Stades climatisés et à usage unique, « navettes » en avion pour se rendre aux matchs… La Coupe du monde au Qatar, qui se déroule du 20 novembre au 18 décembre, jette une lumière crue sur les dérives écologiques du sport business et de ses grandes messes : les compétitions continentales et internationales.
Dans leur sillage, les émissions de gaz à effet de serre explosent, notamment en raison des déplacements en transport aérien. La Fédération internationale de football association (Fifa) évalue celles du Mondial au Qatar à 3,6 millions de tonnes équivalent CO2, autant que les émissions de l’Islande et du Monténégro pendant un an. Les précédentes éditions en Russie, au Brésil et en Afrique du Sud étaient déjà désastreuses, avec des émissions supérieures à 2 millions de tonnes équivalent CO2.
Ces chiffres, sous-estimés et difficiles à appréhender, représentent une contribution concrète et palpable aux dérèglements du climat.
« Ces évènements rassemblent des centaines de milliers de personnes venant du monde entier qui, pendant quelques semaines, voyagent et consomment, sur des sites parfois tout juste sortis de terre »
Qui n’aimerait pas ça ? Le Vert est beau. Il prétend protéger la Terre Mère et l’humanité. Au fil des ans, il devient de plus en plus populaire et se transforme en un parti politique. « Les Verts ». De plus en plus fort dans le monde occidental.
Ils parlent et prédisent contre le style de vie gaspilleur des hommes. Ils font la promotion de l’alimentation biologique et luttent contre les aliments génétiquement modifiés ou OGM.
Ils font des incursions dans les parlements des pays occidentaux et deviennent des décideurs importants.
Ils transforment le « réchauffement de la planète », vieux de deux décennies, en « changement climatique » dans leur programme.
Le changement climatique devient bientôt la force motrice des Verts. Le changement climatique d’origine humaine – c’est-à-dire les niveaux de dioxyde de carbone (CO2) causés par les combustibles fossiles – culminera en 2022 à près de 420 parties par million (PPM). C’est ce qu’indique la station météorologique de la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) située à Mauna Loa, sur l’île d’Hawaï. Le budget de la NOAA pour 2022 est estimé à 6,9 milliards de dollars.
S’agit-il d’un niveau dangereux ? On nous fait croire qu’il l’est.
Toute donnée qui contredit le récit du changement climatique causé par l’homme est entourée d’une machine à opinion qui soit rejette l’information, soit l’occulte dans un déluge de propagande sur le réchauffement climatique, inoculant au lecteur, bien avant qu’il n’ait la chance de digérer la nouvelle, que le changement climatique n’est peut-être pas si évident que cela.
Chaque fois que des températures élevées sont signalées aux États-Unis ou en Europe, la nouvelle est extrapolée par les médias et donne lieu à des théories délirantes d’apocalypse climatique, mais l’histoire météorologique suggère que la panique est fabriquée plutôt que justifiée.
La jeune réalisatrice Alizée Dubois, accompagnée de quelques ami·e·s, est l’une des premières à essayer de vulgariser le concept juridique pas si simple qu’est l’écocide, dans un voyage studieux et engagé à travers l’Europe. Nous avons vu le documentaire : retour sur un voyage au cœur de l’injustice environnementale.
« Maintenant que le film est terminé, j’ai hâte de le montrer pour connaître les réactions et les réflexions du public. J’espère que les gens vont se saisir de la colère que suscitent ces injustices pour la transformer en action collective ! »
Le ton fataliste a laissé place à un souffle d’espoir. Alors que l’auteur affirmait initialement que « la transition est morte » et l’« utopie bornée », son nouvel ouvrage invite de manière « vitale » à la « révolution »à travers une « utopie éclairée ».
« Il nous faut absolument tout repenser, requestionner, tout déconstruire, déconditionner. Transition ? Non, RÉVOLUTION ! »
Alors que, depuis trente ans, tous les politiciens nous serinent que le climat se réchaufferait, l’État et son gouvernement ont réussi à montrer qu’ils étaient encore une fois pris au dépourvu.
Ainsi, moyennant une modification discrète mais indéniable des échelles de couleurs des cartes météorologiques, le catastrophisme peut s’imposer sans mal.