A côté des ré-étiquetages multiples des maladies respiratoires habituelles il y a toutes les fraudes des médecins générées par les incitations financières au ré-étiquetage y compris lorsqu’il ne s’agissait pas d’affections respiratoires ou carrément d’assassinats (Rivotril, sur ordonnance ministérielle) ou soins inadaptés promus par les labos (Remdésivir etc…).
Les conclusions du gouvernement britannique ont été révélées dans un rapport détaillé du ministère de la Santé et des Affaires sociales du pays, intitulé "Summary of the Public Assessment Report for COVID-19 Vaccine Pfizer/BioNTech", mis à jour le 16 août. Le document a été publié par l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du gouvernement.
La section "Conclusions sur la toxicité" du rapport explique pourquoi le ministère recommande de ne pas administrer le vaccin aux femmes enceintes et allaitantes.
Comme tant d'autres, le chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital de Garches aurait pu être doucettement infâme et se complaire dans un silence prudent, alors qu'il savait que notre pays faisait fausse route et que la pandémie de Covid-19 était gérée à rebours du bon sens, en laissant les médecins traitants au bord du chemin et en remisant au placard les vieux traitements, "pas assez chers, pas assez chics", au profit de prétendus vaccins, pourtant en phase expérimentale, néanmoins utilisés à très grande échelle, sans même prendre en compte les effets indésirables et les décès qu'ils engendraient.
Mais voilà ! Le professeur Perronne n'était pas simplement un praticien et un enseignant. Il était aussi, il était surtout l'homme qui avait géré les crises sanitaires sous trois présidents de la République successifs : Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande. Décidant de peser dans le débat public, il pouvait même caresser l'espoir d'être entendu.
Signe supplémentaire que le programme de vaccination contre le covid des institutions mondialistes n’a pas eu le succès escompté, la Fondation Rockefeller a révélé qu’elle (ainsi que d’autres organisations à but non lucratif) a injecté des millions de dollars dans un projet de science comportementale visant à comprendre pourquoi de grands groupes de personnes dans le monde refusent de se faire vacciner.
« Suite à la caractérisation des informations sanitaires inexactes par L’Administrateur de la Santé des États-Unis comme une « menace urgente » et par l’Organisation mondiale de la santé comme une « infodémie », le SSRC a lancé un appel à propositions pour contrer les menaces mondiales croissantes que représentent les informations erronées et la désinformation en matière de santé publique et les faibles taux de vaccination contre le covid-19, et a reçu près de 200 soumissions du monde entier.
…Avec la prévalence et l’évolution rapide du Covid-19 partout dans le monde, il existe un besoin urgent d’identifier les interventions ayant le potentiel d’augmenter le taux de vaccination. »
Parce que les décès excédentaires (par rapport aux moyennes annuelles) sont très difficiles à cacher pour les gouvernements, ces décès excédentaires apparaissent comme la preuve incontestable qu’ils sont dus aux « vaccins » Covid.
Steve Kirsch estime qu’une personne est actuellement décédée à cause des vaccins pour 1 000 doses administrées. Or, les chiffres officiels britanniques montrent qu’en réalité, ce sont plus de 2 personnes sur 1000 qui meurent dans le mois qui suit leur vaccination covid.
Certains professionnels de santé s'indignent que de tels panneaux puissent être visibles en pleine rue.
Le message est sans ambiguïté : les vaccins contre le Covid seraient dangereux. Un message qui s'affiche sur environ neuf panneaux différents à Toulouse. C'est la mairie qui avance ce chiffre, d'après plusieurs remontées de terrain. France Bleu Occitanie est en mesure de confirmer l'existence de deux d'entre eux. Le premier est apparu dès le mois de juillet, sur le boulevard de l'Embouchure, aux Minimes, près du commissariat central. Un autre est visible depuis peu dans le quartier des Trois Cocus.
Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont publié aujourd'hui de nouvelles données montrant qu'un total de 1 350 950 rapports d'événements indésirables suite à l'administration des vaccins contre la COVID-19 ont été soumis entre le 14 décembre 2020 et le 15 juillet 2022 au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Cela représente une augmentation de 9 342 événements indésirables par rapport à la semaine précédente.
Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les réactions indésirables aux vaccins aux États-Unis.
Le cloaque des effets secondaires des vaccins en Allemagne est enfin complètement ouvert. Selon le site d’information néerlandais Blckbx, cinq mois après une demande Wob (Demander des informations au gouvernement), il apparaît que 437 593 des 11 millions d’assurés de la plus grande caisse d’assurance maladie du pays, la Techniker Krankenkasse (TK), ont dû subir un traitement médical en 2021 pour des effets secondaires du vaccin Covid. Cela représente 1 personne sur 25, soit une augmentation de 3 000 %.
Nous avons maintenant la preuve scientifique que les injections d’ARNm Covid-19 peuvent causer le cancer des ovaires, du pancréas et du sein.
La voie de réparation de l’ADN de recombinaison homologue est l’un des mécanismes que le corps utilise pour empêcher vos cellules de devenir cancéreuses en réponse au stress environnemental.
L’un des composants les plus importants de cette voie est la protéine tumorale P53 (p53), la « gardienne du génome ». Il protège nos cellules des dommages cellulaires. Sous le stress cellulaire, p53 entre en action, régulant l’expression des gènes pour contrôler la réparation de l’ADN, la division cellulaire et la mort cellulaire. C’est le gène le plus souvent muté dans le cancer.
Avertissement. Le dossier transmis ici est exceptionnellement documenté et précis. Je le reprends pour enrichir la réflexion et l’hypothèse de travail autour de la transhumanisation des peuples. Toutefois, aussi longtemps que nos autorités sanitaires refuseront de faire procéder à des analyses indépendantes du contenu de fioles contenant les produits à injecter, nous serons incapables d’affirmer si, et dans quelle mesure, la liste des éléments indésirables listés dans ce document ont pollué la production industrielle des injections réalisées depuis une année.
Alors que la loi santé précise qu’une obligation généralisée n’est plus envisageable sans discussion préalable par les députés, le ministre se débrouille pour continuer à nous l’imposer alors que l’épidémie est terminée, les traitements précoces reconnus et l’inefficacité du masque de la population évidente !1,2 SON RÔLE PROPRE EST DÉMASQUÉ.
Constamment réactivée, l’obligation du port du masque provoque un retour du traumatisme. Ce masque n’est pas seulement une fausse protection, mais bien une poursuite de la destruction de notre Humanité, vers le transhumanisme.
Plus grave encore qu’en première analyse :
« L’obligation du port généralisé du masque est emblématique de la gestion de la “pandémie”. Cette contrainte n’est pas de nature sanitaire et témoigne d’un hors sens. C’est un commandement se présentant, en même temps, comme une loi et la destruction de celle-ci. Elle est le passage à l’acte d’une sortie du Politique.
Les raisons de l’obligation peuvent se résumer au fait que, sans elle, il n’y aurait aucun signe manifeste de “l’extrême gravité » supposée de la covid. La centralité du port du masque réside dans le fait, qu’en nous rappelant constamment la « pandémie », la contrainte nous place dans le regard du pouvoir nous confisquant notre intime »
Données provenant de rapports du laboratoire Pfizer et d’études scientifiques indépendantes.
Début 2022, un juge fédéral du Texas a ordonné à la Food and Drug Administration (FDA) de rendre publique, sous huit mois, l’ensemble des données sur lesquelles elle s’est fondée pour homologuer le vaccin Covid-19 de Pfizer. Ce sont des milliers de pages réparties dans de nombreux documents et rapports qui sont maintenant publiées. Le rapport « C4591001 – Clinical Protocol 2020″ est particulièrement intéressant.
Ce rapport évoque que le simple fait de côtoyer une personne vaccinée peut-être la cause d’effets secondaires sérieux pour un individu non vacciné. La transmission se produit par le contact de la peau ou en respirant le même air qu’une personne ayant reçu le vaccin covid-19.