Alors que la loi santé précise qu’une obligation généralisée n’est plus envisageable sans discussion préalable par les députés, le ministre se débrouille pour continuer à nous l’imposer alors que l’épidémie est terminée, les traitements précoces reconnus et l’inefficacité du masque de la population évidente !1,2 SON RÔLE PROPRE EST DÉMASQUÉ.
Constamment réactivée, l’obligation du port du masque provoque un retour du traumatisme. Ce masque n’est pas seulement une fausse protection, mais bien une poursuite de la destruction de notre Humanité, vers le transhumanisme.
Plus grave encore qu’en première analyse :
« L’obligation du port généralisé du masque est emblématique de la gestion de la “pandémie”. Cette contrainte n’est pas de nature sanitaire et témoigne d’un hors sens. C’est un commandement se présentant, en même temps, comme une loi et la destruction de celle-ci. Elle est le passage à l’acte d’une sortie du Politique.
Les raisons de l’obligation peuvent se résumer au fait que, sans elle, il n’y aurait aucun signe manifeste de “l’extrême gravité » supposée de la covid. La centralité du port du masque réside dans le fait, qu’en nous rappelant constamment la « pandémie », la contrainte nous place dans le regard du pouvoir nous confisquant notre intime »
Données provenant de rapports du laboratoire Pfizer et d’études scientifiques indépendantes.
Début 2022, un juge fédéral du Texas a ordonné à la Food and Drug Administration (FDA) de rendre publique, sous huit mois, l’ensemble des données sur lesquelles elle s’est fondée pour homologuer le vaccin Covid-19 de Pfizer. Ce sont des milliers de pages réparties dans de nombreux documents et rapports qui sont maintenant publiées. Le rapport « C4591001 – Clinical Protocol 2020″ est particulièrement intéressant.
Ce rapport évoque que le simple fait de côtoyer une personne vaccinée peut-être la cause d’effets secondaires sérieux pour un individu non vacciné. La transmission se produit par le contact de la peau ou en respirant le même air qu’une personne ayant reçu le vaccin covid-19.
À 48 ans, Catherine “Cat” Parker avait une vie complète et épanouie : deux jeunes enfants adultes, un emploi de directrice d’une entreprise de construction et un travail en tant que photographe pigiste et photojournaliste spécialisée dans la photographie de concerts et de musique – une passion qui permet à cette habitante du Minnesota de passer du temps sur la route avec son petit ami, un technicien de guitare.
Cependant, la vie de Parker s’est effondrée peu après qu’elle ait reçu le vaccin COVID-19 de Johnson & Johnson, le 1er avril 2021.
« Deux semaines après avoir reçu le premier vaccin, j’ai commencé à souffrir de fatigue chronique
et d’insomnie. Je suis allée voir plusieurs médecins… et ils ont juste dit que c’était la ménopause qui en était la cause. »
Le texte a été signé par Carla Vizzoti, ministre de la Santé, la même qui a mis en place le plan d’injection de masse, optant souvent pour les mêmes formes coercitives que celles actuellement en cours en Europe : exclusion des salariés non vaccinés, stigmatisation sociale, vaccination de centaines de milliers de personnes non informées des possibles effets secondaires, spécialement dans les « villas miserias », ces favelas argentines, dans lesquelles s’entassent des millions de personnes sans existence administrative. C’est donc le premier pays au monde où le responsable politique d’une atteinte à la santé humaine, instaure un mécanisme de réparation et admet officiellement l’existence des effets indésirables. Les produits en cause sont ceux des laboratoires Moderna, AstraZeneca, Pfizer-BioNTech, Johnson & Johnson et Sputnik V, qui ont été administrés indifféremment dans le pays austral.
Mise en danger de la vie d’autrui et tromperie sur les « vaccins » Covid
À L’ENCONTRE DE :
– L’AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ DU MÉDICAMENT ET DES PRODUITS DE SANTÉ
– L’AGENCE NATIONALE DE SANTÉ PUBLIQUE
– LE CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES MÉDECINS
– LE CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES PHARMACIENS…
Cette plainte a été vue 100 000 fois à la date d’hier et 283 personnes ont déposé plainte à ce jour devant divers tribunaux.
Après plusieurs mois d'attaques virulentes contre les "complotistes", la classe politique officielle admet-elle progressivement son erreur d'appréciation ? Se met-elle à craindre les conséquences juridiques (et notamment pénales) d'un engouement sans réserve et sans précaution pour un vaccin dont les conditions d'arrivée sur le marché sont encore mystérieuses ? La question semble ouverte.
« Tous les jours, des personnes meurent encore en France de cette maladie, dont une grande partie est d’ailleurs vaccinée, mais vulnérable au virus. »
Par téléphone ou par mail, ils se font passer pour des fonctionnaires en demandant le statut vaccinal de leur victime, ou bien en promettant des indemnités. Leur objectif : vos données personnelles.
Faciliter l'accès en ligne à plusieurs plateformes de l’administration publique (impôts, santé, caisse d’allocations…) avec un seul identifiant et mot de passe à retenir, tel était le projet de la Direction interministérielle du numérique de l’État français, qui a mis en place depuis quelques années déjà le service France Connect. Il a d'abord été critiqué pour son caractère invasif et monopolistique ; il l'est désormais pour ses brèches de sécurité, qui ouvrent la porte vers nos données personnelles aux peu scrupuleux.
Les décès aux États-Unis dus à la résistance aux antimicrobiens ont augmenté de 15 % en 2020, en raison de l'utilisation de médicaments pour traiter la COVID-19, selon un rapport publié le 12 juillet par les Centers for Disease Control and Prevention. Le 12 juillet également, l'Organisation mondiale de la santé a lancé un appel « urgent » à développer plus de 150 vaccins pour faire face à la menace sanitaire mondiale.
Joanne Walsh, 71 ans, s’est rendue aux chutes du Niagara, dans l’État de New York, avec une amie, le 19 juillet 2022, pour quelques heures avant de rentrer en Ontario.
Mme Walsh dit qu’elle s’est présentée à la frontière terrestre canadienne à Niagara Falls avec son passeport et une preuve de vaccination Covid-19. Cependant, elle n’a pas utilisé l’application ArriveCAN.
En substance, le texte prévoit la fin du régime d'exception (couvre-feu, confinements, etc.), mais le maintien d'un éventuel contrôle aux frontières, ainsi que des systèmes de suivi SI-DEP et Contact Covid. Par ailleurs, il envisage la réintégration des soignants suspendus. Prochaine étape : la commission mixte paritaire.
Au début de cette semaine, l’Agence européenne des médicaments (EMA) n’a pas seulement lancé l’évaluation du renouvellement des autorisations de mise sur le marché conditionnelles des vaccins Spikevax (Moderna), Nuvaxovid (Novovax) et Comirnaty (BioNTech/Pfizer). L’EMA a également lancé l’évaluation de l’utilisation de Comirnaty chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans.
La politique de santé publique relative aux maladies à coronavirus (COVID-19) s’est concentrée sur le virus du syndrome respiratoire aigu sévère coronavirus 2 (SRAS-CoV-2) et ses effets sur la santé humaine, tandis que les facteurs environnementaux ont été largement ignorés.
En considérant la triade épidémiologique (agent-hôte-environnement) applicable à toutes les maladies, les chercheurs ont étudié un facteur environnemental possible dans la pandémie de COVID-19 : le rayonnement radiofréquence ambiant des systèmes de communication sans fil, y compris les micro-ondes et les ondes millimétriques. Le SRAS-CoV-2, le virus à l’origine de la pandémie de COVID-19, est apparu à Wuhan, en Chine, peu de temps après la mise en place d’un système de radiations de communications sans fil de cinquième génération (5G) à l’échelle de la ville.