Les voitures modernes produites depuis le milieu des années 2010 sont équipées de technologies « cheval de Troie » dont les propriétaires commencent à prendre conscience. Ces technologies peuvent contrôler où et quand les conducteurs sont autorisés à conduire, suivre les yeux des conducteurs , enregistrer les conversations des occupants, collecter des informations génétiques et de santé, des données biométriques et le poids des conducteurs et des passagers, entraîner une augmentation des primes d’assurance automobile et même surveiller l’activité sexuelle des conducteurs .
Dans une vidéo récente, le journaliste automobile britannique Geoff Buys Cars explique comment une Hyundai Kona ayant fait l’objet d’une mise à jour logicielle est désormais soumise au géorepérage et au geotiming, en d’autres termes, la voiture peut désormais avoir des limites de distance et de temps fixées à distance par le fabricant. Les conditions d’utilisation de la mise à jour logicielle précisent que ces restrictions de conduite ne seront activées que si la loi l’exige.
« Cela signifie que vous ne pourrez pas conduire votre voiture au-delà des limites décidées par le gouvernement, donc toutes ces conspirations sur les villes de 15 minutes, les zones et les fermetures climatiques, comment vont-ils les mettre en œuvre ? Eh bien, probablement avec les capacités de géorepérage qui sont intégrées dans ces voitures, en utilisant l’infrastructure qu’ils installent déjà sur les routes avec toutes les caméras et tous les capteurs et toute la nouvelle technologie qui se met en place », a déclaré Geoff.
Hyundai a refusé d’annuler la mise à jour, faisant des contrôles une « fonctionnalité » permanente. Le journaliste automobile a précisé que toutes les voitures modernes ont la capacité de le faire, de sorte que même si le logiciel d’une voiture ne permet pas actuellement de restreindre la distance de conduite, l’emplacement des trajets, les temps de déplacement autorisés et même la conduite autonome, ce contrôle peut être ajouté à une date ultérieure.
« Certaines voitures de tous les jours sont déjà entièrement autonomes, la technologie est déjà présente dans les voitures, elles n’ont simplement pas encore été mises en marche », a déclaré Geoff.
Le journaliste automobile poursuit en expliquant comment cette technologie peut être utilisée pour empêcher les gens de conduire leur voiture le dimanche, éventuellement pour les empêcher d’aller à l’église, sous prétexte de « sauver la planète » dans le cadre d’un futur blocage climatique, avant de terminer la vidéo en pointant la caméra vers une traînée d’aérosol atmosphérique (chemtrail) et en disant ironiquement « elle est bien bonne, n’est-ce pas ».
Cette nouvelle technologie de surveillance et de contrôle est également exploitée par les assureurs automobiles. WSB-TV a récemment fait état d’une Américaine qui a vu sa prime d’assurance augmenter de 80 % après que sa Chevrolet Camero de la génération actuelle a commencé à télécharger des centaines de pages d’informations sur ses habitudes de conduite à Chevrolet, qui les a ensuite vendues à des courtiers en données, qui les ont ensuite achetées à de grandes compagnies d’assurance.
Le comble de cette hypocrisie est le devoir de garder une attestation d’assurance dans son véhicule.
À la souscription d’un contrat, l’assuré recevra de la part de son assureur un document unique, le Mémo Véhicule Assuré. Il est conseillé de laisser ce document dans le véhicule afin d’avoir accès à ces informations à tout moment.
La suppression de la carte verte est censée lutter contre la fraude et la non-assurance, mais surtout pour augmenter le contrôle des automobilistes par les autorités. Nous assistons à la privatisation de données personnelles par l’Etat pour augmenter la répression et les sanctions.
Le décret relatif à la suppression de la « carte verte » automobile a été publié au Journal officiel ce 9 décembre 2023. Ce décret représente une avancée importante dans la simplification de la vie administrative des Français.
Avec la centralisation des informations d’assurance, ce sont 680 000 véhicules, selon les estimations de la Sécurité routière, qui vont être passées au peigne fin pour traquer la non assurance automobile.
Augmentation du prix de l’assurance auto
En 2024, les prix des assurances automobiles vont encore augmenter, 49 % des Français ne savent pas à combien se chiffrera la hausse de leurs tarifs d’assurance.
Devant cette inflation de l’assurance automobile, les assurés peinent à payer les réparations après accident du fait de l’augmentation du prix des pièces de réparation.
Avec le nouveau fichiers d’assurance, l’Etat va savoir si le véhicule est en droit de rouler ou pas.
Si à cela on ajoute la fin des réparations des véhicules de plus de quinze ans, c’est une véritable tyrannie qui va peser sur les épaules des français concernés par ces nouvelles décisions.
Le prix moyen de l’assurance auto dans l’Hexagone est de 630 € par an et l’augmentation des frais de pièces comme celui de l’assurance va contraindre l’assuré à s’assurer au tiers pour maintenir son budget automobile.
Tout propriétaire d’un véhicule en circulation doit disposer a minima d’une assurance en Responsabilité civile (exigée par l’Article L211-4 du Code des Assurances).
L’assurance auto au tiers offre le niveau minimum légal de couverture imposé par le Code des Assurances. Cette garantie permet de réparer les dommages causés à autrui par son véhicule mais ne prend pas en compte les dommages dont on est victime.
Tout est fait pour encourager les gens à limiter l’entretien des véhicules et un nouveau décret demandant l’examen pour s’assurer de la fiabilité et de la sécurité du véhicule par un contrôle technique, serait dramatique pour l’automobiliste. Ce projet est dans les « cartons » et condamnerait l’assuré à ne plus pouvoir utiliser sa voiture avec toutes les conséquences qui en découlent.
Modernisation et contrôle
Depuis le mois de mai 2023, le contrôle technique automobile comporte deux nouvelles vérifications : l’appel automatique d’urgence et la collecte des informations relatives à la consommation de carburant. Si la première peut donner lieu à contre-visite, la seconde n’est pas obligatoire. Le « eCall », est obligatoire sur toutes les voitures neuves vendues depuis 2018. C’est un appel automatique d’urgence en cas d’accident avec les secours et qui transmet les coordonnées GPS de la position du véhicule accidenté. L’autre réglementation OBFCM (On Board Fuel Consumption Monitoring, c’est-à-dire « mesure automatisée de la consommation de carburant »), actée par la Commission européenne pour tous les véhicules mis en circulation depuis le 1er janvier 2021 impose aux constructeurs d’installer un logiciel qui enregistre les données de consommation. Le but est de pouvoir collecter des informations sur la consommation réelle et de prouver si l’on a fait un excès de vitesse à l’origine d’un accident.
La voiture, un souci des assureurs
En 2022, les assureurs ont versé plus de 50 milliards d’euros d’indemnisation à leurs clients, dont 10 milliards pour les catastrophes naturelles. Les assureurs, par souci d’économie, sont à la recherche de ceux qui n’ont pas de chance et des mauvais payeurs. Plus d’un million de Français ont vu leur assurance résiliée et cette purge n’est pas terminée. En cas de récidive de sinistre, l’assuré peut se faire résilier par son assureur sans aucune justification sinon qu’il coute trop cher.
L’assurance auto est destinée à couvrir les risques, en cas de multiplications des sinistres responsables ou non responsables, l’assureur peut vous résilier sans arbitrage. Les raisons invoquées sont : Primes non payées, l’accumulation des sinistres, le risque aggravé, la fausse déclaration, l’omission ou déclaration inexacte, les pièces manquantes (permis, relevé d’informations, carte grise). Selon l’article A.211-1-2 du code des assurances, votre assureur a également le droit de vous résilier après un sinistre si cela est mentionné dans les conditions générales de votre contrat dans la rubrique « résiliation ».
Jusqu’à quand va-t-on continuer d’accepter cette tyrannie sur les automobilistes ?
Geopolintel Mars 2024
Selon InsuranceNewsNet, les assureurs sont particulièrement préoccupés par les données des Centres de contrôle et de prévention des maladies qui montrent que "les taux de mortalité augmentent de façon alarmante pour différentes catégories", notamment les taux de mortalité des jeunes adultes qui dépassent de plus de 20 % les normes historiques en 2023.
Les dirigeants des plus grandes compagnies d’assurance des États-Unis sont alarmés par le fait que les adolescents, les jeunes et les cols blancs américains dans la force de l’âge meurent inexplicablement à un rythme record, provoquant un “flux monumental” de demandes d’indemnisation pour cause de décès et une baisse de profits qui ébranle le secteur et incite certains à se pencher à nouveau sur le problème.
Selon un rapport publié le 26 octobre par InsuranceNewsNet, les compagnies d’assurance américaines s’attendaient à des paiements plus élevés que la normale en cas de surmortalité pendant la pandémie de Covid-19.
Les assureurs ont vu les prestations de décès augmenter de 15,4 % en 2020, soit la plus forte hausse en un an depuis l’épidémie de grippe espagnole de 1918, suivie d’un montant record de 100,28 milliards de dollars – près du double de la norme historique – pour le total des prestations de décès versées par le secteur en 2021.
“On s’attendait naturellement à ce que les chiffres augmentent pendant la pandémie, mais certaines autorités du secteur et de la santé s’inquiètent du fait que les taux n’ont pas beaucoup diminué alors que les taux d’infection par le Covid ont baissé”, a rapporté InsuranceNewsNet.
Selon InsuranceNewsNet, les assureurs sont particulièrement préoccupés par les données des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) qui montrent que “les taux de mortalité augmentent de façon alarmante pour différentes catégories”, notamment les taux de mortalité des jeunes adultes qui dépassent de plus de 20 % les normes historiques en 2023.
Les chiffres du CDC publiés en août montrent que le taux de mortalité des Américains âgés de 15 à 45 ans dépasse de 20 à 24 % la normale en 2020, puis a monté en flèche en 2021, avec une augmentation de près de 30 % pour les 15 ans et de plus de 45 % pour les 45 ans.
Comme c’était prévisible, avec la remontée des taux actuels, les banques centrales ont créé un krach obligataire. Or, les fonds propres de certaines compagnies eux-mêmes également investis en obligations d’Etat conformément à la loi, ne sont plus suffisants pour absorber les pertes et assurer la liquidité.
Vous avez là, exactement le même phénomène que celui qui vient de toucher la banque SVB aux Etats-Unis et qui a précipité sa faillite.
En Europe, c’est du côté de l’Italie que la première compagnie d’assurance chute.
Eurovita. 15 milliards de fonds bloqués.
Eurovita est la propriété d’une société de capital-investissement britannique Cinven qui a injecté 100 millions d’euros en catastrophe dans son assureur-vie italien. Mais cette aide d’urgence n’a pas été suffisante pour empêcher qu’Eurovita devienne la première compagnie d’assurance du pays à être placée sous administration provisoire.
A priori, et à ce stade, comme pour la Silicon Valley Bank, nous ne parlons pas de banques qui auraient fait totalement n’importe quoi. Nous parlons d’établissements qui sont frappés de plein fouet par la remontée violente et brutale des taux d’intérêt et donc par le krach obligataire dont je vous parlais hier.
Je vous remets le graphique de la chute des obligations, ici celles à deux ans !
Le cloaque des effets secondaires des vaccins en Allemagne est enfin complètement ouvert. Selon le site d’information néerlandais Blckbx, cinq mois après une demande Wob (Demander des informations au gouvernement), il apparaît que 437 593 des 11 millions d’assurés de la plus grande caisse d’assurance maladie du pays, la Techniker Krankenkasse (TK), ont dû subir un traitement médical en 2021 pour des effets secondaires du vaccin Covid. Cela représente 1 personne sur 25, soit une augmentation de 3 000 %.
C’est stupéfiant !
En 2021, Lincoln National a signalé une augmentation de 163% des prestations de décès versées dans le cadre de ses polices d’assurance-vie collectives.
Vous pourriez ajouter les mortalités de la Première Guerre mondiale et de la Seconde Guerre mondiale et ne pas obtenir de telles augmentations de décès.
« Nous constatons, en ce moment, les taux de mortalité les plus élevés que nous ayons vus dans l’histoire de cette entreprise – pas seulement chez OneAmerica. Les données sont cohérentes pour tous les acteurs de cette entreprise. »