L’association Linkee, qui s’occupe de la distribution alimentaire destinée aux étudiants en situation de précarité à Bordeaux, alerte : en deux ans, le nombre de bénéficiaires a doublé, atteignant 500 étudiants par semaine. Les files d’attente impressionnantes en centre-ville témoignent de la difficulté des étudiants à se nourrir. Les témoignages révèlent des situations de grande précarité, où les étudiants doivent se rationner et sauter des repas. L’association Linkee s’efforce de rendre les distributions le moins stigmatisantes possible, offrant des produits variés pour améliorer l’alimentation des étudiants. Les étudiants étrangers et les couples étudiants-travailleurs sont également touchés par cette précarité. Ces distributions sont cruciales pour permettre aux étudiants de manger de manière équilibrée : l’association appelle à la solidarité et aux dons pour soutenir leur initiative.
niversitaire. 500 étudiants qui font la queue en plein centre-ville. La file indienne est si longue qu’elle serpente autour d’un pâté d’immeuble entier situé au bout du Cours Alsace-Loraine, à deux pas de la place Pey-Berland. La scène a de quoi interpeller les touristes ou les passants comme Edgar. « Bonjour, pourquoi vous faites la queue », demande le badaud. « Du coup, là on attend pour une distribution alimentaire », lui répond Emmanuel, 22 ans, étudiant à l’université Bordeaux-Montaigne en solidarité internationale.
« La vie est belle à Bordeaux mais très chère »
« Je n’ai plus d’argent là ce mois-ci donc c’est un peu mon seul moyen de manger », témoigne Zoé, 20 ans, en master d’ingénierie de projets culturels. « Ce n’est pas la vie que j’espérais en tant qu’étudiant, vous avez vu le monde qu’il y a autour là », ajoute Jérémy, qui attend son tour en révisant sa leçon de design graphique.
« Bonjour, tiens du jus d’orange, un concombre ? » À l’intérieur du Centre Info Jeunes, l’association Linkee et sa vingtaine de bénévoles accueillent les étudiants un par un en leur proposant des fruits et légumes, laitages, céréales et produits d’hygiènes. « C’est une très forte reprise depuis la rentrée étudiante, là on est sur une distribution pour 500 étudiants donc c’est impressionnant. On fait tout pour que ce soit le moins stigmatisant possible, et pour que l’attente soit la moins désagréable », explique Lucas Vivet, le vice-président de Linkee Bordeaux, qui passe voir les jeunes attendant dans la file pour leur offrir de l’eau ou des petits biscuits pour patienter.
« S’il n’y avait pas ça, je ne pourrais pas manger un repas équilibré »
« Moi, je viens ici parce que je n’ai pas de thunes », déclare Myriam, 29 ans, inscrite aux Beaux-Arts de Bordeaux. La jeune femme affirme qu’elle n’est pas la plus à plaindre. « J’ai des personnes dont je suis proche qui ont volé ou qui volent pour manger ou qui juste ne mangent pas. Payer sa bouffe et payer son loyer et donner du temps à ses études, c’est quasi impossible. Tout a augmenté et tout est devenu vraiment super cher au fil des dernières années. »
Lire la suite de l’article sur le site de France Bleu.
En tant que première cryptomonnaie décentralisée, elle redéfinit les concepts de devise et de transaction monétaire, influençant non seulement le commerce mais aussi les échanges internationaux. Grâce à la technologie blockchain, le bitcoin offre une sécurité et une transparence sans précédent, ouvrant la voie à une nouvelle ère de finance numérique.
Quelles sont les bases technologiques du bitcoin ?
Le bitcoin repose sur une technologie de pointe appelée blockchain. Cette technologie permet de conserver toutes les transactions dans un registre public décentralisé sous forme de blocs cryptés. Une fois intégrée dans la chaîne, chaque donnée devient inaltérable et infalsifiable, assurant ainsi l’intégrité et la sécurité des transactions. Le processus de validation collective, connu sous le nom de minage, non seulement sécurise le réseau, mais distribue également de nouveaux bitcoins aux participants de manière équitable.
Le bitcoin ne se contente pas de transformer les transactions personnelles, il a un impact considérable sur le commerce international. Par exemple, les échanges économiques entre le Maroc et Israël bénéficient grandement de cette cryptomonnaie, rendant les transactions plus rapides et moins coûteuses. En éliminant les fluctuations des taux de change et en réduisant la dépendance aux systèmes bancaires locaux souvent instables, acheter des Bitcoins facilite les échanges commerciaux mondiaux.
Une opportunité pour les petites et moyennes entreprises
Pour les petites et moyennes entreprises (PME), cette monnaie représente une formidable opportunité d’accéder aux marchés internationaux. Les obstacles traditionnels posés par les transactions financières internationales peuvent être surmontés grâce à cette cryptomonnaie, offrant ainsi une entrée simplifiée et rentable sur les marchés mondiaux. En utilisant le bitcoin, les PME peuvent éviter les frais élevés associés aux transactions transfrontalières traditionnelles. Les coûts réduits sont particulièrement avantageux pour ces entreprises, leur permettant de fonctionner avec des marges de profit plus importantes et de réinvestir dans leur croissance. Les transactions en bitcoin étant généralement plus rapides, elles permettent aux entreprises de gérer leur trésorerie de manière plus efficace.
Avec la blockchain, chaque transaction est hautement sécurisée, ce qui réduit les risques de fraude et d’altération des données financières. Pour les PME opérant dans des régions géopolitiquement instables, cette sécurité accrue peut offrir une tranquillité d’esprit substantielle, sachant que leurs actifs financiers restent protégés contre les menaces locales.
Quel est l’avenir du bitcoin ?
La nature pseudonyme des transactions peut faciliter des activités illégales comme le blanchiment d’argent ou le financement du terrorisme, attirant ainsi une attention réglementaire accrue. Cela pourrait éventuellement conduire à des restrictions plus strictes à l’avenir. Les plateformes d’échange de bitcoins et les portefeuilles numériques peuvent présenter des vulnérabilités aux cyberattaques, exposant les investisseurs à des risques potentiels. De nombreuses instances régulatrices dans le monde examinent actuellement les moyens de mieux encadrer et sécuriser l’usage du bitcoin afin de protéger les consommateurs tout en encourageant l’innovation.
Il en va de même avec le temps de confirmation des transactions sur le réseau bitcoin. Selon le trafic réseau, ces confirmations peuvent prendre du temps, ce qui peut être problématique pour ceux qui recherchent des transferts rapides. À mesure que la technologie évolue, des solutions pour accélérer ce processus sont activement recherchées.
L’utilisation généralisée du bitcoin comme moyen de paiement reste encore limitée. Mais avec une numérisation croissante des économies mondiales, la demande pour des solutions de paiement transparentes et sécurisées comme le bitcoin est susceptible d’augmenter considérablement.
Cette décision intervient alors que la Russie continue de gagner du terrain en Ukraine, contraignant les soldats ukrainiens à rationner leurs munitions. Au total, ce sont 200 milliards d’euros d’actifs russes qui ont été gelés dans les pays européens, principalement en Belgique. L’objectif n’est pas de toucher à ces avoirs, mais de s’approprier les revenus qu’ils génèrent. Ces derniers sont estimés entre 2,5 et 3 milliards d’euros par an.
90 % de cette somme seront consacrés à l’assistance militaire à l’Ukraine, tandis que les 10 % restants serviront « à la reconstruction du pays », déchiré par la guerre depuis février 2022. La première tranche d’aide devrait être livrée au gouvernement de Kiev dès le mois de juillet prochain.
Les États-Unis avaient adopté le « REPO Act » en juin 2023 pour utiliser les biens saisis à la Russie et les donner à l’Ukraine, suscitant des inquiétudes de certains pays européens quant à la création d’un précédent dangereux. L’UE avait élaboré un plan similaire en octobre 2023 pour financer la reconstruction de l’Ukraine avec les bénéfices des avoirs gelés de la Banque centrale russe, mais certains États membres restaient sceptiques en raison de problèmes juridiques liés aux droits de propriété, et la Russie avait annoncé des recours.
Yoann
Celle qui s’en va est celle du World Economic Forum, celle qui veut réduire à 500 millions d’habitants la population terrestre, sans doute pour que 50 millions vivent encore dans la jet society.
Sans doute, cette perspective est fausse. Parce qu’il est difficile de contrôler les sociétés. On peut, certes, formater les gens, les décérébrer, ce qui est tenté, avec succès depuis 50 ans, mais le flux croissant des refuznikis contrarie le système, profondément.
De plus, cette «jet society», n’est qu’une écume. Elle n’existe que parce que le reste de la société peut la porter, par sa technicité, son savoir-faire, et son utilité.
Aujourd’hui, cette jet society se révèle, de plus en plus, superflue et inutile. Aucune utilité réelle, des dominants sociaux simplement, qui savent y faire en matière de manipulation, mais quand le substrat, lui-même, décline, cette «upper class», va décliner dans les mêmes proportions. À l’image de Macias Nguéma, mort à la fin des années 1970 et qui avait tellement concentré la richesse dans son palais, que la quasi-totalité de la monnaie locale y était dans des caisses, et que rien ne circulait en dehors. Rien n’y circulait, d’ailleurs, en dedans non plus…
C’était des bouts de papiers colorés…
Donc, cette caste, macroniste jusqu’au bout des ongles, ne se plaint de rien, de plus en plus réduite, elle est accablée de douceurs, bonbons et délices. Caricature, son biotope ou merdier, c’est surtout l’intérieur du périphérique parisien, et les ghettos de riches.
Aujourd’hui, le coût de l’éducation aidant, surtout dans les pays anglos, le travail manuel est en regain.
Pourquoi ? Parce que la distribution gratuite de diplômes de niveaux bacs, partout dans le monde, dévalue ces diplômes, réservant aux Zeureux titulaires, des métiers de grouillots. Dans le meilleur des cas, fonctionnaire, dans le pire, caissier au superprimou géant. C’est général et ça se généralise. Je me souviens de cette série indienne, ou le lycée aidait les lycéens à avoir le bac, en leur donnant, tout bonnement, les résultats. Un jour, un policier honnête arrêtât le phénomène et refusât l’enveloppe, cette année-là, personne n’eût le bac.
Donc, aux USA, on sombre dans le travail manuel, qui, visiblement, rapporte plus et il est moins onéreux qu’attraper des diplômes qui pour beaucoup, ne débouchent sur rien. Là aussi, dans la série Gilmore Girls, on voit des trentenaires issus de facs onéreuses, mais qui ne font rien.
Ils sont cons, ils «renoncent à l’université», où ils auraient appris des choses inutiles, au profit de réels métiers où, souvent, ils sont rémunérés dans leur formation, que ce soit en apprentissage, ou pas. En plus, ils gagnent correctement leur vie.
Cela indique un changement de société, où la réussite n’est plus la réussite universitaire, qui ne débouche sur rien, et qui, de fait, devient de plus en plus médiocre. Les étudiants notant leurs enseignants, on finit par déboucher sur le phénomène indien. La vie professionnelle et l’enseignement professionnel, hier synonyme d’échec, elle, est plus basique. Un mauvais n’y gagne pas sa vie, et on revoit le phénomène des années 1950, ceux-là «migrent», d’emplois divers en emplois divers…
Autoconsommation aidant le métier le plus demandé aux USA est celui de réparateurs d’éoliennes. Effectivement, solaire et renouvelables en tous genres, ça aide pas mal ceux qui n’aiment pas voir trop leurs factures d’énergies augmenter, même si ces nouveautés anciennes, ne couvrent pas tout…
L’immobilier, lui, suit le mouvement général. Adossé à la bulle bancaire, il n’était soutenu que par un déluge de prêts bancaires. Se loger est un impératif, mais le monde de l’immobilier et du bâtiment, devra, impérativement, muter.
Quant à la bourgeoisie macroniste, elle aura le sort des hautes classes passées ; «L’histoire, c’est le cimetière des aristocraties» (Vilfredo Pareto).
Blanchiment d’argent. Le problème essentiel d’un gouvernement est de faire rentrer de l’argent dans son économie réelle. Comment ? par exemple le RMI, l’argent est donné aux clochards qui le dépensent tout de suite (les clochards ne capitalisent pas) et ainsi est créé du cash-flow pour l’économie. C’est bien mais les sommes sont ridicules. Sur le même principe, l’État vote des aides à l’Ukraine ; l’argent est donné à des pions qui le dépensent tout de suite en armements et ainsi créent du cash-flow pour le militaro-industriel.
Mais la masse monétaire de l’économie réelle, vous, votre boulanger, le restaurant, le plombier, a une fuite ; à savoir la capitalisation et les paradis fiscaux. Quand un riche planque ses sous aux Caraïbes, c’est autant de masse monétaire en moins dans le circuit réel. Et ce n’est pas un petit ruisseau qui coule, ni une rivière, ami lecteur, une rivière que dis-je, c’est un fleuve, l’Amazone, c’est le Gulf Stream.
- Mais quand l’État donne de l’argent, aux clochards, à l’industrie militaire, aux agriculteurs, d’où vient cet argent ? De la création ex nihilo, c’est-à-dire de rien. La monnaie est créée d’une ligne sur un ordi. Mais qui a ce pouvoir ? Qui a le pouvoir de faire des lignes de plusieurs milliards de mille sabords ? Qui est le bon dieu ?
Le bon Dieu appartient à ceux qui y croient. L’argent existe parce que on y croit. De la nécessité de croire c’est autre chose. Croire c’est être actif, ne pas croire est une position passive. Les bœufs ne croient pas. Une population qui ne croit en rien est le rêve du pouvoir totalitaire. La nécessité de croire est réelle pour construire une civilisation ; n’en déplaise à Harari, la croyance est réelle. Voir la fabrique du réel.
Mais revenons à pourquoi la guerre. Qui fabrique la monnaie ? Ce pouvoir a été enlevé aux rois, il appartient théoriquement aux nations, mais ce pouvoir a été soustrait aux nations. Le pouvoir de créer de la monnaie appartient aux banques privées. Les banques privées garantissent la valeur de la monnaie. Mais qui garantit les banques privées ?
Un peu d’histoire, la vraie. Depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, depuis les accords de Bretton Woods ; 22 juillet 1944, la FED – La Réserve fédérale des États-Unis – gère la quantité d’or de l’Occident.
Comme la masse monétaire se réduit perpétuellement du fait du Gulf Stream, il faut perpétuellement la recréditer, comment ? Les banques font la cavalcade, ce pas de charge des chevaux de l’armée napoléonienne. La cavalcade dans le jargon de la finance c’est l’acte de payer un crédit en prenant un autre crédit, qui sera financé par un autre crédit.
C’est-à-dire que la fortune des banques consiste en quantité de… crédits. Les banques ne possèdent que des dettes, et avec ces dettes, impriment des billets qui représentent de la valeur.
Ce qui permet d’exporter de la monnaie et de recevoir des marchandises en retour. Cela a donné à l’Occident une énorme puissance financière et lui a permis de fonctionner comme un parasite de l’économie mondiale.
Ce mécanisme d’augmentation de la dette arrive à un niveau tel que nous avons essentiellement mis en débit tout ce que nous possédons, y compris nos maisons et nos terres, pour maintenir notre niveau de vie. Nous ne possédons plus rien, maintenant que la dette a été soustraite. La dette est depuis longtemps devenue inutilisable – bien au-delà de notre capacité à payer des intérêts – ce qui explique pourquoi les taux d’intérêt en Occident sont proches de zéro. Toute augmentation rendrait la dette irréparable et nous ferions tous officiellement faillite en un jour. Nous sommes en 15 août 1971, Nixon met fin au régime de Bretton Woods, tout le monde sait cela.
Nixon signe l’arrêt de mort de Bretton Woods. La monnaie mondiale peut et doit être fabriquée en abondance, ce qui sape la confiance dans le dollar. Mais le dollar, pour recréer de la confiance, s’appuie sur le mécanisme du pacte du Quincy, soit la rencontre du 14 février 1945 du roi Saoud et de Roosevelt. Le pacte mentionne la protection de l’Arabie Saoudite par la force militaire US en contrepartie de quoi, le royaume Saoud s’engage à vendre son pétrole uniquement en dollars.
Ce pacte est fondamental car il contient l’équilibre du monde. En effet, acheter son énergie en dollars est une garantie que le dollar sera toujours demandé, donc toujours valable. Par extension, les US et leur armée ont forcé le monde à tout négocier en dollars, se garantissant le fait que le dollar soit toujours demandé. Les États-Unis s’installent dans la position de débiteurs à l’égard du reste du monde, et laissent les autres pays les financer en accumulant des dollars, concrètement c’est une position de prédateur, ou de parasite. Obama a poussé le bouchon jusqu’à imposer l’extra-territorialité de la loi américaine. C’est-à-dire quiconque utilise le dollar se trouve sous la loi américaine. Loi toute relative sur qui celle-ci s’exerce. Ce sont les fameuses règles du Nouvel Ordre mondial. « Le monde a besoin de règles » chantonnent toutes les marionnettes du pouvoir, ces règles ne sont que les ordres des dominants.
Ceci permet aux banques américaines – car la Fed appartient à un petit conglomérat de banques privées – de mettre le monde en coupe réglée. D’asservir le monde, c’est le plan. Toutes les nations refusant de se soumettre sont détruites, alimentant le militaro-indus US. Double bénéfice.
Par ailleurs les USA prennent bien soin de diviser, diviser pour mieux régner, tout groupe de nations qui pourrait faire bloc pour résister. Triple bénéfice. Seulement voilà.
Voila, tout le monde n’est pas d’accord.
Jovanovic, c’est du hard news bancaire avec un sourire jusque-là. Ce n’est pas un prophète de malheur, cependant, l’avenir lui donne souvent raison. Le tableau de la finance internationale brossé par le très populaire journaliste économique peut donner l’impression d’un effondrement permanent du Système, qui semble paradoxalement toujours tenir. Les données chiffrées donnent le vertige, et si le krach est toujours repoussé, en réalité, il est là. Mais le grand public ne le voit pas. Bienvenue dans un capitalisme devenu fou.
« Les fonds vautour sont en train de s’emparer de tout ce qui ne marche pas en France, c’est quand même incroyable ! »
Récemment, nous avons entendu de puissants banquiers et politiciens exprimer leur désir d’interdire le Bitcoin.
L’idée que le gouvernement américain va interdire le Bitcoin est populaire pour une bonne raison.
Le Bitcoin menace une source importante du pouvoir du gouvernement – le pouvoir de créer de la fausse monnaie à partir de rien et de forcer tout le monde à l’utiliser.
C’est parce que le Bitcoin peut donner la souveraineté monétaire à l’individu et rendre les banques centrales obsolètes, ainsi que leurs monnaies confettis.
Ce n’est pas une mince affaire.
Il s’agit d’une évolution historique qui modifie profondément le statu quo entre les dirigeants et les dirigés. Elle est comparable à l’invention de la poudre à canon, de la presse à imprimer et d’Internet.
Il ne fait aucun doute que le gouvernement américain souhaiterait protéger son racket d’un concurrent monétaire envahissant, de la même manière que la mafia le fait lorsqu’un rival empiète sur son territoire.
La question à 64 000 dollars est de savoir s’ils y parviendront.
Friedrich Hayek, le grand économiste autrichien du marché libre, a dit un jour :
« Je ne crois pas que nous aurons à nouveau une bonne monnaie avant d’avoir retiré la chose des mains du gouvernement, c’est-à-dire que nous ne pouvons pas la retirer violemment des mains du gouvernement, tout ce que nous pouvons faire, c’est introduire par un moyen détourné et sournois quelque chose qu’ils ne peuvent pas arrêter.
Hayek a raison.
Par nature, les gouvernements ne renoncent jamais pacifiquement au pouvoir. Et s’il est hors de question de leur retirer le pouvoir par la force, la seule façon d’y parvenir est d’introduire, par un moyen détourné, quelque chose qu’ils ne peuvent pas arrêter.
Le Bitcoin est-il cette solution ?
De nombreuses personnes pensent que la réponse est « non », car le gouvernement l’arrêtera.
Quelqu’un peut-il arrêter Bitcoin ?
Le Bitcoin n’a pas d’autorité centrale ni de point de défaillance unique.
Il fonctionne sur un réseau mondial décentralisé, volontaire et en pleine expansion, composé de plus de 17 300 ordinateurs répartis dans près de 100 pays.
Tout ordinateur de bureau, ordinateur portable, Raspberry Pi- et même certains téléphones portables – ont la possibilité d’exécuter l’intégralité du logiciel Bitcoin. En outre, à mesure que la technologie progresse, l’exécution du Bitcoin deviendra encore plus répandue.
Nombre de ces ordinateurs sont astucieusement cachés par Tor, qui signifie « The Onion Router » (le routeur oignon). Ce routeur crypte votre trafic internet et le dissimule en le faisant passer par une série d’ordinateurs dans le monde entier afin de brouiller votre adresse IP et votre emplacement physique.
Quoi qu’il en soit, avec le Bitcoin, il n’y a pas de lieu central où une équipe du SWAT pourrait faire une descente. Il n’y a pas de PDG à arrêter. Le mieux que les gouvernements puissent faire, c’est de jouer à un jeu sans fin de « whack-a-mole » mondial.
Même si les États-Unis et la Russie s’engageaient dans une guerre nucléaire totale, détruisant la majeure partie de l’hémisphère nord, le Bitcoin ne perdrait pas une miette dans l’hémisphère sud.
Pour avoir une chance d’arrêter le Bitcoin, tous les gouvernements du monde devraient réussir à se coordonner simultanément pour couper l’ensemble de l’Internet partout et le maintenir hors service pour toujours.
Même dans ce scénario improbable, le réseau du Bitcoin peut être communiqué par des signaux radio et des réseaux maillés. Dans le même temps, de petits panneaux solaires portables peuvent alimenter les ordinateurs du réseau en cas d’indisponibilité du réseau électrique.
En outre, un réseau de satellites transmet en permanence le réseau du Bitcoin vers la Terre.
En bref, tous les aspects de Bitcoin sont véritablement décentralisés et robustes.
À moins d’un retour inéluctable à l’âge de pierre, le Bitcoin semble inarrêtable.
[...]
Alors que l’on croit acheter un objet qualitatif et à prix correct en ligne, celui-ci est, en réalité, bas-de-gamme et vient de l’autre bout du monde. Pour éviter de tomber dans le piège, voici un décryptage de cette pratique malhonnête bien que légale.
Le dropshipping est une pratique commerciale qui ajoute un intermédiaire entre un marchand sur internet et son client. Le dropshipper, un commerçant sans scrupule, va virtuellement générer du profit en gonflant les prix de produits low-cost qui sont déjà en vente directe sur des sites chinois bien connus comme Aliexpress ou Wish. Celui qui réalise l’achat reçoit donc un produit commandé directement de Chine tout en ayant payé une commission importante à un entremetteur anonyme.
Dans de nombreux cas, cet entremetteur parasite ment sur la qualité et l’origine des produits afin de pouvoir gonfler artificiellement les prix pour générer des profits colossaux sans aucun effort depuis un simple ordinateur. Ils ne sont généralement pas assurés, souvent pas déclarés, n’assurent aucun suivi des produits et ne réalisent aucun test sanitaire, mettant parfois la santé de leurs clients en danger. Voici comment repérer et se prémunir de ce cancer du web qui se généralise sur les réseaux sociaux à grand renfort de campagnes marketing.
Une arnaque en ligne qui pullule
À mesure qu’il est dénoncé, le dropshipping voit fleurir pléthore de défenseurs. Sans doute est-ce parce qu’à la manière de l’évasion fiscale, ce phénomène trouve son soutien dans les espoirs d’ascension financière rapide encouragée par la start-up nation et son capitalisme 3.0. Au préjudice du consommateur et de l’environnement, mais pas seulement : c’est aussi un engluement supplémentaire dans le funeste modèle actuel.
Le dropshipping laisse tout simplement miroiter dans le regard de certains un exemple de gain par le mérite, celui d’avoir été malin en manipulant les autres, dans un monde nécrosé par les démarches commerciales permissives. Le but légitimé ? Atteindre, puis conserver, une réussite pécuniaire quasi instantanée. Les entreprises de « formation » au dropshipping ne s’en cachent d’ailleurs pas. Leur slogan : « Copiez, collez, profitez ! »
Il est comique qu’ils tentent même d’auditer le Pentagone alors qu’ils savent que l’agence échouera lamentablement. Le gouvernement a dépensé 187 millions de dollars pour réaliser cet audit insignifiant sur 700 sites. Cette année, comme l’année précédente, seuls 7 des 29 sous-audits ont été couronnés de succès. LA MOITIÉ des actifs déclarés n’a été trouvée nulle part par les 1600 auditeurs engagés. Comment des milliers de milliards de dollars peuvent-ils disparaître ?
Des milliers de milliards ont disparu depuis la période qui a précédé le 11 septembre 2001. Aucune enquête n’est en cours pour déterminer où se trouvent ces fonds qui appartiennent aux citoyens contribuables. L’attentat du 11 septembre 2001 a eu lieu un jour après que l’ancien secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld, a tiré la sonnette d’alarme et informé le public que 2300 milliards de dollars de transactions ne pouvaient être retrouvés. La démolition du WTC7 le 11 septembre a détruit la salle où se déroulait l’audit du Pentagone et qui se trouvait être l’emplacement de mon système informatique. J’ai reçu une lettre de la SEC m’expliquant que tout avait simplement été détruit et qu’aucune question ne pouvait plus être posée.
Ce n’était que la partie émergée de la longue histoire du Pentagone en matière d’égarement de milliers de milliards de dollars. En mai, le Pentagone a admis avoir égaré des milliers de pièces d’avions F-35 pour un montant de 1,6 milliard de dollars. Puis, en juin, le Pentagone a annoncé qu’il avait égaré plus de 6,2 milliards de dollars de fonds destinés à l’Ukraine. «Nous avons confirmé que pour l’exercice 2023, le calcul final est de 3,6 milliards de dollars, et pour l’exercice 22, de 2,6 milliards de dollars, soit un total combiné de 6,2 milliards de dollars», a déclaré le secrétaire de presse du Pentagone. «Ces erreurs d’évaluation ne limitent ni ne restreignent en aucune manière la taille de nos programmes d’aide à la Défense, ni n’ont d’incidence sur le soutien apporté à l’Ukraine». Le Pentagone a mis les fonds manquants sur le compte d’une «erreur comptable» et n’a plus jamais évoqué la situation. Le secrétaire de presse a déclaré que leur principale préoccupation était simplement de pouvoir continuer à verser de l’argent à l’Ukraine.
Lloyd Austin est secrétaire à la Défense depuis janvier 2021. Au lieu de se concentrer sur ses fonctions dans son pays, Austin s’est rendu en Ukraine quelques jours après l’échec de l’audit pour apporter son soutien à Zelensky. «Nous resterons à vos côtés pour le long terme. Ce qui s’est passé ici en Ukraine est important non seulement pour l’Ukraine, mais aussi pour le reste du monde. C’est certainement important pour les États-Unis d’Amérique», a-t-il déclaré.
Face à la crise inflationniste qui touche la Grande-Bretagne, un duo de Youtubers anglais s’est récemment rendu en Pologne pour faire ses courses. Malgré le prix des billets d’avion, les deux compères en ont eu pour moins cher qu’en Grande-Bretagne.
L’inflation sur les denrées alimentaires ne concerne pas que la France. Outre-Manche, un duo de Youtubers fait sensation cette semaine après avoir démontré qu’il était moins cher de prendre l’avion afin de se rendre en Pologne pour y faire ses courses, plutôt que de se rendre au supermarché du coin.
Dans une vidéo publiée sur Youtube ce mercredi 1er novembre, on voit d’abord Josh & Archie, 1,5 million d’abonnés au compteur, passer à la caisse dans un magasin Lidl du sud de Londres, à Clapham. Le prix annoncé sur le ticket de caisse après avoir acheté un ensemble de 135 produits figurant dans le panier moyen établi par le gouvernement : 164,47 livres sterling, soit 188,77 euros.
« Souligner une situation ridicule »
Pour la même liste de courses, le duo n’a dépensé que 96,75 livres sterling (111,05 euros), à Poznan, en Pologne. En ajoutant le prix des billets d’avion Ryanair (47 livres sterling, bagage en soute inclus au retour pour l’un des deux), mais également le coût du logement pour une nuit via Couchsurfing (8,55 livres sterling) ; Josh & Archie sont même parvenus à économiser 11,14 livres sterling à l’issue de leur périple !
« Il ne s’agit pas d’une suggestion sur la façon dont les gens peuvent économiser de l’argent, précisent les deux jeunes hommes, interrogés par le DailyMail. Mais plutôt d’une démarche visant à souligner la situation ridicule dans laquelle nous semblons nous trouver face à l’évolution de l’inflation. »
Officiellement il s’agit d’un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les investissements des clients essentiellement par les fonds procurés par les nouveaux entrants. Si l’escroquerie n’est pas découverte auparavant, la fraude apparaît au grand jour au moment où le système s’écroule, c’est-à-dire quand les sommes procurées par les nouveaux entrants ne suffisent plus à couvrir les rémunérations des clients. Son nom rappelle Charles Ponzi qui est devenu célèbre après avoir mis en place une opération fondée sur ce principe à Boston dans les années 1920.
Pour le dire plus simplement, je rémunère ou je rembourse les dépôts des premiers par les dépôts des suivants alors qu’il n’y a aucune création de valeur.
Vous allez me dire qu’il faut être sacrement couillons pour se faire avoir…
D’abord, ce n’est pas si simple, et les « arnaques » sont toujours brillamment exécutées. Il est souvent difficile de les détecter, surtout quand en plus nos capacités de jugement sont obscurcies par le lucre et l’appât du gain.
Ensuite, l’économie est un immense système de Ponzi.