Les vrais noms et nationalités des leaders israéliens.
Un patch « miracle » qui soignerait les douleurs par « infrarouge » sans composant médical… Du « bullshit » commercial, selon des pharmaciens, qui fait tâche mais promet de rapporter beaucoup d’argent grâce aux J.O. de Paris.
Décidément, les scandales qui entourent ces J.O. commencent à se faire nombreux. Le dernier en date concerne un nouveau produit lancé par le géant de la Big Pharma : Sanofi. Initiv est un nouveau patch collant à « Biologie Augmentée » lancé en partenariat officiel avec les Jeux Olympiques 2024. Sans actif médicamenteux, celui-ci promet de soulager les douleurs en renvoyant les émissions naturelles d’infrarouges de la peau. Tout ce verbiage pour dire que ce simple autocollant hors de prix va garder un peu de chaleur de la peau et la renvoyer vers la zone concernée avec la promesse de soulager quelques douleurs. C’est du moins ce qu’affirme la marque.
Sanofi n’a pas fait dans la dentelle. Avec un plan marketing agressif envoyé à tous les pharmaciens de France à l’occasion des J.O., il est question de convaincre le consommateur de l’efficacité « prouvée » du patch. À ce propos, les patchs sont en vogue depuis quelques temps. On en trouve pour absolument tout. Ils ne coûtent absolument rien à produire mais promettent d’importants profits pour leurs inventeurs. Selon des documents promotionnels ayant fuité, le marché du patch pèserait quelques 400 millions d’euros. Le tout consistant surtout à convaincre le consommateur de leurs pouvoirs de guérison qui, la plupart du temps, n’existent que dans notre imaginaire.
Des pharmaciens en colère.
Plusieurs pharmaciens – avec un minimum de conscience professionnelle – ont naturellement réagit à l’arrivée de ce produit sur leur marché. Il existe déjà des produits « sans effet réel » en pharmacie, mais c’est peut-être la première fois qu’une énorme société comme Sanofi s’infiltre dans ce marché douteux, brouillant toujours un peu plus les cartes, et créant toujours plus de méfiance chez le consommateur.
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« En tant que professionnel de santé, je trouve ça scandaleux de vendre en pharmacie ce genre de produit sans réel fondement scientifique. Notre conseil à un poids non-négligeable sur la santé des gens, et je ne veux pas me faire charlatan au nom du pognon des grands groupes pharmaceutiques censés respecter une certaine déontologie et pratiquer une rigueur scientifique exemplaire »
Alors que l’on croit acheter un objet qualitatif et à prix correct en ligne, celui-ci est, en réalité, bas-de-gamme et vient de l’autre bout du monde. Pour éviter de tomber dans le piège, voici un décryptage de cette pratique malhonnête bien que légale.
Le dropshipping est une pratique commerciale qui ajoute un intermédiaire entre un marchand sur internet et son client. Le dropshipper, un commerçant sans scrupule, va virtuellement générer du profit en gonflant les prix de produits low-cost qui sont déjà en vente directe sur des sites chinois bien connus comme Aliexpress ou Wish. Celui qui réalise l’achat reçoit donc un produit commandé directement de Chine tout en ayant payé une commission importante à un entremetteur anonyme.
Dans de nombreux cas, cet entremetteur parasite ment sur la qualité et l’origine des produits afin de pouvoir gonfler artificiellement les prix pour générer des profits colossaux sans aucun effort depuis un simple ordinateur. Ils ne sont généralement pas assurés, souvent pas déclarés, n’assurent aucun suivi des produits et ne réalisent aucun test sanitaire, mettant parfois la santé de leurs clients en danger. Voici comment repérer et se prémunir de ce cancer du web qui se généralise sur les réseaux sociaux à grand renfort de campagnes marketing.
Une arnaque en ligne qui pullule
À mesure qu’il est dénoncé, le dropshipping voit fleurir pléthore de défenseurs. Sans doute est-ce parce qu’à la manière de l’évasion fiscale, ce phénomène trouve son soutien dans les espoirs d’ascension financière rapide encouragée par la start-up nation et son capitalisme 3.0. Au préjudice du consommateur et de l’environnement, mais pas seulement : c’est aussi un engluement supplémentaire dans le funeste modèle actuel.
Le dropshipping laisse tout simplement miroiter dans le regard de certains un exemple de gain par le mérite, celui d’avoir été malin en manipulant les autres, dans un monde nécrosé par les démarches commerciales permissives. Le but légitimé ? Atteindre, puis conserver, une réussite pécuniaire quasi instantanée. Les entreprises de « formation » au dropshipping ne s’en cachent d’ailleurs pas. Leur slogan : « Copiez, collez, profitez ! »
Officiellement il s’agit d’un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les investissements des clients essentiellement par les fonds procurés par les nouveaux entrants. Si l’escroquerie n’est pas découverte auparavant, la fraude apparaît au grand jour au moment où le système s’écroule, c’est-à-dire quand les sommes procurées par les nouveaux entrants ne suffisent plus à couvrir les rémunérations des clients. Son nom rappelle Charles Ponzi qui est devenu célèbre après avoir mis en place une opération fondée sur ce principe à Boston dans les années 1920.
Pour le dire plus simplement, je rémunère ou je rembourse les dépôts des premiers par les dépôts des suivants alors qu’il n’y a aucune création de valeur.
Vous allez me dire qu’il faut être sacrement couillons pour se faire avoir…
D’abord, ce n’est pas si simple, et les « arnaques » sont toujours brillamment exécutées. Il est souvent difficile de les détecter, surtout quand en plus nos capacités de jugement sont obscurcies par le lucre et l’appât du gain.
Ensuite, l’économie est un immense système de Ponzi.
Il y a bien sûr l'habituelle arnaque Octobre Rose, mais également les arnaques vak$inales du moment (grippe, Khoviide, et même HPV) ainsi qu'un traitement expérimental pour les bébés.
Grosse rentrée pour les actionnaires de l'industrie pharmaceutique.
Lien vers l'étude sur le taux de mortalité dû aux injections Covid (environ 17 millions de morts pour 13,5 milliards d'injections au 2 sep 2023) : (PDF En) (version courte Fr)
Au total, 1 609 scientifiques et professionnels du monde entier ont signé la déclaration, dont 321 des États-Unis.
La coalition souligne que le climat de la Terre varie depuis qu’elle existe, la planète ayant connu plusieurs phases froides et chaudes. Le petit âge glaciaire ne s’est achevé qu’en 1850.
« Il n’est donc pas surprenant que nous connaissions aujourd’hui une période de réchauffement », indique la déclaration.
Le réchauffement se produit « beaucoup plus lentement » que ne le prévoit le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat.
« Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas du tout plausibles en tant qu’outils politiques », a déclaré la coalition, ajoutant que ces modèles « exagèrent l’effet des gaz à effet de serre » et « ignorent le fait que l’enrichissement de l’atmosphère en CO2 est bénéfique ». Par exemple, même si les alarmistes climatiques qualifient le CO2 de nuisible pour l’environnement, la coalition souligne que ce gaz n’est pas un polluant.
Le dioxyde de carbone est « essentiel » à toute vie sur terre et « favorable » à la nature. L’augmentation du CO2 entraîne une croissance de la biomasse végétale mondiale tout en augmentant les rendements des cultures dans le monde entier.
CLINTEL a également rejeté l’idée selon laquelle le réchauffement climatique serait lié à une augmentation des catastrophes naturelles telles que les ouragans, les inondations et les sécheresses, en soulignant qu’il n’existe « aucune preuve statistique » à l’appui de ces affirmations.
« La science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques. Les scientifiques devraient aborder ouvertement les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions du réchauffement climatique, tandis que les politiciens devraient compter sans émotion les coûts réels aussi bien que les avantages hypothétiques de leurs mesures politiques »
Interdire à un prix Nobel de Physique de faire le discours prévu au FMI parce qu’il n’acquiesce pas à la doxa mondialiste ? Ils osent. Même pas peur, ni du ridicule ni de se discréditer.
Un prix Nobel de physique ostracisé pour avoir dénoncé la « corruption » de la climatologie
John Clauser, prix Nobel de physique 2022, dénonce la « corruption » de la climatologie. Une conférence qu’il devait prononcer devant le FMI est aussitôt annulée.
Au début du mois, John Clauser, prix Nobel de physique 2022, a vertement critiqué la doxa de « l’urgence climatique ». À ses yeux, cette « dangereuse corruption de la science menace l’économie mondiale et le bien-être de milliards d’êtres humains ». La sanction ne s’est pas fait attendre. Il devait donner devant le FMI une conférence sur les modèles climatiques – elle a immédiatement été annulée et la page annonçant l’événement a disparu du site du FMI.
Cette conférence, prévue jeudi prochain, était intitulée « Quelle confiance peut-on accorder aux prédictions climatiques du GIEC ? Parlons-en. » Une réponse dubitative n’était, apparemment, pas politiquement correcte. Il y a longtemps que John Clauser critique les modèles climatiques ; il a notamment regretté que le prix Nobel 2021 ait récompensé un travail à ce sujet. Il n’est pas le seul – de nombreux scientifiques estiment que les modèles climatiques reposent essentiellement sur les mathématiques et le nombre de leurs prévisions erronées permet de penser qu’ils ne méritent pas la reconnaissance de la science pure au plus haut niveau. Opinion que ne partage pas le magazine National Geographic, comme en témoigne un article intitulé « Comment les modèles climatiques sont devenus si exacts qu’ils ont remporté le prix Nobel ».
L’Autre Monde est alors représenté comme un pays lointain et inaccessible au commun des mortels. Dans certaines traditions asiatiques, comme dans « Le Conte de la Princesse Kaguya », la lune joue ce rôle. Ce n’est pas le cas en Occident. Néanmoins, sur un plan archétypal, un voyage sur la lune est un exploit surnaturel de dimension mythologique. Cela fait des astronautes Apollo les égaux des anciens demi-dieux, et cette aura a illuminé les États-Unis dans leur ensemble. Telle était l’importance des alunissages : c’était le récit fondateur d’une nouvelle religion qui élevait les États-Unis au rang de nation messianique propulsant l’humanité vers l’avenir radieux technologique2. Le discours du président Nixon, diffusé tandis que le module d’Apollo 11 traçait sa route vers la lune, invitait l’humanité à communier dans ce nouveau culte universel :
« Apollo 11 est en route vers la lune. Elle transporte trois braves astronautes ; elle porte également les espoirs et les prières de centaines de millions de personnes ici sur terre, pour qui ce premier pas sur la lune sera un moment de drame transcendant. Jamais l’homme ne s’est embarqué dans une aventure aussi épique. […] Alors que les astronautes vont là où l’homme n’est jamais allé, alors qu’ils tentent ce que l’homme n’a jamais fait, nous sur terre voudrons, comme un seul peuple, être avec eux en esprit ; partager la gloire et l’émerveillement, et les soutenir avec des prières pour que tout aille bien. »3
Une fois que Neil Armstrong et Buzz Aldrin eurent posé le pied sur la lune, le même Nixon réalisa « the most historic telephone callever made from the White House », récupérant ainsi une partie de leur pouvoir surnaturel de communication avec l’Au-delà.4
Mais qui fait l’ange fait la bête, ou le démon. Comme le fait remarquer le très sceptique chercheur allemand Gerhard Wisnewski dans « One Small Step ? The Great Moon Hoax and the Race to Dominate Earth From Space », ce glorieux voyage lunaire mondialement télévisé qui auréolait les Américains d’une quasi divinité, détournait opportunément l’attention de l’enfer qu’ils imposaient à un peuple ici-bas. Apollo 11 atterrissait sur la lune deux mois après les bombardements illégaux au Cambodge ordonnés par Nixon. Et le programme Apollo cessa peu après que les dernières unités américaines aient quitté le Viêt Nam.
« Alors que les États-Unis d’Amérique assassinaient des milliers de Vietnamiens, brûlaient un hectare après l’autre de forêts vierges et empoisonnaient la terre avec des pesticides, ils essayaient en même temps de fasciner – ou plutôt d’hypnotiser – le monde avec une conquête d’un tout autre genre. »5
À vrai dire, en 1972, les gens s’étaient un peu lassés. Malgré l’arrivée de la télévision couleur, l’ajout de quelques gadgets distrayants comme le moon buggy, un suspens redoublé par la longueur des missions (72 heures sur la lune pour Apollo 17), et l’introduction de gags comme les sauts de Kangourou de Eugene Cernan6, l’enthousiasme du public n’y était plus.
Certains se grattaient même la tête: les astronautes n’avaient-ils rien de mieux à faire sur la lune que de planter le drapeau américain et ramasser des cailloux (380 kilos, toutes missions Apollo confondues) ? « Never come to the moon without a hammer », plaisanta Alan Bean d’Apollo 12 devant la caméra.
Cependant, certaines des mesures proposées suscitent des préoccupations chez les particuliers. À partir de 2027, les ménages devront s’acquitter d’une taxe sur le carburant et le chauffage pouvant atteindre 45 euros par tonne… en sachant que un Français émet en moyenne 10 tonnes de CO2 par an, soit une enveloppe de 30 milliards. Cette mesure intervient à un moment difficile pour les citoyens, en cette période d’inflation sur fond de guerre en Ukraine.
Malgré ces préoccupations, le Parlement a approuvé le paquet législatif dans son ensemble. Le plan comprend une réforme du marché européen du carbone, avec une réduction des quotas d’émissions pour les grands industriels et une extension du marché carbone au secteur maritime. De plus, un mécanisme d’ajustement carbone aux frontières sera créé.
Bien que le paquet législatif comprend la création d’un nouveau mécanisme d’ajustement carbone aux frontières et d’un Fonds social pour le climat. Le risque de délocalisation des entreprises est lié à la possibilité que les entreprises choisissent de déplacer leur production vers des pays ayant des politiques environnementales moins contraignantes pour éviter les coûts associés aux réglementations environnementales. Cela peut entraîner une perte d’emplois et une réduction de la production dans les pays ayant des politiques environnementales plus strictes.
Un exemple parmi d’autres, cette vidéo, qui date de 2013, refait surface aujourd’hui sur Twitter, et pour cause : 5 à 6 millions de Français seraient atteints, selon les « autorités » médicales, de la maladie du cholestérol, ce qui n’a aucun sens, puisque le cholestérol est nécessaire à notre santé. C’est le professeur Philippe Even qui a balance ce pavé dans la mare des profits du Big Pharma. On va voir que ça fait 10 ans qu’il crie dans le vide.
« Le cholestérol est une molécule essentielle, une molécule noble, indispensable, vitale pour le fonctionnement de tous nos organes et en particulier du cerveau, des muscles, du cœur, du foie, des os... »
Le meilleur moyen d’y parvenir c’est de passer par un câble Ethernet. Mais quand il s’agit de communiquer depuis la Terre avec un robot qui doit se poser sur Mars, ce n’est plus du tout la même histoire. Jusqu’à preuve du contraire, le wifi n’est pas accessible dans l’espace et encore moins sur Mars. Mais peut-être qu’une étude randomisée en double aveugle et trois paraplégiques affirment que le wifi est disponible sans aucun effet secondaire depuis le milieu du 18e siècle. Il est vrai que je ne suis pas au courant de toutes les avancées technologiques qui nous sont révélées au compte-gouttes depuis 3 ans maintenant grâce aux bonimenteurs de la presstituée.
Toujours est-il que ça ne règle pas le problème de la communication sans fil de la Terre vers Mars. À intervalles réguliers nous recevons des images prises depuis le sol martien par des robots explorateurs qui ont parcouru des millions de kilomètres en évitant sagement la ceinture d’astéroïdes peuplée de gros cailloux qui pourraient les détruire sur-le-champ. Mais il faut croire que les robots envoyés en mission sont entraînés à l’esquive de calcaire cosmique projeté avec une puissance phénoménale. C’est un savoir-faire. Inutile sur Terre, mais pour le voyage spatial c’est une des conditions sinequanone si on veut arriver entier sur la planète rouge.
Il est tout à fait invraisemblable qu’un robot puisse traverser la ceinture d’astéroïdes sans encombre. Évidemment j’entends déjà dire que l’espace est grand, la ceinture d’astéroïdes n’est pas homogène, des espaces gigantesques existent entre les pierres. Car ce sont des pierres chers amis, sachez-le. Et comme chacun sait pierre qui roule n’amasse pas mousse. Ça n’a absolument rien à voir avec le sujet, mais l’expression existe, utilisons-là. Ainsi, les robots évitent sans encombre cette zone de turbulence. Mais comment communiquent-ils durant leur périple à travers l’espace avec les ingénieurs sur Terre ?
Par les modifications des normes la FAA qui assure la sécurité du transport aérien américain fait prendre de grands risques tant aux personnels qu’aux passagers.
Qu’en est-il de l’Aviation civile en France ?
Un rapport de la FAA admet que les électrocardiogrammes des pilotes ne sont plus normaux. Ce rapport a été caché par la FAA.
Steve Kirsh a publié aujourd’hui un rapport dans lequel il partage des informations très, très inquiétantes sur la santé des Américains et des pilotes qui nous font voler partout dans le monde.
« Après le déploiement du vaccin, la FAA a secrètement élargi la plage de paramètres ECG pour les pilotes afin qu’ils ne soient pas punis. On dirait que le vaxx a causé des dommages cardiaques à au moins 50 millions d’Américains.»