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la croisée des chemins

Aube DigitaleLes théoriciens du complot avaient raison sur toute la ligne – et maintenant ?

Aube Digitale - 21 fév 2025

Depuis de nombreuses années, les économistes alternatifs et les « théoriciens du complot » affirment que, d’après les faits, une cabale criminelle organisée met en œuvre un programme de longue haleine visant à exploiter et, à terme, à détruire la culture occidentale.

   

Nous avons suggéré qu’une grande partie de ce programme était financée par nos propres impôts, tout en utilisant les institutions gouvernementales et les ONG comme vecteurs d’ingénierie sociale.

Au cours des 20 années qui se sont écoulées depuis que j’ai commencé à travailler dans le mouvement pour la liberté (ou mouvement patriote), j’ai été témoin d’une corruption inimaginable, qui a culminé en 2020-2023, lorsque nombre d’entre nous se sont battus contre l’imposition d’une tyrannie médicale totale et d’un endoctrinement de masse wokiste. Même après cette période orwellienne saisissante, on nous traitait encore de conspirationnistes, mais la prise de conscience du public évolue rapidement.

J’en ai vu assez pour savoir que ce qui se passe aujourd’hui est vraiment sans précédent. Nous sommes à la croisée des chemins, à une époque où la réalité n’est plus rejetée au nom du confort collectif et où la « conspiration » devient un fait historique. C’est une période passionnante, mais aussi potentiellement dangereuse.

J’ai toujours pensé qu’une fois que le château de cartes s’écroulerait et que la vérité serait révélée au grand public, un grand nombre de sceptiques qui nous traitaient de « fous marginaux » et de « chapeliers en fer-blanc » prétendraient soudain qu’ils « l’avaient vu venir depuis le début ». Oui, les théoriciens du complot avaient raison, à propos de TOUT. La vérité éclate au grand jour, mais qu’est-ce que cela signifie pour l’avenir ?

L’Amérique peut-elle supporter la vérité ?
Le récent démantèlement de l’USAID et les enquêtes ouvertes sur de nombreuses agences fédérales ont ouvert une boîte de Pandore ; les financements occultes dans lesquels ces institutions sont impliquées (y compris des millions de dollars versés à divers médias et plateformes de propagande) ne sont, à mon avis, que la partie émergée d’un énorme iceberg qui pourrait très bien faire couler le système américain plus vite que le Titanic.

Le DOGE d’Elon Musk commence à peine à s’aventurer dans les eaux sombres du Trésor, de Medicaid, de la sécurité sociale et du département de la défense. Nous savons tous que des monstres horribles se cachent dans ces profondeurs. Cela ne prend même pas en compte les activités cachées des contrôleurs de la Réserve fédérale.

Les médias de l’establishment affirment que l’USAID ne représente que 1 % du budget fédéral total, comme si cela rendait le gaspillage budgétaire acceptable. Mais s’il y a autant de mauvaise gestion et d’abus dans une petite organisation comme l’USAID, imaginez l’ampleur de la fraude dans le reste du gouvernement fédéral ? .

Au fil des ans, nombre d’entre nous, spécialistes de l’économie alternative, se sont demandé si notre pays serait capable de faire face à la révélation que presque tout dans notre système est faux. La moitié du pays s’en doutait, mais que se passerait-il si nous avions des preuves tangibles – un pistolet fumant ?

L’USAID est ce pistolet fumant, la preuve de la mort, mais ce n’est qu’un des nombreux cadavres enterrés qui sont sur le point d’être découverts. Les vraies révélations viendront lorsque le DOGE découvrira à quel point la politique américaine est dirigée et contrôlée par des entités situées à l’EXTÉRIEUR de notre propre pays.

Que se passera-t-il lorsqu’elle enquêtera sur les nombreux réseaux financiers et politiques liés au FEM, au DAVOS, à la Banque mondiale, au FMI, à la BRI et aux groupes de réflexion internationaux tels que le CFR, Tavistock, l’Atlantic Council, la Fondation Ford, la Fondation Rockefeller et l’Open Society Foundations ? Qu’en est-il de l’influence des investissements de Black Rock, Vanguard, Goldman Sachs, JP Morgan, etc.

Lorsque la main des mondialistes derrière la porte tournante de l’argent sera révélée, lorsque le gouvernement de l’ombre deviendra un fait concret et indéniable, le public va-t-il s’affoler ?

La gauche politique est un ennemi de la liberté et de la moralité, oui, mais le plus grand problème est qu’elle est un outil utile pour des intérêts élitistes plus puissants. Il s’agit d’un cartel, d’une oligarchie qui travaille ensemble pour faire tomber l’Occident de l’intérieur et le remplacer par quelque chose de nouveau. Une nouvelle idéologie et une nouvelle économie qui transformeraient effectivement la majorité de la population en serfs involontaires.

Il y a seulement quatre ans, le FEM se vantait de l’avènement de la « 4e révolution industrielle », de la montée de la « société sans argent liquide », de la « ville du quart d’heure » et de l' »économie du partage« . Et, comme nous le savons maintenant, nombre de ces projets ont été financés avec l’argent de nos impôts. Les mondialistes étaient tellement convaincus qu’ils tenaient la population à bout de bras. Ils pensaient avoir gagné.

Ce n’est que grâce aux efforts inlassables des militants du mouvement pour la liberté et des conservateurs du monde entier que le plan a été perturbé et que les mondialistes ont dû battre en retraite. Cependant, le combat est loin d’être terminé. Certains problèmes importants doivent être résolus alors que nous entrons dans l’ère de la transparence. Voici ce qui va probablement se passer ensuite…

Sabotage enragé de la part de la gauche politique
Le gouvernement fait effectivement l’objet d’un audit par l’administration Trump, et les démocrates sont enragés. Pourquoi ? Parce qu’ils (et une poignée de Néo-Cons) savent très bien ce que cet audit va trouver. Les juges activistes et les politiciens progressistes vont faire obstruction et interférer avec le processus autant qu’ils le peuvent. L’ensemble de leur structure de pouvoir dépend du détournement régulier de l’argent des contribuables et de l’utilisation constante de la presse à billets.

Pour ceux qui ne comprennent pas ce qui se passe avec l’USAID, je suggère qu’ils fassent des recherches sur les programmes ESG et ce qu’ils font. L’USAID était essentiellement un véhicule pour l’ESG mondial (Environnement, Social, Gouvernance ; un acronyme vide de sens conçu pour cacher un programme de socialisme mondial) et elle dépensait des sommes incroyables pour répandre la propagande wokiste dans toutes les facettes de notre société.

Les actions en justice des gauchistes ne changeront pas grand-chose à long terme, mais ils essaieront tout de même de retarder les choses. Ces retards serviront à gagner du temps pour les médias. Ils s’efforcent de présenter le DOGE comme une sorte d’entité totalitaire « détruisant la démocratie », alors que les autoritaires n’ont jamais recherché et ne rechercheront jamais la transparence gouvernementale ; ce n’est pas le cas. Les autoritaires recherchent TOUJOURS l’obscurité et le secret occulte autour de leurs activités. Les gauchistes, par leurs propres actions, se révèlent être les véritables totalitaires.

Les démocrates et les ONG de l’establishment continueront d’essayer de fomenter des troubles civils et utiliseront les wokistes comme chair à canon dans ce combat. Tout est bon pour détourner l’attention du public des preuves de leur criminalité. Il faut s’attendre à des actes de violence et de terrorisme.

Le ralentissement économique est inévitable – Trump sera blâmé
Les grandes coupes budgétaires sont essentielles pour sauver l’économie à long terme, mais elles sont aussi une arme à double tranchant à court terme. Par exemple, les statistiques du PIB américain reposent en grande partie sur les dépenses publiques dans leurs calculs (elles ne devraient pas, mais elles le font). Les dépenses publiques représentent environ 36 % du PIB de notre pays. Il s’agit d’une méthodologie utilisée au cours des dernières décennies pour donner l’impression que notre santé économique est plus solide qu’elle ne l’est en réalité.

Lorsque Trump procédera à des coupes sombres dans les dépenses publiques, il donnera l’impression que le PIB est en train de chuter. Les gauchistes prétendront que les politiques de Trump font s’effondrer le système financier.

En outre, je préviens depuis un certain temps que l’administration Biden s’est livrée à une manipulation complexe des données. Maintenant que Biden est parti, les vraies données sortent déjà et elles ne sont pas bonnes. Les chiffres de l’inflation et de l’emploi de l’ère Biden sont « ajustés », comme je l’avais prédit, et révèlent une économie bien plus faible que ce qui avait été initialement annoncé. Les statistiques du commerce de détail et le PIB suivront.

Le public américain aura besoin d’un cours accéléré sur le fonctionnement de l’économie et sur les responsables de la récession, sinon les médias gauchistes s’en donneront à cœur joie avec les statistiques révisées.

Le monde de l’investissement peut-il supporter la vérité ?
Lorsque le niveau de fraude au sein du système américain sera pleinement révélé, le monde de l’investissement paniquera-t-il ? Retireront-ils leur argent des marchés américains qui ont longtemps été soutenus artificiellement par des fonds publics et l’intervention des banques centrales ? Ce sont des questions valables que nous devons examiner. Quoi qu’il en soit, la vérité doit éclater au grand jour ; rien ne peut être réparé tant que la source de la pourriture n’est pas découverte. Cela dit, l’Amérique vit depuis longtemps selon le mantra « l’ignorance est une bénédiction ».

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Jérémie Mercier - garder son esprit critique

Jérémie MercierRetrouver un cerveau sain : tout un travail

Jérémie Mercier - 11 fév 2025

Jérémie Mercier : veiller à garder son esprit critique

   

Propagande et opposition contrôlée : l'attrape complotiste Donald Trump, l'opération psychologique QAnon...

«Quand il y a une propagande, il y a des gens qui résistent à la propagande dominante et pour les rameuter comme le reste du troupeau, on va utiliser une autre propagande cette fois à destination des dissidents».

Jérémie Mercier

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Trump et l'état profond

Revolution 2030 : autre sourceTrump et l'état profond : Escape Game - ep. 9

Revolution 2030 : autre source - 10 fév 2025

Miconova News le 08 février 2025 : Trump, deux semaines au pouvoir... synthèse

   

Deux semaines après l’investiture de Donald Trump on commence à voir le sens de ce que signifie « tenir ses promesses ». Le mouvement de libération de l’humanité enchaine les victoires, c’est le moment d’être enthousiaste. Nous recevons Fred Boussard pour y voir plus clair et partager une vision optimiste. On fait un point de situation, on parle stratégie, on confirme l’opération militaire en cours pour relier les évidences qui nous amènent à percevoir le scénario qui ne se déroule plus en coulisse mais devient visible aux yeux de tous.

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la tronçonneuse de Xavier Milei

GéopolintelTrump dégraisse son administration avec la tronçonneuse de Xavier Milei

Géopolintel - 05 fév 2025

Toute la classe politique et journalistique a été médusée et a crié au scandale quand Xavier Milei a dissous les ministères de son gouvernement qu’il jugeait inutiles et coûteux. Il l’a exprimé de façon théâtrale en martelant « Afuera » tout en enlevant les noms des agences gouvernementales qui étaient inscrites sur un tableau blanc.

   

Souvenons-nous de sa verve qualifiée de folie quand il promettait d’assainir les finances du pays muni d’une tronçonneuse, personne n’y croyait. Mais sa politique choc a payé et a permis à l’Argentine de redresser les comptes de l’administration en les ramenant à l’équilibre et même en positif pour la première fois en 123 ans.

Milei compte supprimer pas moins de 70 000 postes de fonctionnaires.

Trump semble prendre le même chemin et montrer la voie de l’origine des problèmes de la dette des administrations qui versent des milliards pour des causes qui ne servent que les objectifs des mondialistes avec la finance verte, le lgbtisme et la transition climatique.
Ce canular climatique inventé par l’ONU en 2004 ne passera pas l’année et les peuples vont voir qu’avec cette purge, les états peuvent parvenir à financer et redresser leur administration.

Elon Musk est l’homme à l’origine de cette politique audacieuse qu’il a lui même mise en pratique en rachetant Twitter, et fait la démonstration que ce mastodonte des réseaux sociaux pouvait mieux fonctionner avec seulement une centaine de personnes.

Donald Trump a commencé la purge de l’administration américaine en supprimant les bureaux de la diversité et en licenciant les fonctionnaires. L’Agence de protection de l’environnement (EPA) a subi la même sentence et il est question de supprimer l’USAID, l’agence des États-Unis pour le développement international qui est en fait une couverture de la CIA qui selon les derniers rapports de la Maison Blanche, a participé à la fraude du Covid.

L’animateur de télévision, Glenn Beck a déclaré sur le réseau X que :

"L’USAID n’est pas une organisation « humanitaire ». C’est une façade de la CIA. C’est la raison pour laquelle le reste du monde nous déteste.
En échange de l’argent de nos impôts, nous avons demandé à des pays de changer leurs lois, d’accepter l’avortement, de promouvoir le transgenre dans leurs écoles, d’ouvrir leurs marchés aux multinationales et de nous autoriser à mener des opérations militaires sur leur sol.
Et pourtant, le peuple américain n’en sait rien. Tout cela est enveloppé dans le joli paquet brillant de « l’assistance humanitaire ».« »Voici ce qui se passera si Elon musk, Donald Trump et le DOGE parviennent à enlever le secret de cette opération : Pour une fois, les bureaucrates perdent le contrôle de l’une de leurs nombreuses cachettes. La communauté du renseignement perd l’un de ses « outils utiles » pour le changement de régime. Et le peuple américain pourrait enfin voir à quel point l’argent qu’il a durement gagné a été utilisé non pas pour construire des écoles ou nourrir les affamés, mais pour manipuler des gouvernements étrangers et maintenir notre empire d’influence."

Pour démarrer ce mois de février, L’administration Trump a décidé de prendre des mesures pour supprimer le département de l’éducation. Le Wall Street Journal a rapporté que les conseillers de Trump envisageaient des mesures exécutives pour démanteler le département de l’éducation dans le cadre d’une campagne du milliardaire Elon Musk visant à réduire la taille du gouvernement.
Les fonctionnaires américains ont débattu d’un décret qui mettrait fin à toutes les fonctions du département de l’éducation qui ne sont pas explicitement inscrites dans la loi ou qui déplacerait certaines fonctions vers d’autres départements. Le décret aura pour objectif d’élaborer une proposition législative pour abolir le département.
ABC News a rapporté lundi que des dizaines d’employés du ministère de l’éducation avaient reçu des lettres les plaçant en congé administratif dès la fermeture des bureaux ce vendredi.

« Je fermerai le ministère fédéral de l’éducation et nous ramènerons tout aux États, là où c’est nécessaire ». Donald Trump

Il fallait comprendre que les finances de cet Etat Profond étaient alimentées par le détournement de nos impôts. Cet effet domino va gagner la planète et fera tomber les régimes des mondialistes qui survivent encore en Europe.

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Trump et les oligarques technocratiques

Le courrier des stratègesDéchiffrer le trumpisme : 50 nuances de Trump !

Le courrier des stratèges - 23 jan 2025

Certains courants d’influence en France tentent de limiter le trumpisme à une lutte contre le wokisme et l’influence LGBT, parfois en le diabolisant, parfois en l’idolâtrant. Mais de quoi parle-t-on réellement lorsqu’on parle du trumpisme ?

   

Dans cette trilatérale (Meyssan – Husson – Verhaeghe), nous nous attardons sur ce qui nous semble en être le coeur : un projet de prospérité économique fondé sur une politique industrielle tournée autour de l’IA et de l’énergie.

Dans cette émission trilatérale quinzomadaire, nous faisons le point sur l’arrivée de Trump au pouvoir.

En France, des influenceurs à l’indépendance financière peu démontrée tendent à réduire le trumpisme à une simple lutte contre le wokisme et l’idéologie LGBT, en minorant ce qui nous semble essentiel : le déploiement d’une politique économique ambitieuse, avec une stratégie industrielle de développement rapide et massif pour l’intelligence artificielle car un élargissement des ressources énergétiques. Cette minoration du volet libéral-libertarien du projet trumpiste permet de désamorcer, chez les conservateurs européens, toute prise de conscience du déclassement qui nous attend, et toute réaction contre celui-ci.

Pourtant, le fond du projet trumpiste déborde très largement la simple réaction aux déviances du progressisme. Donald Trump porte en lui une vision quasi-messianique de sa mission, indissociable d’une affirmation nationaliste américaine qui repose désormais sur plusieurs piliers :

- un droit à prendre les ressources fossiles là où elles se trouvent
- une volonté d’assurer la prééminence américaine sur le monde grâce à l’intelligence artificielle
- une politique protectionniste que Trump présente comme une façon de financer l’Etat américain
- une connivence entre les géants américains de la tech
- un « marketing » fondé sur un rejet du progressisme

L’avenir permettra de clarifier la question… mais il semble évident que, en Europe, l’essentiel de ce projet passe inaperçu, à un moment où l’Europe devrait massivement réagir aux menaces industrielles qui pèsent sur elle.

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Trump - action

InsolentiaeTrump effect. Diriger c’est décider !

Insolentiae - 22 jan 2025

Dans ce monde où penser est très compliqué, il faut prendre systématiquement quelques précautions oratoires, et même ainsi, il n’est pas rare de ne tout de même pas être compris.

   

Trump n’est pas mon président pas plus que le vôtre. Il va suivre les intérêts américains et pas les nôtres. Une fois posé ce petit préambule qui devrait être inutile, passons à l’analyse.

Pour analyser une situation, il ne sert à rien d’insulter l’autre. Insulter l’adversaire peut sans doute faire du bien à ceux qui ont quelques menus problèmes de gestion des émotions, mais cela n’apporte strictement rien.

Ne pas insulter Trump, n’est donc pas une adhésion sans réserve à sa politique ou à l’homme… mais juste le point de départ nécessaire pour pouvoir penser et analyser.

Qu’a fait Trump en arrivant dans le bureau Ovale ?

Il a signé des dizaines de décrets qu’il avait préparés avant son intronisation.

Pourquoi ?

Parce que diriger c’est décider.

Pour décider il faut avoir une stratégie, des objectifs et des étapes intermédiaires pour les atteindre.

Pour décider, il faut une vision et donc une clarté sur le chemin que l’on souhaite prendre.

Trump, pour que vous le compreniez bien, n’est pas juste un businessman, plein de sous et pragmatique.

Trump est un homme qui a défini un chemin à prendre pour son pays. C’est un chemin qu’il pense nécessaire pour restaurer la puissance américaine et endiguer le déclin à travers une ambition notamment scolaire et culturelle.

C’est le chemin qu’il pense pertinent dans ce siècle de la connaissance et de l’IA pour rester ou redevenir compétitif face à géant comme la Chine qui est LA menace stratégique pour les Etats-Unis.

Notre problème n’est pas Trump, c’est nous-mêmes !

Le fond de ma pensée, c’est que le problème, notre problème, ce n’est pas tant Trump ou Musk. C’est nous-mêmes.

Personne ne nous force à nous endetter.

Personne ne nous force à dépenser notre argent n’importe comment dans des primes de rentrée ou des primes de Noël. Dans des machins appelés agences d’Etat, ou encore par dizaines de milliards dans la formation professionnelle qui ne forme rien, si peu ou si mal et on peut multiplier les exemples petits et grands par centaines.

Personne ne nous force à supporter les méchants dans les rues.

Personne ne nous force à faire encore plus de normes que les déjà trop nombreuses normes européennes.

Personne ne nous force à faire plus d’égalité ce qui est synonyme de faire toujours plus d’impôts.

Personne ne nous force à tout cela.

Personne ne nous force à être ballotés dans un navire sans capitaine tenant la barre.

L’impuissance de nos dirigeants n’est pas une fatalité.

Je répète.

L’impuissance n’est pas une fatalité.

L’impuissance est un choix.

L’impuissance est une résignation.

Diriger c’est décider.

Décider c’est tenir la barre, donner un cap, mener sur un chemin vers une vision partagée.

Nous pouvons décider de nous retrousser les manches, de nous aussi retrouver le chemin de la prospérité pour le bien de tous.

Ce qui est certain, c’est que ceux qui pensent qu’il faut plus d’Europe, un grand “sot” fédéral, un budget européen, des dettes européennes et un impôt évidemment européen, se trompent.

C’est typiquement français.

Ils ont tellement pris l’habitude de faire la poche des “riches” Français au nom de la justice et de l’égalité, qu’ils pensent que les autres pays accepteront de se faire faire les poches comme les petits riches français (la classe moyenne).

Et bien ils se trompent.

Diriger c’est décider, pas taxer, ni voler dans les poches des autres.

C’est ça le premier des Trump Effects…

Voici quelques-unes des décisions prises dans les toutes premières heures de son mandat. Vous pouvez être d’accord ou totalement opposé à ces décisions. Mais, ce sont des décisions, qui forment une vision, un objectif à atteindre, un corpus cohérent et donc une stratégies viable. Et nous ?

Urgence nationale à la frontière avec le Mexique
Relance de la construction du Mur à la frontière avec le Mexique
Fin des admissions des réfugiés aux USA pendant 4 mois
Ajout de nombreux cartels de drogue dans la liste des entités terroristes
Les USA sortent de l’Organisation Mondiale de la Santé
Les USA sortent des accords de Paris
Fin des sanctions contre les colons Israéliens impliqués dans des actes violents en Cisjordanie
Fin des programmes gouvernementaux promouvant la diversité
Reconnaissance uniquement du genre masculin & féminin
Fin du droit de naissance pour les enfants nés de parents en situation irrégulière
Grâce présidentielle de la quasi-totalité des émeutiers de l’attaque du Capitole
Multiplication des décrets pour favoriser l’exploitation du pétrole & du gaz de schiste
Fin du New Deal Vert promu par J. Biden sur les énergies renouvelables
Fin de la construction d’éoliennes sur le sol Américain
Retard sur l’interdiction de Tiktok
Gel des recrutements fédéraux (sauf armée)
Fin de l’obligation vaccinale COVID pour les employés fédéraux
Fin du télétravail pour les fonctionnaires fédéraux
Le Golfe du Mexique est renommé Golfe de l’Amérique
Décret facilitant l’habilitation au Secret Défense sans passer par le processus d’approbation traditionnel

Si ce n’est pas vous qui décidez pour vous-même, alors cela revient à dire que vous laissez les autres décider pour vous.

C’est exactement ce qui se passe pour la France.

Nous ne décidons plus pour nous, nous subissons, nous sommes ballotés dans tous les sens et à tous vents.

Nous ne décidons plus parce que c’est l’Europe qui décide pour nous, c’est l’OMS, c’est la Cour européenne de justice, c’est la BCE, c’est la Commission européenne etc… vous avez compris.

Nous de décidons plus parce que nous avons abdiqué notre souveraineté.

Diriger, c’est donc décider.

Pour pouvoir décider il faut disposer des leviers de sa souveraineté.

Pour diriger il faut être souverain.

CQFD.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

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Trump - empire américain

VoltairenetTrump et Musk, le Canada, le Panama et le Groenland, une vieille histoire

Voltairenet - 15 jan 2025

Le président réélu Donald Trump a évoqué une possible annexion du canal de Panama, du Canada et du Groenland. Un projet farfelu qui figurait déjà sur une carte, imaginée en 1941 par un adepte du mouvement technocratique.

   

Or, c’est la branche française de ce mouvement qui inventa le transhumanisme cher à Elon Musk, dont le grand-père fut responsable de la branche canadienne du mouvement technocratique.

es déclarations du président états-unien réélu, Donald Trump, avant son investiture, annonçant qu’il se proposait d’acheter le Groenland (ce qu’il avait déjà comparé en 2019 à une « grosse transaction immobilière ») et d’annexer aussi bien le Canada que le canal de Panama nous ont stupéfaits. Aucun dirigeant occidental n’avait tenu de tels propos depuis la Seconde Guerre mondiale. La classe dirigeante états-unienne y a plutôt vu une « nouvelle frontière », c’est-à-dire de nouveaux territoires où leur pays pourrait continuer sa progression.

Le gouvernement danois, dont dépend le Groenland, a indiqué que celui-ci n’est pas à vendre, que c’est un « territoire autonome » dont seuls les Groenlandais sont propriétaires. Le chancelier allemand, Olaf Scholz, a appelé que « le principe de l’inviolabilité des frontières s’applique à tous les pays... qu’il s’agisse d’un très petit, ou d’un pays très puissant. » Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a commenté : « Il ne fait évidemment aucun doute que l’Union européenne ne laisserait pas d’autres nations du monde s’attaquer à ses frontières souveraines. » Selon le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lamy, Donald Trump « soulève des inquiétudes à propos de la Russie et la Chine dans l’Arctique, qui concernent la sécurité économique nationale » des États-Unis, Ce sont « des questions légitimes. » Enfin, pour la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, ces déclarations sont « davantage un message destiné » à « d’autres grandes puissances plutôt que des revendications hostiles envers ces pays. Il s’agit de deux territoires où ces dernières années nous avons assisté à un activisme croissant de la Chine. »

Le Premier ministre du Canada, Justin Trudeau, qui s’est fait élire en tant que fils de Pierre Trudeau et donc comme défenseur de l’indépendance nationale, s’est avéré n’être qu’un suiviste de Washington. Il n’avait donc rien à répondre à ce qui paraît être une évidence : en adhérant aux États-Unis, son pays n’aurait rien à perdre qu’il n’a déjà perdu et tout le reste à gagner. Il a donc démissionné.

Concernant le canal de Panama, Donald Trump avait insinué qu’il était exploité par l’armée chinoise. Le président du Panama, José Raúl Mulino, lui a répondu : « Le canal n’est contrôlé, directement ou indirectement, ni par la Chine, ni par la Communauté européenne, ni par les États-Unis ni par toute autre puissance. En tant que Panaméen, je rejette fermement toute expression qui déforme cette réalité ».

Nous allons exposer ici que ces idées d’annexion ne sont pas nouvelles, mais datent de la crise de 1929, et qu’elles correspondent à un corpus idéologique cohérent défendu, jusqu’à la semaine dernière, par le seul multi-milliardaire Elon Musk que nous connaissions plutôt comme un admirateur de l’ingénieur serbe Nicolas Tesla et comme un adepte du transhumanisme.

Lors de la « Grande dépression », c’est-à-dire de la crise de Wall Street et de la tempête économique qui suivit, la totalité des élites états-uniennes et européennes considéra que le capitalisme, sous sa forme d’alors, était définitivement mort. Joseph Staline proposa le modèle soviétique comme seule réponse à la crise, tandis que Benito Mussolini (ancien représentant de Lénine en Italie) proposa au contraire, le fascisme. Mais aux États-Unis, une troisième solution fut proposée : la technocratie.

Critiquant la lecture traditionnelle de l’offre et de la demande, l’économiste Thorstein Veblen s’intéressa aux motivations des acheteurs. Il montra que l’homme qui peut s’offrir du loisir le fait en réalité pour conforter sa supériorité sociale, et doit par conséquent le montrer. Les loisirs ne sont donc pas une forme de paresse, mais « expriment la consommation improductive du temps ». Par conséquent, dans de nombreuses situations, contrairement à ce que l’on croit, « Plus le prix d’un bien augmente, plus sa consommation augmente également » (paradoxe de Veblen). Ce ne sont donc pas les prix, mais les comportements de groupe et les motivations individuelles qui dictent l’économie.

La pensée iconoclaste de Thorstein Veblen donna naissance, entre autres, au mouvement technocratique d’Howard Scott. Celui-ci imagina que le pouvoir ne soit donné ni aux capitalistes, ni aux prolétaires, mais aux techniciens.

Ce mouvement s’est exporté en France autour de polytechniciens, notamment le romancier ésotérique Raymond Abellio (qui fonda la secte dont François Mitterrand fut membre jusqu’à sa mort) et de Jean Coutrot, l’inventeur du transhumanisme. De fil en aiguille, ce mouvement aurait engendré dans les milieux occultistes du régime de Philippe Pétain une société secrète, la Synarchie.

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Groenland en ligne de mire

Réseau InternationalLe «canular» du Groenland : Un Trump, ça Trompe énormément

Réseau International - 27 déc 2024

Le Groenland qui serait acheté aux Danois soumis à la Volonté du Tout-Puissant.

   

S’il est dans la nature de l’Homme de prendre ses souhaits pour des réalités – «wishful thinking» en anglais – le désastre que nous vivons en Palestine, au Liban et en Syrie, accueilli par le silence fort expressif de l’entourage du président US élu, devrait nous en désabuser.

Cependant, excédés par les horreurs perpétrés par les Suspects Habituels qui ont fait gigoter le larve «Biden», nombreux sont les dissidents européens qui applaudissent chaque perle ou plutôt bulle de Coca Cola tombée de la bouche d’un Sauveur bavard : ce président élu aux cheveux oranges, le Tromp.

En faisant abstraction des réalités : ce dernier est celui qui s’est retiré du Traité des missiles à portée intermédiaire en 2019, qui a cassé en 2018 l’accord dit «Joint Comprehensive Plan of Action» sur le nucléaire iranien, qui a imposé de nouvelles sanctions sur l’Iran, qui a accepté ou couvert en 2020 l’assassinat du général Qassem Soleimani – «le Clausewitz des temps modernes» selon Alastair Crooke – qui a accepté ou couvert le bombardement de la Syrie en avril 2018.

Des faits irréductibles et de portée stratégique

En passant, le Trompe n’a pas levé le petit doigt pour reconstruire l’infrastructure des USA – ouvrages publics, industries lourdes – en piteux état. Mais en matière de rhétorique, raconter goulûment ce que les gens ont envie d’entendre, il a été à bonne école. D’ailleurs, à supposer que le Trompe ait jamais lu un livre, cela devait être «How to Win Friends and Influence People» par Dale Carnegie (1936).1

En résumé, Trompe se révèle en Nième poupée de ventriloque de l’État profond, quoique plus loquace et moins «diminué» (!) que le Bidonien. Qu’il soit «gentil», «sympathique», qu’il ait eu dans le passé parmi ses amis le colonel MacGregor ou le magistrat Napolitano, ne change rien au résultat : ce sont les Suspects Habituels aux commandes.

Mendelssohn serait-il alors un Bidonien déçu ? Que nenni ! En Sujet de sa Britannique Majesté, il ne vote pas aux USA, et trouve les deux partis ainsi que leurs candidats, aussi interchangeables qu’abjectes.

J’en viens maintenant au dernier ballon prétendument d’air chaud flotté par le Trompe lui-même et son fils Eric. Sur le compte Twitter de ce dernier, sous la légende rédigée en Pidgin English «We are so Back» (cela ne veut RIEN dire en anglais, mais en Netflix-speak, cela se traduit par : «le pouvoir désormais, c’est NOUS») on voit le Canada, censé devenir une colonie, pardon, un État US, le Groenland qui serait acheté aux Danois soumis à la Volonté du Tout-Puissant, et le Canal de Panama, nation présumée complaisante devant l’invasion US …

Certains européens ont trouvé cela fort drôle voire spirituel : «Le Roi s’amuse». «Excessif comme toujours».

Aussi drôle peut-être que Miliekowsky-Netanyahou devant les Nations unies, deux semaines à peine avant les curieux évènements du 7 octobre3. Aussi drôle que le dîner Trompien début décembre avec l’épouse-Python Miliekowsky à Miami et son fils Yair Miliekowsky. Bien à l’abri du service militaire, le Yair réside à longueur d’année parmi les piscines et palmiers de la Floride.4

Je postule que ce Tweet n’a rien du ballon d’air chaud, mais qu’il s’agit bien d’une proposition réfléchie, formulée par les Suspects Habituels et mise dans la bouche des Trompiens afin que la «populace» s’y habitue.

Enfermer la Russie par les deux bouts

Regardons la carte des hauteurs de ce monde.

Plus grande île de la planète, le Groenland «ferme» le GIUK Gap. Avec l’entrée des malheureux Pays baltes et scandinaves dans l’OTAN, la mer Baltique est désormais essentiellement un lac US fermé à la Russie, et près de la moitié des mers arctiques aussi. Quant à l’Alaska, qui physiquement fait manifestement partie du Canada, cette région une fois russe est devenu un État US. Désormais, un état US de l’Arctique pointe son museau sur la Russie. Et l’Alaska grouille de bases militaires, neuf au total avec environ 25 000 militaires pour une population de seulement 700 000 âmes.

Comprenez qu’il s’agit pour l’Angleterre et les USA de reprendre le contrôle du Canada et donc de l’Arctique.

Dominion (sic) de l’Angleterre jusqu’en 1949, sous-peuplée et dont la théorique souveraineté ne date que de 1982, le Canada est un «allié» US instable et médiocre. Y mettre le grappin, vu la veulerie de la classe politique canadienne, ne devrait poser aucune difficulté.

Le Groenland et sa bombe H «perdue»

Sous influence danoise depuis le Dixième ou Onzième siècle, le Groenland, immense territoire regorgeant de richesses naturelles qui seront aisément exploitables avec les technologies de l’avenir, n’est peuplé que de 56 000 personnes, la majorité d’origine Inuit (tribus anciennement sibériennes), tous citoyens danois de plein droit.

Réduit aujourd’hui à moins de 6 millions d’habitants, le Danemark métropolitain autrefois uni à la Norvège, était une grande puissance, parmi les seigneurs des mers. Désormais, la seule et unique chance qu’a le pays de retrouver son rang dans le concert des nations serait de s’accrocher au Groenland et surtout, de développer la précieuse île sur le plan démographique, industriel et technologique.

En 1946, le Danemark dans un sursaut inattendu de Raison et de patriotisme, avait refusé les $100 000 000 offerts par les USA pour acheter l’île. Aujourd’hui, la planche à billets tournant 24/7, acheter la voix de 56 000 Inuit à $US 1 million chaque, cela ne fait que $US 56 000 000 000 000. Peanuts, à côté de ce que l’on vient de brûler en Ukraine.

Acheter l’abandon par les Inuits de leur île coûterait donc bien moins cher aux USA que Project Ukraine, même en mettant le paquet pour acheter les députés du Parlement de Copenhague. En vue d’une éventuelle attaque US sur la Russie, cela présente autant sinon plus d’avantages stratégiques.

L’arme nucléaire US et le Groenland

Comme chacun sait, partout où l’on trouve les USA, on trouvera des armes nucléaires. Visant la Russie.

Et même sur Wikipedia, on en apprend des choses. par exemple, que les USA maintiennent depuis 1950 une base, dite Pituffik (ex-Thule) Space Base, massivement agrandie entre 1951 et 1953, à partir de laquelle se déploie le réseau mondial de senseurs de surveillance spatiale directement relié au North American Aerospace Defense Command (NORAD).

Selon Wikipedia, «les USA ont cherché à construire un réseau souterrain de sites secrets de lancement de missiles nucléaires. Le projet baptisé «Iceworm» n’a été déclassifié qu’en 1996».

À aucun moment le gouvernement danois n’a-t-il été consulté : «la mission n’a été connue du gouvernement danois qu’en 1997, lorsque (des fonctionnaires) se sont mis à scruter les documents déclassifiés pour des données concernant l’accidentsurvenu en 1968 à la base de Thule, lorsqu’un bombardier stratégique B-52 équipé de missiles nucléaires s’est écrasé».

En effet, le 21 janvier 1968, un B-52G armé de quatre bombes nucléaires (Operation Chrome Dome), s’est écrasé sur la glace de North Star Bay. «Dans l’incendie qui s’ensuivit, une contamination radioactive importante a été constatée. L’une des bombes H n’a toujours pas été retrouvée».

Et ce n’est pas tout

Toujours selon Wikipedia «en 1995, un scandale éclata au Danemark lorsqu’un rapport indiqua que le gouvernement danois avait tacitement (? ndlr) approuvé l’installation d’armes nucléaire au Groenland, en contradiction avec la politique danoise adoptée en 1957 de «zone sans armes nucléaires». Les USA avaient construit une base secrète nucléaire Camp Century, dans la calotte de glace du Groenland».

Si les Suspects Habituels se sont débrouillés pour placer le Bidonien, gravement malade, au «pouvoir» pendant quatre années au cours desquelles ils ont déclenché plusieurs grandes guerres et tué des centaines de milliers d’êtres humains, il est permis de supposer qu’ils avaient une Talking Head de rechange et une stratégie de rechange.

Le Bidonien n’arrive plus à parler ? On change la Talking Head pour une coiffure orange. On perd en Ukraine ? Sous couvert de «négocier» avec la Russie, la coiffure orange présidera – tout en disant publiquement le contraire – à l’ouverture de nouveaux fronts contre la Russie, dont le plus important en Arctique, et le secondaire en Iran, grâce à l’entourage de Miliekowsky-Netanyahou.

Il y quelques jours, Réseau International avait republié un article de Mikhaïl Gamandiy-Egorov, sur le «Wishful Thinking» au sein du monde arabe. Les conclusions qu’il tire sont tout aussi pertinentes pour ce qui est du «Wishful Thinking» au sein de la dissidence européenne par rapport aux USA. Xavier Milei, ex-salarié de la Banque mondiale, serait Jésus Christ ? Elon Musk, Saint Paul ?, et Trompe – le Sauveur ?

C’est peut-être Noël, mais la crédulité n’est pas de mise. Le président russe l’a bien dit jeudi dernier : «J’entends rire dans la salle. Quant à moi, je n’ai plus envie de rire».

Mendelssohn Moses

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
Manu et Donald

Revolution 2030 : autre sourceHumour : La rencontre MUSCLÉE entre Macron et Donald Trump

Revolution 2030 : autre source - 09 déc 2024

La venue de Donald Trump n'a sans doute pas été de tout repos pour Macron...

   

Cela s'est à peu près passé comme ça...

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Trump à Notre Dame

QactusD. Trump débarque pour achever un président sans gouvernement

Qactus - 07 déc 2024

Macron Humilié, le temps du « Manu-show » est terminé, entre clownerie télévisée à 20h et la visite cinglante de Trump sans gouvernement français, l’Élysée au bord du gouffre.

   

Samedi 7 décembre, Macron sera face à Trump : le camouflet du siècle pour « Manu sans gouvernement », Après plus de cinq ans d’absence, Donald Trump revient en France. Au début de son premier mandat, il avait visité le pays à quatre reprises, mais les relations avec Emmanuel Macron s’étaient refroidies. Ce 7 décembre, il visitera la cathédrale Notre-Dame de Paris, récemment restaurée.

Le théâtre politique français atteint des sommets de grotesque. Emmanuel Macron, président désavoué et isolé, s’accroche désespérément à son trône alors que Donald Trump, l’éternel showman de la politique mondiale, débarque à Paris. Entre une allocution télévisée vide de sens, des vacances dans le désert avec ses vieux conseillers et une situation intérieure désastreuse, Macron donne l’image d’un homme qui a tout perdu. Et comme si cela ne suffisait pas, la visite de Trump promet de transformer ce naufrage en humiliation planétaire.

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Trump - Biden circus ?

Réseau InternationalÀ la fin du spectacle, les acteurs se tiennent la main et saluent

Réseau International - 18 nov 2024

Le président Biden et le président élu Trump se sont rencontrés à la Maison-Blanche mercredi, se sont serrés la main et ont échangé des plaisanteries après une course présidentielle émotionnellement épuisante dans laquelle chaque camp a accusé l’autre de représenter une menace existentielle immédiate pour le pays.

   

Ignorez tous les faux drames. Oubliez toute la rhétorique de la campagne et les conflits kayfabe. Voici ce qui est réel. C’est cela qui mérite votre attention.

Ils ne se détestent pas. Ils ne se considèrent pas comme une menace existentielle pour le pays. Ce ne sont pas des ennemis. Ce sont à peine des adversaires. À la fin du spectacle, ils s’étreignent et s’embrassent comme des boxeurs après des semaines d’affrontements bidons destinés uniquement à vendre des billets.

L’un peut dire que son adversaire est le prochain Hitler, qu’il vient pour mettre fin à la démocratie, prendre les votes de tout le monde et détruire le pays. L’autre peut dire que son adversaire est un dictateur communiste, venu pour faire la même chose. À la fin de la pièce, les acteurs se tiennent la main et saluent, puis ils sortent et boivent un verre ensemble.

Ils font chacun semblant de se battre contre l’autre pour vous défendre, vous et vos intérêts, alors qu’en réalité ils sont du même côté, se battant contre vous, pour défendre les intérêts de l’oligarchie et de l’empire.

Vous pouvez le voir là. Ils ne le cachent plus. Ils n’ont pas besoin de le faire. Ce n’était qu’une mise en scène et ils l’admettent ouvertement. Un match amical, comme deux riches dames jouant au tennis dans les Hamptons.

Ils peuvent le montrer ouvertement parce qu’ils savent que la plupart d’entre vous ne prêteront pas attention à ce qu’ils voient ou, s’ils le font, qu’ils l’oublieront et se laisseront emporter par la fièvre du prochain cycle électoral. Il y a tellement de messages qui renforcent le clivage partisan illusoire que ces petits aveux tacites ont tendance à passer complètement inaperçus.

Ne vous méprenez pas, la dépravation de Trump lui-même n’est pas illusoire. De vraies personnes vont souffrir et mourir sous son administration, tout comme de vraies personnes ont souffert et sont mortes sous celle de Biden. Mais ils savent eux-mêmes qu’ils n’ont rien à craindre. Eux et les puissances qu’ils servent seront totalement épargnés par la machine à tuer impériale. Ils mourront de vieillesse, entourés de richesse et de luxe, sans aucune conséquence pour leurs actes.

Tout cela n’était qu’un leurre. C’est toujours le cas. Les élections sont fausses et le jeu est truqué. L’empire continuera à marcher sans interruption et sans changement, servi par un président frauduleux après l’autre, jusqu’à son effondrement final.

Cessez d’adhérer au spectacle. Arrêtez de crier pour votre lutteur politique favori et remarquez que les coups ne sont pas vraiment portés et que tout le match n’est qu’un spectacle.

Si vous voulez combattre le pouvoir, concentrez votre opposition là où se trouve le vrai pouvoir. La machine de guerre. Les structures de pouvoir impériales. Les agences de renseignement. La ploutocratie. Le capitalisme. Débranchez complètement votre énergie émotionnelle de l’illusion de la politique électorale et consacrez plutôt votre attention aux mouvements concrets des armes, des ressources et des richesses.

Tant qu’ils pourront nous faire applaudir au spectacle des marionnettes, nous ne prêterons jamais attention aux forces qui tirent les ficelles. Nous ne serons jamais assez conscients des vrais problèmes pour trouver de vraies solutions et les mettre en œuvre. Nous ne serons jamais en mesure d’opposer une véritable opposition à un véritable pouvoir.

Et c’est là toute l’idée. C’est pourquoi ce stupide spectacle de marionnettes revient tous les quatre ans.

Arrêtez d’applaudir et commencez à regarder autour du théâtre. Vous savez où les dirigeants de l’empire veulent que vous portiez votre attention, alors commencez à regarder là où ils ne veulent pas que vous regardiez.

Réveillez-vous.

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réélection de Trump

VoltairenetLa réélection de Trump redistribue les cartes

Voltairenet - 15 nov 2024

Nous traversons un des rares moments où les grandes puissances changent toutes en même temps de politique. Attention à ne pas se tromper : ceux qui ratent le train devront attendre le prochain.

   

La réélection de Donald Trump, malgré la campagne de la quasi totalité des intellectuels occidentaux contre lui, redistribue les cartes.

Les deux dernières semaines, nous avons montré que l’Iran avait abandonné son idéal révolutionnaire et s’était éloigné de ses alliés sunnites du Hamas et du Jihad islamique, et même chiites du Hezbollah libanais, d’Hachd al-Chaabi iraquien et d’Ansar Allah yéménite. Ces points sont largement confirmés par la réunion au cours de laquelle Hassan Nasrallah fut assassiné par les FDI « grâce » à des informations iraniennes, les déclarations confuses de l’ayatollah Ali Sistani en Iraq, et les mesures prises pour prévenir l’assassinat d’Abdel Malek al-Houthi au Yémen.

Puis, nous avons montré que les BRICS, au sommet de Kazan, ont affirmé leur attachement au droit international contre « l’ordre fondé sur des règles » des anglo-saxons.

Cette semaine, la victoire écrasante de Donald Trump aux élections états-uniennes marque le triomphe des jacksoniens sur les démocrates, mais aussi sur les républicains, bien que Trump ait été soutenu par leur parti. Il devrait s’ensuivre que les États-Unis cesseront leurs guerres en Ukraine et au Moyen-Orient au profit d’une guerre commerciale généralisée.

Sur le continent européen, nous avons assisté au Royaume-Uni à la chute de Rishi Sunak et à son remplacement par un membre de la Commission trilatérale (c’est-à-dire un soutien des intérêts patronaux US), Keir Starmer. Nous nous attendons, en Allemagne, à la chute du chancelier Olaf Scholz et, en France, à celle du Premier ministre Michel Barnier, sans savoir qui les remplacera.

En Occident, ces évènements ont partout le même sens : l’idéologie néo-conservatrice et la religion woke sont condamnées au profit de la défense des nations. Il s’agit d’une révolte des classes moyennes. Celles-ci, qui ne sont pas xénophobes, n’acceptent plus d’être sacrifiées, au nom de la spécialisation du monde imposée par la globalisation anglo-saxonnes.

D’une manière générale, on se dirige, dans les prochaines années, vers l’abandon aussi bien de la volonté impérialiste des Anglo-Saxons que de celle, anti-impérialiste, de l’Iran. Simultanément, on devrait assister à un renforcement du droit international, bien qu’il ne soit pas reconnu par les jacksoniens. Ceux-ci admettent cependant, en matière commerciale, l’importance des signatures. Il est probable que Washington poussera l’Initiative des trois mers en Europe centrale après avoir contraint l’Ukraine à reconnaître sa défaite face à la Russie. Il s’en suivra une montée de la Pologne au détriment de l’Allemagne et un affaiblissement de l’Union européenne. Les États-Unis et les BRICS se rejoindront sur la nécessité de coopérer, mais s’affronteront autour du statut de référence du dollar.

Ces modifications importantes nous sont encore masquées parce que nous ne comprenons pas la manière dont réfléchissent chacun de ces acteurs. Nous interprétons à tort ce qu’ils disent et ce qu’ils font en fonction de leur place dans l’ancien monde.

Nous sommes particulièrement aveugles vis-à-vis des États-Unis que nous persistons à considérer comme nos maîtres. Nous ne connaissons que la doxa néo-conservatrice et nous imaginons que les États-Unis pensent de cette manière alors qu’ils viennent de s’affranchir de leur férule.

L’élection, ou plutôt la réélection, de Donald Trump, sa victoire écrasante pour la Maison-Blanche comme pour le Congrès, marque la révolte des classes moyennes US contre les intellectuels occidentaux qui s’étaient tous ligués contre lui.

Rappelons que Donald Trump, alors qu’il était promoteur immobilier à New York, fut la première personnalité, le 11 septembre 2001 dans l’après-midi, à remettre en cause la version officielle des attentats prétendument islamistes. Par la suite, il finança, au sein du Tea Party, la contestation de la légitimité du président Barack Obama. Enfin, il s’empara du Parti républicain malgré la résistance de l’ancien vice-président Dick Cheney (qui était membre du « gouvernement de continuité » [continuity government], de ce que Trump a désigné comme « l’État profond » [Deep State]). Il fit campagne d’une manière nouvelle en se fondant sur l’observation des réseaux sociaux et en répondant de manière symbolique aux attentes des classes moyennes. Dès son élection et avant même qu’il ne siège à la Maison-Blanche, le Parti démocrate lança une campagne mondiale de diffamation contre lui. Durant tout son mandat, il dut affronter ses propres collaborateurs qui n’hésitèrent pas à lui mentir et à faire le contraire de ce qu’il leur ordonnait, puis à s’en vanter. Cependant, il parvint, seul contre tous, à interrompre la « guerre sans fin » au Moyen-Orient et le soutien militaire et financier de la CIA à Al-Qaeda et à Daesh.

Au contraire, Joe Biden composa son équipe à partir du personnel du Center for Strategic and international Studies (CSIS), du Cen­ter for a New Amer­i­can Secu­ri­ty (CNAS), de la Rand Corporation, et de General Dynamics, Raytheon, Northrop Grumman et Lockheed Martin. Il relança les guerres au Moyen-Orient, puis en débuta une nouvelle en Ukraine.

Nous ignorons si Donald Trump tentera de poursuivre durant son second mandat ce qu’il avait entrepris durant le premier. Il connaît désormais les chausse-trapes de Washington et a composé une équipe dont il était dépourvu la première fois. La seule inconnue est de savoir ce qu’il a dû concéder pour pouvoir vaincre cette fois. Sa politique au Moyen-Orient a consisté à remplacer la guerre par le commerce avec les accords d’Abraham. Elle a été mal comprise car son gendre, Jared Kushner, qui avait été chargé de les mettre en œuvre, est profondément raciste. Il avait aussi transféré l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem, laissant entendre que celle-ci était la capitale du seul État juif. Durant sa campagne, il a accepté des dons considérables de la veuve de Sheldon Adelson, un soutien inconditionnel des « sionistes révisionnistes ». Nul ne sait s’il s’est engagé à soutenir en retour l’État d’Israël ou le projet colonial de Vladimir Jabotinsky.

La victoire de Donald Trump ne mettra pas fin aux affrontements, mais les déplacera du champ de bataille militaire vers celui de l’économie. Attention, pour analyser sa politique, les catégories politiques avec lesquelles nous réfléchissons depuis le XVIII° siècle s’avéreront inopérantes. Il n’entend pas choisir entre le protectionnisme et le libre-échange, mais entre des secteurs économiques : les produits qu’il défendra avec des droits de douanes parce qu’ils ne seront pas capables de rivaliser avec ceux de ses concurrents, et les produits qui sont capables d’inonder le marché global. Donald Trump n’est pas l’ami de tous les entrepreneurs, bien loin de là. Il s’oppose à ceux qui vivent au crochet de l’État en lui vendant de mauvais produits comme le fait le complexe militaro-industriel états-unien depuis trente ans. Les notions de droite et de gauche, d’interventionniste et d’isolationniste sont toutes aussi obsolètes. Ce qui se joue aujourd’hui est d’une autre nature.

Thierry Meyssan

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