Les chercheurs ont constaté que la protection post-infection – connue sous le nom d’immunité naturelle – était forte et restait significative dans le temps. Contre les variantes Wuhan, Alpha et Delta, la protection contre la réinfection était de 85 % après quatre semaines, de 78 % après 40 semaines et de 55,5 % après 80 semaines.
Cette protection a chuté plus rapidement contre le sous-variant Omicron BA.1, tombant à 36 % à 40 semaines, et la protection contre la maladie symptomatique est également tombée en dessous de 50 %.
Mais les chercheurs ont constaté que la protection contre la maladie grave était forte contre toutes les souches, y compris la sous-variante BA.1.
Les sujets naturellement immunisés bénéficiaient d’une protection de 88,9 % contre la BA.1 à 40 semaines, ce qui était en fait plus élevé que contre les souches antérieures.
Est-il possible d'évoquer un effondrement des naissances ? Peut-on constater des signes inquiétants à propos de décès concernant les nouveaux-nés en Europe ? Réponses, données et statistiques à l'appui.
L’Europe a un problème de fertilité. La cohérence des données est stupéfiante. Partout où nous disposons de données sur les naissances mois par mois, il manque de nombreux bébés depuis le début de l’année 2022. Tout se passe comme si les femmes avaient été rendues malades à partir de la moitié de l’année 2021, bloquant leur fertilité de manière suffisamment massive pour se répercuter dans les statistiques de naissances. Heureusement qu’il a suffisamment été répété que la vaccination est sûre et efficace, sinon il ne fait aucun doute que des journalistes ou instituts auraient fini par se poser des questions, voire même, étudier un peu les données disponibles. Mais puisque la vaccination est sûre et efficace, nous pouvons sans risque étudier les données à notre disposition.
Si on se place dans un exemple complètement fictif, où de nombreuses femmes se feraient injecter une substance nocive, on devrait observer plusieurs phénomènes. Tout d’abord, il y aurait de fortes chances d’observer un pic de naissances au moment de l’injection des femmes enceintes à partir de leur 3ème trimestre. Le fait d’être malade peut engendrer des accouchements prématurés. La prématurité est une des premières causes de mortalité infantile. Il n’existe pas de statistiques en ligne sur la prématurité. En revanche, l'étude de la mortalité infantile peut donner des indices permettant de savoir si quelque chose d’anormal se passe au moment de l’accouchement. Une fois passé ce pic de naissances, on s’attend à un effondrement de la natalité. Les femmes malades perdent leur fécondité. Cette perte de fécondité est visible par le dérèglement des menstruations. Il peut s’agir d’une perte totale ou partielle des règles, ou inversement d’une surabondance des pertes de sang. Une fois cela en tête, il convient d’étudier ce qui se passe au sein des pays permettant l’accès aux données.
Le CDC confirme que 100 % des décès signalés liés au vaccin Covid-19 ont été causés par seulement 5 % des lots produits et que la majorité d’entre eux ont été envoyés dans des États républicains rouges des États-Unis.
Le 31 octobre, nous avons révélé en exclusivité comment une enquête du système américain VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) a révélé qu’un nombre extrêmement élevé d’effets indésirables et de décès avaient été signalés à de nombreuses reprises pour des numéros de lots spécifiques des vaccins Covid-19, ce qui signifie que les lots mortels de ces injections expérimentales ont maintenant été identifiés.
Cette enquête a également permis de découvrir que 130 numéros de lots différents du vaccin Pfizer Covid-19 distribués dans plus de 13 États ont causé en moyenne 639 fois plus de dommages, d’hospitalisations et de décès que les 4 289 numéros de lots différents du vaccin Pfizer distribués dans 12 États ou moins.
Toutefois, la conclusion la plus choquante de l’enquête était que 100 % des décès liés au vaccin Covid-19 signalés au VAERS avec des numéros de lot identifiés avaient été causés par seulement 5 % des lots produits. Mais les résultats profondément troublants ne s’arrêtent pas là, car nous avons décidé de procéder à une analyse plus approfondie des données du VAERS sur les vaccins Covid-19, et nous avons découvert que la majorité des lots les plus mortels ont clairement été envoyés dans des États rouges contrôlés par les républicains à travers les États-Unis.
Ce ne sont pas les médias ni européens ni français qui auraient intenté une telle action.
Cela en dit d’ailleurs plus long que tous les discours sur la réalité de la démocratie en Europe et sur la transparence des institutions européennes.
Si je suis en lutte contre la Commission de Bruxelles, ce n’est pas parce que j’ai en moi un sentiment profondément anti-européen, mais parce que l’Europe telle qu’elle est conçue ne peut que nous mener à la négation des droits des peuples et à une immense corruption puisque la Commission Européenne, c’est LE lieu des arrangements entre amis, loin, très loin de contrepouvoirs démocratiques et judiciaires pourtant tellement nécessaires.
L’Union Européenne, c’est la création volontaire d’une immense lessiveuse au service de quelques puissants non élus et contre les peuples.
L’Europe de Bruxelles, en ce sens n’est plus synonyme de paix, ni de prospérité, et cela commence sacrément à se voir.
La requête du New York Times, le premier média à révéler l’affaire des SMS en avril 2021, a été déposée le 25 janvier, mais est seulement visible depuis lundi (13 février) sur le registre public de la Cour de justice des Communautés européennes.
En septembre 2021, le comité de coordination et de maintenance de la ICD-10 s’est réuni pour discuter des nouveaux codes ICD-10 que le National Center for Health Statistics (NCHS) des CDC voulait créer pour marquer les personnes comme « partiellement vaccinées contre le COVID-19 », « non vaccinées contre le COVID-19 » et « autre statut de sous-immunisation ».
Les codes ICD-10 , stockés dans le dossier médical d’un patient, sont utilisés par les médecins pour catégoriser les patients et les prestataires d’assurance pour la facturation.
Les codes ICD-10-CM ont été introduits par les CDC pour suivre les patients non vaccinés, partiellement vaccinés et ceux qui entrent dans la catégorie « autre statut de sous-immunisation ». Le comité de la CIM-10 a déclaré que les personnes ayant eu des réactions indésirables à un vaccin dans le passé seraient classées comme non vaccinées ou partiellement vaccinées, même si elles ne peuvent pas recevoir d’autres vaccins ou rappels. Les nouveaux codes ont été mis en œuvre en avril 2022.
Catherine Teilhet, retraitée des services informatiques de la Ville de Paris
Les médias se faisant déjà quasi exclusivement les porte-parole de la pensée officielle, je ne l’exposerai donc pas dans ces pages afin de mieux me concentrer sur les analyses divergentes.
À mesure que la 5G se déploie sans consultation en France et dans le monde, avec une multiplication des antennes-relais et des satellites, et une croissance exponentielle de l'utilisation d'objets connectés, il est important de se demander comment cet electrosmog peut affecter notre santé.
Basé sur son parcours personnel en tant qu’ingénieur devenu électro-hypersensible, Anthony partage les résultats de ses recherches sur les effets potentiellement négatifs souvent ignorés des ondes électromagnétiques, allant du courant électrique alternatif aux antennes-relais de la 5G, en passant par la radio, les radars, les satellites, la 2G/3G/4G, le Linky, la Wi-Fi, etc. Les ondes électromagnétiques peuvent présenter un risque pour la santé des EHS, mais aussi pour tous les êtres vivants.
Je rappelle que la Spike se réplique dans toutes les cellules du corps, et détruit les défenses immunitaires face aux invasions épidémiques.
Je rappelle que la nattokinase est une enzyme naturellement présente dans le natto, un fromage traditionnel japonais consommé depuis plus de 1000 ans. Ce natto est produit par la fermentation de graines de soja sous l’action d’une souche particulière de bactérie, le Bacillus subtilis var. natto.
« Never Again Is Now Global », une série documentaire en cinq parties mettant en lumière les parallèles entre l'Allemagne nazie et les politiques mondiales en matière de pandémie, sera diffusée en exclusivité sur la CHD.TV à partir du lundi 30 janvier à 19 heures (heure normale de l'Est).
L’Alliance for Human Research Protection [Alliance pour la protection de la recherche humaine], fondée par Vera Sharav, survivante de l’Holocauste et militante des droits de l’homme, a produit le film et Mme Sharav l’a réalisé.
Chaque épisode d’une heure se concentre sur des témoignages récents de survivants de l’Holocauste et de leurs descendants qui discutent des comparaisons entre les premières étapes répressives sous le régime nazi qui ont culminé avec l’Holocauste et les politiques mondiales de la COVID-19.
Les personnes présentées dans le documentaire expliquent comment les interventions des nazis – notamment la suspension des libertés, l’imposition de fermetures, les procédures médicales forcées et les passeports d’identité – sont similaires aux contraintes dictatoriales modernes imposées aux citoyens du monde entier.
Contrairement aux documentaires habituels sur l’Holocauste qui évitent d’identifier les sponsors financiers et les entreprises derrière les nazis, « Never Again Is Now Global » expose les intérêts financiers qui ont conduit l’Holocauste.
Les survivants expliquent comment des entreprises modernes, dont General Motors, Ford Motor Company, IBM et des conglomérats comme IG Farben, ont secrètement profité des camps de travail esclaves et du génocide industriel pendant le régime nazi.
« Jusqu’à présent, quiconque a tenté d’attirer l’attention sur les schémas actuels de pandémie ou d’établir des comparaisons, même modestes, entre ces schémas et l’ère nazie, s’est attiré un barrage de critiques virulentes et soutenues de la part des gardiens de l’Holocauste et des médias d’entreprise financièrement compromis », a déclaré Mme Sharav. « Nous avons fait ce film pour changer cela. »
Par les modifications des normes la FAA qui assure la sécurité du transport aérien américain fait prendre de grands risques tant aux personnels qu’aux passagers.
Qu’en est-il de l’Aviation civile en France ?
Un rapport de la FAA admet que les électrocardiogrammes des pilotes ne sont plus normaux. Ce rapport a été caché par la FAA.
Steve Kirsh a publié aujourd’hui un rapport dans lequel il partage des informations très, très inquiétantes sur la santé des Américains et des pilotes qui nous font voler partout dans le monde.
« Après le déploiement du vaccin, la FAA a secrètement élargi la plage de paramètres ECG pour les pilotes afin qu’ils ne soient pas punis. On dirait que le vaxx a causé des dommages cardiaques à au moins 50 millions d’Américains.»
COVID-19 : Une opération financière mondiale.
L’histoire de la pandémie du COVID-19 n’a pas de sens si on la considère sous l’angle de la santé, de la sécurité et de la science. En revanche, si on la considère sous l’angle de l’argent, du pouvoir, du contrôle et du transfert de richesse, tout est parfaitement logique.
Les confinements, les muselières obligatoires, la distanciation antisociale et la pléthore de mesures complémentaires n’ont rien fait pour protéger ou améliorer la santé publique – ils n’ont jamais été conçus pour le faire.
Les nombreuses obligations nées au début du scénario Covid-19 ont toutes été conçues pour briser délibérément l’économie mondiale et écraser les petites entreprises, ainsi que pour briser l’esprit et la volonté des gens, détruire le tissu social, afin de « reconstruire une société meilleure » conforme aux visions dystopiques des psychopathes qui mènent cette guerre des classes.
Le résultat souhaité est une utopie de milliardaires, dans laquelle ils posséderont et contrôleront la planète sous la forme d’un fief techno-féodal où l’humanité sera marquée numériquement et régulée comme du bétail dans une technocratie super-surveillée.
Ce que cette crise fabriquée camoufle commodément, c’est que nous sommes au milieu d’un effondrement économique total planifié – un effondrement qui était inévitable.