C’est un renversement de situation assez spectaculaire qui a lieu dans l’Empire du Milieu. Pendant deux ans, les autorités chinoises ont maintenu une politique du 0-Covid complètement délirante et confinant à la paranoïa la plus totale.
Au bout de deux ans, la Chine s’est transformée en véritable asile à ciel ouvert pour le milliard et demi de Chinois qui subissait ces restrictions délirantes. Au bout de deux ans, la cocotte minute menaçait très clairement d’exploser ce qui menace la stabilité de la Chine, l’hypocrisie du système politique mis en place par Xi Jinping, qui n’avait pas forcément l’intention de massacrer la population.
Ce que Macron n’a pas compris avec les gilets jaunes, Xi Jinping, lui l’a parfaitement anticipé !
La Hot-Line a de suite été renforcée car l’affluence est énorme. Les gens sont désespérés. Alors qu’ils étaient accueillis avec joie par les médecins lorsqu’ils voulaient se faire vacciner, maintenant qu’ils sont aux prises avec des problèmes de santé après l’injection, ils sont froidement ignorés. L’association fait le point – et tire une conclusion : l’accompagnement des victimes de la vaccination Covid sera désormais l’un des principaux sujets des médecins critiques.
En effet les médecins disent : « nous sommes au milieu d’une nouvelle pandémie, une pandémie de dommages causés par les vaccins dont on a longtemps été averti. La souffrance des personnes atteintes de dommages causés par les vaccins s’est vraiment abattue sur nous. Entendre les histoires de malheur dans un volume aussi dense vous fait crier de colère ou vous taire de désespoir. »
« Les gens se plaignent de symptômes neurologiques, de fatigue chronique, de problèmes cardiaques, de problèmes de coagulation, de sensations de brûlure dans tout le corps, de picotements nerveux et de douleurs chroniques. Beaucoup sont incapables de travailler depuis des mois et ont de grands besoins financiers. En plus des plaintes physiques, la déception et la perplexité face à l’ignorance dont ils font preuve sont particulièrement perceptibles. La plupart d’entre eux disent que les médecins ne les prennent pas au sérieux, c’est pourquoi ils dépendent de l’aide de proches ou essaient d’obtenir le soutien de ce type de hotline. »
Alexandre Penasse : Dans votre ouvrage, vous indiquez que l’épisode sanitaire repose sur deux axiomes : primo, la référence informatique de Nils Ferguson dans la modélisation de l’épidémie ; secundo, la conclusion que la seule possibilité de lutter contre la diffusion du virus consiste à diminuer le nombre de contacts. C’était le début du « narratif ». Quid de cette matrice dans laquelle on est rentré ?
Vincent Pavan : Les simulations numériques de Ferguson vont justifier la prise de décision, en particulier en France. Ferguson est un escroc introduit dans le milieu académique, qui était déjà à la manœuvre à l’OMS en 2009, au moment de la grippe H1N1. Ce fiasco était un peu une répétition générale de ce qu’on a vécu avec le covid. Une commission d’enquête nommée par le Sénat avait conclu à la fausseté de ses prédictions. À nouveau, ses fausses simulations sont allées dans le sens des décisions du gouvernement. L’épidémiologie ne se laisse pas modéliser. La complexité dans la transmission du virus nous échappe complètement et n’est pas susceptible de rentrer dans une épidémiologie « newtonienne ». Le « sans contact » ne repose sur rien. Il a été utilisé pour séparer les gens les uns des autres, imposer le masque et la « distanciation sociale », faire cette publicité atroce de l’enfant qui va embrasser sa grand-mère et l’envoie ainsi mourir à l’hôpital. Ce n’est pas un problème sanitaire mais un prétexte sanitaire.
Ariane Bilheran : Oui, la crise politique s’est manifestée par l’apologie de l’état d’exception, une notion qu’on doit au philosophe Giorgio Agamben, qui a d’ailleurs immédiatement réagi. Il nous explique que quelque chose d’anormal se passe dans les États contemporains : au nom d’une urgence réelle ou supposée, la proclamation de l’état d’exception permet de suspendre ou supprimer nos droits fondamentaux. Ceci pose deux questions : 1) A‑t-on le droit, au nom de la nécessité, de suspendre les droits humains ? La philosophie politique y a répondu par la négative. 2)Lanécessitéenétait-ellevraimentune?L’humanitéétait-elle vraiment en danger de mort ? L’état d’exception est totalitaire, comme le nazisme, qui fonctionnait par décrets mais jamais dans la logique du droit. Quand les politiques commencent à interdire le débat, la controverse et les avis divergents, nous ne sommes plus en démocratie.
L’ivermectine a été saluée comme un « médicament miracle » et, selon le rapport mondial sur la science de l’UNESCO, comme un élément essentiel de « l’une des campagnes de santé publique les plus triomphantes jamais menées dans le monde en développement ».
Cependant, depuis le début de la pandémie de COVID-19, les National Institutes of Health (NIH) et les autorités sanitaires affiliées ont vivement recommandé de ne pas utiliser l’ivermectine comme traitement potentiel du virus.
• Bien que la Food and Drug Administration (FDA) ait approuvé l’utilisation de l’ivermectine chez l’homme pour le traitement des maladies causées par des parasites, elle a également insisté sur le fait que l’ivermectine « n’a pas été démontrée comme étant sûre ou efficace » pour le traitement du COVID-19.
Le Dr Masanori Fukushima a publié plusieurs articles sur la recherche biomédicale et la médecine translationnelle. Professeur émérite à l’université de Kyoto, il travaille également au Translational Research Informatics Centre Foundation for Biomedical Research and Innovation, à Kobe, au Japon. Il a également rédigé plus de 200 articles qui ont été cités plus de 7 000 fois.
Fort d’une expérience approfondie des trois dernières décennies en tant qu’oncologue médical au centre anticancéreux d’Aichi et à l’hôpital universitaire de Kyoto, le Dr Fukushima s’est engagé dans la pratique et la diffusion du traitement standard du cancer et dans la réforme du système de soins médicaux japonais. Il contribue activement à ce jour à la mise en place de l’infrastructure des essais cliniques axés sur la recherche translationnelle.
« Les dommages causés par les vaccins sont désormais un problème mondial. Des milliards de vies en danger »
Cette politique de longue date ne s’appliquait pas aux informations erronées fournies par les responsables gouvernementaux, qui mentaient régulièrement sur des sujets tels que la transmission, les masques, l’efficacité des vaccins, les effets secondaires ou toute autre « science » qui s’avérait manifestement fausse.
« À compter du 23 novembre 2022, Twitter n’applique plus la politique relative aux informations trompeuses COVID-19.
Alors que la communauté mondiale affronte ensemble la pandémie de COVID-19, Twitter aide les gens à trouver des informations fiables, à se connecter avec d’autres personnes et à suivre ce qui se passe en temps réel. »
Que l’on pense par exemple à l’indignation de certains politiciens face à l’usage par des esprits critiques des mots « dictature » ou « tyrannie » sanitaires…
Pourtant, la dictature est bien depuis la Rome antique cette suspension (normalement temporaire) des droits et libertés habituelles. Un état d’urgence ou d’exception qui court-circuite les processus habituels de la démocratie et de l’état de droit est bien techniquement un régime de dictature.
Et piloter la soi-disant réponse à un phénomène (présenté de manière fallacieuse comme les présentations précédentes l’ont montré) depuis un « Conseil défense » militaire, protégé par un secret n’ayant aucune raison valable d’exister, relève bel et bien de la tyrannie. Là encore au sens précis du terme, qui décrit la captation du pouvoir exécutif par une personne ou un petit groupe mettant en échec le fonctionnement institutionnel normal.
Toutes ces réalités -déjà bien problématiques-, il fallait la connaissance et l’expertise d’une personne comme Ariane Bilheran pour nous éclairer à leur sujet.
Normalienne, philosophe (avec une spécialisation en philosophie politique et morale), Ariane est de surcroît docteur en psychopathologie. Ses thématiques de recherche dans cette discipline ont couvert (en autres) la psychopathologie de l’autorité et de la paranoïa ainsi que les phénomènes de manipulation et d’emprise, à petite comme à large échelle.
C’est dire si elle possédait en amont de ce qui nous est arrivé toutes les clés de lecture et de compréhension nécessaires à porter une analyse précise et pertinente.
Elle l’a fait en publiant plusieurs séries d’articles (dont Chroniques du totalitarisme et Psychopathologie du totalitarisme) et différents ouvrages qui feront date (dont bien sûr Le débat interdit, rédigé en tandem avec Vincent Pavan) ainsi qu’en donnant de nombreuses interviews et conférences.
Des centaines d'ouvriers ont défilé mercredi devant l'usine et ont fait face à des policiers, lesquels étaient armés de matraques et habillés en combinaisons intégrales de protection blanches.
Dans la foulée, les autorités de Zhengzhou ont ordonné une grande campagne de dépistage dans plusieurs districts de la ville. Ces quartiers sont confinés pour cinq jours à partir de vendredi minuit.
En clair, les habitants du centre-ville ne sont plus autorisés à quitter la zone sans un test PCR négatif et l'autorisation des autorités locales. Il leur est conseillé de ne pas sortir de chez eux, "sauf si nécessaire".
Ces mesures concernent plusieurs quartiers, touchant environ la moitié des habitants de Zhengzhou. Elles ne couvrent pas la zone de l'usine d'iPhone, où les ouvriers sont déjà soumis à des restrictions depuis plusieurs semaines.
Encore un article qui ne fera pas long feu sur les réseaux sociaux. Hélène Banoun se lance ici sur le terrain miné de l’état des connaissances sur la pharmacocinétique des vaccins, c’est-à-dire leur biodistribution, métabolisme et excrétion. Cet article a été régulièrement publié après expertise par les pairs mais il fait l’objet d’une demande (pour l’instant anonyme) de relecture par d’autres experts. En effet, il aborde la question de l’excrétion du vaccin ou de ses produits et de la plausibilité biologique de sa transmission de personne à personne. Un énorme article foisonnant de rappels scientifiques essentiels et de prudence oubliée pour des raisons stupidement mercantiles.
Bonne lecture.
Emma Kahn
Danielle Smith devient un modèle politique brillant pour le monde.
La première ministre conservatrice de l’Alberta, Danielle Smith, est considérée comme une critique virulente des mesures Corona totalement excessives prises par les autorités canadiennes. Au cours des dernières semaines, elle a déjà affirmé clairement que sous sa direction, il n’y aurait pas de mandats de vaccination dans sa province, ni aucune discrimination liée à la Covid-19. Le partenariat entre le service de santé de la province et le Forum économique mondial (WEF) est également problématique.
« Aucun individu de mon gouvernement ou de mon agence provinciale ne sera autorisé à s’associer au FEM »