L’acteur populaire de la série des L’Arme fatale aura beaucoup de mal à boucler son budget (30 millions de dollars), et les grands pontes d’Hollywood – dont le puissant Harvey Weinstein – lui firent des misères : il a été accusé d’antisémitisme – alors que Mel adore Jésus, un juif –, d’alcoolisme et autres fadaises. C’est vrai que Mel picole un peu, et quand il est pété, raconte des méchancetés sur les magnats du cinoche, ce qui n’arrange pas les choses. Mais c’est un cœur pur, et surtout il a les moyens de dire shit à ceux qui veulent le censurer.
Comme le héros de Braveheart est têtu, et combatif, il remet une pièce dans la machine et prépare la suite de la Passion, qui avait été un succès planétaire (le film rapportera vingt fois son budget : les magnats des studios auraient dû miser dessus !). Ce sera Résurrection et le tournage commencera en 2025. Connaissant un peu Gibson et son cinéma, Jésus ne va pas revenir pour buter un à un ceux qui l’ont persécuté et mis en croix. Ce ne serait pas fidèle aux Évangiles, et puis le Dieu du Christ est un Dieu de pardon, pas comme l’autre. Ah, Mel est un catho tradi, plus ou moins pratiquant.
On ne verra donc pas Jésus éliminer un à un tous les salauds, comme Mel dans Payback (1999), ou comme Rudy Youngblood dans le magnifique Apocalypto, un film plein de sous-entendus sorti deux ans après La Passion, à lire bien entre les images.
2004, le dernier sursaut catho à la télé
La polémique autour de la sortie du film en France avait donné lieu à des séquences savoureuses. Ardisson avait donc balancé Weinstein, ce chantre de toutes les libertés qui voulait censurer Gibson, mais sur les autres plateaux, c’est la tendance antichrétienne qui l’emportait. Les envoyés de l’Église ne faisaient pas le poids face à des médiateurs bien en place, et très solidaires...
Dans Culture et Dépendances, Franz-Olivier Giesbert résumait le Gibson : « Ce film est l’histoire de quelqu’un qui se fait tabasser pendant deux heures, c’est du Tarantino quoi, c’est du Tarantino sans le sourire. »
Dans la même émission, le père Jean Charles-Roux, qui a fait la messe à Mel, envoyait une pique à Éliette Abécassis : « Vous prenez la communion souvent ? »
Dans Piques et polémiques, l’abbé de La Morandais tentait une révolte molle : « Cathophobe c’est à la mode, alors les cathos, ils commencent à en avoir marre. »
Vingt ans plus tard, il n’y a plus trace de catholicisme à la télé, hormis Le Jour du Seigneur, l’émission du dimanche matin, suivie de la messe sur France 2. Elle rassemble 600 000 téléspectateurs, et quatre fois plus le dimanche de Pâques. Un léger remords ?
La ville de Gaza pleure la perte d’une jeune virtuose du violon, Lubna Alyaan, dont la vie prometteuse a été brutalement interrompue lors d’une attaque israélienne. Lubna, une élève talentueuse de 14 ans, a été tuée avec sa famille dans une tragédie qui a secoué la communauté musicale et artistique de Gaza.
Lubna était une musicienne passionnée qui rêvait de devenir la meilleure violoniste du monde. Elle a perfectionné son art au Conservatoire Edward Said de Gaza, où son jeu exceptionnel a laissé une empreinte indélébile. Malheureusement, son potentiel musical a été cruellement éteint le 21 novembre 2023, lorsqu’elle a perdu la vie suite aux bombardements israéliens. Mais l’horreur ne s’est pas arrêtée là, car ses sœurs et frères : Zain (16 ans), Kenan (10 ans), Sari (4 mois), ses parents : Mahmoud Alian et sa femme Sally Shaheen, ainsi que ses grands-parents Zainab Mahmoud Al Ghoul et Abdul Aziz Alian, et 50 autres membres de sa famille, tantes, oncles, cousins, cousines… ont tous perdu la vie à Nuseirat, au centre de la bande de Gaza. Sa famille entière a été anéantie, effacée du registre civil.
Nous avons vu passer l’année 2021 qui était une Année 5, c’est-à-dire une année de choix entre le Bien et le mal. Le résultat fut terrifiant = 8 à 2 ! Ou si vous préférez, le mal a recueilli 80% des suffrages et le Bien seulement 20% !
Depuis, la véritable humanité sur la Terre ne constitue plus que ces 20%, entourée par les 80% (environ), qui ont renié leur humanité en se soumettant au mal.
Et, même si c’était prévu depuis des milliers d’années, la pilule est tout de même difficile à avaler, n’est-ce pas ?
L’an passé, en 2022, nous étions en Année 6 : nous disposions de douze mois propices au défi et au déploiement de l’Amour, l’harmonie, la beauté, l’art, le service… euh, bon arrêtons-nous là, car nous avons en réalité connu plutôt une année 2+2+2 : ceci nous donne 6 au total, certes, mais avec une prépondérance de la dualité (trois fois le Nombre 2 !) et de la division tous azimut !
« J’ai gagné la première place », a déclaré un utilisateur connu sous le nom de Sincarnate dans un message sur Discord, au-dessus des photos des toiles générées par l’IA et exposées à la foire. La victoire de Sincarnate a suscité des discussions animées sur les médias sociaux sur la nature de l’art et ce que signifie être un artiste. Certains commentateurs pensent que l’art humain est condamné par l’IA et que tous les artistes sont destinés à être remplacés par des machines. D’autres pensent que l’art évoluera et s’adaptera aux nouvelles technologies qui se présenteront, citant les synthétiseurs dans la musique.
Les artistes sont furieux.
Mysa a été interviewé par Le Média en 4-4-2, merci à eux !
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Victor est le réalisateur d'une vidéo intitulée : Leurs projets, une expression artistique du mal être d'une génération...
« Nous, les jeunes, avons été endormis par une société de service, de divertissement »