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One Health - OMS

The DefenderOne Health : Un plan pour surveiller et contrôler tous les aspects de la vie

The Defender - 10 mai 2023

Les experts qui se sont entretenus avec le Defender ont suggéré que One Health a plus à voir avec un programme de biosécurité, un système de surveillance mondial, des passeports pour les vaccins et des restrictions sur le comportement humain qu'avec la protection de la santé humaine.

   

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit le terme« One Health » [Une seule santé]comme étant une « approche intégrée et unificatrice qui vise à équilibrer et à optimiser durablement la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes », car ils sont « étroitement liés et interdépendants » – un concept qui, à première vue, semble promouvoir des objectifs nobles reliant la santé humaine et la santé environnementale.

Toutefois, certains scientifiques et experts médicaux s’inquiètent des objectifs vagues de One Health. Soutenant que le concept a été « détourné », ils remettent en question l’intention des personnes impliquées dans le développement et le déploiement mondial du concept, notamment l’OMS, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et la Banque mondiale.

Les experts qui se sont entretenus avec le Defender ont également soulevé des questions sur d’autres aspects du concept « One Health », notamment un programme de biosécurité, un système de surveillance mondial, des passeports pour les vaccins et des restrictions sur le comportement humain.

Bien que ces objectifs soient étayés par une « théorie du changement » vaguement définie, des experts ont déclaré au Defender que des intérêts financiers majeurs sont au cœur du programme « One Health », qui semble être étroitement lié au changement climatique et aux initiatives de développement durable promues par les mêmes organisations mondiales.

Les objectifs de One Health incluent une « prise de contrôle globale de tout »

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fin de l'eau gratuite

Le Libre PenseurDes compteurs d’eau sur vos puits privés, c’est fini l’eau gratuite…

Le Libre Penseur - 06 mai 2023

Pendant ce temps Coca-Cola pille les ressources en eau pour fabriquer du poison en bouteille !

   

ul n’a besoin d’être un grand génie des mathématiques ou de la physique et encore moins de l’intelligence artificielle pour comprendre à quel point cette mascarade de la sécheresse et de la gestion de l’eau n’a absolument aucun sens. D’abord parce qu’il a beaucoup plu aux mois de mars et avril et que, malgré des inondations et des crues, la propagande continue de nous expliquer que l’on va manquer d’eau. Mais pire encore, alors que tout le monde doit serrer la ceinture, que l’on va devoir payer plus cher l’eau, l’entreprise Coca-Cola continue de piller les ressources en eau de l’Hexagone pour fabriquer une boisson ultra sucrée très dangereuse pour la santé et responsable d’un nombre incalculable de maladies comme le diabète, l’obésité, les caries dentaires… On vous l’annonce dès maintenant, aucune restriction ne concernera Coca-Cola ou Pepsi-Cola dans un futur proche. Par contre, on vous imposera de mettre un compteur d’eau sur votre puits, on vous interdira d’arroser vos plantes, remplir votre piscine…

Bien sûr, Coca-Cola va expliquer qu’ils vont cesser de pomper l’eau de la nappe phréatique mais ne vous inquiétez pas, les 800 000 m³ annuels utilisés sur le site de Grigny seront pompés ailleurs, car il faut absolument continuer à vendre ce poison dangereux.

Il est toujours pratique d’avoir un puits chez soi. Surtout s’il permet d’alléger la facture d’eau potable. Et la loi l’autorise : l’article 552 du code civil stipule que le propriétaire d’un terrain l’est aussi de son sous-sol, jusqu’à 10 mètres de profondeur.

Mais depuis le 1er janvier dernier, un décret est venu changer la donne. Les propriétaires de puits doivent désormais déclarer leur installation en mairie. Si l’installation est antérieure au 31 décembre 2008, il ne reste plus que quelques jours, jusqu’au 31 décembre, pour la déclarer. Si vous voulez construire, la déclaration est, naturellement, également obligatoire. Mais que dire d’une simple déclaration ? À première vue, rien de bien contraignant. Sauf qu’il faut, également, équiper le puits d’un dispositif de comptage du volume d’eau prélevé. En clair : installer un compteur.

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Interview avec Guy de la Fortelle

Ligne DroiteEurope : le projet d'euro numérique en marche

Ligne Droite - 06 mai 2023

Ligne Droite : L'éclairage du jour avec Guy de la Fortelle

   

Guy de la Fortelle était l’invité de l’émission Ligne Droite sur Radio Courtoisie pour discuter de sujets liés à la finance, notamment les espèces et les crypto-monnaies. Au cours de l’émission, il a lancé un défi aux auditeurs: “J’invite tous vos auditeurs à aller retirer 5.000 euros en espèce à la banque. On ne leur donnera pas, pas facilement en tout cas”. Cette déclaration soulève des questions importantes concernant la disponibilité des liquidités qui sont censées être à la disposition des clients des banques.

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santé numérisée

France SoirAprès des années de tâtonnements, le carnet de santé numérique décolle

France Soir - 22 avr 2023

"Mon Espace Santé", coffre-fort numérique, conserve résultats d'analyse biologique et d'imagerie médicale, comptes-rendus d'hospitalisation ou de consultation, ordonnances et autres documents de santé.

   

Désormais baptisé "Mon Espace Santé", le carnet de santé numérique des Français semble enfin prendre son envol, après deux décennies de tâtonnements.

En un peu plus d'un an, 8,4 millions de personnes, soit 13% de la population, ont demandé les clefs (le mot de passe) de ce coffre-fort numérique, qui conserve leurs résultats d'analyse biologique et d'imagerie médicale, leurs comptes-rendus d'hospitalisation ou de consultation, ordonnances et autres documents de santé.

Mais plus que ce nombre d'utilisateurs, somme toute encore modeste (l'objectif est de couvrir toute la population), le ministère de la Santé se félicite de la forte croissance du nombre de documents stockés dans les Espaces de santé des Français.

Aujourd'hui, près de 10 millions de documents sont déposés chaque mois par hôpitaux, laboratoires et praticiens. C'est à peu près la moitié de l'objectif fixé à terme pour Mon Espace Santé (soit 250 millions de documents stockés par an), souligne le ministère.

Et c'est déjà autant, en un mois, que ce qu'avait rassemblé dans toute son existence le Dossier médical partagé (DMP), prédécesseur de Mon Espace de Santé, lui-même énième avatar d'un projet lancé en 2004 et refondu à plusieurs reprise.

Ce qui différencie Mon Espace Santé des tentatives précédentes? Il a été créé automatiquement pour chaque assuré social, sauf opposition écrite de celui-ci. Et il est approvisionné en documents, là encore automatiquement, grâce à l'effort de mise à jour de l'armada de logiciels médicaux utilisés par les soignants.

Pour l'instant, les établissements hospitaliers et les laboratoires d'analyse médicale sont les principaux pourvoyeurs, avec respectivement 34 et 33% des documents expédiés sur les Espaces des Français. L'enjeu est désormais de convaincre les praticiens libéraux d'approvisionner plus largement l'Espace santé de leur patients.
Nouvelles fonctionnalités

Mon Espace Santé est "un progrès majeur en France", selon Arthur Dauphin, chargé de mission à France Assos Santé, qui fédère les associations d'usagers du système de santé.

"Chaque usager peut bénéficier" de ce regroupement au même endroit de tous ses documents médicaux, et ce, même s'il les garde pour lui-même, en refusant de le partager avec ses soignants, indique-t-il. Pour apaiser les craintes d'un "Big Brother" sanitaire, les usagers ont en effet la possibilité s'ils le veulent d'occulter certains, voire tous les documents versés dans leur coffre-fort numérique.

Des associations de défense des libertés ont mis en garde contre Mon Espace Santé, dont La Quadrature du net, qui avait appelé les Français à refuser expressément la création d'un compte. "Tout fichier centralisé, toute base de données, présente le défaut de centraliser des données dont la dispersion peut paradoxalement être un avantage", estimait-elle lors du lancement public de Mon Espace Santé. La Quadrature critiquait notamment la manière dont ce coffre-fort numérique gère les consentements des utilisateurs, qui n'est selon elle ni "respectueuse", ni "fiable", ni "réaliste".

L'appel au boycott semble avoir été peu entendu, puisque seuls 2% des Français ont expressément refusé la création d'un compte, selon les chiffres du ministère.

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contrôle de la population

Nouveau MondeLe programme de contrôle de la population

Nouveau Monde - 11 mars 2023

Le contrôle planifié de la population, y compris le génocide, est un concept difficile à accepter pour les Américains.

   

Même si le gouvernement américain aide à financer le programme chinois d’avortement, de stérilisation et d’infanticide forcés, ainsi que le « programme de planification familiale » des Nations unies, la plupart des gens trouvent impossible de croire que ces programmes font réellement partie d’un plan plus vaste visant à éliminer de larges segments de la population mondiale.

« Comment pouvez-vous croire cela ? » me demande-t-on souvent. La réponse est très simple : j’ai lu les écrits de ceux qui ont l’intention de dépeupler de grandes parties de la Terre et je les crois. Ils ont écrit sur la nécessité de réduire — par la force si nécessaire — la population mondiale.

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UK - Surveillance à grande échelle

Aube DigitaleGrande Bretagne : Collecte et analyse de données à grande échelle

Aube Digitale - 09 nov 2022

Le gouvernement britannique s’associe à l’opérateur de téléphonie mobile O2 pour un projet de « big data » visant à surveiller le comportement de millions de personnes.

   

Au Royaume-Uni, le Centre de sécurité nationale, alias « SitCen », un organisme gouvernemental, a conclu un contrat avec la société de télécommunications espagnole Telefonica, dans le but d’utiliser les données mobiles pour obtenir des « informations » sur un éventail assez large de comportements de personnes. Et il s’agit de millions de personnes. Un tiers de la population du Royaume-Uni, en fait – si l’on en croit les télécoms.

L’accord consiste à permettre à SitCen, avide de big data, d’accéder aux informations du service O2 Motion Data & Insights de Telefonica au Royaume-Uni.

Pendant cette période, le SitCen – créé l’année dernière en tant que lieu centralisé géré par le Cabinet Office pour les interventions d’urgence – et O2 travailleront ensemble pour transformer les données extraites des téléphones des utilisateurs en « insights » concernant leurs mouvements (localisation), leurs habitudes de mobilité (mode de transport), ainsi que des informations liées au comportement et à la démographie.

Ces données seront à la fois en temps réel et anonymes, promettent les promoteurs du projet.

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En France, le contrôle social « à la chinoise » existe déjà

Le médiaEn France, le contrôle social « à la chinoise » existe déjà

Le média - 04 nov 2022

Débat avec La Quadrature du Net et Le Média.

   

Le débat ne se limite pas qu’à Pôle emploi et à la CAF, il va bien au-delà.

Dans cet épisode de « Toujours debout », notre quotidienne politique et culturelle Nadiya Lazzouni reçoit sur son plateau, Bastien Le Querrec et Benoît Piedallu, tous deux membres de l’association de défense des libertés numériques, La Quadrature du Net.

L’association vient tout juste de sortir un livre : « Internet et libertés : 15 ans de combat de la Quadrature du Net » (Éditeur : Vuibert). Un livre riche qui fait le point sur une évolution préoccupante : au départ un espace précieux de liberté, Internet est devenu aujourd’hui un territoire d’expérimentation de tous les systèmes de surveillance de masse, de ce que la Quadrature du Net appelle la technopolice, de la censure et de la publicité ciblée.

Avant de revenir sur cette dernière publication, Nadiya Lazzouni et ses invités commenceront par évoquer des articles de La Quadrature du Net proprement glaçants. Ces derniers dépeignent la France de 2022 où les technologies de contrôle social étant déjà réalité, à l’image du modèle chinois visant les personnes les plus précaires.

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Sénat - loi Covid

France SoirLe Sénat clarifie et adopte le projet de "loi Covid" avec contrôle aux frontières

France Soir - 21 juil 2022

Mercredi 20 juillet, par 189 voix contre 33, les sénateurs ont adopté le projet de "loi Covid" tel qu'il avait été arrangé par la commission des lois et présenté par son rapporteur, Philippe Bas.

   

En substance, le texte prévoit la fin du régime d'exception (couvre-feu, confinements, etc.), mais le maintien d'un éventuel contrôle aux frontières, ainsi que des systèmes de suivi SI-DEP et Contact Covid. Par ailleurs, il envisage la réintégration des soignants suspendus. Prochaine étape : la commission mixte paritaire.

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