Ce médecin a regardé dans le Vidal et a remarqué que tous ces effets n'y figuraient pas. Il a alors consulté le rapport européen qui a permis d'obtenir l'AMM en France : les effets indésirables graves y figurent toujours, mais ils sont masqués par des carrés noirs.
Face à ces effets secondaires, Jimmy Dore a demandé, via tweeter, si d'autres avaient les mêmes problèmes. C'est alors qu'il a été qualifié d'anti-vax, il dénonce les utilisateurs des réseaux sociaux comme instrument de pouvoir, une sorte d'auto-censure du peuple par le peuple...
La seconde partie de cette publication concerne la justice. Thomas Renz met en garde contre le raz-de-marée de poursuites judiciaires à venir...
Cette première partie doit faire, environ, 130/140 pages – en format A4 avec plus de 1000 liens pour l’ensemble du dossier – et c’est pourquoi j’en ai extrait ces trois chapitres pour un lectorat pressé mais, nonobstant, souhaitant découvrir ce qui se trame, ou ce qui se graphénise, dans les injections anti-CoqueVide/19 de la Mafia Pharmacratique – représentée, en France, par les propagandistes, et bonimenteurs, de la PharMacronie.
Dénonçant les conflits d'intérêts des sociétés pharmaceutiques, qui ont engrangé plus de bénéfices que jamais, alors qu'aucune preuve ne démontre que les « vaccins » on-t-un quelconque intérêt par rapport à la situation sanitaire, le Président du Mexique s'est positionné clairement. Si les gens l'ont félicité pour avoir osé tenir tête aux puissants, nombreux sont ceux qui s'inquiètent et prédisent que le président du Mexique subira des répercussions.
« Ils [les géants pharmaceutiques, ndlr de RT] pourraient très bien nous faire peur, puisque cela implique beaucoup d’argent, en disant que […] les enfants sans vaccins sont sans défense et qu’ils doivent être vaccinés et que vous devez acheter des vaccins pour eux. On ne va pas en être l’otage, on ne fera que le nécessaire »
Cet article est basé sur une publication du Figaro, étayé par des déclarations publiques comme celle du CDC ou de Jean-Michel Blanquer.
« Quand vous êtes vacciné, vous ne risquez pas de contaminer les autres »
Mais les Russes continuent de refuser d'obtempérer ; ils ont désormais trouvé de nombreux moyens de déjouer le système, la solution la plus simple étant d'éviter (et donc de mettre en faillite) les restaurants collabos. Pendant ce temps, Poutine a fait en sorte que le maire de Moscou revienne sur ces mesures.