(…) La pandémie que nous croyions survenue ces dernières années ne s’est pas produite soudainement en 2020.
1965 : Dans le cadre de développement de futures guerres bio- chimiques, isolement du corona Virus et choix comme agent pathogène de base en tant que modèle viral infectieux réplicable et modifiable. Au départ il était associé à un simple rhume.
1966 : Premières manipulations génétiques du CoronaV et échanges de données d’expérimentations humaines entre les USA et le royaume uni.
1967 : Premiers essais d’inoculation de coronavirus modifiés à des êtres humains –
La conclusion : succès pathogène (infectieux) immédiat.
Années 70 : La combinaison du corona V à la protéine de pointe spike aboutit à une chimère (modèle moléculaire qui n’existe pas dans la nature)
[...]
Pourtant, le tour d’Italie a démontré à quel point tout ceci ne servait strictement à rien et que la vaccination massive des cyclistes était totalement inutile puisqu’ils étaient tous positifs au Covid-19 ! Malgré cette mascarade italienne, au lieu d’apprendre et de comprendre ce qui se passe, les responsables français du tour ont décidé d’appliquer un protocole tout aussi inutile que les précédents car ils sont terrorisés par une annulation et refusent de prendre le moindre risque de perdre de l’argent sachant que c’est un événement mondialement connu avec des recettes publicitaires conséquentes (29,8 % de part d’audience réalisée par France 2 et France 3, édition 2021. France Télévision signe un chèque de 25 millions d’euros chaque année). Il faut également savoir qu’une ville étape qui accueille le tour de France doit s’acquitter d’une redevance de 120 000 € !
Avec de telles sommes d’argent et des centaines de millions de personnes qui regardent dans le monde entier, voire même des milliards, ils sont prêts tout même à mettre des masques FFP2 aux coureurs en plein cagnard, prenant le risque de mettre leurs vies en danger.
Les sociétés savantes médicales jouent un rôle crucial dans la promotion des connaissances médicales, l'élaboration de directives cliniques et la formation des professionnels de santé. Cependant, ces institutions sont de plus en plus critiquées pour leurs liens étroits avec l'industrie pharmaceutique, ce qui soulève des questions sur l'objectivité de leurs recommandations. En effet, les sociétés savantes médicales sont responsables de l'élaboration de directives cliniques qui influencent les pratiques médicales à l'échelle mondiale. L'influence de l'industrie pharmaceutique sur ces recommandations est préoccupante, car elle peut entraîner une sur-prescription de médicaments coûteux et potentiellement inutiles, minimiser les approches alternatives non pharmacologiques et négliger les effets indésirables des traitements.
Dès lors, il n’était pas surprenant de les voir s’élever, massivement, contre l’étude rétrospective pré-publiée par les Pr Lagier, Brouqui, Million et Raoult de l’IHU Méditerranée Infection, qui montrait sur plus de 30.000 patients l’impact favorable net sur la mortalité liées à la Covid-19, d’une prescription (réalisée hors AMM) d’hydroxychloroquine et à l’azithromycine.
La fronde pris la forme d’une tribune dans Le Monde, coordonnée par le Pr Molimard du CHU de Bordeaux. Depuis 3 ans, ce dernier s’est illustré dans les médias comme un pourfendeur de toutes formes de traitement de la Covid-19. Ses critiques acerbes (« rien ne marche », « on n’atteint pas les concentrations ») ne sont pas étayées d’éléments probants scientifiques. Il se cantonnerait derrière des publications, qu’il avait la possibilité de critiquer objectivement, et de les interpréter à son gré avec moult biais qui entrainent une désinformation des lecteurs ou auditeurs. Il est aussi grand fervent des vaccins (« on ne transmet plus la covid une fois vacciné »), pour le plus grand bénéfice de l’industrie pharmaceutique qui a bien entendu très largement plus à gagner à vendre 20€ (et parfois bien plus) un vaccin expérimental à 6 milliards de personnes qu’à vendre à quelques centaines de millions un traitement à 2€. Le bénéfice pour l’industrie, le risque pour le patient. En outre, le Pr Molimard est pharmacologue et médecin, il a donc un double diplôme. Le consentement libre et éclairé, les conventions d’Helsinki et d’Oviedo ne devraient avoir aucun secret pour lui. De plus, en respect de son serment d’Hippocrate, il lui était demandé de respecter le patient.
La base de données https://transparence.sante.gouv.fr, consultée via le site eurosfordocs.fr, comptabilise le montant des avantages perçus de l’industrie pharmaceutique. Les sommes comptabilisées le sont pour les sociétés savantes signataires de ladite tribune, mais également pour leurs représentants à titre individuel au cours des 4 dernières années. Les montants rapportés ne comptabilisent pas les conventions où les montants ne sont pas déclarés.
Les résultats sont édifiants...
Comme le fait remarquer l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel, ce qui déclenche l’ire des promoteurs du covidisme, c’est bien sûr la parution de cette étude rétrospective, qui montre l’efficacité du « protocole Raoult », mais aussi, et peut-être surtout, la mise en ligne de l’intégralité des données de l’IHU sous-tendant l’article, soit les données brutes de tous les patients soignés pour un covid par le professeur et ses collègues. Un matériau inaltérable et accessible, qui fait à lui seul la lumière sur l’incurie, au bas mot, des dirigeants du coup d’État sanitaire et de leurs lieutenants médiatico-« scientifiques ». (E&R)
La publication de la série finale par l'IHU démontre que ces malfrats ont activement participé au (CENSURE) par privation de soins de dizaines de milliers de personnes en France.
On comprend qu'ils soient quelque peu stressés à la perspective de se retrouver tôt ou tard devant la justice pour répondre de leurs actes.
Tic-tac, tic-tac !
Ils nous donnent en attendant un nouvel exemple magistral de délire paranoïaque raisonnant...
Clémence Houdiakova recevait, sur Ligne Droite, Martine Gardénal, médecin homéopathe, médecin du sport, anciennement médecin de l’équipe olympique. Lors de cet entretien, Martine Gardénal jette un pavé dans la mare : « Il y a des sportifs qui se plaignent d’une grande fatigabilité. Une étude publiée au mois de juin — tout ça reste silencieux pour ne pas ébruiter que ces injections ont des effets secondaires — annonçait une perte de puissance et de fatigabilité qui modifiait les résultats de 40 %. C’est énorme, on perd la moitié de ses résultats. »
Bien entendu, ils trouveront des dizaines d’excuses bidons comme le réchauffement climatique ou n’importe quel autre virus ou bactérie, ils n’avoueront jamais que c’est l’ARNm de Pfizer et Moderna.
Un bébé est décédé et huit ont été admis en soins intensifs dans le cadre d’un mystérieux groupe d’infections dont on pense qu’elles sont dues à un virus généralement inoffensif.
Au total, 15 nouveau-nés du Pays de Galles et du sud-ouest de l’Angleterre ont été frappés par une grave myocardite – inflammation du cœur – depuis juin 2022.
L’un d’entre eux est toujours hospitalisé, selon une alerte lancée hier soir par l’Organisation mondiale de la santé.
Les responsables de la santé ont été effrayés par l’augmentation « inhabituelle » du nombre de cas en si peu de temps, ce qui a donné lieu à une enquête approfondie.
Neuf des cas ont été testés positifs à un type d’entérovirus, qui ne provoque généralement aucun symptôme ou des signes semblables à ceux de la grippe.
Toutefois, les experts sont perplexes quant à la cause de cette augmentation soudaine. Les responsables de la santé au Pays de Galles étudient les raisons de ces cas et enquêteront sur tous les autres cas signalés dans les semaines à venir.
Les effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 deviennent de plus en plus difficiles à dissimuler. Depuis le début de la vaccination de masse, dans nos colonnes, nous avons toujours alerté sur les effets indésirables et inquiétants, voire potentiellement mortels de ces vaccins. Ces injections contribuent à la détérioration du système immunitaire des personnes injectées.
De nouveau, nous rapportons les propos d’un assureur sur les taux de mortalité lié aux injections contre Covid. En janvier 2022, les propos de Scott Davison, PDG d’une compagnie d’assurance américaine basée à Indianapolis, faisaient savoir qu’il y avait une augmentation des décès de 40% au troisième trimestre 2021 et qu’elle touchait la population active des 18-64 ans, c’est-à-dire dans la période où les injections Covid ont été imposées aux populations de moins de 65 ans. Les analyses de la compagnie montraient qu’il ne s’agissait pas d’une hausse liée au Covid mais bien aux injections. De même, l’avocat Todd Callender, associé à la direction d’un groupe d’assurance, explique que depuis la vaccination de masse, « la surmortalité aurait augmenté de 84 % et les maladies de 1 100 % ». En Allemagne, l’assureur maladie BKK ProVita déclarait en février 2022 qu’une analyse des données recueillies auprès de plus de 10 millions de personnes suggère que les effets secondaires du vaccin COVID sont “significativement” sous-déclarés et qu’un risque pour la vie humaine ne peut pas être exclu.
Pour rappel, pour faire face à une énième vague de Covid gouvernements ont toujours opté pour une vaccination généralisée et expérimentale utilisant de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager.
Les spéculations vont également bon train sur le fait que les injections de Covid-19 pourraient contenir des traces d’oxyde de graphène, une substance hautement toxique et conductrice.
Les régulateurs des médicaments, avec le soutien des médias grand public, ont nié à plusieurs reprises ces allégations.
Mais ils vous mentaient.
Parce que des preuves récentes ont émergé qui confirment la présence d’oxyde de graphène, une substance hautement toxique et conductrice, dans le vaccin de Pfizer. Et il est venu de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis qui a été contrainte de publier les documents confidentiels de Pfizer sur ordre de la Cour fédérale des États-Unis.
La FDA avait initialement tenté de retarder la publication des données de sécurité du vaccin Covid-19 de Pfizer pendant 75 ans, malgré l’approbation de l’injection après seulement 108 jours d’examen de sécurité le 11 décembre 2020.
Cependant, un groupe de scientifiques et de chercheurs médicaux a poursuivi la FDA en vertu de la FOIA pour forcer la publication de centaines de milliers de documents liés à l’homologation du vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19.
Début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman a ordonné à la FDA de publier 55 000 pages par mois et, depuis lors, PHMPT a publié tous les documents sur son site Web au fur et à mesure de leur publication.
L’un des documents les plus récents publiés par la FDA, enregistré sous le numéro 125742_S1_M4_4.2.1 vr vtr 10741.pdf, confirme l’utilisation de l’oxyde de graphène dans le processus de fabrication du vaccin Pfizer Covid-19.
Il est parfois difficile de faire entendre notre voix au milieu des collabos médicaux affirmés, des syndicats complices et des opposants politiques qui regardent ailleurs quand des gens meurent des suites des injections à ARNm expérimentales.
À présent, il faut composer avec les résistants suspectés de faire partie de l’opposition contrôlée, mais aussi avec leurs Inquisiteurs, ce qui complique la tâche.
Concernant les dirigeants politiques et syndicaux, l’opposition contrôlée n’est pas un mythe. Elle n’est pas non plus désintéressée. Entre le lobbying de Big Pharma et la peur de perdre sa place dans la petite élite politique, les opposants à Macron se taisent à propos des scandales les plus criants.
Mais qu’en est-il de l’accusation de faire partie de l’opposition contrôlée lorsqu’elle désigne des résistants avec lesquels nous nous battons depuis trois ans ?
Oui, Maître Brusa et Maître Di Vizio ont montré leurs limites. Mais peut-on vraiment attendre que deux avocats portent sur leurs épaules notre soif de justice et de réparation pour tous les préjudices que nous subissons depuis trois ans ? À chacun de les suivre pour ce qu’ils apportent à notre réflexion commune en restant lucide lorsque que leurs prises positions semblent en contradiction avec celles qu’ils ont précédemment défendues.
Parmi les internautes pionniers dans cette résistance, certains ont des réactions évoquant un peu le « syndrome de Stalec ». Fin 2020, ce fan du Professeur Raoult était devenu une référence sur Twitter. Du jour au lendemain il a totalement retourné sa veste ce qui a suscité beaucoup d’interrogations. Prenant un nouveau pseudo, il s’est fait le promoteur du discours de la secte des Nofakemed remettant en cause toutes ses anciennes affirmations.
Quoique moins radicale, la polémique actuelle sur la présence ou l’absence de graphène dans les produits injectés prend un peu cette tournure. Cette polémique est inutile lorsqu’elle n’est pas portée par des experts munis de leurs microscopes et des études qui étaient leurs propos. Sinon, ça revient à un débat pour ou contre sur un sujet que nous ne maîtrisons pas.
Nous assistons désormais à des procès d’intention et une chasse aux sorcières supposées faire partie de l’opposition contrôlée. Ça ressemble à L’Inquisition ou encore des procès staliniens. Sous la Terreur, la guillotine envers les supposés traîtres aurait réglé la question des suspects..
J’ai reproché au Professeur Raoult d’avoir voulu réserver ce vaccin-poison aux plus âgés et aux plus fragiles. Très déçue, je n’ai pourtant pas parlé d’opposition contrôlée. Il était évident qu’il cherchait un compromis pour son maintien à l’IHU de Marseille ou pour la survie de l’IHU et de son équipe. On aime ou pas cette attitude, mais elle est humaine.
Dernièrement, j’ai vu s’amorcer une campagne de dénigrement d’Alexandra Henrion Caude après le succès de son livre : « Les apprentis sorciers ». Des rumeurs détestables allant fouiner dans ses tweets passés, des supposées raisons de suspicion. Alexandra a pris le risque de compromettre sa carrière et ruiner sa réputation auprès de ses pairs. Certains se font une joie de taper sur une consœur tant le milieu de la recherche est encore un peu trop sous la domination masculine.