Après avoir été licenciée pour avoir refusé de se conformer à l’obligation de vaccination imposée par son hôpital, une infirmière californienne s’est exprimée publiquement pour dénoncer une vaste opération de dissimulation des décès liés aux injections d’ARNm anti covid.
Gail Macrae, une infirmière californienne d’une unité de soins intensifs, s’est exprimée pour tirer la sonnette d’alarme sur le fait que le public est induit en erreur au sujet des injections et du nombre réel de patients ayant été vaccinés contre le Covid.
Macrae accuse l’hôpital où elle travaillait d’avoir violé l’éthique médicale.
Elle affirme que cette violation, dont elle pense qu’elle se produit dans tout le pays et au-delà, a eu pour conséquence d’accroître les préjudices subis par les patients.
Macrae a travaillé à l’hôpital Kaiser Permanente de Santa Rosa de 2015 à 2021.
Cependant, elle a été licenciée pour ne pas avoir respecté le mandat de vaccination du personnel.
Après l’introduction du vaccin contre le COVID-19, Macrae a constaté une augmentation considérable du nombre d’hospitalisations et de décès.
Elle affirme que les patients souffraient d’effets secondaires qu’elle n’avait jamais vus auparavant.
Pendant ce temps, des traitements éprouvés et recommandés ont été interdits et les systèmes d’archivage ont été manipulés pour dissimuler les blessures liées aux vaccins et les cas d’infections graves.
Elle a révélé que les responsables de l’hôpital ont ordonné au personnel de dissimuler les décès liés à la vaccination, souvent en inscrivant les patients décédés entièrement vaccinés sur la liste des « non-vaccinés » et en indiquant la cause comme étant le « Covid ».
Macrae a révélé que le personnel de l’hôpital avait été menacé pour avoir signalé des effets indésirables et des décès liés aux vaccins.
Elle a également déclaré que les professionnels de la santé ont fait l’objet de représailles pour s’être opposés aux protocoles d’isolement des patients et pour avoir refusé aux familles l’accès et la participation à leurs traitements.
Selon Macrae, au cours des premiers mois de la pandémie, les hôpitaux étaient presque vides car les procédures non urgentes étaient interrompues – une scène qui contrastait avec les affirmations des médias selon lesquelles les capacités étaient débordées.
Même pendant la vague d’hospitalisations de l’hiver 2020-2021 due à des problèmes respiratoires normaux, elle a déclaré que « pas une seule fois » les hôpitaux n’ont été débordés.
C’est une observation qu’elle a corroborée avec des collègues de tout l’État.
Cependant, elle a déclaré que les responsables des hôpitaux ont véhiculé l’idée que les établissements étaient débordés par les patients atteints de la maladie de Covid.
« On a menti au public », a-t-elle déclaré.
« Cela m’a vraiment ouvert les yeux sur le fait qu’il se passait des choses qui n’auraient pas dû se passer.
Macrae a signalé la mise en œuvre de protocoles d’isolement stricts pour les patients ayant contracté le COVID-19, qui interdisaient les visites des familles des patients et de leurs défenseurs.
Elle affirme que ces politiques restrictives ont facilité l’alarmisme incontrôlé des médias, tout en supprimant un système de soutien qui aurait pu servir de tampon contre la coercition administrative.
Bien que le COVID-19 soit « la maladie la plus inflammatoire que l’humanité ait jamais connue », le personnel hospitalier expérimenté a été empêché d’administrer des stéroïdes – « le meilleur traitement pour un processus inflammatoire », a déclaré Macrae.
« Le fait que le gouvernement, les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) et ces organisations à trois lettres disent aux praticiens qu’ils ne peuvent pas administrer de stéroïdes (…) est absolument criminel », a-t-elle ajouté.
La Californie n’a pas été le seul État à interdire les stéroïdes.
Les anti-inflammatoires classiques tels que les stéroïdes ont été interdits dans le cadre de protocoles rigides dans les hôpitaux des États-Unis.
Par ailleurs, le remdesivir, déjà jugé inefficace comme traitement contre Ebola, a été administré dans le cadre de protocoles stricts.
Cependant, les données indiquent qu’il « fait plus de mal que de bien », a déclaré Macrae.
Elle a ajouté que les antiviraux, en général, n’agissent pas « plus de deux jours après l’apparition des symptômes ».
Macrae a suggéré que les motivations lucratives étaient à blâmer.
Elle a révélé que « chacune de ces doses coûtait plus de 3 000 dollars ».
Avec toutes ces nouvelles politiques et protocoles restrictifs, Macrae a déclaré : « Chaque jour, j’avais l’impression de violer mon serment de praticienne ».
Lorsque les vaccins contre le COVID-19 ont été introduits au début de l’année 2021, Macrae a fait état d’un changement immédiat et radical dans les admissions de patients.
Elle a révélé que son hôpital a connu une augmentation stupéfiante de « 300 % des hospitalisations ».
Le personnel de l’hôpital a été débordé par l’état inhabituel des patients, a-t-elle expliqué.
Selon Macrae, les alertes « code bleu » – lorsque quelqu’un cesse de respirer ou que son cœur s’arrête – qui se produisaient peut-être une fois par équipe, ont commencé à se produire jusqu’à dix fois par équipe.
« Ils les appelaient toujours au niveau inférieur de l’hôpital, où nous avions une clinique de vaccination », a-t-elle déclaré.
Deux infirmières qui administraient directement les vaccins – des collègues qu’elle a rencontrées dans le cadre d’un groupe de soutien aux praticiens dans sa communauté – ont déclaré qu’elles voyaient entre 10 et 20 épisodes de choc anaphylactique par jour.
Elles ont déclaré à Macrae qu’elles étaient menacées de licenciement si elles parlaient publiquement de la situation.**[...]
Lundi, la revue Cureus a rétracté le premier article évalué par des pairs qui présentait une analyse approfondie des données des essais du vaccin ARNm Covid-19 et des lésions consécutives à l'injection. Les auteurs de l'article ont également appelé à un moratoire mondial sur les vaccins.
Lundi, la revue Cureus a rétracté le premier article évalué par des pairs qui présentait une analyse approfondie des données des essais du vaccin ARNm Covid-19 et des lésions consécutives à l’injection. Les auteurs de l’article ont également appelé à un moratoire mondial sur les vaccins.
Le Dr Peter McCullough, l’un des auteurs de l’article, a qualifié la rétractation d'”acte stupéfiant de censure scientifique”. Il a dit au Defender :
“La revue et ses rédacteurs avaient le droit de rejeter l’article à tout moment au cours du processus d’examen. Une fois publié, la rétractation d’un article sans justification adéquate constitue une violation des lignes directrices du Comité d’éthique de la publication (COPE) “.
Le document, publié le mois dernier, décrit en détail les graves effets nocifs potentiels des vaccins, les problèmes de contrôle et de traitement des vaccins, les mécanismes à l’origine des effets indésirables, les raisons immunologiques de l’inefficacité des vaccins et les données relatives à la mortalité issues des essais d’homologation.
Les auteurs de l’article ont conclu :
“L’approbation par l’agence fédérale des produits injectables à base d’ARNm Covid-19 sur la base d’une couverture générale de la population n’était pas étayée par une évaluation honnête de toutes les données d’enregistrement pertinentes et par une prise en compte proportionnelle des risques par rapport aux avantages.
Ils ont également demandé que les vaccins soient immédiatement retirés du calendrier de vaccination des enfants du CDC (Centres de contrôle et de prévention des maladies) et que les rappels soient suspendus.
Le document a été lu plus de 350 000 fois dans le mois qui a suivi sa publication. Un article moyen de Cureus n’est consulté qu’à environ 2 700 reprises au cours d’une année entière.
M. McCullough a indiqué que Tim Kersjes, responsable de l’intégrité de la recherche chez Springer Nature, qui publie Cureus, a informé les auteurs la semaine dernière que la revue rétractait l’article. M. Kersjes a soulevé huit points de préoccupation, auxquels M. McCullough a déclaré que les auteurs avaient déjà répondu dans le cadre d’un processus exhaustif d’examen par les pairs.
Le Dr McCullough a déclaré au Defender :
“Je soupçonne Kersjes et Springer Nature d’avoir subi des pressions de la part du puissant complexe bio-pharmaceutique, composé d’organisations de santé publique coordonnées, de fabricants de vaccins et d’organismes de réglementation, pour censurer notre article afin d’empêcher la communauté médicale d’obtenir des informations cruciales sur la sécurité des vaccins.
“Nous avons rejeté la rétractation, nous avons fait appel et nous signalerons cette action contraire à l’éthique à toutes les autorités compétentes, tout en continuant à publier ailleurs”.
M. Nathaniel Mead, l’auteur principal de l’article, a déclaré au Defender qu’il craignait depuis le premier jour que la revue ne subisse des pressions pour rétracter l’article.
J’ai su dès que j’ai appuyé sur le bouton “publier” de Cureus le 24 janvier, à la suite d’un processus d’examen approfondi et de multiples re-soumissions, que nous avions affaire à une bombe à retardement”, a déclaré M. Mead.
“En citant des preuves solides et en exposant la manière dont les essais parrainés par l’industrie ont induit le public en erreur, notre article fondé sur des données probantes a été un véritable réquisitoire contre l’entreprise du vaccin COVID-19”.
Les “rétractations prédatrices” profitent à Big Pharma
John Adler, de l’université de Stanford, et Alexander Muacevic, de l’université de Munich, ont fondé Cureus en 2009. Il s’agit d’une revue médicale générale en ligne à accès libre, évaluée par des pairs, dont les coûts de publication sont peu élevés.
Le géant de l’édition universitaire Springer Nature a racheté Cureus en décembre 2022.
Springer Nature est un conglomérat d’édition fondé en 2015 par la fusion de Nature Publishing Group, Palgrave Macmillian, Macmillan Education et Springer Science+Business Media.
L’éditeur a généré 1,8 milliard d’euros en 2022, affichant une croissance continue d’une année sur l’autre depuis 2020.
Springer Nature dispose d’un groupe interne d’intégrité de la recherche chargé de veiller à ce que le contenu scientifique de l’entreprise soit “rigoureusement évalué“. Lorsque des questions nécessitant l’intervention d'”experts en intégrité de la recherche” se posent, l’équipe de résolution, dirigée par M. Kersjes, intervient.
Le 16 février, M. Kersjes a informé les auteurs que les rédacteurs de la revue prévoyaient de rétracter l’article, en précisant que la revue “avait été récemment informée de plusieurs préoccupations concernant la validité du travail”.
Selon le texte de l’e-mail, publié sur Substack par Steve Kirsch, un autre des coauteurs de l’article, ces préoccupations “ne peuvent, à notre avis, être résolues par une correction”.
M. Kersjes a indiqué aux auteurs qu’ils avaient la possibilité d’accepter ou de refuser la rétractation, ce qui serait indiqué sur le site web.
Ils n’étaient pas d’accord. “Nous rejetons vigoureusement cette décision arbitraire et capricieuse, prise a posteriori, de la part de M. Kersjes et de ses supérieurs de Springer”, ont-ils écrit.
La lettre de M. Kersjes fait état de préoccupations concernant les affirmations des auteurs au sujet de données sur la mortalité toutes causes confondues, dusystème de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS),du nombre de décès dus à la vaccination par rapport au nombre de vies sauvées, de la possibilité de contamination des vaccins,de l’affirmation selon laquelle les vaccins n’ont pas fait l’objet de tests de sécurité et d’efficacité adéquats, de la déclaration “incorrecte” selon laquelle les protéines spike restent dans l’organisme et peuvent avoir des effets néfastes et que les vaccins sont des produits de thérapie génique.
Dans leur réfutation, les auteurs ont répondu à chaque critique en expliquant leur argumentation et en fournissant des citations à l’appui. Ils ont noté que les huit évaluateurs de l’article et les rédacteurs en chef de la revue avaient jugé leurs réponses satisfaisantes.
Quelques jours après la publication initiale, M. Adler, qui est le rédacteur en chef de Cureus, a déclaré au site web Retraction Watch, qui est favorable envers l’industrie: “Notre réponse éditoriale a été une vigilance accrue au cours du processus d’évaluation par les pairs, avec 8 évaluateurs différents pesant sur la publication ou non, y compris quelques-uns ayant de solides connaissances en statistiques. Par conséquent, un processus crédible d’évaluation par les pairs a été suivi et les conséquences sont tombées comme elles l’ont dû”.
M. Adler a également déclaré que la revue procéderait à une réévaluation si des “failles fatales” étaient identifiées. “Le processus de décision de Cureus contraste fortement avec la décision éditoriale d’Elsevier de censurer l’article en utilisant des arguments ad hominem.
Cependant, un porte-parole de Cereus a déclaré aujourd’hui au Defender : “Après la publication, des inquiétudes ont été soulevées concernant un certain nombre d’affirmations faites dans l’article et une enquête menée par Cureus et l’équipe de Springer Nature chargée de l’intégrité de la recherche a identifié plusieurs problèmes avec l’article qui ont justifié une rétractation”.
Le porte-parole a ajouté : “Il est préférable que de tels problèmes soient détectés lors de l’examen par les pairs, mais ce n’est malheureusement pas toujours le cas. Il est donc important, comme cela s’est produit dans ce cas, que lorsque des problèmes sont soulevés après la publication, ils soient traités rapidement afin de préserver l’intégrité du dossier universitaire.”
Les auteurs affirment dans leur réfutation que la plupart des préoccupations “semblent être adaptées, directement ou indirectement, des nombreux commentaires faits par les trolls bien connus de l’industrie des vaccins sur les médias sociaux, Jonathan Laxton et Matthew Dopler”, qui ont fréquemment commenté l’article sur le site web de Cureus.
[...]
L’être humain étant un micro-univers complexe, comment peut-on vouloir le résumer en un dossier électronique du patient (DEP) ?
En réalité, il ne s’agit pas d’abord de mieux soigner les patients mais le digital a un rôle clé à jouer pour limiter l’augmentation des coûts de la santé1. Par conséquent, c’est l’atout sur lequel mise la Confédération : Une rallonge de 30 millions est sur la table.2. Ainsi, le gouvernement veut faire entrer de force le DEP alors «qu’il n’en finit pas de décevoir. La population le boude (30 000 personnes seulement avaient franchi le pas fin 2023) et les professionnels de la santé le critiquent vertement». Au lieu d’étudier les causes de ce désintéressement, le Parlement veut intervenir puissamment, obnubilé par la «numérisation de la santé» alors qu’il s’agit en réalité de contenir les coûts de l’assurance maladie obligatoire.
Il y a donc un déséquilibre patent de la balance entre le gouvernement animé par une stratégie politico-économico-juridique et par la population accompagnée par les professionnels de la santé.
Il est frappant de constater que les humains et les soignants sont concernés par le processus vivant du corps alors que les dirigeants se focalisent sur la dynamique financière. Il semblerait qu’il y ait un fossé entre les deux, même si des passerelles traversent un tant soit peu ce fossé.
Le premier concerné par son état de santé est l’individu (au sens d’être non divisé). Il est le premier concerné par ce qu’il vit. Au lieu de le soutenir pour garder au mieux sa souveraineté sur lui-même, le système politico-assécurologique veut tout prendre en main selon des critères qui s’appuient sur des éléments scientifiques, extraits limités d’une vision scientifique globale.
«À l’avenir, tous les professionnels de la santé devront utiliser le dossier électronique du patient, aussi bien à l’hôpital que dans les cabinets médicaux ou les pharmacies».
Un rapport très détaillé de 59 pages a été fourni par le Conseil d’État du Canton de Neuchâtel déjà en 2017. J’en relève (p.42) le chapitre concernant les conséquences sur le personnel et son budget de mise en œuvre (3 millions) qui illustre bien sa complexité sur plusieurs plans. Le Conseil d’État sera en mesure de répondre aux exigences de la LDEP à court terme mais aussi de garantir l’utilité et l’utilisation de la cybersanté (voilà encore un terme qui laisse songeur) en général, du DEP dans le long terme, et donc d’assurer la réussite de la démarche qu’il a initiée, en termes de santé publique, mais aussi financiers. À défaut, les risques d’échec sont importants et leurs conséquences sont potentiellement graves.3
Que penser de la somme de la rallonge de 30 millions ? Une réflexion nous vient d’un parlementaire évaluant d’une façon très pertinente la santé du DEP : «Il estime que le DEP est un patient aux soins intensifs à qui on va mettre une perfusion de 30 millions alors qu’on ne sait toujours pas de quoi il souffre».
Sur quoi se basent-ils pour estimer la réussite de la démarche en termes de santé publique ?
Nous venons de vivre 3 ans de covidémie où les bilans actuels montrent à quel point les mesures sanitaires imposées par le gouvernement ont eu des conséquences néfastes sur plusieurs plans, que ce soit suite au confinement, aux tests PCR, au port du masque et aux injections géniques présentées comme des vaccins de plus encore en phase d’essai. Le tout pour des coûts pharamineux !
Un médecin expose un bilan honnête : L’ancien Monsieur Corona suisse : «nous sommes allés trop loin»4. Ce qui est frappant, c’est qu’ils ont eu audace de le faire sans tenir compte de divers avertissements.
Pour sa part, l‘autorité de contrôle des produits thérapeutiques Swissmedic a reçu de nombreuses déclarations d’effets indésirables liés aux vaccins anti-coronavirus : «16 000 rapports d’effets secondaires indésirables reçus».5
Alors qu’ils ont misé avec les injections géniques – dont une bonne partie est maintenant périmée donc détruites et dispendieuses. Quelque 9 millions de doses sont concernées6 – ont-ils vraiment la juste inspiration pour miser autant sur le DEP…? Évidemment, il est plus aisé de viser la santé numérique que la santé humaine, vibrante, constamment mobile et en recherche perpétuelle d’harmonie… !
Il est dans la dynamique actuelle que la présidente de la direction générale de la CSS décrète : «le digital a un rôle clé à jouer pour limiter l’augmentation des coûts de la santé. Plus rapide, précise et personnalisée, la santé numérique doit progresser en Suisse, notamment sous l’impulsion des assureurs»7. Évidemment, porteuse d’un bagage d’avocate puis d’études de finances et de comptabilité suivies d’études à la London Business School, elle a forcément une vue depuis le piédestal ainsi constitué.
Elle estime aussi que tous les acteurs de santé doivent travailler ensemble. Car une des valeurs ajoutées du numérique, c’est l’interconnexion. Et pourtant, le temps passé à remplir les rubriques d’un programme informatique est du temps retiré aux contacts humains entre les confrères, contacts sources de formation et d’informations qui ne passeront jamais par un écran et dont la subtilité peut conduire à des découvertes particulières et productives.
Elle pense aussi aux réseaux de soins intégrés qui améliorent la coordination entre praticiens et leur donnent une visibilité complète de l’historique du patient. Elle ne tient pas compte de tout ce qui peut échapper en limitant l’écoute des patients qui ne reçoivent plus le temps nécessaire dans une dynamique numérisée au maximum) tout en évitant les doublons, les délais et les consultations inutiles (ce qui est une réalité très pratique mais à laquelle est-il judicieux de donner autant de place ?).
Une question originale : «Dossier du patient : utile ou «cimetière à PDF» ?8
En revanche, un être humain se développe en fonction de ses différents corps, lesquels obéissent à des lois distinctes tout en étant tous interconnectés. De la sorte, quand un problème de santé se présente, il révèle la perturbation de déviations plus étendues et plus profondes qui évoluent au fil du temps et des expériences existentielles. Le dossier qui peut le mieux révéler son état doit être mobile, dynamique et présenter les corrélations en cours alors qu’un dossier électronique ne saura jamais mettre en évidence les différentes dimensions du conflit énergétique sous-jacent dans l’instant présent.
Il n’est pas anodin que dans la pratique médicale, on évoque la médecine préventive versus la médecine pratique. Il n’y a très peu voire pas de place pour la médecine précoce. Pourtant, les premiers symptômes se manifestent au niveau énergétique et psychoaffectif. Beaucoup l’ont déjà compris en s’adressant à de nombreuses thérapies telles que la médecine traditionnelle chinoise, l’homéopathie, l’ostéopathie, la réflexologie ou d’autres encore.
Ainsi, quand les problèmes de santé ne se sont pas encore ancrés dans le corps au niveau cellulaire, ou alors que des moyens techniques ont résolu des situations d’urgence, il est indispensable de chercher à rétablir les circuits énergétiques qui animent l’organisme. Il ne suffit pas de dire au patient «c’est dans votre tête» ou encore de «gommer» les symptômes avec des comprimés (chasser le naturel, il revient au galop!)
Alors que ces thérapies énergétiques – médecines dites complémentaires et qui peuvent être franchement alternatives – répondent dans bien des cas précocement aux besoins des santé, il n’est pas logique que les habitants doivent payer une assurance de médecine complémentaire, ce que beaucoup ne peuvent pas se permettre. Ils doivent alors attendre que la maladie s’installe davantage dans leur quotidien pour que les traitements soient remboursés par les assurances maladie.
[...]
La crise sanitaire Covid s’est poursuivie au cours de l’année 2023. J’ai donc fait un rapport final qui fait apparaître des dernières données factuelles bien étranges qui permettent de remettre les pendules à l’heure.
261 000 décès attribués à la Covid ont été déclarés en 2023, ce qui est dérisoire à l’échelle planétaire.
Les 31 pays de l’OTAN, très vaccinés et présumés très protégés, dont certains ne déclarent plus leurs décès Covid depuis 6 mois (UK, France, Espagne par exemple) et qui ne représentent que 12% de la population mondiale, ont déclaré les deux tiers des pertes mondiale en 2023 (171 640 décès).
Le reste du monde (88% de la population mondiale) a déclaré 89 500 décès.
Les USA (71 800 décès) et le Royaume-Uni (32 440 sur les 6 premiers mois de l’année puisqu’il n’ont pas déclaré les 6 derniers mois) affichent les deux plus grands nombres de décès de la planète sur 2023 : (Ils cumulent, à eux deux, 40% du total des décès planétaires) ??? C’est plus, à eux deux, que la totalité du monde non otanien. Y aurait-il un problème spécifique au monde anglo-saxon.
L’Allemagne (18 654 décès) et l’Italie (10 268 décès) se placent en 4ème et 5ème position mondiale pour l’année 2023.
Ces pertes sont évidemment dérisoires mais le classement 2023 montre que le vaccin n’a pas apporté de grands bénéfices à ces pays comparés à des pays beaucoup moins vaccinés. L’Afrique, continent dans lequel l’épidémie est terminée depuis longtemps (1,4 milliards d’habitants) n’a déclaré que 524 décès Covid pour toute l’année 2023…
Je laisse à chacun le soin de découvrir ce rapport le plus exhaustif possible.
Le carnage sanitaire observé jusqu’à présent grâce à la campagne de « vaccin » contre le coronavirus (COVID-19) de Wuhan n’est que le premier cycle d’une série d’horreurs qui sont encore à venir .
L’ancien scientifique de la Fondation Bill & Melinda Gates et expert en vaccins, le Dr Geert Vanden Bossche, s’est entretenu cette semaine avec l’enquêteur Steve Kirsch de tout cela, y compris de ce à quoi le monde peut s’attendre dans un avenir proche alors que le COVID continue de se transformer et de déjouer les injections.
« Les mutations ne se limitent plus à la protéine Spike, ce qui indique une activité accrue des CTL (cellules T cytotoxiques) pour diminuer la contagiosité virale », a expliqué Bossche à Kirsch à propos des mutations les plus récentes détectées.
« Et cette activité des CTL est responsable du déclin des lymphocytes T qui stimulent en fait les anticorps neutralisants qui empêchent la virulence. »
Vous vous souviendrez peut-être qu’avant que les vaccins ne soient lancés dans le cadre de l’opération Warp Speed, Bossche avertissait que lancer un soi-disant « vaccin » en plein milieu d’une « pandémie » était une très mauvaise idée, pour cette raison spécifiquement.
« En fin de compte, cette évolution conduirait inévitablement à l’émergence d’un variant très virulent qui provoquerait des vagues d’hospitalisations et des maladies graves dans les pays hautement vaccinés – bien sûr, toujours les mêmes, uniquement dans les pays hautement vaccinés », a souligné Bossche à propos de la façon dont ce phénomène se produit. Cela ne semble se produire que dans les pays développés et fortement piégés.
« À mon humble avis, ce que nous verrons est quelque chose de complètement, complètement sans précédent en termes d’ampleur de la vague de morbidité et malheureusement de mortalité que nous verrons. »
Des cas de thromboses et de CIVD (coagulation intra vasculaire disséminée) ont été détectés avec l’analyse de sang et le taux de D Dimères de certains vaccinés.
L’homéostasie correspond à la capacité d’un système à maintenir l’équilibre de son milieu intérieur, sauf si un élément extérieur vient le perturber.
Dans certains cas, une perturbation du milieu intérieur a crée l’apparition d’un cancer avec des composants de la MEC dérégulés observables au cours de la progression tumorale.
La fibronectine est l’un de ces composants du matrisome tumoral. Ce grand dimère glycoprotéique à domaines multiples, exprimé dans un large éventail de cancers humains, est assemblé par des forces cellulaires en un réseau fibrillaire qui fournit un échafaudage obligatoire pour le dépôt d’autres protéines matricielles et des sites de liaison pour la fonctionnalisation par des facteurs solubles dans le microenvironnement tumoral.
Les D-dimères sont des fragments de fibrine, principale composante des caillots sanguins. Les D-dimères apparaissent dans le sang quand des caillots se dissolvent.
Les conditions pouvant entraîner des taux élevés de fibrine et de D-dimères sont :
phlébites
thromboses artérielles
AVC
coagulation intravasculaire disséminée (formation anormale d’un grand nombre de petits caillots)
infarctus du myocarde, grossesse, maladie du foie, etc.
Ces pathologies concernent les effets secondaires de la vaccination constatés sur le site Eudravigilance. L’Agence européenne des médicaments est responsable de la coordination du système EudraVigilance, conçu pour la notification des effets indésirables.
(Les obligations en matière de notification des différentes parties prenantes sont définies dans la législation de l’UE, notamment le règlement (CE) n° 726/2004, la directive 2001/83/CE telle que modifiée, la directive 2001/20/CE et le règlement (UE) 536/2014 du Parlement européen et du Conseil du 16 avril 2014 relatif aux essais cliniques de médicaments à usage humain et abrogeant la directive 2001/20/CE)
La fibronectine est une glycoprotéine, sa particularité essentielle est de former des complexes moléculaires avec le collagène, le fibrinogène et la fibrine. La fibronectine intervient dans l’adhésion des cellules entre elles. En présence d’un virus oncogène, les cellules transformées perdent la propriété de sécréter la fibronectine, ce qui favoriserait la tendance invasive des cellules. (Les virus oncogènes sont des virus ayant la capacité de rendre cancéreuse la cellule qu’ils infectent)
Il est très facile d’attribuer au virus Sars Cov 2 la responsabilité des cancers en expliquant que la « tempête de cytokines » ouvre la voie à l’émergence de cellules souches cancéreuses dans les organes cibles. En même temps, il faut considérer que la protéine spike du vaccin est peut être responsable des même effets, étant donné que l’infection par le SRAS-CoV-2 se produit dans plusieurs organes et que des cellules souches cancéreuses se développent dans plusieurs organes.
Il existe sept virus qui induisent des tumeurs. Il s’agit du papillomavirus humain, des virus de l’hépatite B et C, des gamma-herpès virus (Epstein-Barr), du polyomavirus des cellules de Merkel et du virus de la leucémie humaine à lymphocytes.
Le Comité international olympique a dès à présent écarté les dossiers de candidature de la Suisse, de la Suède et des États-Unis. Il semble privilégier l’option des Alpes françaises portée par le président sarközyste de la région Auvergne – Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, et le président macroniste de la région Provence – Alpes – Côte d’Azur, Renaud Muselier.
La candidature hivernale alpine tablerait sur un budget insignifiant d’un milliard et demi d’euros, car pourraient servir 90% des infrastructures construites pour les JO d’hiver d’Albertville en 1992. Ces jeux de 2030 se dérouleraient sur quatre territoires qui n’auraient plus qu’à bâtir les 10% restants. Gageons que ce montant s’amplifiera au fil des mois.
Il paraît par ailleurs étonnant d’investir dans des endroits déjà nantis (Haute-Savoie, Savoie, Hautes-Alpes avec le Briançonnais et Alpes-Maritimes avec la métropole Nice – Côte d’Azur). Il est vrai que pratiquer le ski de fond sur la Canebière à Marseille ou organiser des descentes de ski à Super-Besse dans la chaîne des Puys en Auvergne relèveraient de situations incongrues.
Ce divertissement – détournement sportif mobilisera quand même des sommes gigantesques alors que le pays est surendetté et qu’il manque des moyens financiers tant pour les services publics vitaux (hôpitaux, Poste, armée, police, justice, prison) que pour les infrastructures ferroviaires indispensables rien qu’en Provence – Alpes – Côte d’Azur et en Auvergne – Rhône-Alpes. Outre le dépassement financier prévisible, la tenue des JO de l’été 2024 et de l’hiver 2030 permet au Régime d’améliorer le flicage généralisé de la population. Les réclusions covidiennes de 2020 – 2021 ont déjà montré la très grande passivité d’une population de plus en plus bovine. Les décisions prises pour assurer la sécurité maximale des JO à Paris constituent une nouvelle expérience de gestion des foules dans un cadre de plus en plus cosmopolite.
Le mercredi 29 novembre dernier, à côté de la mairesse socialiste de la capitale, Anne Hidalgo, du maire socialiste de Saint-Denis, Mathieu Hanotin, et de Tony Estanguet, président de Paris 2024, le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, au moment des Gilets Jaunes, exposait les premières mesures du plan de sécurité et de circulation pendant la période olympique. En plus du doublement prévu du prix du ticket des transports en commun (train, tram, métro et bus) en Île-de-France et du risque de paralysies fréquentes de certaines lignes saturées, Parisiens et Franciliens subiront une surveillance permanente qui se prolongera jusqu’en 2025 !
La préfecture de police de Paris prévoit en effet la mise en place de quatre périmètres d’accès. Le premier – compréhensible – concernera les sites olympiques proprement dits et le village des sportifs situé en Seine – Saint-Denis, ce nouvel Eldorado départemental fantasmé. Pour y pénétrer, des fouilles individuelles seront réalisées avant de montrer une accréditation officielle. Le deuxième périmètre ne sera accessible qu’aux titulaires de billet (ou aux personnes accréditées) qui assisteront aux compétitions dans les tribunes. Le troisième périmètre s’exercera hors des terrains sportifs.
Les zones rouges interdiront la circulation de tout véhicule motorisé, sauf si l’engin appartient aux riverains détenteurs d’une place permanente de stationnement chez eux, aux aidants de personnes âgées ou dépendantes, aux personnes qui travaillent dans le coin, aux services de livraisons et de dépannage sans oublier les taxis et les VTC. Pour pouvoir circuler en voiture dans ces zones rouges, il faudra au préalable s’enregistrer sur une plate-forme numérique en fournissant une quantité incroyable de justificatifs. En revanche, ces contraintes ne devraient pas toucher les piétons et les cyclistes. Attendons néanmoins le printemps pour leur finalisation. Toutefois, inviter des amis à assister depuis son balcon ou derrière ses fenêtres aux cérémonies d’ouverture et de clôture impliquerait que l’hôte donnât à cette plate-forme d’enregistrement l’identité complète de ses invités, ce qui rabote la liberté de réunion dans un lieu privé. Rappelons que le Conseil constitutionnel avait censuré à l’époque covidienne la limite du nombre d’invités présents à son domicile. Toutes les personnes enregistrées obtiendraient sur leur téléphone intelligent un QR-code, forme sophistiquée de l’attestation de sortie covidienne de sinistre mémoire.
Elle a notamment fait retirer au début 2020 l’hydroxychloroquine du Pr Raoult de la liste des médicaments en vente libre – une substance « vénéneuse » –, soi-disant sur les ordres de l’ANSES (l’agence de sécurité sanitaire), ou, euh, de l’ANSM (l’agence de sécurité du médicament), elle ne sait plus trop, devant la commission d’enquête du Sénat.
Les Français s’en souviennent très bien. Pour elle, cette mémoire est de l’antisémitisme.
Les attaques contre sa personne sont en réalité des attaques contre ses décisions, contre sa politique, attaques qu’elle transforme allègrement en attaques antisémites. C’est pour ça qu’elle a été installée à ce poste, au vu de ce qui se tramait contre les Français ?
Aujourd’hui, se présentant comme une victime – ce culot ! –, elle pleurniche chez Haziza. L’accusation d’antisémitisme est devenue un bouclier contre la justice.
À l’instar de nombreux autres pays, la Nouvelle-Zélande a connu un pic de surmortalité sans précédent au cours des deux dernières années.
En raison de mandats stricts et d’une forte pression gouvernementale pendant la pandémie de Covid, la grande majorité de la population néo-zélandaise est entièrement vaccinée.
Les données officielles montrent que 95,8 % de la population néo-zélandaise éligible âgée de 12 ans et plus a reçu une dose d’ARNm anti Covid.
Alors qu’un pourcentage stupéfiant de 94,7 % de la population néo-zélandaise âgée de 12 ans et plus est considéré comme entièrement vacciné.
Un administrateur de la base de données du gouvernement néo-zélandais, qui a contribué à cataloguer les données officielles sur les personnes vaccinées, a révélé des informations explosives.
Le lanceur d’alerte a dévoilé des données officielles du gouvernement qui montrent que le pic de surmortalité enregistré dans le pays est lié à la campagne d’injections anti covid.
Selon le statisticien lanceur d’alerte, qui se fait appeler « Winston Smith« , un grand nombre de Néo-Zélandais vaccinés sont aujourd’hui décédés.
Winston Smith travaillait sur un programme d’enregistrement des indemnisations vaccinales pour les prestataires de soins.
Grâce à son accès unique, il a pu déterminer avec précision comment les décès ont commencé à se produire peu de temps après l’introduction des vaccins.
Le spécialiste des technologies de l’information a fait ces révélations lors d’une récente interview avec la journaliste d’investigation Liz Gunn.
Au cours de l’entretien, M. Smith a expliqué comment il avait établi la corrélation entre les vaccins administrés et les décès qui s’ensuivaient.
Alors que l’Etat français se tient prêt pour entamer une nouvelle campagne de vaccination si besoin, les médecins qui seront chargés d’immuniser les citoyens seront-ils responsables en cas d’accidents?
Pour rappel, en 2021, le média LCL nous apprenait qu’une note de l’Elysée les déchargeait de toute responsabilité.
Lecourrier-du-soir.com vous explique tout
Excellente lecture
Une note de l’Etat transmis au Conseil National de l’Ordre des Médecins par le Ministère de la Santé décharge les médecins de toute responsabilité pénale
En pleine campagne de vaccination contre le Covid-19 en France et au moment où les effets secondaires se multiplient, l’Etat français ne veut surtout pas exposer les médecins qui sont appelés à injecter le vaccin à des millions de citoyens, surtout dans un contexte où des voix appellent à accélérer la vaccination.
Ainsi, pour éviter que les médecins ne deviennent à leur tour les prochaines victimes d’une campagne de vaccination qui n’a pas encore obtenu les résultats escomptés, le ministre de la Santé a adressé une note confidentielle au Conseil National de l’Ordre des Médecins pour les rassurer que l’Etat se portera garant d’indemniser les éventuelles victimes.
« L’ONIAM se charge de dédommager les victimes »
C’est la révélation faite ce 31 décembre par le média LCI qui cite un courrier daté du 23 décembre. Dans le courrier en question adressé à Patrick Bouet, président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, « Olivier Véran informe les professionnels de santé qu’ils ne seront pas tenus pour responsables ‘au motif qu’ils auraient délivré une information insuffisante aux patients sur les effets indésirables méconnus à la date de vaccination » », note la source.
Autrement dit, un patient vacciné qui a développé des effets secondaires ne pourra pas se retourner contre le médecin qui l’a vacciné. Dans un tel scénario, ajoute LCI, c’est l’Etat qui sera entièrement chargé de payer les dommages via son fonds d’indemnisation connu sous l’acronyme de ONIAM (Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux), organisme qui prend en charge toutes les indemnisations en cas de vaccination obligatoire.
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La controverse a éclaté au sujet du prix Nobel décerné lundi pour la mise au point d’un vaccin à base d’ARNm, les critiques mettant en doute sa sécurité, soulignant les risques identifiés il y a des années et alléguant que Big Pharma a corrompu la science dans sa course à l’expansion des applications commerciales.
Les scientifiques et les médecins qui critiquent les vaccins contre le Covid-19 ont adressé de vives critiques au comité Nobel norvégien après qu’il a décerné le prix Nobel de physiologie ou de médecine 2023 à deux biochimistes de l’université de Pennsylvanie pour leurs travaux sur le développement de «vaccins ARNm efficaces contre le Covid-19».
Katalin Karikó, Ph.D., et Drew Weissman, M.D., Ph.D., ont reçu lundi le prix pour leurs «découvertes révolutionnaires … sur la façon dont l’ARNm interagit avec notre système immunitaire [and for contributing] et [pour avoir contribué] au rythme sans précédent de développement de vaccins pendant l’une des plus grandes menaces pour la santé humaine des temps modernes», selon le communiqué de presse du comité Nobel.
Le Dr Robert Malone, l’inventeur réputé de la technologie de l’ARNm, a réagi sur X/Twitter :
«Karikó et Weissman obtiennent le prix Nobel, non pas pour avoir inventé les vaccins à ARNm (car c’est moi qui l’ai fait), mais pour avoir ajouté la pseudouridine qui a permis de fabriquer un nombre illimité de toxines à pointe dans ce qui aurait pu être une plate-forme vaccinale sûre et efficace, si elle avait été développée de façon sécuritaire».
Le Dr Malone a contesté l’intégrité du prix, affirmant que Big Pharma en était à l’origine.
« Pfizer fait campagne pour ce prix depuis 2020. Au début, ils ont prétendu (comme Karikó) qu’elle avait inventé la technologie du vaccin à ARNm. Pfizer fait des dons importants à l’Institut Karolinska qui décerne le prix Nobel. »
Covid-exilé en Estonie depuis octobre 2020, Jérémie Mercier continue activement à défendre la santé naturelle notamment à travers ses programmes en ligne (notamment le Club Santé Privé) et ses vidéos où il interview de nombreux scientifiques ou médecins à contre-courant de la doxa. Doria, notre naturopathe, a eu l’occasion de le rencontrer il y a quelques semaines à Nantes.
Doria (Le Média en 4-4-2) : Peux-tu te (re)présenter en 4-4-2 à nos lecteurs ?
Jérémie Mercier : Je dirais qu’aujourd’hui je suis un chercheur et un éducateur en santé au sens large. Tout d’abord, j’enseigne des informations capitales sur comment retrouver la santé (ou rester en bonne santé) grâce à l’alimentation vraiment saine, l’extériorisation des émotions, le nettoyage du foie et plein d’autres approches de santé naturelle chaque mois avec mes invités du Club Privé Santé (argile, huile de ricin, jeûne, vitamines C et D à dose thérapeutique, etc.).
Ensuite, j’anime souvent des émissions, telles que « Science en Conscience », que j’avais commencée avec RéinfoCovid, mais qui continue toujours, où je sélectionne des invités qui me paraissent pertinents afin de mieux comprendre la réalité et sortir des dogmes obsolètes (en particulier au niveau médical sur le Covid, mais pas que).
Je suis aussi très actif sur tous les réseaux sociaux – quand je ne suis pas censuré – et ma newsletter joue un rôle d’alerteur sur tout ce que je considère comme étant des arnaques de la « médecine moderne » : vaccination (toutes), « dépistages » du cancer du sein (clin d’œil à « Octobre Rose » qui commence) et de la prostate, port du masque, arnaque « SIDA », etc.
En plus de cela, je suis co-auteur avec 3 collègues (Prof Denis Rancourt, Dr Marine Baudin et Dr Joseph Hickey) de publications scientifiques (déjà 8 en 3 ans) dans lesquelles nous analysons les statistiques de mortalité toutes causes confondues et mettons en évidence le fait qu’il n’y a pas eu de pandémie, que les « mesures sanitaires » telles que le confinement tuent et enfin nous calculons la mortalité causée par les « vaccins contre le Covid ». On arrive au chiffre de 17 millions de morts au niveau mondial dans notre dernière publication. Ça commence à faire !
Doria (Le Média en 4-4-2) : Si ton parcours était à refaire, que changerais-tu ?
Jérémie Mercier : Rien ! J’ai l’impression que tout ce que j’ai fait me sert aujourd’hui ! J’ai fait de longues et difficiles études scientifiques, mais ça me permet de mieux comprendre les arnaques faites au nom de la science. J’ai aussi fait des stages dans des institutions internationales (ONU à Beyrouth, siège de l’UNESCO à Paris) et ça m’a été très utile pour comprendre que ces institutions ne sont pas là pour le bien de l’humanité…. je les ai vues au travail de l’intérieur !
Mes formations en santé naturelle à partir de 2011 m’ont permis, avec mon recul scientifique, de faire le tri également dans la santé alternative. Je sais que j’ai encore beaucoup à apprendre, mais ça va, je suis toujours très motivé et prêt à continuer !
Doria (Le Média en 4-4-2) : Pourquoi avoir publiquement pris la parole, et ce, bien avant le Covid puisque ta chaine Youtube date de 2011 ?
Jérémie Mercier : Et elle va peut-être prochainement disparaître…. (il vaut mieux par sécurité me suivre sur CrowdBunker et sur Telegram je pense !). J’en suis déjà à plus de 10 avertissements (= censures) de la part de YouTube, ce qui à chaque fois bloque toute action sur ma chaîne pendant 1 à 2 semaines et me rapproche de la menace d’une suppression pure et simple de ma chaîne par YouTube. Je navigue depuis 2020 entre les censures et à chaque fois, je crois rêver quand je vois une de mes vidéos sauter.
Je prends la parole publiquement parce que je n’arrive pas à fermer ma gueule quand je vois et comprends (et en plus je peux expliquer de façon intelligible) les énormités de notre « système de santé » en matière de santé. Ça me libère et me fait du bien d’avertir mes congénères via ces vidéos. Après, chacun prend ou pas ce que je lui donne. J’ai compris il y a longtemps qu’on ne peut pas sauver quelqu’un malgré lui. Je n’ai d’ailleurs ni l’âme d’un sauveur, ni d’un martyr. Je comprends des choses de façon originale car je pense avoir un don pour voir le bullshit (comme si j’avais un radar). Je fais passer l’info. Les gens qui voient passer mes infos disposent. Je suis évidemment ravi quand je reçois des messages de soutien et des remerciements (ça arrive très souvent, et heureusement !).