Le gouvernement du Premier ministre canadien Justin Trudeau, contrôlé par le Forum économique mondial, envisage de mettre le christianisme hors la loi, la lecture de la Bible et la prière étant considérées comme des « discours de haine », un « crime » passible d’une peine d’emprisonnement.
Sous la direction de Trudeau, un jeune leader mondial du FEM, le gouvernement introduit un amendement au Code pénal qui pourrait voir les croyants condamnés à une peine de prison pour avoir exprimé les enseignements historiques du christianisme.
Le projet de loi C-367 rendra illégale la réitération de certaines parties de la Bible.
En supprimant la défense de « bonne foi », le gouvernement pourra poursuivre les chrétiens pour ce qu’il considère comme un « discours de haine ».
Les pratiques chrétiennes traditionnelles, telles que la célébration de Noël ou la participation à un service religieux, seront considérées comme des crimes passibles de lourdes peines.
L’amendement proposé vise à supprimer la disposition qui permet aux individus de se défendre en affirmant qu’ils croient sincèrement et qu’ils ne font qu’exprimer un enseignement religieux déjà présent dans les Écritures.
Cela signifie que le fait d’invoquer des croyances religieuses pour justifier des paroles ou des actes que l’État considère comme de l' »hérésie » ne sera plus accepté comme une défense valable au regard de la loi.
Le projet de loi stipule ce qui suit :
« Le texte modifie le code pénal afin d’éliminer comme moyen de défense contre l’incitation volontaire à la haine ou à l’antisémitisme le fait qu’une personne, de bonne foi, a exprimé ou tenté d’établir par un argument une opinion ou un sujet religieux ou une opinion fondée sur une croyance en un texte religieux.
Comme Slay News l’a rapporté, le Canada possède certaines des lois les plus libérales au monde en matière d’euthanasie.
Ces dernières années, le gouvernement a de plus en plus assoupli les lois qui, à l’origine, visaient à donner aux malades en phase terminale la possibilité de mourir.
Toutefois, l’élargissement de ces lois signifie que des personnes peuvent désormais être euthanasiées pour des problèmes beaucoup moins graves tels que la dépression, le fait d’être sans-abri ou la maladie mentale.
Les lois ont même été étendues aux « mineurs matures » et il est envisagé de les étendre aux enfants en bas âge.
Un rapport a révélé que le nombre moyen de citoyens euthanasiés au Canada a grimpé en flèche ces dernières années.
Selon le récent rapport de Santé Canada sur le suicide assisté par le gouvernement, l’euthanasie a représenté 4,1 % des décès au niveau national l’année dernière.
Ce chiffre représente une augmentation significative par rapport aux 3,3 % enregistrés en 2021.
Le rapport 2022 sur l’assistance médicale à la mort (AMM) a été publié en octobre dernier.
Il révèle que l’euthanasie a coûté la vie à environ 45 000 Canadiens depuis sa légalisation en 2016.
Quelque 1 018 Canadiens ont été tués par un suicide assisté par le gouvernement en 2016.
En 2022, ce chiffre avait grimpé en flèche pour atteindre le chiffre alarmant de 13 241.
Cela signifie qu’en moyenne, 36 personnes ont été euthanasiées par jour au Canada l’année dernière.
Cela signifie également que le taux de croissance annuel moyen est de 31,1 % depuis 2019.
Selon les données, au moins 81 % des demandes écrites de MAID ont été acceptées.
Cependant, sur les 19 % restants, seuls 3,5 % des demandeurs ont été considérés comme non admissibles à la MAID, un chiffre en baisse depuis 2019.
De nombreuses personnes à qui l’on a refusé le suicide assisté par le gouvernement l’ont été en raison d’un manque de capacité du patient.
Fait alarmant, ces personnes auraient autrement été euthanasiées s’il y avait suffisamment de lits disponibles.
Des milliers de Canadiens manifestaient contre la réponse à la COVID-19 et les mandats de vaccination dans un mouvement qui ne se produit qu’une fois par génération.
Pourtant, après trois semaines de manifestations contre les politiques destructrices du Premier ministre Justin Trudeau, le gouvernement canadien a invoqué la Loi sur les mesures d’urgence, jamais utilisée auparavant, qui lui a donné le pouvoir de geler les comptes bancaires des manifestants, de les arrêter et de disperser brutalement les manifestations dans la capitale. C’était un moment controversé, regardé par le monde entier.
Un an plus tard, la Commission sur l’état d’urgence, dirigée par le juge Paul Rouleau et chargée d’enquêter sur le recours à la Loi sur les mesures d’urgence et sur d’autres questions connexes, a publié son rapport complet le 17 février. « Le rapport de 2 092 pages en cinq volumes déposé au Parlement vendredi », a rapporté la CBC, « est probablement le compte rendu le plus complet qui sera jamais produit sur les troubles de l’année dernière, et il fournit un verdict objectif qui fait autorité sur la décision historique de Justin Trudeau d’invoquer la Loi sur les mesures d’urgence. “La décision d’invoquer la loi était appropriée,” écrit Rouleau. »
Danielle Smith devient un modèle politique brillant pour le monde.
La première ministre conservatrice de l’Alberta, Danielle Smith, est considérée comme une critique virulente des mesures Corona totalement excessives prises par les autorités canadiennes. Au cours des dernières semaines, elle a déjà affirmé clairement que sous sa direction, il n’y aurait pas de mandats de vaccination dans sa province, ni aucune discrimination liée à la Covid-19. Le partenariat entre le service de santé de la province et le Forum économique mondial (WEF) est également problématique.
« Aucun individu de mon gouvernement ou de mon agence provinciale ne sera autorisé à s’associer au FEM »
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