Je vous présente Laurence Tubiana. Elle a été choisie par le NFP (hors LFI) pour devenir 1° ministre. Laurence Tubiana porte le pin’s de Bill Gates « global goals» et participe au forum de Davos.
«Il faut que tout change pour que rien ne change »
Les pertes de BlackRock sont plus importantes que prévues et la guerre présente des rentabilités plus importantes que la transition verte.
Larry Fink s’est même inquiété de voir que le dollar est en forte baisse et supplie les investisseurs et les pays de la planète d’acheter des obligations du Trésor américain pour limiter la chute du dollar.
Si le dollar tombe, c’est en quelque sorte la faute des ces ESG et de BlackRock, le marché s’est restreint et l’entre soi ne peut pas générer des profits à la hauteur des espérances des placements.
Macron a été obligé d’acheter des obligations américaines tout en négociant la captation de l’épargne des français.
Si nos impôts sont la ressource majeure de ces voleurs, la récession a fait baisser les rentrées fiscales et limitent les flux en direction de ces fonds de placement, puisque le militaire a monopolisé les dons envers l’Ukraine et Israël.
En conséquence, Larry Fink a peur pour sa personne et a reçu des menaces suffisamment sérieuses pour demander une protection rapprochée pour sécuriser ses déplacements.
Tremblez messieurs, vous récoltez ce que vous avez semé.
BlackRock a multiplié par deux les dépenses de sécurité pour son PDG Larry Fink, alors que les investissements ESG suscitent de plus en plus de réactions négatives
BlackRock, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, a considérablement augmenté les dépenses de sécurité de son PDG Larry Fink au cours de l’année écoulée, selon des documents déposés auprès des autorités boursières.
Ces dépenses comprenaient 216 837 dollars pour l’embauche de gardes de sécurité et 563 513 dollars pour la mise à jour d’un système de sécurité au domicile de M. Fink.
BlackRock a commencé à fournir des services de sécurité à M. Fink en 2022 à la demande du conseil d’administration, selon des documents déposés l’année dernière. À l’époque, la société a engagé une société de sécurité tierce pour faire une recommandation sur la sécurité dont M. Fink pourrait avoir besoin. En 2022, la première année où la société lui a fourni des services de sécurité, M. Fink a reçu 198 410 dollars pour des agents de sécurité et 177 950 dollars pour un système de sécurité à domicile.
Au cours des dernières années, M. Fink et BlackRock ont été critiqués par des politiciens et des experts conservateurs (ainsi que par certains activistes libéraux) pour l’utilisation par la société des principes ESG dans ses produits d’investissement. Nombre de ces groupes estiment que la décision de M. Fink d’intégrer l’environnement, le développement durable et la gouvernance comme l’un des nombreux facteurs de sélection des investissements est une tentative d’imposer des idéologies de gauche aux entreprises. En réalité, cette pratique vise simplement à fournir une vision plus holistique de l’avenir d’une entreprise en comptabilisant les facteurs de risque et les opportunités au-delà de ses seules performances financières.
Dans sa lettre annuelle aux actionnaires pour 2020, M. Fink a annoncé que BlackRock, qui gère quelque 10 000 milliards de dollars, placerait le développement durable au cœur de son approche en matière d’investissement. Cette décision a placé BlackRock et Fink dans le collimateur de certains responsables républicains, qui ont estimé qu’il s’agissait d’une forme de sélection idéologique discriminatoire à l’égard de certaines entreprises.
Plusieurs élus républicains ont alors cherché à mettre fin aux contrats passés avec BlackRock pour les fonds publics qu’elle gérait.
Au Texas, l’État a retiré un fonds d’éducation de 8,5 milliards de dollars géré par BlackRock. En Floride, le gouverneur républicain Ron DeSantis a menacé de trouver un autre gestionnaire pour les fonds publics gérés par BlackRock. M. DeSantis a réussi à retirer à BlackRock 2 milliards de dollars d’actifs sous gestion, mais en janvier dernier, BlackRock gérait encore 13 milliards de dollars pour le compte de l’État.
La réaction personnelle à l’encontre de M. Fink a atteint son paroxysme lors des débats des primaires républicaines à la fin de l’année dernière. Lors d’un débat en décembre, M. DeSantis et l’investisseur en biotechnologie Vivek Ramaswamy se sont attaqués à BlackRock. M. DeSantis a vanté le fait qu’il avait « retiré 2 milliards de dollars » à la société, tandis que M. Ramaswamy a qualifié M. Fink de « roi du complexe industriel de l’évasion ». Ces propos ont suscité une réponse de M. Fink, qui a qualifié l’affaire de « triste » représentation de l’état de la politique américaine.
M. Fink a évoqué à plusieurs reprises les réactions négatives auxquelles il était confronté, déclarant à une occasion qu’il était surpris par le caractère personnel des attaques. « C’est difficile, parce que ce n’est plus du business, ils le font de manière personnelle », a déclaré Fink à Bloomberg en janvier 2023. « Pour la première fois dans ma carrière professionnelle, les attaques sont désormais personnelles. Ils essaient de diaboliser les problèmes ».
Le plus souvent, M. Fink attribue la fureur à une mauvaise compréhension de ce qu’est l’ESG et au fait que lui et BlackRock ont été pris au piège des courants transversaux de la politique américaine. « Le récit est affreux », a déclaré M. Fink dans l’interview accordée à Bloomberg. "Malheureusement, certains hommes politiques sortent certains passages d’une phrase de leur contexte, et c’est le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui.
BlackRock, comme d’autres institutions financières, est désormais plus tiède sur certains engagements précédemment déclarés en matière de changement climatique, ce que certains considèrent comme le résultat de la pression exercée par les politiciens et les activistes conservateurs.
En fin de compte, les boycotts ont eu peu d’effet sur les activités de BlackRock. Au début de l’année 2023, M. Fink a reconnu que l’année précédente, BlackRock avait perdu environ 4 milliards de dollars d’actifs sous gestion en raison des boycotts dont la société a fait l’objet. Toutefois, selon M. Fink, ce chiffre est peu de chose par rapport aux 230 milliards de dollars d’argent frais que BlackRock a reçus de la part de ses clients américains.
Fortune
La fusion des groupes informatiques et financiers a donné naissance à la plus grande concentration de pouvoir de tous les temps. Mais qu’est-ce qui confère à ce puissant complexe une influence telle qu’il est même en mesure de diriger le destin du monde ?
Le dévoilement de la pieuvre
Ce monde est tombé dans les griffes d’une société secrète terroriste d’envergure mondiale. Telle une pieuvre, ses tentacules s’emparent de tes biens, de ta santé et du libre accès au savoir. Une enquête de Kla.TV, votre chaîne indépendante n°1 !
À peine la crise du Covid semble-t-elle surmontée que le monde est massivement ébranlé par la guerre en Ukraine et, par conséquent, par la crise énergétique et économique. Une récession mondiale ainsi que la pauvreté et la famine menacent désormais des millions de personnes. En dépit de cela, même des hommes politiques autrefois pacifistes continuent d’attiser la guerre. Cette évolution négative à l’échelle mondiale est-elle le fruit du hasard, d’une erreur humaine ou y a-t-il quelque chose de plus derrière tout cela ? Si c’est le cas, il devrait y avoir une puissance capable de contrôler et de maîtriser de telles évolutions à l’échelle mondiale. Mais un tel pouvoir existe-t-il vraiment ?
Lumières ! Action ! Réinitialisation !
Les grands médias de l’Occident collectif, à l’unisson, vont faire tourner sans discontinuer, pendant une semaine, toutes les « nouvelles » bonnes à imprimer pour vanter les nouvelles déclinaisons de la Grande Réinitialisation, rebaptisée Le Grand Récit, mais en réalité présentée comme une offre bénigne du « capitalisme participatif ». Telles sont les principales planches de la plateforme louche d’une ONG louche enregistrée à Cologny, une banlieue cossue de Genève.
La liste des participants à Davos a fait l’objet d’une fuite. Proverbialement, il s’agit d’une fête de l’exceptionnalisme anglo-américain, avec la présence de hauts responsables du renseignement tels que la directrice du renseignement national américain, Avril « Madame Torture » Haines, le chef du MI6 Richard Moore et le directeur du FBI Christopher Wray.
On pourrait écrire des encyclopédies remixées de Diderot et d’Alembert sur la pathologie de Davos – où une liste impressionnante de multimilliardaires, de chefs d’État et de chouchous du monde des affaires (appartenant à BlackRock, Vanguard, State Street et autres) « s’engagent » à vendre des paquets de dystopie démente aux masses sans méfiance.
Mais allons droit au but et concentrons-nous sur quelques panels de la semaine prochaine, que l’on pourrait facilement confondre avec des sessions « Droit vers l’Enfer ».
La liste du mardi 17 janvier est particulièrement intéressante. Elle comprend un panel intitulé « Dé-mondialisation ou re-mondialisation ? » avec les intervenants Ian Bremmer, Adam Tooze, Niall Ferguson, Péter Szijjártó et Ngaire Woods. Trois atlantistes/exceptionnalistes se distinguent, notamment l’ultra-toxique Ferguson.
Sur sa chaîne YouTube, le célèbre expert économique et financier allemand Ernst Wolff fait constamment la lumière sur le monde opaque de la finance mondiale grâce à ses contributions et ses interviews. Les relations complexes y sont réduites à l’essentiel et expliquées de manière compréhensible, même pour les profanes. Dans la rubrique « Le commentaire actuel », Ernst Wolff prend également position sur des sujets d’actualité et montre les dessous et les contextes dont on ne parle pas dans les médias grand public. Voici un commentaire sur Elon Musk et Twitter :
Le rachat de Twitter par Elon Musk suscite des réactions dans le monde entier. Les médias traditionnels lui tombent dessus parce que celui-ci a annoncé qu’il n’exercerait plus de censure et parce qu‘ils craignent désormais un déluge de fake news. En revanche des millions de fans de Musk célèbrent leur héros comme le sauveur de la liberté d’expression. Manifestement les deux groupes ne remarquent pourtant pas que leurs attitudes respectives les rendent victimes de la tendance la plus dangereuse de notre époque. La division de la société !
Essayons d’analyser tout cela froidement et voyons d’abord de qui il est question avec Elon Musk.
Musk est l’un des fondateurs de PayPal. PayPal, dont les principaux actionnaires sont BlackRock et Vanguard, fait actuellement l’objet de plusieurs procédures judiciaires, car l’entreprise aurait escroqué des clients et attiré des investisseurs avec des fausses déclarations.
Musk a fondé SpaceX et Starlink en 2002. Avec près de 2600 satellites, Starlink est de loin le plus grand opérateur de satellites au monde et est utilisé entre autres par le régime corrompu d’Ukraine pour faire la guerre.
Musk est depuis 2008 le PDG du groupe automobile TESLA, dont les principaux actionnaires sont également BlackRock et Vanguard. Quiconque achète une voiture électrique Tesla accepte que la voiture télécharge les données de conduite dans le cloud du constructeur. Ceux qui souhaitent éviter cette collecte de données en modifiant leur véhicule recevront un avertissement de la part des avocats de Tesla pour violation de licence.
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On a vu que BlackRock et Vanguard, possèdent à la fois Big Pharma et la grande majorité des médias de masses.
Les « nouvelles » télévisées sont constamment interrompues par des publicités présentant les derniers médicaments proposés par Big Pharma, puisque c’est Black Rock et Vanguard qui décident tout et qui tiennent à vous laver le cerveau en permanence…
Leur couverture collective des événements mondiaux s’articule toujours et en permanence autour de la même propagande mensongère.
Black Rock a dernièrement englouti des biens immobiliers à un prix bien supérieur au prix demandé. C’est une des raisons pour lesquelles les prix de l’immobilier n’ont jamais été aussi élevés. « C’est une redistribution de la richesse, et ce n’est pas la richesse des riches qui est redistribuée », a tweeté le compte @APhilosophae. « C’est la classe moyenne américaine normale, la richesse du sel de la terre qui se dirige vers les mains des entités et des individus les plus puissants du monde. Le véhicule financier traditionnel a disparu pour toujours. »
En réalité, BlackRock et Vanguard sont, comme on l’a déjà vu, la propriété de quelques grandes familles qui font pression pour un Nouvel Ordre Mondial et il semblerait qu’elles soient sur le point d’atteindre leur objectif par la destruction des systèmes financiers mondiaux, l’accaparement de tous les biens immobiliers, et prochainement l’abolition totale de la propriété privée.
« La puissance de ces deux sociétés est quelque chose que nous pouvons à peine imaginer », dit Gielen. « Non seulement elles sont les plus grands investisseurs institutionnels de toutes les grandes entreprises de la planète, mais elles possèdent également les autres investisseurs institutionnels de ces entreprises, ce qui leur confère un monopole complet. »
Gielen cite des données de Bloomberg, montrant que d’ici 2028, Vanguard et BlackRock devraient gérer collectivement 20 000 milliards de dollars d’investissements. Ce faisant, ils posséderont presque tout sur la planète Terre.
« Maintenant, le coup d’état financier est en train d’être consolidé, les banquiers centraux ont juste la juridiction sur le trésor et l’argent des impôts. Et s’ils parviennent à faire entrer les passeports [vaccinaux] dans la CBDC [monnaie numérique de la banque centrale], ils seront alors en mesure de prélever les impôts sur nos comptes et de prendre nos actifs. C’est donc un véritable coup d’État. »