Nikolaï Patrouchev, ancien directeur du FSB et actuel secrétaire du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, en a parlé à Vitaly Tseplyaev début janvier 2023.
Vitaly Tseplyaev : Nikolaï Platonovich, comment évaluez-vous la situation dans le monde qui s’est développée au début de la nouvelle année ?
Nikolaï Patrouchev : La situation dans le monde est extrêmement complexe et a un caractère turbulent. De nombreux pays de différentes régions traversent simultanément une crise militaro-politique, économique, sociale et spirituelle. Espérons qu’il y aura des changements positifs cette année.
VT : Vous avez dit un jour que les dirigeants des pays occidentaux ne faisaient rien pour améliorer la situation, non seulement dans le monde, mais même dans leur propre pays. Expliquez ce qui est en jeu.
NP : Les politiciens occidentaux n’ont pas la force et la capacité de changer la vie de leurs États pour le mieux, car ils ne sont plus des personnalités indépendantes depuis longtemps. Tout le monde a des liens avec les grandes entreprises, les lobbyistes et les fondations derrière leur dos. Ils ne cachent même pas ces faits. Il existe des exemples très récents. Il s’est avéré que des dizaines de députés européens étaient contrôlés par les structures de George Soros et que la Commission européenne, à la demande de l’une des plus grandes sociétés pharmaceutiques américaines au monde, a créé un certain nombre de stratagèmes de corruption pour l’achat de vaccins d’une valeur de dizaines de milliards d’euros. Il est clair que le vrai pouvoir en Occident est entre les mains de clans ingénieux et de sociétés multinationales.
VT : Rockefeller et Rothschild ?
NP : En fait, il existe bien d’autres corporations et clans de ce genre. Ainsi, le revenu total des 500 plus grandes entreprises du monde, selon des données non officielles, a atteint près de 38 000 milliards de dollars en 2021. La majeure partie des sociétés multinationales sont des sociétés dont le siège est aux États-Unis. Leurs revenus ont rapporté environ 16 billions de dollars avec un bénéfice net de 1,8 billion de dollars.
Le capital d’un certain nombre de sociétés multinationales dépasse le PIB de la plupart des économies mondiales, et les fonds créés par elles pour un enrichissement ultérieur prétendent être un mécanisme supranational de gestion de l’humanité. La même Fondation Soros est devenue presque le principal centre mondial de planification et de mise en œuvre des « révolutions de couleur ».
Le projet de budget américain pour 2023 est la meilleure preuve des projets de Washington de déclencher de nouvelles guerres au détriment du bien-être de ses propres citoyens.
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Mais cette affaire fait suite au Pfizergate, scandale de la négociation du colossal contrat entre la Commission Européenne et Pfizer (plusieurs dizaines de milliards€) en dehors de toute procédure démocratique et transparente. Dans ce dernier scandale, c’est la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen elle-même, qui est impliquée personnellement, puisqu’elle a choisi de conduire directement la négociation avec Albert Bourla, patron de Pfizer, sans aucun contrôle et sans aucune transparence. Cette dérive grave a conduit la Commission a acheté 9 doses de vaccin par habitant à un prix unitaire exorbitant… Sur tous ces points la députée européenne Virginie Joron nous explique le « dessous des cartes ».
Une interview décapante qu’il faut absolument voir.
Elle souligne que ce scandale n'en est probablement qu'à ses débuts... et regrette que la procédure concernant la signature des contrats sur les vaccins, en particulier sur les vaccins Pfizer, ne bénéficie pour l'instant d'aucune suite judiciaire.
Virginie Joron a bien voulu répondre à quelques questions concernant le “Qatargate”, scandale où il semblerait que le Qatar ait pu “acheter des voix” au sein du Parlement européen pour bénéficier de votes favorables à ses intérêts. Virginie Joron résume efficacement les enjeux de ce dossier à tiroir… qui ne doit surtout pas faire oublier les autres dossiers.
C’est pour cela, et non pas pour ses capacités en hydrocarbures, que le président Biden l’a proclamé « Plus grand Allié Non-Otan des États-Unis »
La Coupe du Monde FIFA 2022 au Qatar cache une tragique réalité sur laquelle le courant dominant politico-médiatique a fait tomber une chape de silence. Avant tout le fait que ce soit cet émirat du Golfe qui ait été choisi par la FIFA pour organiser la World Cup 2022. La FIFA, la Fédération internationale de football, est profondément corrompue, au point que ses hauts administrateurs ont été arrêtés pour fraudes, racket et recyclage d’argent. Il n’y a donc pas à s’étonner que la FIFA, alors qu’elle a choisi le Qatar, a expulsé la Russie du Mondial. La Coupe du Monde 2022 est la plus couteuse de l’histoire : le Qatar y a dépensé 220 milliards de dollars (par rapport aux 4 milliards dépensés par l’Allemagne pour organiser les Mondiaux de 2006).
Que l’on pense par exemple à l’indignation de certains politiciens face à l’usage par des esprits critiques des mots « dictature » ou « tyrannie » sanitaires…
Pourtant, la dictature est bien depuis la Rome antique cette suspension (normalement temporaire) des droits et libertés habituelles. Un état d’urgence ou d’exception qui court-circuite les processus habituels de la démocratie et de l’état de droit est bien techniquement un régime de dictature.
Et piloter la soi-disant réponse à un phénomène (présenté de manière fallacieuse comme les présentations précédentes l’ont montré) depuis un « Conseil défense » militaire, protégé par un secret n’ayant aucune raison valable d’exister, relève bel et bien de la tyrannie. Là encore au sens précis du terme, qui décrit la captation du pouvoir exécutif par une personne ou un petit groupe mettant en échec le fonctionnement institutionnel normal.
Toutes ces réalités -déjà bien problématiques-, il fallait la connaissance et l’expertise d’une personne comme Ariane Bilheran pour nous éclairer à leur sujet.
Normalienne, philosophe (avec une spécialisation en philosophie politique et morale), Ariane est de surcroît docteur en psychopathologie. Ses thématiques de recherche dans cette discipline ont couvert (en autres) la psychopathologie de l’autorité et de la paranoïa ainsi que les phénomènes de manipulation et d’emprise, à petite comme à large échelle.
C’est dire si elle possédait en amont de ce qui nous est arrivé toutes les clés de lecture et de compréhension nécessaires à porter une analyse précise et pertinente.
Elle l’a fait en publiant plusieurs séries d’articles (dont Chroniques du totalitarisme et Psychopathologie du totalitarisme) et différents ouvrages qui feront date (dont bien sûr Le débat interdit, rédigé en tandem avec Vincent Pavan) ainsi qu’en donnant de nombreuses interviews et conférences.
00:30 Les mathématiques durant la crise H1N1
06:17 Les mathématiques durant la crise Covid
09:53 Efficacité des mesures de confinement
13:25 Les enjeux de la “modélisation mathématique” de Cauchemez en mars 2020
14:41 Sur les fondements généraux de l'épidémiologie “mathématique”
19:11 L'article de Science du 11 Mai 2020 : les caractéristiques
23:14 Construction de l'article
25:32 des trucages honteux
27:29 Contradiction avec les faits
30:15 pre-print du 28 Juin 2021
31:56 Quelques problèmes
35:07 Démarche judiciaire
36:47 Le devenir de la plainte
40:47 Un personnage trouble : Cédric Villani
46:18 Autres articles avec fraude en mathématiques
47:34 L'étude ComCor
50:47 Le Conseil d'Analyse économique
52:17 Conclusions
54:54 “pour terminer et pour vous réconcilier un peu avec les matheux…”
En tablant sur deux facteurs favorables majeurs :
a. La corruption institutionnelle systémique qui assure une docilité et une absence d’esprit critique au sein de la « communauté scientifique » : ses membres ne veulent surtout pas avoir d’ennuis avec leur hiérarchie ni avec les milieux privés dont il est aujourd’hui exigé qu’ils participent au financement de la recherche, de l’enseignement et de la pratique médicale hospitalière. Se faire « mal voir » de ces partenaires obligés est un luxe qu’à peu près plus personne ne peut se permettre sans en pâtir de lourdes conséquences. Sous les gloussements ravis des politiques, trop heureux de voir ainsi prospérer les « partenariats public-privé » si au goût du jour et soulageant commodément les finances publiques…
b. La très répandue ignorance des mathématiques. Dès lors que des formules alambiquées et savantes sont mises en avant, le 98% des lecteurs des articles (médecins, experts, chercheurs, scientifiques) sont en réalité incapables de comprendre ce dont il s’agit et évidemment encore moins de porter une contradiction éclairée.
Ignorance et complaisance combinées forment un cocktail aussi redoutable pour l’intelligence individuelle et collective que le glycérol et l’acide nitrique !
En 5 ans (entre 2014 et 2019), Big Pharma a débloqué 818 millions d’euros pour récompenser des médecins influenceurs en France, d’après une étude consultée par Lecourrier-du-soir.com et dont les résultats ont été publiés ce 02 février.
Les KOL (Key Opinion Leaders) ou l’arme redoutable utilisée par Big Pharma pour se remplir les proches. En tout cas, en pleine crise sanitaire où les liens entre laboratoires et scientifiques a déjà suscité une vive indignation, une étude menée par des chercheurs français risque de provoquer un vif tollé en France.
Kolakusic et d’autres députés européens ont demandé à Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, quand elle rendrait publiques ses communications avec Albert Bourla, PDG de Pfizer, concernant l’achat des « vaccins ».
« La session d’hier de la commission Covid a montré, une fois de plus, que le Parlement européen n’est rien d’autre qu’une gigantesque illusion de démocratie pour tromper les peuples d’Europe en leur faisant croire que leurs intérêts sont représentés au Parlement. Ce n’est pas le cas »
Partout, les gouvernements vont devoir augmenter les taux d’intérêt pour tenter de contenir l’inflation. Et lorsqu’ils le feront, le coût du service de toute cette dette entraînera la faillite de millions de personnes, détruira des milliers d’entreprises et mettra les nations en péril. Aucun pays sur terre n’est à l’abri. Le Royaume-Uni et les États-Unis pourraient se retrouver en défaut de paiement. Les services devront être réduits. Les retraites et autres paiements devront être interrompus.