Au début, le « Je » qui vit dans le cœur spirituel est endormi. C’est l’ego, constitué de tous les éléments mentaux, affectifs et instinctifs (et de tous les conditionnements et croyances venant du monde extérieur), qui mène le bal, depuis la tête.
Les gens « endormis » fonctionnent essentiellement au niveau du mental sensible (celui qui a été acquis durant la quatrième septaine – entre 21 et 28 ans). Ils ne s’intéressent qu’à ce qui est matériel et sensible (vivre des émotions et des sentiments).
Les gens « rêveurs » fonctionnent essentiellement au niveau du mental psychique ou intellectuel (celui qui a été acquis durant la cinquième septaine – entre 28 et 35 ans). En plus du physique, ils s’intéressent aux idées et réalisent des projets. Ce sont également les intellectuels.
Les gens qui se « réveillent » fonctionnent au niveau du mental spirituel ou conscient (celui qui a été partiellement acquis durant la sixième septaine – entre 35 et 42 ans). En plus du physique et des idées, ils s’intéressent à des idéaux qui les dépassent : soit matériels, ou spirituel-sensible ; soit connaissances, ou spirituel-psychique ; soit spirituels, ou vrai mental spirituel, qui ne se développe véritablement qu’à travers une voie spirituelle, et l’expérimentation concrète de la conscience de soi. A notre époque, c’est rare.
Notre époque de culture consiste à réveiller le « Je » endormi dans la grotte du cœur (l’humanité a environ 37/38 ans d’âge mental), afin qu’il retrouve le souvenir de son identité spirituelle.
Au début, le « Je » est comme un enfant innocent : c’est lui l’enfant intérieur enfermé dans la grotte sacrée du cœur. Le « Je » doit se renforcer considérablement, afin de maîtriser l’ego, puis, de s’en débarrasser.
[...]
Bonjour Nicolas,
Merci grandement pour avoir été notre guide vers ce sublime Monastère de Sel hier, cette balade m’a fait du bien, les barreaux de ma prison ici se sont un peu écartés le temps de cette bonne lecture.
Des nouvelles fraîches d’Ukraine, mon ami me dit que depuis des mois beaucoup n’ont plus rien à manger et fouillent les poubelles pour trouver un peu de pourriture nourriture à se mettre sous la dent. Et ceci pour les affamés « les plus chanceux » qui ne craignent pas de sortir et d’être embarqués manu militari vers un front hachoir à viande vers l’est, c’est à dire les plus âgés, complètement abandonnés à leur sort. Les plus « jeunes » se terrent car ils n’ont pas envie d’être envoyés vers un autre Marioupol ou un autre Bakhmout. Il écrit que pour ce qui sert de gouvernement là bas, tout ce qui ne combat pas ne sert à rien et est donc complètement laissé de côté, sans aucune aide.
Le génocide de la race blanche avance bon train sur ses rails de coke aussi.
Ici lutte en mode solo plus que jamais, mon âme me chuchote que pour être sauvés, nous devons nous souvenir que le Patron a demandé il y a deux millénaires à ce qu’on persévère jusqu’à la fin, sans s’écarter de la Voie étroite afin de ne pas rater la petite Porte.
Donc plus de compromis. Aucun. Évidemment en face, ils apprécient très moyennement et me le font savoir… survols multiples de bruyants anges noirs et d’aciers à très, très ( trop ) basse altitude parfois pour me rappeler ma place en enfer, des fois que j’aurais tendance à oublier que je suis de « ceux qui ne sont rien ». Ça m’apprendra à ne pas déclarer mes impôts et à leur écrire ( insolent en plus à ne pas vouloir tendre l’autre joug! ) sans langue de bois ce que j’en pense, enfonçant le clou pour la deuxième fois en trois ans après réception de leurs courriers à entête de « liberté égalité fraternité » ( la meilleure blague depuis deux siècles ).
Moshe Gafni et Yaakov Asher, membres du parti ultra-orthodoxe Yahadout HaTorah, ont déposé un projet de loi qui rendrait l’activité missionnaire en Israël passible d’emprisonnement. Le projet de loi déclare que « les groupes missionnaires, en particulier chrétiens », ont accru leurs efforts de prosélytisme en Israël. Le projet de loi a été critiqué, condamnant une persécution des chrétiens qui croient en Jésus.
La loi a provoqué une tempête principalement dans la communauté évangélique – qui compte 600 millions de membres dans le monde et 60 millions aux États-Unis – et est considérée comme un ami d’Israël et du soutien idéologique de la droite et des colons en Israël.
Message personnel de Véronique Jeanne Lévy qui répondait à une critique de Jacques Attali l'a qualifiant de femme fragile manipulée par l'extrême droite identitaire anti-sioniste. Véronique se décrit comme une femme chrétienne, comme une patriote française, mais affiliée à aucun parti politique.
Un témoignage bouleversant et inspirant d’une femme qui a rencontré le Christ et qui veut le faire connaître au monde.
« Bonsoir monsieur Attali…il paraît que vous avez parlé de moi dans une revue.. vous avez évoqué ma route comme un chemin perdu, celui d’une femme fragile manipulée par l’extrême droite identitaire anti-sioniste… la sœur de BHL comme vous m’appelez s’est radicalisée avec les intouchables… oui je suis devenue une stigmatisée, non pas hélas des saints stigmates du Christ mais de ceux des innommables… les surnuméraires, les furieux, les extrêmes, les édentés, les réfractaires, les vandales, et pourquoi pas les black blocs bientôt…Ou déjà, qui sait? Je suis au Christ Jacquot, au Roi des juifs , de la terre et des Cieux; au Seigneur désarmé et Nu , je suis dingue du très Haut Qui Se fit très bas… et Se cacha dans la chair douce comme du lait d’une vierge de Nazareth. Je suis de Sa famille Jacques, j’ai retrouvé les miens: je suis chrétienne comme l’étaient déjà les prophètes, les poètes et les rois de l’Alliance native… gravée dans la pierre de la loi avant qu’elle ne se fit chair dans le Coeur de Sa miséricorde… aux entrailles maternelles d’un Dieu d’Amour. Il faut que je vous confie un secret… oui je vous l’offre comme le cadeau d’un départ, un présent pour la route, une chanson pour la vie, une berceuse pour traverser la mort: j’attends mon amour, je l’attends, je L’attends… je guette Ses pas… je L’attends. Mon corps est déchiré de la blessure de Sa Lumière et Sa lumière est une épée, la Vérité. Je L’ai épié dans le fin murmure d’un silence pénétrant comme le prophète Elie… je me languis de Sa Présence et je respire à la brise du soir le parfum de Son Souffle… au fil tranchant de Son Verbe… Mais Il Se cache… Et Se dévoile soudain dans le visage défiguré de ceux qu’on assassine sur un cri silencieux, les non nés ou non conçus encore et dont la voix se perd aux coulisses d’une vie exterminée in utéro, ou bien labellisée aux laboratoires privés du triage génétique. Cri silencieux des germes d’hommes congelés aux chambres fortes du planning familial. Mon Bien-Aimé m’appelle au secours aussi dans le sourire dépouillé des vieillards endormis de mort lente, de la « bonne mort » dites-vous, assistés médicalement dans les couloirs de la santé publique… Hélas il n’y a pas assez de lits…. et toutes les croix sont arrachées. Une mort sans croix c’est une mort sans pourquoi, sans fenêtre ouverte, sans les bras du Ressuscité étreignant la solitude et la douleur pour les coloniser de Son éternité et de Sa Paix. Une mort à la sauvette, une mort honteuse, une mort qui se veut propre mais qui pue le chien crevé et les viscères ouvertes comme ces pauvres macchabés de l’université Paris Descartes qu’on a laissé pourrir et qu’on a profanés dans une haine de l’Homme qui ne croit plus au Ciel, qui n’espère plus… programmant l’immortalité car il a peur de Son éternité. Elle le regarde de Ses eaux infinies. Jacques, je ne suis d’aucun parti, d’aucun clan, d’aucune tribu, je m’arracherai la peau avec le matricule anti-viral que vous voulez, vous, les marchands du temple de nos corps, graver dans notre chair… à Son Image et à Sa ressemblance nous furent créés et Son Visage est notre liberté… je suis à mon Amour tout simplement et Il m’appelle toujours plus loin, en eaux profondes dans le silence des vies d’enfants jetées à la poubelle ou bien brûlées comme combustible dans les fours crématoires des hôpitaux anglo-saxons. Et puis je suis de France, car la France voyez vous… ce n’est pas la potée, les binious , les bérets… la France c’est le cœur d’une vierge aussi… une vierge qui dit oui à l’Archange saint Michel… dans les clairières de sa Lorraine natale… La France c’est une Annonciation qui se déploie, du Calvaire à Chinon… de Chinon à toujours… car sa mission à la France c’est de chanter sur la plus haute branche avec saint Irénée et pour le monde entier: « la gloire de Dieu c’est l’Homme vivant! »
Nombreux sont ceux qui souhaitent apprivoiser la sagesse du Christ, comprendre Son message et saisir la complexité de Sa Mission, qui reste une des grandes énigmes de l’Humanité. Certains voient le Christ comme un modèle de Sagesse, Héros intemporel, et cherchent à découvrir comment transposer Ses valeurs au quotidien… « Que ferait ou dirait-Il dans telle ou telle situation ? ». Il peut paraitre naturel pour commencer à cheminer vers Lui de se tourner vers les Évangiles qui constituent l’un des héritages qu’Il nous a laissé. Ce livre Sacré, témoignage vivant de Son existence, peut sembler inaccessible voir incompréhensible … le langage, le caractère ancien, miraculeux et énigmatique des paroles peuvent intimider et constituer des obstacles entre les lecteurs et le Christ. De plus, les nombreux préjugés et dogmes que les religions ont construit tout autour, l’ont encore plus éloigné des Hommes pour les effrayer… Pourtant ce Livre est un trésor de Sagesse Universelle, accessible à tous, et permettant de se rapprocher de Dieu ! Que sont les Évangiles ? Quels sont les pièges à éviter ? Comment saisir et s’approprier la sagesse de ce « livre » ? Quels sont les différents niveaux de lecture ? Voici les questions qui seront abordées dans cet article qui Lui est dédié.