Il y a eu très peu d’études sur la façon dont les personnes qui ont choisi de se fier à leur immunité et aux produits naturels réagissent face au Covid‑19, par rapport à celles qui ont accepté les vaccins génétiques contre le Covid‑19.
C’est différent pour la première publication de l’analyse des données d’enquête du projet international Control Group – également connu sous le nom de Vax Control Group.
Pour l’émission La Vérité prend l’Ascenseur, notre équipe est allée à la rencontre de Pierre Jovanovic pour qu’il nous donne son point de vue sur l’ouvrage de Philippe Aimar, « Covid-19, enquête sur un virus ». Pierre Jovanovic nous a plongés dans des vérités cachées et pourtant flagrantes.
En bon journaliste, Philippe Aimar a mené son enquête : la découverte d’une accumulation de « suicides » et de morts prématurées, la mise au jour de preuves de malversation l’ont tout d’abord étonné. Lui, qui voulait prouver à Pierre Jovanovic qu’il n’y avait pas de complot, va se heurter à la dure réalité.
Des études suggèrent un lien entre une maladie à prions incurable et mortelle, connue sous le nom de maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), et les vaccins COVID-19.
Les chercheurs pensent que la région prion de la protéine spike de la variante originale Wuhan COVID-19 a été incorporée dans des vaccins à ARNm et des vaccins à vecteur adénovirus – administrés à des centaines de millions d’humains – et qu’elle peut provoquer un nouveau type de MCJ sporadique à progression rapide.
La conclusion de l’étude est sans appel : "Contrairement à l'idée reçue selon laquelle le nombre de morts diminuerait grâce aux masques puisqu’ils permettent de réduire les taux d’infection, les résultats de cette étude démontrent que ce n’est pas le cas". Et pour cause : le nombre de morts aurait augmenté en raison de l’obligation du port du masque, peut-on lire : "Les résultats de cette étude suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50% par comparaison avec les comtés qui n’ont pas adopté cette mesure".
L’ONS a publié les données sur les décès par statut vaccinal le 16 mai. Le rapport comprenait un graphique intitulé “Nombre de décès dans les 28 jours suivant la vaccination contre le COVID-19 en Angleterre”.
« Il était clair dès le départ que la plupart des données publiées par les gouvernements – pas seulement le gouvernement britannique, mais la plupart des gouvernements dans le monde – étaient trompeuses parce qu’elles étaient basées sur des statistiques très facilement manipulables »
Quant aux injections, elles ne sont aucunement des vaccins, mais sont de la haute biotechnologie, avec du nanohydroxide ou oxyde de graphène, des nanotransmetteurs, des nano senseurs ainsi que des "choses" nanométriques de type parasitaire, inconnues même des chercheurs confirmés qui les analysent en ce moment dans le monde entier.
L'article est un bon récapitulatif sur la dangerosité des injections actuelles.
Dr McCullough
« C’est de loin l’étude la plus inquiétante publiée depuis le lancement des vaccins »