Le Pérou fait face à une augmentation inhabituelle des cas de syndrome de Guillain-Barré, une maladie qui provoque une neuropathie aiguë paralysante pouvant entraîner la mort.. En réponse à cette situation préoccupante, le pays d’Amérique latine a déclaré l’état d’urgence sanitaire national pour une période de trois mois.
Selon un communiqué du ministère péruvien de la Santé, « l’urgence sanitaire de niveau national est déclarée pour 90 jours en raison de l’augmentation inhabituelle des cas de syndrome de Guillain-Barré ». Cette mesure concerne les 25 régions du pays, qui compte une population de 33 millions d’habitants.
Le ministre de la Santé, César Vásquez, a déclaré lors d’une conférence de presse : « Nous avons constaté une augmentation significative ces dernières semaines, ce qui nous oblige à prendre des mesures au niveau de l’État pour protéger la santé et la vie de la population ». Cette déclaration d’urgence permettra d’acquérir de l’immunoglobuline pour le traitement des patients atteints au cours des deux prochaines années.
Note de SLT : Selon The Daily Sceptic, cette étude a été retirée en 24h du Lancet. Elle est consultable ici en PDF. Le Dr Harvey Risch, l’un des auteurs de l’étude, a déclaré au Daily Sceptic qu’il considère cela comme une «censure pure dirigée par le gouvernement, même après l’injonction Missouri c. Biden». Dans cette étude «le système d’organes le plus impliqué dans les décès liés au vaccin contre la COVID-19 était le système cardiovasculaire (53 %)» et pour rappel, le chiffre effarant selon cette étude : «240 décès (73,9 %) ont été évalués de façon indépendante comme étant directement attribuables à la vaccination contre la COVID-19 ou y ayant contribué considérablement».
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(…) La pandémie que nous croyions survenue ces dernières années ne s’est pas produite soudainement en 2020.
1965 : Dans le cadre de développement de futures guerres bio- chimiques, isolement du corona Virus et choix comme agent pathogène de base en tant que modèle viral infectieux réplicable et modifiable. Au départ il était associé à un simple rhume.
1966 : Premières manipulations génétiques du CoronaV et échanges de données d’expérimentations humaines entre les USA et le royaume uni.
1967 : Premiers essais d’inoculation de coronavirus modifiés à des êtres humains –
La conclusion : succès pathogène (infectieux) immédiat.
Années 70 : La combinaison du corona V à la protéine de pointe spike aboutit à une chimère (modèle moléculaire qui n’existe pas dans la nature)
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Pourtant, le tour d’Italie a démontré à quel point tout ceci ne servait strictement à rien et que la vaccination massive des cyclistes était totalement inutile puisqu’ils étaient tous positifs au Covid-19 ! Malgré cette mascarade italienne, au lieu d’apprendre et de comprendre ce qui se passe, les responsables français du tour ont décidé d’appliquer un protocole tout aussi inutile que les précédents car ils sont terrorisés par une annulation et refusent de prendre le moindre risque de perdre de l’argent sachant que c’est un événement mondialement connu avec des recettes publicitaires conséquentes (29,8 % de part d’audience réalisée par France 2 et France 3, édition 2021. France Télévision signe un chèque de 25 millions d’euros chaque année). Il faut également savoir qu’une ville étape qui accueille le tour de France doit s’acquitter d’une redevance de 120 000 € !
Avec de telles sommes d’argent et des centaines de millions de personnes qui regardent dans le monde entier, voire même des milliards, ils sont prêts tout même à mettre des masques FFP2 aux coureurs en plein cagnard, prenant le risque de mettre leurs vies en danger.
Les sociétés savantes médicales jouent un rôle crucial dans la promotion des connaissances médicales, l'élaboration de directives cliniques et la formation des professionnels de santé. Cependant, ces institutions sont de plus en plus critiquées pour leurs liens étroits avec l'industrie pharmaceutique, ce qui soulève des questions sur l'objectivité de leurs recommandations. En effet, les sociétés savantes médicales sont responsables de l'élaboration de directives cliniques qui influencent les pratiques médicales à l'échelle mondiale. L'influence de l'industrie pharmaceutique sur ces recommandations est préoccupante, car elle peut entraîner une sur-prescription de médicaments coûteux et potentiellement inutiles, minimiser les approches alternatives non pharmacologiques et négliger les effets indésirables des traitements.
Dès lors, il n’était pas surprenant de les voir s’élever, massivement, contre l’étude rétrospective pré-publiée par les Pr Lagier, Brouqui, Million et Raoult de l’IHU Méditerranée Infection, qui montrait sur plus de 30.000 patients l’impact favorable net sur la mortalité liées à la Covid-19, d’une prescription (réalisée hors AMM) d’hydroxychloroquine et à l’azithromycine.
La fronde pris la forme d’une tribune dans Le Monde, coordonnée par le Pr Molimard du CHU de Bordeaux. Depuis 3 ans, ce dernier s’est illustré dans les médias comme un pourfendeur de toutes formes de traitement de la Covid-19. Ses critiques acerbes (« rien ne marche », « on n’atteint pas les concentrations ») ne sont pas étayées d’éléments probants scientifiques. Il se cantonnerait derrière des publications, qu’il avait la possibilité de critiquer objectivement, et de les interpréter à son gré avec moult biais qui entrainent une désinformation des lecteurs ou auditeurs. Il est aussi grand fervent des vaccins (« on ne transmet plus la covid une fois vacciné »), pour le plus grand bénéfice de l’industrie pharmaceutique qui a bien entendu très largement plus à gagner à vendre 20€ (et parfois bien plus) un vaccin expérimental à 6 milliards de personnes qu’à vendre à quelques centaines de millions un traitement à 2€. Le bénéfice pour l’industrie, le risque pour le patient. En outre, le Pr Molimard est pharmacologue et médecin, il a donc un double diplôme. Le consentement libre et éclairé, les conventions d’Helsinki et d’Oviedo ne devraient avoir aucun secret pour lui. De plus, en respect de son serment d’Hippocrate, il lui était demandé de respecter le patient.
La base de données https://transparence.sante.gouv.fr, consultée via le site eurosfordocs.fr, comptabilise le montant des avantages perçus de l’industrie pharmaceutique. Les sommes comptabilisées le sont pour les sociétés savantes signataires de ladite tribune, mais également pour leurs représentants à titre individuel au cours des 4 dernières années. Les montants rapportés ne comptabilisent pas les conventions où les montants ne sont pas déclarés.
Les résultats sont édifiants...
Comme le fait remarquer l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel, ce qui déclenche l’ire des promoteurs du covidisme, c’est bien sûr la parution de cette étude rétrospective, qui montre l’efficacité du « protocole Raoult », mais aussi, et peut-être surtout, la mise en ligne de l’intégralité des données de l’IHU sous-tendant l’article, soit les données brutes de tous les patients soignés pour un covid par le professeur et ses collègues. Un matériau inaltérable et accessible, qui fait à lui seul la lumière sur l’incurie, au bas mot, des dirigeants du coup d’État sanitaire et de leurs lieutenants médiatico-« scientifiques ». (E&R)
La publication de la série finale par l'IHU démontre que ces malfrats ont activement participé au (CENSURE) par privation de soins de dizaines de milliers de personnes en France.
On comprend qu'ils soient quelque peu stressés à la perspective de se retrouver tôt ou tard devant la justice pour répondre de leurs actes.
Tic-tac, tic-tac !
Ils nous donnent en attendant un nouvel exemple magistral de délire paranoïaque raisonnant...
Clémence Houdiakova recevait, sur Ligne Droite, Martine Gardénal, médecin homéopathe, médecin du sport, anciennement médecin de l’équipe olympique. Lors de cet entretien, Martine Gardénal jette un pavé dans la mare : « Il y a des sportifs qui se plaignent d’une grande fatigabilité. Une étude publiée au mois de juin — tout ça reste silencieux pour ne pas ébruiter que ces injections ont des effets secondaires — annonçait une perte de puissance et de fatigabilité qui modifiait les résultats de 40 %. C’est énorme, on perd la moitié de ses résultats. »
Bien entendu, ils trouveront des dizaines d’excuses bidons comme le réchauffement climatique ou n’importe quel autre virus ou bactérie, ils n’avoueront jamais que c’est l’ARNm de Pfizer et Moderna.
Un bébé est décédé et huit ont été admis en soins intensifs dans le cadre d’un mystérieux groupe d’infections dont on pense qu’elles sont dues à un virus généralement inoffensif.
Au total, 15 nouveau-nés du Pays de Galles et du sud-ouest de l’Angleterre ont été frappés par une grave myocardite – inflammation du cœur – depuis juin 2022.
L’un d’entre eux est toujours hospitalisé, selon une alerte lancée hier soir par l’Organisation mondiale de la santé.
Les responsables de la santé ont été effrayés par l’augmentation « inhabituelle » du nombre de cas en si peu de temps, ce qui a donné lieu à une enquête approfondie.
Neuf des cas ont été testés positifs à un type d’entérovirus, qui ne provoque généralement aucun symptôme ou des signes semblables à ceux de la grippe.
Toutefois, les experts sont perplexes quant à la cause de cette augmentation soudaine. Les responsables de la santé au Pays de Galles étudient les raisons de ces cas et enquêteront sur tous les autres cas signalés dans les semaines à venir.
Les effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 deviennent de plus en plus difficiles à dissimuler. Depuis le début de la vaccination de masse, dans nos colonnes, nous avons toujours alerté sur les effets indésirables et inquiétants, voire potentiellement mortels de ces vaccins. Ces injections contribuent à la détérioration du système immunitaire des personnes injectées.
De nouveau, nous rapportons les propos d’un assureur sur les taux de mortalité lié aux injections contre Covid. En janvier 2022, les propos de Scott Davison, PDG d’une compagnie d’assurance américaine basée à Indianapolis, faisaient savoir qu’il y avait une augmentation des décès de 40% au troisième trimestre 2021 et qu’elle touchait la population active des 18-64 ans, c’est-à-dire dans la période où les injections Covid ont été imposées aux populations de moins de 65 ans. Les analyses de la compagnie montraient qu’il ne s’agissait pas d’une hausse liée au Covid mais bien aux injections. De même, l’avocat Todd Callender, associé à la direction d’un groupe d’assurance, explique que depuis la vaccination de masse, « la surmortalité aurait augmenté de 84 % et les maladies de 1 100 % ». En Allemagne, l’assureur maladie BKK ProVita déclarait en février 2022 qu’une analyse des données recueillies auprès de plus de 10 millions de personnes suggère que les effets secondaires du vaccin COVID sont “significativement” sous-déclarés et qu’un risque pour la vie humaine ne peut pas être exclu.
Pour rappel, pour faire face à une énième vague de Covid gouvernements ont toujours opté pour une vaccination généralisée et expérimentale utilisant de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager.