Alors que je suis assise ici, réfléchissant au chaos qui semble engloutir chaque aspect de notre existence, il est difficile d'ignorer les parallèles entre cette sagesse ancienne et la folie moderne qui sévit de manière incontrôlable à travers le monde.
Une première version de l'expression apparaît dans les vers 620-623 de la pièce Antigone de Sophocle : τὸ κακὸν δοκεῖν ποτ᾽ ἐσθλὸν τῷδ᾽ ἔμμεν' ὅτῳ φρένας θεὸς ἄγει πρὸς ἄταν ; traduit par « Le mal apparaît comme un bien dans l'esprit de ceux que Dieu conduit à la destruction ». Et puis, dans La République, Platon (380a) cite un fragment attribué à Eschyle : θεὸς μὲν αἰτίαν φύει βροτοῖς, / ὅταν κακῶσαι δῶμα παμπήδην θέλῃ ; traduit par « Dieu implante le crime chez les humains / Quand il veut ruiner complètement leur maison ».
Au cours de mes recherches approfondies, qui s'étendent sur plusieurs décennies et portent sur de multiples sujets et ouvrages, je me suis souvent penché sur l'idée que l'orgueil démesuré et la folie collective de l'humanité pourraient bien être les précurseurs de sa destruction. Dans The Apocalypse: Comets, Asteroids and Cyclical Catastrophes [L'Apocalypse : Comètes, astéroïdes et catastrophes cycliques - NdT], j'ai exploré la notion selon laquelle les forces cosmiques, qui échappent à notre contrôle, ont toujours joué un rôle important dans le destin de notre planète et de ses habitants. Mais ce ne sont pas seulement les corps célestes que nous devons craindre ; ce qui pourrait finalement nous mener à notre perte, c'est notre folie intérieure, car un aspect « stimulus-réponse » semble être à l'œuvre dans ce processus de destruction cosmique.
INTENTIONS CÉLESTES
En parcourant les piles de livres sur l'archéologie, l'Histoire (supposée et raisonnablement reconstituée à partir des données), et surtout les apports qu'offrent les sciences telles que l'astronomie, la géologie et la génétique, lesquelles devraient correspondre précisément à l'archéologie et à l'Histoire - mais ne le font généralement pas pour de nombreuses raisons -, afin de rassembler le matériel pour mes différents livres, la seule chose qui est devenue de plus en plus évidente est que, encore et toujours, cette planète a été bombardée par divers types d'impacts, le plus commun étant l'explosion aérienne de fragments de comète de type Toungouska. Ces catastrophes ont à plusieurs reprises mis à genoux des cultures, des nations, voire des civilisations. Des âges sombres en résultent inévitablement et, lorsque la société humaine commence à se reconstruire, des mythes sont créés, des religions naissent ou renaissent avec des torsions et des distorsions et, invariablement, les faits qui se sont produits lors de la précédente ère de destruction sont dissimulés sous des voiles de métaphores et d'allégories.
Pourquoi ? À quel genre de déraison avons-nous à faire ?
C'est en fait très simple. Historiquement, lorsqu'un peuple commence à percevoir des perturbations atmosphériques, géologiques et climatiques, et tous les maux que cela entraînent pour une société, y compris, à terme, famines, fléaux et épidémies, il se tourne individuellement et collectivement vers ses dirigeants pour qu'ils remédient à la situation. C'est de là qu'est né le concept de Roi divin : au nom de son peuple, le roi était censé pouvoir intercéder auprès des dieux. Si l'intercession du roi n'aboutissait pas, il fallait trouver une solution. On procédait à des sacrifices, on accomplissait des rituels et, bien sûr, si le résultat n'était pas au rendez-vous, si les dieux restaient en colère, le roi devait mourir. Si les dieux sont en colère, il faut trouver un bouc émissaire. Évidemment, lorsque rien ne va plus, les boucs émissaires les plus probables sont ceux qui sont au pouvoir, c'est-à-dire le « roi » et l'élite. En outre, ces derniers savent instinctivement qu'ils sont vulnérables à cette réaction. En postulant que cette corruption (et sa propagation dans la société) constitue le mécanisme par lequel une civilisation attire une catastrophe cosmique (un peu comme une charge électrique), une bonne solution est de blâmer et destituer l'élite, ce qu'elle ne veut évidemment pas.
En fin de compte, le peuple et l'élite recherchent tous deux un paradigme qui minimise les catastrophes cycliques, mais chacun le fait pour des raisons différentes. Le peuple veut soulager l'énorme angoisse d'une catastrophe majeure, certaine mais imprévisible, tandis que l'élite veut rester au pouvoir. Le compromis qui sert les deux objectifs est l'illusion d'une élite capable de protéger le peuple de tout désastre. Cette illusion peut prendre diverses formes : procéder à des rituels pour apaiser les dieux, réviser l'Histoire pour qu'elle présente une évolution uniformisée et sans bouleversement de l'humanité, et une abondante propagande.
[...]
Pour faire de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques la plus « gay de tous les temps », les responsables parisiens ont également présenté une parodie LGBTQ de la « Cène » ainsi qu'un défilé de mode « woke » mettant en scène des mannequins transgenres et des vêtements qui ne respectent pas le genre.
Nombreux sont ceux qui se sont demandés ce que les Jeux olympiques voulaient dire aux téléspectateurs à propos de Paris.
Nombreux sont celles et ceux qui ont été dégoutés par ce spectacle nauséabonde, quelques réactions sur les réseaux sociaux...
Comme The Gateway Pundit l'a précédemment rapporté, lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques, un groupe de drag queens habillées de manière provocante se tenait derrière une longue table, semblant recréer la Cène du Seigneur.
Pendant une autre partie de la cérémonie d'ouverture, un cheval pâle a couru à toute vitesse avec un cavalier portant une cape olympique.
L'apparition du cheval pâle a incité des centaines d'utilisateurs de médias sociaux à affirmer qu'il symbolisait le cheval pâle dont il est question dans le livre de l'Apocalypse de la Bible.
Alors que les prix de l'or montent en flèche, cette société aurifère basée sur la foi montre aux gens comment entrer dans l'or maintenant.
Quelques extraits de ce que l'on peut lire et voir sur les réseaux sociaux...
« Je regardai, et voici un cheval pâle. Le nom de son cavalier était la Mort, et le séjour des morts le suivait. Il leur fut donné autorité sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l'épée, par la famine, par la peste, et par les bêtes sauvages de la terre. »
Mais derrière les festivités, une ombre inquiétante plane. Le député britannique Andrew Bridgen, lors d'une réunion secrète au Parlement, apprend l’existence d’un complot d'une portée inédite.
Un groupe de conspirateurs au sein de l'OTAN élabore un plan diabolique pour orchestrer une attaque sous faux drapeau pendant les Jeux. Leur objectif est de faire exploser une bombe sale nucléaire au cœur de Paris, en accusant la Russie de l’attaque. Cette explosion serait un prétexte pour déclencher une intervention militaire massive contre la Russie, justifiée par la défense de l’Europe. L'attentat est minutieusement planifié pour se produire lors de la cérémonie de clôture, un moment où les yeux du monde entier seront rivés sur la capitale française.
Alors que la date fatidique approche, Andrew Bridgen, rongé par l’angoisse, décide de révéler la vérité. Il contacte un journaliste de confiance et lui remet des documents confidentiels prouvant l’existence du complot. Le journaliste, à la recherche de la vérité, commence à enquêter, mais il est rapidement poursuivi par des agents des services secrets qui veulent étouffer l’affaire.
À Paris, la tension monte alors que les autorités mettent en place des mesures de sécurité sans précédent pour les Jeux. Des indices commencent à émerger, mais ils sont immédiatement dissimulés ou dénigrés comme étant des théories du complot. La panique commence à s’emparer de la population lorsque des rumeurs d’une attaque nucléaire se répandent.
Le jour de la cérémonie de clôture arrive. La ville est en effervescence, les athlètes et les spectateurs se préparent pour un moment historique, inconscients du danger qui les guette. Tandis que la bombe est secrètement transportée à travers Paris, Andrew et le journaliste se lancent dans une course contre la montre pour exposer la vérité. Ils doivent faire face à des poursuites effrénées, des trahisons et des obstacles presque insurmontables.
Finalement, alors que la bombe est sur le point d’être déclenchée, Andrew et le journaliste parviennent à pénétrer dans la zone de sécurité. Dans une confrontation dramatique, ils parviennent à révéler l'existence de la bombe aux autorités à la dernière seconde. Mais il est trop tard. L'explosion retentit, semant la panique et la désolation dans la capitale française. Les radiations se propagent, plongeant Paris et le monde entier dans un chaos sans précédent.
Dans un contexte de panique mondiale après l'explosion, tout le monde crie au complot. Les médias et les réseaux sociaux sont saturés de théories accusant les gouvernements et les agences internationales de manipulation. Les fact-checkeurs s'empressent de démentir ces rumeurs, les qualifiant de pure fantaisie et de paranoïa infondée. Cependant, dans un retournement de situation stupéfiant, des preuves irréfutables émergent, démontrant que la conspiration était bel et bien réelle. Les démentis se révèlent alors embarrassants pour les fact-checkeurs, pris au piège de leur propre certitude.
Le complot est enfin révélé, mais les ramifications politiques sont énormes. Les responsables de l’OTAN impliqués dans le complot sont arrêtés, et un débat international s'ouvre sur la transparence et la sécurité. Paris, tout en étant marquée par la catastrophe, se retrouve au centre d'une controverse mondiale sur la manipulation et la vérité.
À suivre
Zoé Sagan
Sous le règne autoritaire de l’empereur Domitien, surgit cet opus, œuvre céleste attribuée à nul autre que l’apôtre Jean, dépositaire des oracles prophétiques.
À travers les âges, cette figure énigmatique a suscité une myriade d’interprétations. Osant pénétrer les arcanes de cette vision, nous proposons une nouvelle compréhension, espérant ainsi captiver l’attention des lecteurs assoiffés de symboles et d’eschatologie.
Cette bête extraordinaire est une chimère qui ressemble à un lion, un léopard et un ours, et qui possède dix cornes. Cette description nous rappelle quatre créatures tout aussi atypiques que le prophète Daniel présenta dans une de ses visions.
L’étang de la fin ou le lac de la fin correspond à un temps à ne pas négliger. Oups !
En effet, l’expression « la fin des temps » représente une période annoncée depuis environ deux mille cinq cents ans (par le prophète Daniel en premier), et qui est marquée par les Tribulations ou les Epreuves de l’Humanité. C’est une époque difficile, confirmée par le Christ il y a deux mille ans (cf. la petite apocalypse, et aussi plus récemment), et qui devrait durer – dans sa période la plus dramatique – environ trois ans et demi.
Mais, ces tribulations font elles-mêmes partie de la fin des temps qui durent plus longtemps (environ une quinzaine d’années !).
C’est en 2020 que nous pouvons situer le début de la « fin des temps ».
La crise du Covid-19 qui dissimulait l’installation de la 5G, et qui déboucha sur le fait qu’environ 80% des Occidentaux se sont soumis au mal, a été une sorte de cataclysme que la plupart des gens n’ont même pas vu !
La Vierge Marie a beaucoup parlé de la fin des temps lors d’apparitions dans de nombreux pays, depuis plus d’un siècle...
Ahriman nous conduit à l’ancienne Perse, à une vieille civilisation plus respectable que la société du mercantilisme et de la prédation que l’Occident a répandue à travers le monde. Il n’est pas étonnant que les Etasuniens, peuple élu d’Ahriman, veuillent abattre l’Iran, pays où la sagesse antique survit dans la « hikmat ilâhîya » de l’Islam iranien. La « hikmat ilâhîya » est la fleur de la pensée de la communauté mystique millénaire, elle était l’objet de la quête du philosophe iranien Sohrawardî.
Le mythe d’une entité révoltée et déchue est quasi universel. Lucifer, le Kumarbi des Hourrites, le Phaéton des Grecs, le Loki des Germains, le Gukup Cakix des Mayas expriment le même mythe.
Ahriman inspire les fausses religions et les sciences sans conscience. Il est l’instigateur de la religion scientiste qui sera imposée par le nouvel ordre mondial. « Le 21e siècle sera religieux ou ne sera pas. » La célèbre formule, attribuée à tort à André Malraux, est plus vraisemblablement un mot d’ordre des loges qui œuvrent à l’instauration d’une nouvelle religion et d’une synarchie d’hommes robotisés.
L’apocalypse égypto-grecque, rédigée à la basse époque gréco-romaine, sans doute à Memphis, par un prophète de l’école de Thôth-Hermès, annonçait la chute de l’humanité dans l’âge noir : « Les hommes préféreront les ténèbres à la lumière, et la mort à la vie… Un douloureux divorce séparera les dieux des hommes, et seuls demeureront les anges noirs ! »
Eh bien, il faudrait évacuer les douze millions d’habitants de la région. Car pas d’électricité, c’est pas d’eau courante, pas d’essence dans les stations services (les cuves sont enterrées, et les pompes sont électriques), les supermarchés (3 jours de réserve) non approvisionnés, les hôpitaux idem etc. Après trois jours maximum, il faut commencer à vivre sur ses réserves, ou alors avoir un point de chute bien approvisionné quelque part, et les moyens d’y aller.
Pas de téléphone (les antennes-relais fonctionnent à l’électricité), pas d’Internet, pas de télé ni de radio non plus, sauf la radio par ondes courtes, mais qui a un poste de radio à ondes courtes ? Je vous dis pas la panique. La zombie apocalypse en live.
Ceci étant, le pire n’est pas toujours sûr. Je vois plutôt un effondrement économique, moins dramatique mais dont le résultat final sera le même.
Nous sommes empoisonnés par un président plus préoccupé de plonger notre pays dans la guerre plutôt que de jouer la carte de l’apaisement dans le conflit russo-ukrainien.
Nous sommes empoisonnés par un déficit et une dette publique record, par une précarité et par une misère grandissante, pendant que la caste dirigeante continue à s’en mettre plein les poches. Les grands patrons du CAC 40, continuent de recevoir chaque année 200 milliards de cadeaux fiscaux (Subventions publiques, crédit d’impôts, et exonérations fiscales).
Nous sommes empoisonnés par des politiciens corrompus qui ne démissionnent pas et qui ne seront probablement jamais jugés correctement. Qu’il s’agisse d’Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, mis en examen pour « prises illégales d’intérêts », d’Eric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, accusé lui aussi de « prises illégales d’intérêts », et d’Édouard Philippe bientôt convoqué le 24 octobre 2022 devant la Cour de justice de la République, reste-t-il un politicien intègre dans notre pays ?
Nous sommes empoisonnés par des écolos de pacotille, les « Khmers Verts », favorisant les éoliennes qui, non seulement produisent peu d’énergie, mais dont les pales, les montants et les batteries sont non recyclables. Quand tous les parcs éoliens défigurant la France seront achevés, les éoliennes ne produiront que 13% de nos besoins en électricité. Des milliards d’euros investis pour rien, mais pas perdus pour tout le monde. Bienvenue dans le monde glauque de la cupidité.
...
Aussi riches qu'ils soient, tous ces gens vont mourir dans d'horribles souffrances, par ce qu'ils n'ont pas d'empathie, pas de spiritualité, ce sont des matérialistes athés, et ils devraient toutes et tous lire Jean....
En tant qu'humaniste qui écrit sur l'impact de la technologie numérique sur nos vies, on me prend souvent pour un futurologue. Les personnes les plus intéressées à m'engager pour mes opinions sur la technologie sont généralement moins préoccupées par la création d'outils qui aident les gens à vivre mieux dans le présent que par l'identification de la prochaine grande chose qui leur permettra de les dominer dans le futur. Je ne réponds généralement pas à leurs demandes. Pourquoi aider ces types à ruiner ce qui reste de l'internet, et encore moins la civilisation ?