Pour les malheureux qui vivraient encore dans la presse-poubelle les Russes mènent des vagues humaines avec un fusil pour deux et volent les puces électroniques dans les machines à laver. Pourtant, la réalité est bien différente. Le complexe militaro-industriel russe a annoncé le développement du Mig-41, un intercepteur de sixième génération capable de voler à Mach 5 et de tirer des lasers. Cette avancée technologique soulève des questions sur l'origine de cette supériorité technologique et son impact géopolitique.
L’avancée technologique russe : entre réalité et propagande
La Russie a longtemps travaillé sur l’hypersonique, avec des avancées significatives dans les années 1960. Les travaux de Jean-Pierre Petit, astrophysicien et spécialiste de la Magnéto HydroDynamique (MHD), ont été largement étudiés par les Russes. Ces recherches ont conduit à des avancées notables, notamment dans le domaine des armes hypersoniques. Le Mig-41, avec ses capacités de vol à Mach 5 et de tir de lasers, est un exemple frappant de cette supériorité technologique.
Les défis de la mise au point technologique
La mise au point d’une technologie avancée comme le Mig-41 présente de nombreux défis. Jean-Pierre Petit souligne les obstacles liés à la tenue des matériaux, la création de champs magnétiques suffisants et la stabilisation des instabilités électrothermiques. Les Russes ont su surmonter ces défis grâce à une combinaison de rusticité et de haute technologie, une approche qui a fait ses preuves dans le passé.
Les implications géopolitiques
L’avancée technologique russe a des implications géopolitiques majeures. Le Mig-41, avec ses capacités de tir de lasers, pourrait être utilisé pour abattre des satellites, modifiant ainsi l’équilibre des forces au Moyen-Orient et ailleurs. Les États-Unis, tout en minimisant les déclarations russes, reconnaissent implicitement la menace potentielle posée par ces avancées technologiques.
Nos « swipe » et nos « scroll » sur les écrans se transforment en rafales de kalachnikovs à 5 000 kilomètres de chez nous. On préférerait ne pas le savoir, fermer les yeux, se dire que cela nous dépasse. C’est pourtant bien l’envers de la révolution numérique vantée par tant de nos dirigeants, l’un de ses tabous les plus inavouables. En République démocratique du Congo (RDC), nos smartphones sont des armes de destruction massive. Nos gadgets numériques, toujours plus avides en métaux, sont la source de crimes contre l’humanité et de pollutions majeures.
Ce n’est pas le premier cri d’alarme sur le sujet. Déjà au début des années 2000, des journalistes dénonçaient le « sang dans nos téléphones portables ». Plus récemment, le journaliste Guillaume Pitron rappelait le poids réel de nos smartphones : non pas 150 grammes, mais 150 kilos de métaux rares extraits dans des conditions terribles. En début d’année, Reporterre alertait aussi sur « la nouvelle ruée minière » causée par la civilisation de l’écran.
Le numérique est né dans les entrailles de la RDC
Barbarie numérique (éd. L’Échappée), le nouveau livre de Fabien Lebrun, ajoute une pierre à l’édifice. Tout son mérite est de réinscrire ces faits dans une histoire plus globale, un contre-récit de notre modernité capitaliste et coloniale. Alors que la critique du monde connecté se cantonne trop souvent à une dénonciation de ses conséquences en aval, c’est-à-dire une fois les équipements informatiques dans nos mains — la perte d’attention, les troubles psychiques liés à l’addiction aux écrans, etc. —, le sociologue s’intéresse aux impacts géopolitiques et aux activités humaines opérées en amont, que l’on a tendance à marginaliser et qui pourtant dépassent l’entendement.
On parle de la souffrance de millions d’individus, de conflits armés, de « viols systématiques », d’une « violence inouïe » et d’une « barbarie structurelle » qui s’attaquent aux humains autant qu’aux écosystèmes. Pour dresser ce constat, fouillé et détaillé, l’auteur s’appuie sur moult rapports, livres, enquêtes journalistiques, augmentés de reportages qu’il a menés sur place pendant plusieurs semaines.
« Apple, Huawei, Tesla : même goinfrerie, même argent, même sang »
En République démocratique du Congo, 6 millions de personnes ont été tuées depuis 1998 dans l’indifférence la plus totale — des conflits en partie liés à l’industrie extractive, selon l’auteur. Chaque année, 500 000 hectares de forêts sont ravagés au profit de mines qui viennent alimenter en grande partie l’industrie numérique. Cette dernière n’est pas née dans le ciel éthéré des idées, dans le garage de Steve Jobs en Californie ou dans les start-up de la Silicon Valley. Elle trouve son origine profonde dans la jungle inextricable de la RDC. Elle est liée à sa richesse qui est autant une malédiction. 80 % des réserves mondiales de coltan se trouvent dans ses entrailles. C’est un minerai indispensable à l’électronique et à la construction de nos tablettes et smartphones, sur lequel se ruent désormais multinationales sans scrupules, milices armées, mafias et dictateurs.
Le numérique est un « rapace géologique » : il nécessite 15 % des ressources mondiales de palladium, 23 % de l’argent et du cobalt, 41 % de l’antimoine, 63 % du dysprosium, 70 % du gallium, 87 % du germanium, etc. Le numérique ronge la terre et le sous-sol congolais.
« Le Congo est la pierre angulaire de l’édifice technologique qui caractérise la mondialisation, raconte Fabien Lebrun. L’Afrique représente un pan de la naissance d’internet, de la téléphonie mobile et de la révolution numérique occulté par les récits positivistes typiques de l’histoire des vainqueurs ».
« Le stade numérique du capitalisme »
« La sociogenèse du numérique » que retrace l’auteur n’a rien d’un joli conte. Elle rime avec pillages et ravages, s’enracine dans des siècles d’esclavage et de brutalisation des sociétés autochtones. La République démocratique du Congo en est une sorte de condensé, « d’un champ d’expérimentations les plus cruelles ».
Après l’« or noir » (comprendre ici les esclaves) extrait pendant des siècles pour alimenter les plantations du Nouveau Monde, le caoutchouc utilisé au XIXe siècle pour la voiture, voilà que la RDC est de nouveau embrigadée pour nourrir le « stade numérique du capitalisme ». L’extraction minière actuelle hérite de la violence coloniale et de ses procédés, elle bénéficie de la déstabilisation des régimes et du mode de développement inégal construit au fil du temps. L’industrie numérique reproduit ces logiques et les exacerbe.
« Au fond, il s’est toujours agi de faire produire le Congo, décrit Fabien Lebrun. De Léopold à Kabila en passant par Mobutu [des anciens dirigeants], des compagnies concessionnaires aux sociétés minières, des fonctionnaires belges à ceux du FMI [Fonds monétaire international] et de la Banque mondiale, de Michelin, Dunlop et Goodyear à Apple, Huawei et Tesla : même goinfrerie, même argent, même sang. »
La violence sert la concurrence commerciale
Pour y arriver, son industrie profite du chaos politique. On présente souvent la haine ethnique comme une des justifications des agissements dans le Nord-Kivu, mais c’est en réalité une vitrine.
« Au Congo, la chute du mur de Berlin, l’affaiblissement concomitant de Joseph Mobutu et le déchaînement annoncé de la filière informatique ont été les déclencheurs d’une guerre de prédations des richesses minières motivées par des sociétés multinationales », résume Fabien Lebrun.
La violence sert ici la concurrence commerciale. L’économie se militarise pour faire face à l’insécurité de la région, des groupes armés deviennent mercenaires. La violence se commercialise et l’industrie numérique finance en grande partie les acteurs armés liés au conflit.
Le commerce et la guerre se prennent en tenaille. Les soldats deviennent entrepreneurs, les assassins négociants, tandis que les enfants travaillent dans les mines et que des femmes sont violées par milliers. En parallèle, les multinationales engendrent des bénéfices records.
« Les génies de la Silicon Valley offrent des dizaines de milliers d’enfants aux seigneurs de guerre et financent leur armement, au prix d’un massacre de masse commencé à la fin des années 1990, c’est-à-dire au moment même de l’essor du marché de la téléphonie mobile », raconte Fabien Lebrun, qui appelle au sursaut.
« Briser le fétichisme de la marchandise technologique »
Si nous sommes tous pris dans les rets de l’économie numérique, nous devons trouver des moyens collectifs de s’en échapper. Il faut penser au-delà du boycott des multinationales impliquées, plaide-t-il, et « poser la question de la suspension, voire de l’abandon de la production électronique pourtant si meurtrière ». Il est urgent de briser « le fétichisme de la marchandise technologique » et de « discuter de la limitation, voire de l’arrêt de la production d’écrans sur laquelle repose l’accumulation de la domination et la puissance des Big Tech ». « Un front contre ces multinationales est primordial afin de limiter leurs pouvoirs jusqu’à leur démantèlement. »
Ne reste plus qu’à le construire pas à pas. L’initiative lancée par l’association Génération lumière qui a traversé la France cet été et rassemblé des centaines de personnes pour sensibiliser la population aux massacres générés par l’extractivisme est une première esquisse de mobilisation collective. La lutte à Échassières dans l’Allier contre la mine de lithium avec le mot d’ordre « ni ici ni ailleurs » en est un autre exemple. Qu’il s’agit désormais d’intensifier et de démultiplier.
Barbarie numérique, de Fabien Lebrun, aux éditions L’Échappée, octobre 2024, 432 p., 22 euros.
Téhéran n’a pas cherché à attaquer la population civile israélienne, mais à tester les défenses des FDI. Pour la première fois, il a utilisé des missiles hypersoniques que ni les alliés d’Israël, ni son armée, n’ont pu intercepter.
es représailles iraniennes attendues avaient été largement télégraphiées 72 heures à l’avance et même calibrées, selon le Financial Times, par crainte de la flambée des prix du pétrole.
Larry Johnson, ancien agent de la CIA, a fait remarquer que malgré l’insistance de l’Occident sur l’échec de l’Iran - le chant des « palefreniers » occidentaux, dont les multimédias sont largement contrôlés par le "lobby israélien" - l’Iran a opéré ce qu’il prévoyait de faire en Israël et a démontré une capacité remarquablement sophistiquée, avec des ogives manœuvrables.
Le journal le plus populaire d’Israël, Yediot Aharonot, a critiqué l’échec stratégique d’Israël, tandis que le Washington Times a dénoncé « L’échec de la dissuasion » de l’administration Biden dans la prévention d’un conflit entre l’Iran et Israël.
Hayman Tamir, directeur du groupe de réflexion israélien Institute for National Security Studies (INSS), a déclaré que l’Iran était en mesure de causer des dommages à Israël sans que les États-Unis ne s’engagent dans une contre-attaque - ce qu’aurait vivement souhaité le Premier ministre Netanyahou.
Ilya Tsukanov de Sputnik – média de Russie, l’une des deux superpuissances en matière de missiles hypersoniques, à l’unisson avec la Chine - rapporte que les multimédias iraniens confirment l’utilisation de missiles hypersoniques indétectables.
Quant à la chaîne iranienne PressTV, elle a montré, vidéo à l’appui, que tous les missiles hypersoniques utilisés ont réussi à atteindre leurs cibles : les bases aériennes très importantes de Nevatim, où sont installés les F-35, et de Ramon, tout près de la centrale nucléaire clandestine de Dimona.
PressTV affirme que l’Iran fait partie des quelques pays qui possèdent la technologie nécessaire pour produire des missiles hypersoniques capables de se déplacer à des vitesses stupéfiantes et d’atteindre leurs cibles avec une grande précision.
D’autres sources iraniennes affirment que ses missiles hypersoniques (Fattah 2) ont touché une base militaire secrète du Mossad sur le plateau du Golan syrien, qui appartient à la Syrie et a été annexé par Israël - ce qui aurait coûté la vie à 44 (sic) espions - et ont même touché un bâtiment du Mossad à Tel-Aviv.
Au-delà de la guerre de propagande dominée par le "lobby israélien" en Occident, qui vante l’exploit d’Israël, aidé par les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et même la Jordanie, d’avoir abattu 99 % (sic) de la panoplie de drones/missiles de croisière/missiles balistiques de l’Iran, l’ancien officier d’espionnage des Marines américains Scott Ritter - qui s’était illustré en démystifiant les balivernes de Baby Bush et des armes de destruction massive de Saddam Hussein qui n’ont jamais existé - affirme que « L’Iran a rétabli la dissuasion » (du latin deterrere, dissuader par la terreur) de façon à tenir désormais Israël et les États-Unis en échec, alors qu’Israël pensait pouvoir lancer une attaque contre l’Iran sans avoir à en subir les conséquences. C’est désormais chose faite, même si l’Iran n’a délibérément pas infligé à Israël une action excessivement meurtrière. Il s’agissait d’un message de dissuasion, et non pas d’une attaque !
La Russie a mis en service le nouveau missile balistique intercontinental RS-28 Sarmat, a annoncé Youri Borisov, chef de l’agence spatiale russe Roskosmos, cité par les agences de presse russes. Le président Vladimir Poutine avait annoncé en juin que le missile à propulsion nucléaire serait bientôt mis en service.
Le puissant missile, dont le nom de code OTAN est SS-X-30 Satan 2, peut transporter jusqu’à 15 ogives contrôlables individuellement, selon des sources russes. Les milieux militaires américains, quant à eux, penchent plutôt pour un maximum de dix ogives. Ce missile de 208 tonnes a une portée d’environ 18 000 kilomètres.
Au programme : experts en développement d’armes, biologistes, biologistes moléculaires et cellulaires, hématologues, activistes, ainsi que d’importants leaders en première ligne. Nous savons ce qu’est cette technologie – nous savons comment elle a été conçue et nous savons combien elle cherche à prendre le contrôle de la planète et des gens. Nous traçons le chemin ici… et nous le faisons avec le feu ardent de la conscience.
Éveillons-nous !
Il y avait des choses étranges à propos du prétendu incendie de forêt à Lahaina, Hawaï. Notamment, le porte-parole qui a expliqué ce qui s’est passé n’était PAS un responsable des pompiers ou quelqu’un du gouvernement local ayant des connaissances sur la lutte contre les incendies ou les urgences. Au lieu de cela, nous trouvons le général de division Kenneth Hara, le général commandant de la Garde nationale de l’armée d’Hawaï. Il a déclaré qu’il ne savait pas ce qui avait déclenché les incendies. Mais il a estimé que la faible humidité et les vents violents «créent les conditions des incendies de forêt». C’est un général d’armée ; que sait-il des incendies de forêt ?
Il y a lieu de remettre en question l’affirmation du général. Le feu de forêt n’aurait de sens que si une forêt d’arbres entourait la ville de Lahaina. C’est le premier problème de l’histoire. Il n’y a pas de forêt à proximité de la ville. En effet, la photo satellite ci-dessous montre que les arbres les plus hauts près de la ville appartiennent à la Maui Kuaia Estate Cacao Farm. Les cacaoyers sont assez petits dont la hauteur varie entre 13 et 26 pieds. Mais ces arbres se trouvent de l’autre côté d’une autoroute à plusieurs centaines de mètres du bâtiment le plus proche.
Les habitants de Maui refusaient de vendre leurs terres aux élites
⚠️ La partie de l'île principalement détruite par les incendies était une zone privilégiée juste à côté de somptueuses méga-manoirs
⚠️ Maintenant, beaucoup de ces habitants sont forcés Pour vendre leur terre et beaucoup sont morts tragiquement dans les flammes
Dans un rapport d'expert, Steele a déclaré que la 5G représente un crime odieux pour les personnes qui comprennent le motif de son déploiement.
Steele a précédemment agi en tant que témoin et fourni des déclarations dans plusieurs affaires judiciaires, révélant l'absence de toute preuve crédible que le réseau 5G et la connexion neuronale prévue au réseau 5G sont sûrs. Il a également exposé les technologies de nano-métamatériaux qui contaminent les vaccinations coronavirus.
Ses efforts ont porté leurs fruits car un juge du Newcastle Crown Court a déclaré que "le risque 5G doit être débattu".
Il est clairement expliqué que les traitements interdits et sanctionnés en cas de prescription tels que L’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont efficaces pour détruire la réplication de la partie biologique car ce sont des traitements antiparasitaires. Quant à la partie nano technologique, les outils permettant son activation sont les antennes 5G et le système Starlink de notre « ami » Elon Musk. Même Robert Malone en prend pour son grade dans cette vidéo.
La bonne nouvelle est que, si la partie biologique peut être détruite par un traitement antiparasitaire (voir ci-dessus), la partie IA (Intelligence artificielle) peut être annihilée par des fréquences. Il s’agit de technologie quantique.
Nous sommes, comme le déclare cette scientifique, face à la transformation de l’humanité en humanoïde sous intelligence artificielle, donc à une volonté d’extinction de l’humanité. Transformation de l’humain mais aussi, sur commande, décès programmé de la personne infectée via les ondes électromagnétiques.