Le but de ce site est d’annoncer les rassemblements, permettre un échange de co-voiturage et lister les différents sites et pages qui remettent en question les mesures COVID. C'est un forum, vous pouvez vous-même publier une annonce.
Karim Duval découvre le théâtre et écrit ses premiers sketchs en 2008, alors qu’il est encore ingénieur à Sophia-Antipolis (il est diplômé de l’École Centrale Paris). Rapidement il remporte de nombreux prix dans des festivals d'humour de renom, puis décide en 2012 de se consacrer pleinement à sa passion : la scène.
Il est également très présent sur YouTube, et un peu à contre-courant, comme vous pouvez le constater dans cette vidéo.
« De toute façon autrui a fauté donc moi aussi j'ai le droit de fauter, et alors, quand autrui a le dos tourné... »
Selon le Times et le Daily Telegraph, le chef de la diplomatie américaine a tenu ces propos mardi matin à Londres lors d'une rencontre fermée à la presse avec des députés britanniques, les deux journaux citant des propos rapportés par des participants.
« Quand les choses ont commencé à bouger, au moment le plus important, quand il y avait une pandémie en Chine, le Dr Tedros, qui a été... acheté par le gouvernement chinois, je ne peux pas en dire plus, mais je peux le dire, je dis ça en me fondant sur des renseignements solides, un accord avait été conclu. »
Denis Rancourt est l'auteur notamment d'un article scientifique paru sur ResearchGate en avril 2020. Celui-ci a été censuré par la plateforme le 3 juin 2020 après avoir été lu plus de 400 000 fois. Vous pouvez accéder ici à l'article : Les masques ne fonctionnent pas - Un rapport scientifique en lien avec la politique sociale COVID-19.
À savoir que l'entreprise berlinoise a fait une levée de fonds de 52,6 millions de dollars en 2017. Parmi les généreux donateurs on retrouve Goldman Sachs, LVMH, Xavier Niel ... et Bill Gates.
Ci-dessous la réponse de ReseachGate à Denis Rancourt quant aux raisons de la suppression de l'article sur leur plateforme.
« La réflexion et l'examen minutieux font au final progresser la science. En général, à ResearchGate, nous sommes plutôt du côté de la liberté d'expression. Cependant, si nous avons des raisons de croire que le contenu de notre plateforme est susceptible de causer un préjudice, nous nous réservons le droit de le retirer. Dans ce cas, votre rapport préconisait que les masques faciaux ne sont pas efficaces et, en fait, décourageait leur utilisation. Cela va à l'encontre des conseils de santé publique et/ou des exigences d'agences et de gouvernements crédibles. En tant que contenu qui ne semblait pas avoir fait l'objet d'un processus de contrôle de qualité par la communauté scientifique, et qui était largement relié par les médias sociaux, nous pensions qu'il avait le potentiel de nuire. »
La plupart des pays sortent du confinement à leur rythme, une mesure qui aura un impact sur leur santé économique et leur compétitivité. Ils tentent de doper leur économie de toutes les manières possibles, y compris en trahissant leurs principes de libre marché en choisissant des sociétés privées pour des investissements en échange d’une participation gouvernementale.
« L’État français avait décidé de collecter toutes les données des Français et de les centraliser sur ce qui s’appelle le Health Data Hub. L’idée était de créer un outil pour permettre de faire des recherches sur les maladies. Le projet est louable en soi-même. La France est l’un des seuls pays qui collectent de manière massive toutes les données de santé. »
Lancée le 2 juin, l'appli peine à convaincre. Seulement 68 personnes ont informé la plateforme qu’elles avaient été infectées et seuls 14 utilisateurs ont été avertis qu’ils étaient désormais en danger. En Norvège, les objections émises à l’égard d’un organisme de surveillance de la confidentialité des données, conjuguées à de faibles niveaux d’utilisation, ont conduit à l’abandon du projet. La Grande-Bretagne a abandonné son propre plan d’application de recherche de contacts il y a quelques mois, lorsque des failles majeures sont apparues dans les tests, provoquant un tollé général.
Trois auteurs de l'étude publiée dans le Lancet, critique sur l'hydroxychloroquine, font volte-face. «Nous ne pouvons plus nous porter garant de la véracité des sources des données primaires», écrivent les trois auteurs au Lancet le 4 juin, mettant en cause le refus de la société les ayant collectées, Surgisphere, de donner accès à la base de données.
Publiée le 22 mai dans The Lancet, l'étude concluait que l'hydroxychloroquine n'était pas bénéfique aux malades du Covid-19 hospitalisés et pouvait même être néfaste. Sa parution avait eu un retentissement mondial et des répercussions spectaculaires, poussant notamment l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à suspendre les essais cliniques sur l'hydroxychloroquine contre le Covid-19. Mais, après de nombreuses critiques mettant en cause la méthodologie de l'étude, y compris de la part de scientifiques sceptiques sur l'intérêt de l'hydroxychloroquine dans le traitement du Covid-19, l'OMS a annoncé le 3 juin la reprise des essais cliniques avec cette molécule.
L'étude du Lancet sur l'hydroxychloroquine constitue un excellent révélateur de ce qu'est notre nomenklatura, de ses travers et de ses limites systémiques dans un monde en mutation fulgurante. Nous savons désormais que sans un profond (et probablement très brutal) renouvellement des élites, la France accélèrera son long déclin.
« Très souvent, Raoult a rappelé que sa démarche n'était pas de faire de la recherche, mais de trouver des solutions en tâtonnant. Cette affirmation a tapé là où la construction intellectuelle de nos élites souffre. Car notre nomenklatura n'est pas éduquée dans l'idée qu'un bon gouvernement consiste à soulager les misères du peuple. »
Le haut responsable américain à notamment souligner que :
« Nous constatons que l'OMS a échoué dans sa mission fondamentale de partage des informations et de transparence lorsque des États membres n'agissent pas en toute bonne foi. Cela ne doit jamais se répéter. Ce statu quo est intolérable. »
Pierre Lassalle rappelle que la qualité de nos relations dépend de la qualité de notre respiration. À chaque cycle nous inspirons de l'oxygène frais pour renouveler l'énergie de nos cellules et nous expirons les déchets qu'elles rejettent.
Mais avec un masque couvrant la bouche et le nez, qu'en est-il ?
« L’idée que nous pouvons nous préserver de propager des virus en portant des masques et en restant à une certaine distance les uns des autres est à peu près aussi réaliste que de penser que mettre un masque sur un poisson le préserverait de l’humidité… Les masques, les désinfectants, la distanciation sociale, et le fait de rester chez soi n’accomplissent rien. Comme plus d’un médecin l’a observé, il est rationnel de mettre en quarantaine les malades, mais irrationnel de mettre en quarantaine les bien-portants. »