être inversé ; un renversement
«Dans certains cas, l’inversion est le contraire – le sombre et le clair, le chaud et le froid, etc. Ces oppositions sont des pôles l’un de l’autre. Les pôles sont constitués de deux idées opposées qui ne varient qu’en degré et qui sont unies par un axe».
Cette discussion sur les «pôles» et les idées qui semblent opposées mais qui sont en fait alignées d’une manière ou d’une autre est essentielle à notre conversation. Tout comme les partis républicain et démocrate aux États-Unis semblent souvent diamétralement opposés, nous voyons souvent comment ils s’alignent lorsqu’il s’agit de la guerre, de la surveillance, du soutien au sionisme et, d’une manière générale, de la suppression des droits de la population. Bien sûr, il y a de légères différences, mais au bout du compte, ils servent les mêmes maîtres.
Alexandra pense qu’il y a eu des inversions tout au long de l’histoire de l’humanité, mais que l’actuelle représente un changement à l’échelle mondiale. Elle évoque à nouveau les pôles de l’obscurité et de la lumière.
«La Grande Inversion se compose de deux pôles : l’obscurité et la lumière. Vous pouvez également considérer les pôles comme la main droite ou la main gauche reliées par le corps (axe). Ils ne sont ni indépendants l’un de l’autre, ni ennemis. Ils travaillent en symbiose pour atteindre un objectif commun, aussi désordonné soit-il. Les pôles sont reliés par un axe, ils ne peuvent donc jamais être séparés, ils ne peuvent que varier en degré.
Ils se divisent pour mieux se conquérir».
Je suis d’accord avec l’évaluation d’Alexandra et je pense que nous pouvons remonter plus loin dans le temps pour trouver des sources nous avertissant d’un phénomène similaire.
Rudolf Steiner : Lucifer, Ahriman et la conscience du Christ
Dans la conférence de Rudolf Steiner de 1919, Lucifer et Ahriman, le philosophe anthroposophe expose un concept similaire en utilisant le nom du Christ, Lucifer, et ce qu’il appelle Ahriman. Encore une fois, bien que je ne sois pas chrétien, je pense que l’analyse de Steiner peut s’appliquer à nos circonstances actuelles, quelles que soient nos croyances religieuses (ou leur absence). Que l’on croie ou non que ces forces représentent des êtres physiques/spirituels littéraux, je pense qu’il ne s’agit pas d’un sujet à ignorer.
Steiner pensait qu’il existait deux forces du mal, l’une sous la forme de Lucifer et l’autre sous la forme d’Ahriman. Bien que ces deux forces apparaissent et s’incarnent différemment, elles se trouvent en fait sur le même plan d’existence, l’énergie christique se situant au-dessus et au-delà de ces deux forces.
La bibliothèque en ligne Steiner indique que Steiner a averti que «l’humanité doit suivre une voie médiane consciente entre les deux puissances «tentatrices» de Lucifer et d’Ahriman». Alors que Lucifer pourrait être considéré comme représentant une fausse lumière, avec un accent sur les pratiques spirituelles qui éloignent les gens de l’énergie du Christ, Ahriman représente le matérialisme et une énergie plus mécanique et statique.
Alors que ces deux forces semblent travailler l’une contre l’autre ou en opposition, elles travaillent en fait de plus en plus ensemble au fil du temps.
«Tout comme il y a eu l’incarnation qui a culminé au Golgotha, l’incarnation du Christ dans l’homme Jésus de Nazareth, il y a eu une incarnation réelle de Lucifer dans la lointaine Asie, au troisième millénaire avant J.-C.», a déclaré Steiner lors de sa conférence. «Et la source d’inspiration d’une grande partie de la culture antique était ce que l’on ne peut décrire que comme une incarnation terrestre de Lucifer dans un homme de chair et de sang.
Cependant, ces incarnations n’étaient pas les seules à venir. Steiner a déclaré que «avant qu’une partie seulement du troisième millénaire de l’ère post-chrétienne ne se soit écoulée, il y aura, en Occident, une véritable incarnation d’Ahriman, Ahriman en chair et en os» : Ahriman en chair et en os».
Bien que Steiner affirme que les forces de Lucifer et du Christ sont plus familières à l’humanité, il prévient que l’humanité est terriblement mal informée et mal préparée à l’énergie ahrimanique.
«Si Ahriman pouvait se faufiler dans une humanité inconsciente de sa venue, cela le réjouirait au plus haut point. C’est pour cette raison que les événements et les tendances dans lesquels Ahriman travaille pour sa future incarnation doivent être mis en lumière», prévient Steiner.
Le temps est venu pour chaque homme de savoir quelles tendances et quels événements autour de lui sont des machinations d’Ahriman, afin de l’aider à se préparer à son incarnation prochaine».
Steiner a également mis en garde contre le fait qu’à son époque, les gens «n’apprécient plus l’esprit pour l’amour de l’esprit ou l’âme pour l’amour de l’âme» et ne sont captivés que par «ce qui est considéré comme «utile»». Il affirme que le nationalisme profite également à Ahriman et représente une occasion pour lui de s’emparer de l’humanité.
«Tout ce qui peut séparer les hommes en groupes, tout ce qui peut les éloigner de la compréhension mutuelle dans le monde entier et creuser des fossés entre eux, renforce l’impulsion d’Ahriman», a déclaré Steiner. Selon lui, «les liens du sang ont cessé d’être le facteur décisif» dans les relations humaines, mais si le nationalisme persistait, il «ferait directement le jeu d’Ahriman». Steiner a également mis en garde contre le fait que les intérêts d’Ahriman sont favorisés par la capture de l’humanité par les partis politiques.
Comme dans la discussion d’Alexandra sur les pôles, Steiner considère que ces deux forces représentent des pôles opposés avec des objectifs et des résultats similaires.
«Ahriman et Lucifer travailleront toujours main dans la main. La seule question est de savoir laquelle des deux prédomine dans la conscience de l’homme à une époque donnée».
Enfin, Steiner a averti que les «activités» d’Ahriman «prenaient de l’importance» au début des années 1900, lorsqu’il a donné la conférence.
Trump, Elon, Tucker et la grande inversion
Dans mon dernier article pour The Last American Vagabond, j’explique comment je pense que cette bataille entre la fausse lumière et l’obscurité se joue devant nous. Je crois que la montée de Trump, Elon, Tucker, etc. comme le bouclier du peuple, nous défendant contre la Classe Prédatrice, est une fausse dichotomie entre l’énergie Luciférienne et Ahrimanique.
«La Classe Prédatrice veut le chaos pour pouvoir mettre en place l’ordre. Elle créera le chaos de toutes les façons possibles. Si cela signifie tuer un candidat à la présidence qui est soutenu par des millions d’Américains (et détesté par des millions d’autres Américains), ils n’hésiteront pas à le faire.
Cependant, si le fait que Trump survive à une tentative d’assassinat sert mieux leurs objectifs, ils choisiront cette voie. Ils ne sont pas omnipotents ni invincibles, mais l’histoire montre que la classe des prédateurs qui dirige le gouvernement de l’ombre est tout à fait capable de mettre en scène des événements comportant à la fois des éléments réels et des éléments factices.
J’encourage les lecteurs à ne pas se laisser séduire par ces scénarios et à ne pas les prendre pour la réalité. Ce récit a pour but de créer le chaos et d’attirer davantage de personnes dans la mascarade de la politique et des élections truquées.
Le chaos ne fait que commencer. Les étatistes fanatiques de gauche et de droite continueront à se battre pour l’anneau du pouvoir, chacun jurant que Trump est le seul moyen d’arrêter Biden et les communistes, ou que Biden est la seule valeur sûre pour empêcher Trump de revenir au pouvoir. Tous deux ont raison et vendent une fausse dichotomie aux Américains qui n’ont pas encore compris que la politique n’est pas la réponse à nos problèmes.
Peu importe qui est derrière la tentative d’assassinat de Donald Trump, l’incident sera utilisé pour renforcer davantage le soutien au système politique corrompu et pour attiser davantage la division au sein du peuple américain».
J’encourage les lecteurs à s’accrocher à leurs valeurs et à leurs principes et à ne pas se laisser influencer par de faux prophètes qui ne vous sont présentés que pour faire avancer les mêmes programmes que ceux qu’ils prétendent combattre.
Il est intéressant de regarder de plus près les raisons pour lesquelles l’ancien président a fait ce choix. Un célèbre libertarien américain, Wayne Roote, a son idée sur la question.
Le choix d’un vice-président est toujours complexe pour un candidat à la présidence des Etats-Unis. Et Donald Trump a fait une mauvaise expérience, puisqu’il a été trahi, en fin de premier mandat, par Mike Pence, un homme politique catholique, très opposé à l’avortement mais qui a refusé d’aider Trump à démasquer la fraude du camp Biden lors de l’élection présidentielle de 2024.
Certains s’étonnent, pour cette raison, que l’ancien président ait chois, cette fois, un homme qui le critiquait durement il y a quelques années. Mais écoutons ce qu’a à en dire Wayne Root, célèbre libertarien américain...
La question de la sécurité autour de Donald Trump agite l’Amérique après la tentative d’assassinat qui a visé le candidat républicain à la présidentielle ce samedi 13 juillet, lors d’un meeting à Butler, en Pennsylvanie. « Clairement, nous allons avoir beaucoup de questions à poser sur ce qu’il s’est passé », a réagi Steve Scalise, chef de la majorité républicaine à la Chambre des représentants.
Donald Trump a été touché à l’oreille. Exfiltré par les agents du Service secret, l’ancien président a été examiné par des médecins et se porte bien. Mais un militant présent dans le public, également touché, est décédé. Le FBI dit avoir identifié le tireur comme étant « Thomas Matthew Crooks, 20 ans, de Bethel Park, Pennsylvanie ». Il a été abattu après avoir tiré.
[…]
Plusieurs témoins ont affirmé avoir aperçu le tireur avant qu’il n’ouvre le feu et avoir tenté d’alerter la police de la ville, qui a rapporté avoir « répondu à un certain nombre de rapports d’activité suspecte », sans donner plus de précisions. Un témoin interrogé par la BBC assure avoir vu « un homme ramper sur le toit » et l’avoir montré « pendant plusieurs minutes » aux forces de l’ordre. « On pouvait clairement le voir avec son arme », a-t-il ajouté, expliquant que la police semblait ne pas comprendre ce qu’il se passait. Selon lui, l’inclinaison du toit faisait que les agents du Service secret ne pouvaient probablement pas le voir de là où ils se trouvaient.
[…]
Personne n’aime perdre, mais les gauchistes poussent l’indignation de la défaite à un tout autre niveau. Bien qu’ils prétendent « défendre la démocratie » pendant leur temps libre, les démocrates ont également tendance à abandonner le processus démocratique lorsque celui-ci interfère avec leurs intentions de rester au pouvoir.
Exemple concret : La récente décision de la Cour suprême d’accorder l’immunité à Donald Trump dans le cas de « certains actes officiels » accomplis pendant son mandat. Les gauchistes ont réagi avec indignation à cette décision, une grande partie de leurs espoirs politiques reposant sur la stratégie consistant à enterrer Trump dans autant de batailles juridiques que possible pour l’empêcher de se présenter à nouveau à l’élection présidentielle. Les démocrates inondent à présent les médias sociaux et les fils d’actualité en suggérant que la décision de la Cour suprême permet à Joe Biden, en tant que président, d’éliminer la concurrence conservatrice « dans le cadre de ses fonctions officielles ».
Les outils permettant de punir légalement les présidents existent déjà, notamment la destitution et les accusations de trahison. Et, n’oubliez pas, si Trump ne bénéficie pas d’une immunité pour ses actions antérieures en tant que président, alors aucun autre président n’en bénéficie non plus. Combien de squelettes y a-t-il dans les placards d’hommes comme Bill Clinton, George W. Bush ou Barack Obama ?
En outre, l’assassinat d’un opposant politique ou des membres conservateurs de la Cour suprême n’est pas reconnu comme un devoir officiel de la présidence. Comme d’habitude, les démocrates poussent leurs conclusions à l’extrême afin de provoquer la peur du public par le biais d’une désinformation émotionnelle. Les gauchistes fantasment publiquement sur l’assassinat de Trump depuis un certain temps déjà. Cependant, ces « théories » sur la façon dont Biden pourrait répondre à la Cour suprême ne sont pas de simples hypothèses pour le plaisir d’argumenter, il y a un élément de désespoir et de soif de sang.
Ce qui les contrarie vraiment, c’est le fait que Trump soit libre de terminer sa course électorale contre un Joe Biden mentalement déficient. Ils sont également terrifiés à l’idée que Trump puisse lui rendre la pareille et se venger s’il retourne dans le bureau ovale.
Trois des quatre affaires pénales intentées contre Trump l’année dernière ne seront plus d’actualité, ce qui empêchera probablement la tenue d’un procès dans l’affaire de subversion électorale fédérale avant le mois de novembre. La quatrième affaire, le procès sur les pots-de-vin qui a abouti à sa condamnation cette année, est considérée comme la plus faible de toutes, car elle visait à transformer des accusations de délit mineur en accusations de crime en utilisant une loi obscure.
Il convient de noter que les présidents bénéficient déjà d’une immunité en matière de responsabilité civile pendant leur mandat et qu’ils doivent être mis en accusation en cas de violation pour que des poursuites puissent être engagées. La Cour suprême a simplement étendu cette immunité aux poursuites pénales.
Indépendamment de ce que vous pensez de Donald Trump, il est clair que les démocrates se sont engagés dans une stratégie de « guerre juridique », c’est-à-dire l’utilisation des tribunaux comme moyen de détruire un adversaire politique au lieu de l’affronter directement dans l’arène électorale. La majorité des accusations portées contre Trump sont au mieux des farces, avec peu ou pas de preuves à l’appui de la commission d’un crime réel.
Il est probable que la Cour suprême réagisse à cette guerre juridique en la limitant aux affaires pénales ne relevant pas d’actes présidentiels, ce qui n’est pas le cas. Dans le cas contraire, les chicaneries des démocrates paralyseraient la présidence pour les années à venir et chaque parti et chaque président devraient désormais s’engager dans la même bataille juridique pour être compétitifs.