Il s’agit du septième coup d’État dans la région depuis 2020, sans compter une précédente tentative au Niger en 2021 qui a été réprimée par la même garde présidentielle.
Coup d'état au Niger
Le coup d’État a été condamné par les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, les Nations unies, l’Union européenne, l’Union africaine, de nombreux gouvernements africains et la CEDEAO, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest.
Les généraux n’ont pas respecté le délai fixé par la CEDEAO pour rétablir le président Bazoum, et les nouveaux dirigeants du Niger ont fermé l’espace aérien du pays et accusé des puissances étrangères de se préparer à une attaque. Les dirigeants de la CEDEAO se sont réunis ce jeudi 10 août au Nigeria pour discuter des prochaines étapes.
La semaine dernière, les chefs militaires de la CEDEAO ont préparé un plan pour rétablir le président Bazoum, qui a été probablement discuté lors de la réunion du 10 août.
Cependant, le Sénat nigérian a rejeté l’intervention militaire au Niger et sans le Nigeria, qui a une frontière de 1 600 kilomètres et l’armée la plus importante de la région, rien ne se passera.
La semaine dernière, le chef adjoint du gouvernement militaire a visité le Mali pour demander le « déploiement rapide des forces Wagner au [Niger] » afin d’aider le régime militaire.
Et le chef de Wagner, Evgueni Prigozhin, a déclaré que ses troupes seraient en mesure d’aider le Niger : ce qu’un chercheur a qualifié de « scénario cauchemardesque » pour les États-Unis dans la région du Sahel en Afrique.
Le gouvernement militaire de Niamey a reçu des promesses de soutien de ses voisins du Burkina Faso, du Mali et de Guinée. L’Algérie a condamné le coup d’État, et la Libye a déclaré que la prise de pouvoir n’était « pas acceptable ».
Cependant, la semaine dernière, le chef d’état-major de l’armée algérienne a visité Moscou pour une réunion avec le ministre russe de la Défense Sergey Shoigu et la question du Niger a sûrement été discutée.
Les mois d’été ou la période entre Noël et le jour de l’an sont des moments propices au relâchement pour la majeure partie de la population, les polémiques et oppositions disparaissent soudainement comme neige qui fond au soleil. Il faut donc se méfier des lois votées dans ces moments qui sont opportuns pour les gouvernements pour faire voter discrètement des projets. L’embrasement des banlieues qui fait peur aux citoyens et politiques présente les caractéristiques idéales pour faire passer des textes à caractère liberticide. Sous couvert d’une demande accrue de sécurité de peur d’un embrasement généralisé, certains textes liberticides peuvent facilement être votés en toute discrétion. Que cache la nouvelle loi de programmation militaire ?
Une procédure inhabituelle
La nouvelle loi de programmation militaire (LPM) 2024-2030 actuellement en discussion comporte des dispositions surprenantes et inquiétantes en matière de réquisitions, profondément attentatoires aux libertés publiques laissées à la discrétion de l’exécutif, dispositions qui commencent à faire réagir ici et là.
La LPM est un exercice qui revient tous les cinq ans depuis la fin des années 1990 qui a vu la suspension du service national militaire et l’instauration de l’armée professionnelle. Les lois de programmation, prévues à l’article 34 de la Constitution de 1958, « déterminent les objectifs de l’action de l’État ». Contrairement aux lois ordinaires ou aux lois organiques, les lois de programmation n’ont normalement pas d’effet autre qu’indicatif. La LPM n’est donc pas prévue par la Constitution pour être une loi impérative, elle n’a pas vocation à inscrire dans le marbre des dispositions pérennes. Essentiellement un outil de prévision budgétaire, la LPM, dans ses constats et prévisions, entend donner une visibilité à moyen terme pour permettre la préparation et le vote des lois de finances annuelles et par suite, conférer aux armées les moyens nécessaires pour remplir leur mission.
Le propre des LPM est au demeurant d’être rarement respectées dans les faits, toujours au détriment des armées.
L’actuel Projet de loi relatif à la programmation militaire pour les années 2024 à 2030 et portant diverses dispositions intéressant la défense, comporte en application de la seconde partie de son titre, des cavaliers législatifs modifiant de manière profonde et pérenne le Code de la défense en s’attaquant de front aux libertés publiques.
Le légendaire analyste des cycles financiers et géopolitiques Martin Armstrong prévoyait le « chaos » en 2023, et c’est exactement ce que nous avons eu.
Son travail sur les cycles indique qu’il ne faut pas s’attendre à ce que la situation s’améliore de sitôt.
Armstrong explique : « Nous sommes au milieu d’un coup d’État… »
Armstrong prédit également que les néoconservateurs truqueront les élections de 2024 pour que Biden (ou un autre néoconservateur) obtienne un second mandat.
Armstrong dit aussi que les néoconservateurs essaieront de déclencher une guerre avant l’élection de 2024 pour que Biden gagne parce qu’un président en temps de guerre n’a jamais perdu une élection. Armstrong dit que la tricherie sera nécessaire parce que les vrais chiffres des sondages pour Biden sont à un chiffre et non pas les 40% de taux d’approbation que les médias menteurs de l’héritage vous disent. Armstrong affirme que le taux d’approbation de Biden est toujours bloqué à 9,5% avec son programme informatique Socrates, d’une précision redoutable, mais la grande raison pour laquelle Biden et son équipe doivent s’inquiéter est le chiffre réel de l’inflation.
Mais grâce à la valeureuse police allemande, au renseignement intérieur et à la vigilance civique toujours en éveil, notre ami Olaf va pouvoir rester chancelier et notre autre grande amie, Annalena, continuer à pouvoir apprendre l'histoire militaire et la géographie de l'Europe et du monde pour faire son job de ministresse des Affaires Etrangères. Le fascisme est toujours renaissant mais les femmes et les hommes de progrès veillent: no pasaran! Une fois qu'on a ri un bon coup, on comprend cependant que, derrière le scénario farcesque, qui consiste à prendre les citoyens allemands pour des imbéciles, se profile une intimidation d'envergure contre tous ceux qui critiquent l'incompétence du gouvernement allemand et son aliénation à Washington, Davos et Pékin.
Le coup d’Etat était presque parfait
A vrai dire, la seule chose hilarante dans le scénario proposé, c’est que les ingrédients attendus y sont. Je ne résiste pas au plaisir de citer le copié-collé du très macroniste Figaro, sous le titre “L’Allemagne déjoue un complot d’extrême-droite” – rien que ça ! Accrochez-vous à la table, fou-rire assuré.
Pékin 22 Octobre 2022 Chine, cette date fera référence, dans les livres d’histoire, Xi Jinping vient de virer son prédécesseur Hu Jintao l’ancien Parti communiste chinois, du haut du KPK en direct à la télévision pour que tout le monde puisse le voir.
Clairement, le coup d’État contre Xi Jinping n’était pas seulement une spéculation, Xi a gagné et a brutalement humilié Hu Jintao.
Taïwan va trembler désormais, le président chinois Xi Jinping a déclaré que « son pays chercherait à se réunifier pacifiquement avec Taïwan, mais ne s’engagerait pas à renoncer à l’usage de la force ».
Liste des participants : Rashid Buttar, Christian Perronne, Heiko Schöning, Chinda Brandolino, Nadiya Popel, Wolfgang Wodard, Alexandre Juving-Brunet, Alexandra Henrion-Caude, Alfonso Longo, Carlos Vara De Rey, Cristina Martin Jiménez, Luis Miguel Benito, Carlos Astiz, Fernando Lopez Mirones, Gerard Guillaume, German Sarlangue, Grégory Catteau, Javier Villamor, Jean-Dominique Michel, Jon Ander Etxebarria, Louis Aubouin, Luc Montagnier, Michel Maffesoli, Oscar Aguilera, Pablo Campra, Pierre Jovanovic, Pierre Barnérias, Vincent Pavan, Steve Ohana, Valérie Bugault, Xavier Azalbert, Reiner Fullmich. Thebigresetmovie, le 11/09/22 – Version française.
Les banquiers centraux veulent un système financier qui soit un syndicat de contrôle criminel sans loi où il est légal pour eux de faire ce qu’ils veulent. Il s’agit simplement de choisir entre la tyrannie et la souveraineté, la liberté ou la servitude.
« C’est ce que vous devez comprendre. Ce dont nous parlons, c’est d’un système de contrôle qui va être mis en œuvre dans le cadre d’un coup d’État mondial, et nous sommes au milieu d’un coup d’État mondial.
C’est ce qui se passe en ce moment même.
Essentiellement, si vous regardez les banquiers centraux, la BRI (Banque des règlements internationaux) et tous les banquiers centraux essaient de créer un système où ils sont complètement libérés des lois des États-nations et des gouvernements. En d’autres termes, ils insèrent l’immunité souveraine de toutes les lois et essaient littéralement de créer une civilisation de droit où ils sont libres de faire ce qu’ils veulent, y compris, comme nous le savons – un génocide. »