La Chambre disciplinaire considère que le Pr Perronne, au regard de sa qualité d’infectiologue internationalement reconnu avait « l’obligation de s’exprimer dans le domaine qui relève de sa compétence », durant la crise du COVID.
Son avocat, Me Thomas Benages, résume les décisions rendues par la Chambre disciplinaire :
Le 13 septembre dernier le Pr Christian Perronne était entendu par la Chambre disciplinaire de première instance d’Île de France de L’Ordre des médecins suite à deux plaintes déposées en 2020, par le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM), et par le Dr Nathan Peiffer-Smadja.
Le Conseil national de l’Ordre des médecins considérait que le Pr Perronne avait violé le code de la santé publique en s’étant exprimé dans la presse nationale, sur les réseaux sociaux, et dans un ouvrage en mettant « gravement en cause des confrères ayant pris en charge un membre de sa famille ou ayant participé à des décisions sanitaires des pouvoirs publics », et d’une manière générale, en n’ayant pas apporté son concours aux actions de santé publique mise en place par le gouvernement. Il lui était par ailleurs reproché d’avoir dénigré les « politiques de santé publique » mises en place durant la crise du Covid.
Le Dr Nathan Peiffer-Smadja estimait, pour sa part, avoir été attaqué personnellement par le Pr Perronne sur la valeur scientifique de ses publications, au regard des propos tenus par celui-ci dans les médias ainsi que dans le documentaire « Hold-Up ».
La vidéo commence automatiquement au début de la conférence à 7mn30, par le propos de quelques eurodéputés investis dans la lutte contre la tyrannie sanitaire. Virginie Joron présente le professeur Perronne à 35mn07, qui prend la parole à 37mn30 pour une heure. Il répond aux questions à 1h40mn08, jusqu’à la fin de la vidéo.
Le panorama que dépeint le professeur Perronne montre une claire prise de conscience de sa part, et nous rappelle les deux ans de covidisme tels que nous les avons vécus en France, depuis éclipsés par l’ukrainisme médiatique, avant que l’on tente à nouveau de nous submerger sous une énième « vague » « épidémique ».
Cette vidéo est porteuse de l’en-même-temps macronien de notre époque : elle nous accable, et nous réjouit également.
Il est clairement expliqué que les traitements interdits et sanctionnés en cas de prescription tels que L’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont efficaces pour détruire la réplication de la partie biologique car ce sont des traitements antiparasitaires. Quant à la partie nano technologique, les outils permettant son activation sont les antennes 5G et le système Starlink de notre « ami » Elon Musk. Même Robert Malone en prend pour son grade dans cette vidéo.
La bonne nouvelle est que, si la partie biologique peut être détruite par un traitement antiparasitaire (voir ci-dessus), la partie IA (Intelligence artificielle) peut être annihilée par des fréquences. Il s’agit de technologie quantique.
Nous sommes, comme le déclare cette scientifique, face à la transformation de l’humanité en humanoïde sous intelligence artificielle, donc à une volonté d’extinction de l’humanité. Transformation de l’humain mais aussi, sur commande, décès programmé de la personne infectée via les ondes électromagnétiques.
Kolakusic et d’autres députés européens ont demandé à Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, quand elle rendrait publiques ses communications avec Albert Bourla, PDG de Pfizer, concernant l’achat des « vaccins ».
« La session d’hier de la commission Covid a montré, une fois de plus, que le Parlement européen n’est rien d’autre qu’une gigantesque illusion de démocratie pour tromper les peuples d’Europe en leur faisant croire que leurs intérêts sont représentés au Parlement. Ce n’est pas le cas »
Extrait AGORA-TV
Rapport d'expert rédigé par Mark Steele, ingénieur britannique, inventeur, rédacteur de brevets et chercheur en armement.
La grande majorité des populations à travers l’Occident, en particulier celles de la communauté Five Eyes, l’alliance du renseignement Anglosphere regroupant l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et les États-Unis, ont été injectées à leur insu avec des antennes en nano métamatériaux et vont malheureusement subir des taux de mortalité accrus en raison des émissions de rayonnement réfléchissantes localisées du radar urbain 5G. Tous les symptômes connus du coronavirus peuvent être attribués à la pollution par les rayonnements ionisants et non ionisants. IV.1, IV.2
La 5G a été identifiée dans un certain nombre d’articles publiés comme la cause réelle de la pandémie, dont le début a coïncidé avec la mise en marche du réseau 5G dans la province de Wuhan, dont la population venait d’être vaccinée contre la grippe obligatoire. La 5G a le potentiel de fournir des niveaux d’énergie ionisants qui entraîneraient une suppression du système immunitaire, laissant le corps à risque de maladie. IV.3
Le lait maternel de cinq des onze femmes examinées contenait de l’ARNm. Cette étude a été publiée le 26 septembre dans la revue médicale à comité de lecture JAMA Pediatrics.
Les scientifiques soulignent que plusieurs groupes vulnérables, dont les jeunes enfants et les mères allaitantes, ont été inexplicablement exclus des essais du vaccin ARNm Covid-19.
Les CDC conseillent aux femmes qui allaitent de prendre le vaccin Covid-19, bien qu’il n’ait pas été étudié si l’ARNm peut être transmis aux bébés de moins de six mois par l’allaitement.
Complotisme ? Non, c’est officiel !
Parmi les auteurs figurent Flávio Cadegiani, endocrinologue certifié par le conseil d’administration, et Pierre Kory, un spécialiste franc de la médecine pulmonaire et des soins intensifs, ainsi que président et médecin en chef de la Front Line Critical Care Alliance.
L’étude, publiée le 31 août dans le Cuerus Journal of Medical Science, a été menée via une étude observationnelle prospective d’une « population strictement contrôlée » de 88 012 sujets dans la ville brésilienne d’Itajaí.
« Les personnes qui prenaient de l’ivermectine comme médicament préventif avant l’infection COVID ont vu des réductions remarquables des hospitalisations ainsi que des décès, selon la publication. »
18 septembre 2022, le président américain, Joe Biden, a déclaré sur CBS : « la pandémie est terminée » au grand dam des commentateurs des médias complices de la propagande terrorisante du gouvernement depuis plus de 30 mois. Les fabricants de vaccins ont immédiatement perdu 9 milliards de dollars avec la chute de 9% de la valeur marchande de leurs actions.
Il n’y avait aucune raison médicale objective de se faire injecter ces médicaments préventifs abusivement présentés fallacieusement comme « vaccin » et mis sur le marché trop rapidement alors que leurs essais n’étaient pas terminés (ils le seront peut-être en 2023).
Maintenant que ces pseudo vaccins se sont révélés inefficaces tant pour la protection individuelle (vacciné, vous n’êtes pas protégé !) que pour la prévention de la transmission (vacciné, vous pouvez quand même contaminer vos proches) et potentiellement dangereux et que l’épidémie est terminée, il est scandaleux de continuer à promouvoir ces injections expérimentales inutiles dont la balance avantages/risques penche indiscutablement du côté des risques.
Liste des participants : Rashid Buttar, Christian Perronne, Heiko Schöning, Chinda Brandolino, Nadiya Popel, Wolfgang Wodard, Alexandre Juving-Brunet, Alexandra Henrion-Caude, Alfonso Longo, Carlos Vara De Rey, Cristina Martin Jiménez, Luis Miguel Benito, Carlos Astiz, Fernando Lopez Mirones, Gerard Guillaume, German Sarlangue, Grégory Catteau, Javier Villamor, Jean-Dominique Michel, Jon Ander Etxebarria, Louis Aubouin, Luc Montagnier, Michel Maffesoli, Oscar Aguilera, Pablo Campra, Pierre Jovanovic, Pierre Barnérias, Vincent Pavan, Steve Ohana, Valérie Bugault, Xavier Azalbert, Reiner Fullmich. Thebigresetmovie, le 11/09/22 – Version française.
Des médecins en Italie ont étudié le sang de patients qui avaient reçu une injection de vaccins à ARNm COVID-19 et ont trouvé des corps étrangers longtemps après la vaccination, selon étude récente.
Les trois médecins et chirurgiens, Franco Giovannini, MD, Riccardo Benzi Cipelli, MD et Giampaolo Pisano, MD, ont examiné le sang fraîchement prélevé de plus d’un millier de patients en utilisant l’observation directe au microscope pour observer ce qui se produit dans le sang.