Le diable est le confusionniste par excellence, celui qui lance de la confusion en permanence. Le mot grec «diabolos» ne signifie rien d’autre. Le mensonge est donc ce qui est particulièrement diabolique. Il sème la discorde, dresse les hommes les uns contre les autres, bouleverse l’ordre naturel. Dans l’évangile de Jean 8, 44, le diable est à juste titre qualifié de «père du mensonge».
En Allemagne, le mensonge est devenu encore un peu plus loi depuis ces dernières semaines. Plus précisément, il est devenu une religion d’État qui exige la soumission. En effet, depuis vendredi, date à laquelle le Bundestag a adopté la loi dite «d’autodétermination», toutes les personnes vivant en Allemagne sont désormais tenues par la loi de croire les mensonges flagrants, de les tenir pour vrais, ou du moins de se taire à leur sujet.
Celui qui ouvre néanmoins la bouche et fait remarquer, à juste titre, que Gabriele s’appelle en réalité Hans-Günther, risque de payer une amende pouvant aller jusqu’à 10 000 euros s’il appelle désormais une personne par son sexe biologique alors qu’il/elle souhaite être «perçu(e)» différemment. Grâce à la loi, il ne sera plus nécessaire de subir une opération pour changer de sexe et de faire certifier officiellement le changement. Les offices sont contraints par la loi d’apporter leur aide à la falsification de documents. Et tous les autres sont contraints de vivre dans et avec le mensonge et de s’y dérober.
C’est satanique. Depuis un vendredi d’avril, nous avons fait un bon pas en avant dans la construction d’un monde diabolique et contre nature, dont le fondement est la fausseté. La criminalisation de la vérité a maintenant été intronisée publiquement et frappe à la porte de tout le monde. Et comme le mal, pour se maintenir, ne peut pas s’arrêter, mais doit toujours aller plus loin, se soumettre à des domaines toujours plus larges, ce n’est qu’un début.
Il n’est pas nécessaire d’être un théoricien de la conspiration pour cela : il est maintenant explicite que ce qui est «normal», naturel, juste pour la vie, soit officiellement déclaré criminel et poursuivi en tant que tel, c’est-à-dire : l’hétérosexualité, la famille, la progéniture, le peuple. Le mal devient totalitaire. L’image biblique en est le règne de l’Antéchrist, qui doit nécessairement précéder la victoire finale du bien. Nous allons nous étonner de ce qui va suivre, à une fréquence de plus en plus rapprochée. La dictature coronaviresque était la répétition générale. Il y aura bientôt des martyrs.
Ce n’est certainement pas un hasard si le Parlement européen a demandé ces jours-ci, dans une résolution adoptée à une large majorité, que le droit à l’avortement soit déclaré droit fondamental (!). La législation ouvertement totalitaire sur le «discours de haine» dans de nombreux pays occidentaux, qui prévoit parfois des peines de prison de plusieurs années pour les crimes d’opinion (au nom de la «tolérance» !), relève également de ce domaine ; tout comme le fait que la Cour constitutionnelle fédérale, la plus haute instance juridique de la République fédérale, tente de définir la notion de peuple naturel, c’est-à-dire ethnique, comme «contraire à la Loi fondamentale», tant dans la procédure d’interdiction de la NPD que maintenant vis-à-vis de l’AfD – le tout librement inspiré d’Orwell la guerre, c’est la paix, la liberté, c’est l’esclavage, la mort, c’est la vie. C’est pervers. C’est la dictature du mensonge.
Il faut prendre acte de la dynamique interne de l’évolution, qui n’est pas humaine, mais finalement spirituelle : le mal contre le bien. C’est pourquoi ce n’est pas l’expression d’une croyance personnelle, mais la description adéquate de ce qui se passe, que d’introduire le diable dans le jeu, comme l’adversaire cosmique fondamental. Il laisse tomber son masque. Cela se voit dans tous les domaines de la vie. Apocalypse – la période que nous vivons actuellement – ne signifie rien d’autre que révélation.
La bonne nouvelle dans tout cela est que Satan n’a pas le dernier mot. Le mensonge, qui se fait une fausse idée du monde, n’est pas plus viable que le cancer. La République fédérale d’Allemagne a été fondée sur le mensonge dès le début, et le mensonge devient maintenant essentiel pour le simulacre qu’est l’État fédéral allemand. C’est pourquoi cette république-là arrive bientôt à sa fin. La «loi sur l’autodétermination» et toutes les aberrations à venir en sont les indispensables stigmates.
La guerre de la souveraineté nationale aura lieu
Union Européenne
La feuille de route présentée officiellement par l’Allemagne et la France, mardi 19 septembre, pour simplifier l’Union européenne, est le point d’aboutissement d’un travail mené par le « Groupe des 12 », six experts français et six experts allemands. C’est une feuille de déroute, une véritable trahison pour les intérêts nationaux de la France. Elle accélérerait, si elle était mise en place, l’effondrement politique en cours de l’Union européenne. En effet, au lieu de tirer lucidement les leçons de l’échec de la méthode suivie depuis Maastricht – élargissement, fédéralisation, violation de la subsidiarité –, le Groupe des 12 en arrive à la conclusion que pour « simplifier », il faut continuer comme avant, et même accélérer.
Sur la forme, le fait que le rapport ne soit présenté qu’en anglais, et ne soit disponible ni en français ni en allemand, démontre que cette proposition ne s’adresse pas aux opinions publiques des deux pays concernés. C’est déjà un mauvais point, lorsque l’on prétend réconcilier l’UE et les peuples. Elle démontre, au choix, soit une forme de masochisme – car communiquer dans une seule langue, celle du pays qui a quitté et fragilisé l’UE, est quand même intéressant d’un point de vue freudien –, soit une démonstration de l’assujettissement linguistique et politique d’un ensemble qui persiste à nier la pluralité qui est la sienne pour adopter la langue de sa puissance suzeraine, les États-Unis d’Amérique. Quelle tristesse…
La vision américaine de l’Europe : un grand espace commercial de débouchés pour sa propre économie
Sur le rapport de forces politiques, le texte des experts est le décalque absolu de ce qu’a proposé le chancelier Scholz, à Prague, le 29 août 2022, et démontre au mieux que la France est dans une attitude de suivisme à l’égard de Berlin, au pire qu’elle est incapable d’avoir sa propre vision de l’Europe. À Prague, Scholz avait brossé le tableau d’une « Europe géopolitique » destinée à s’élargir, une grande Europe, ouverte aux Balkans occidentaux, à l’Ukraine, à la Moldavie, et même à la Géorgie. Laurence Boone, secrétaire d’État chargée des Affaires européennes, s’est empressée de déclarer que la question n’était plus de savoir si elle devait s’élargir, mais quand. Cela rejoint évidemment la vision américaine qui est de faire de l’UE un grand espace commercial de débouchés pour sa propre économie, dont les frontières coïncideraient avec celles de l’Otan qui en assurerait la sécurisation. Un enclos, une chasse gardée.
Sur le fond, enfin, le rapport et la proposition franco-allemande sont d’une indigence frappante, car ils reviennent à fédéraliser encore un peu plus l’UE, dans la droite lignée des propositions de Scholz : extension de la majorité qualifiée, à laquelle le général de Gaulle s’était opposé ; conditionnalité des aides fédérales, ce qui revient à traiter la Hongrie et la Pologne comme des parias ; réduction du nombre de commissaires, ce qui de facto supprime le principe d’un commissaire par État ; harmonisation des lois électorales nationales, ce qui revient à soumettre les nations au fonctionnement européen, comme si elles en étaient des subdivisions ; chambre mixte de cours et de tribunaux suprêmes de l’UE, ce qui revient à entamer la fusion des ordres de juridiction ; augmentation du budget fédéral ; mise en place d’une dette commune, c’est-à-dire la fin de toute souveraineté financière.
Au lieu de simplifier – ce qui était l’objectif affiché –, on voit apparaître une nouvelle couche de complexité avec des « quintettes » de présidences du Conseil, des processus participatifs citoyens intégrés aux procédures composés… de gens extérieurs à l’UE, de nouvelles institutions (comme un bureau de la transparence et de la probité).
Il s’agit de dissiper les dernières bribes de souveraineté nationale. Il faut être aveugle pour ne pas comprendre que chaque fois qu’on a couplé plus de fédéralisme avec plus d’élargissement, les opinions publiques se sont dressées avec violence. La dernière fois, cela nous a coûté la Grande-Bretagne.
Il faut arrêter cette folie au plus vite. Cela commence par ne pas renouveler madame von der Leyen, dont le mandat qui s’achève a été catastrophique pour la France et l’UE. Cela signifie aussi infliger à la liste Renaissance, qui soutient ces propositions, le désaveu le plus grand aux prochaines élections européennes.
Bien que le gouvernement ait partiellement reculé le jeudi 4 janvier sur la suppression des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR), les agriculteurs allemands ne décolèrent pas. Des blocages routiers et autoroutiers se profilent alors que la fédération des transports appelle à suivre le mouvement.
Comme expliqué dans notre précédent article, la Cour constitutionnelle allemande a retoqué le budget 2024 présenté par Olaf Scholz en novembre. Forcé d’opérer des coupes budgétaires, le chancelier a opté pour la suppression d’allègements fiscaux sur le diesel agricole et sur l’impôt sur les tracteurs, ce qui a déclenché la colère des agriculteurs dès décembre.
Des concessions du gouvernement que les agriculteurs estiment insuffisantes
La coalition allemande actuellement au pouvoir (composée du Parti social-démocrate, du Parti libéral-démocrate et des Verts) a bien tenté de calmer le jeu. Le 4 janvier, le gouvernement a déclaré abandonner son projet d’introduction d’une taxe sur les véhicules agricoles et forestiers. Il a aussi proposé une suppression progressive des allégements fiscaux sur le diesel agricole, de 2024 à 2026, au lieu d’une suppression totale. Ces concessions n’ont pas convaincu la fédération des agriculteurs allemands (DBV), qui a réitéré ses appels à des manifestations sans précédent pour les deux semaines à venir. Rien qu'en Bavière, 180 actions ont été enregistrées. Elles débutent ce lundi 8 janvier.
Les revendications des syndicats sont claires. Ils comptent faire grève jusqu'à ce que le gouvernement renonce à leur imposer toute mesure d’austérité dans le budget annuel qui est en train d’être voté. La Commission budgétaire du Bundestag arrête le budget fédéral pour 2024 la troisième semaine de janvier. C’est pour cette raison que la plus grosse manifestation est annoncée un peu avant, pour le 15 janvier, à Berlin.
Cependant, la colère ne se cantonne déjà plus au monde agricole, et prend des allures de grève générale contre la politique budgétaire du gouvernement Scholz.
Un mouvement qui prend des allures de grève générale.
Le Dr Reiner Füellmich est emprisonné depuis près de 11 semaines. Il a écrit son propre récit personnel, dont la première partie a été lue à haute voix sur Bittel TV et traduite. Il avait dit : « Ce n’est pas fini. » La pandémie du coronavirus n’était qu’un test pour savoir ce que les gens accepteraient lorsque nous les plongerions dans la panique par la psycho-terreur. Nous devons regarder derrière la propagande de panique pour voir la vérité. » Il a ajouté : « Sans justice, il n’y a pas de paix ni de retour à un monde humain. Cela vaut également pour mon cas. » La traduction anglaise de la première partie peut être trouvée ici.
La traduction officielle des parties 2 et 3 de l’équipe de Reiner Füellmich a été reçue par Elsa Scheider du Sommet de la Vérité la semaine dernière et a été republiée ci-dessous pour nos lecteurs qui ont manifesté leur inquiétude et leur intérêt pour la situation de Reiner (Source). Vient ensuite le communiqué de la défense publié le 23 décembre.
N’en déplaise aux libéraux épris des mirages d’une communauté euro-atlantique, pour les États-Unis, entre le dictateur d’un pays du tiers-monde, le chef d’une milice extrémiste et un pays du Vieux Continent, il n’y a pas de différence substantielle. Les événements récents le prouvent. Avec le manque de marge de manœuvre garanti par les nécessités de la guerre froide, qui ont obligé les États-Unis à garantir la stabilité de l’Europe avec la carotte et le bâton, les pays du continent se sont retrouvés avec un maître de plus en plus encombrant derrière eux, inquiets d’un éventuel défi international représenté par l’euro, vite désamorcé, et surtout intéressés à éviter que, dans un monde qui désavoue formellement, ou renie, la politique des blocs, les États européens ne commencent à interagir avantageusement avec la Russie et la Chine.
Le cas de l’Allemagne est à cet égard emblématique. Du scandale Volkswagen à la destruction du Nord Stream, des sanctions anti-russes au soutien à la Pologne, les États-Unis ont sciemment ignoré les intérêts de leur soi-disant allié dans le double but d’éliminer un dangereux concurrent international et de renforcer le rideau de fer qu’ils voulaient à tout prix ériger aux frontières de l’Eurasie occidentale. Mission accomplie : l’Allemagne en récession et l’ennemi de ce qui aurait été un partenaire naturel, la Russie, ne représentent plus un danger. En même temps, on peut la piller sans craindre de porter atteinte à la dignité nationale. La flambée des prix de l’énergie et les milliards de dollars d’investissements attirés par l’Allemagne grâce à l’Inflation Reduction Act ont contribué à maintenir le système américain debout face à une criticité et une instabilité de plus en plus graves et manifestes.
Après avoir épuisé l’Allemagne, il faut nécessairement se tourner vers la France...
« Les États n’ont ni amis permanents ni ennemis permanents : ils n’ont que des intérêts stables »
Selon une dépêche de tagesschau.de du 13 juin 2023, le ministre allemand de la Santé Karl Lauterbach a annoncé vouloir élaborer un plan de protection contre la chaleur pour l'Allemagne. « Nous devons constater », a déclaré Lauterbach, « que nous ne sommes pas bien positionnés en Allemagne contre la mort due à la chaleur ». Selon le ministre de la Santé, un plan canicule que la France aurait développé devrait servir de modèle. Mais qu'en est-il des problèmes de chaleur dans d'autres pays ? Voici quelques exemples : Inde : Le 4 mai 2023, la capitale indienne New Delhi a enregistré le troisième matin de mai le plus froid depuis 1901. Comme dans le reste du monde, le froid hivernal est un problème plus important que la chaleur estivale à Delhi. Selon des études, 6,5 % de tous les décès en Inde sont dus à des températures extrêmes de courte durée, 88 % dus à un temps froid et seulement 12 % dus à un temps chaud.
Alaska : Avril 2023 a été un mois historiquement froid dans tout l'Alaska, avec une température moyenne de -8,7° Celsius. Il s'agissait du quatrième mois d'avril le plus froid depuis les années 99, date des premiers relevés de température. La neige est tombée encore jusqu'en mai.
Australie : En mai 2023, la tendance au refroidissement qui dure depuis des années s'est poursuivie en Australie. Dès le début du mois, les températures de mai les plus basses depuis 85 ans ont été enregistrées dans un grand nombre d'endroits.
Argentine : Fin mai 2023, des milliers de voyageurs chiliens se sont retrouvés bloqués par la neige dans la province argentine de Mendoza. Le chemin Cristo Redentor, qui relie l'Argentine au Chili, a été fermé en raison des fortes chutes de neige.
Russie : Des températures historiquement basses ont été enregistrées à Yubileinaya, en Iakoutie, où la température est descendue bien en dessous des valeurs saisonnières habituelles. Le 13 mai, le thermomètre y est descendu à -24,5°C, dépassant ainsi le précédent minimum de mai de -24,1°C, enregistré il y a 70 ans, en 1958. La région a également connu de fortes chutes de neige.
Ukraine : L'Ukraine a connu des conditions inhabituelles de froid et de neige ce printemps.
Mongolie : La Mongolie a dû faire face à un hiver glacial en 2022/23 qui, selon Save the Children, a entraîné des pertes massives de bétail et la souffrance de 212 000 personnes. Même à la fin du printemps, le pays a continué à être frappé par des tempêtes de neige meurtrières.
La Grande-Bretagne : Au Royaume-Uni, l'année 2023 a été froide et humide jusqu'à la fin mai, et le printemps refusait toujours de débuter à la mi-mai. Même les météorologues confirmés ne pouvaient pas expliquer pourquoi les sombres conditions de l'hiver s'éternisaient, et étaient eux-mêmes choqués par - je les cite - « toutes les fortes gelées que nous avons eues ce printemps ».
Espagne : Les précipitations parfois record en Europe ont continué à être accompagnées d'un froid anormal qui a fait qu'à des altitudes plus élevées, une grande partie de la pluie est tombée sous forme de neige printanière. C'était même le cas dans le sud de l'Espagne.
00:30 Legrand quitte la Russie
03:30 Wagner = Washington
04:40 Mobilisation forcée en Ukraine
07:45 Corruption généralisée en Ukraine
11:22 Nouvelles armes et rideau de fer
14:19 SOS déroute ukrainienne
19:42 Armée russe vs OTAN
23:39 Des armes magiques pour Zelenski
28:02 Cartes des opérations militaires
Un tribunal allemand cherche à vacciner de force la compositrice juive Inna Zhvenetskaya, survivante de l’holocauste. L’ordonnance, émise le mois dernier, autorise le personnel médical à l’enlever de force de son domicile, en faisant appel à la police si nécessaire, afin de lui administrer deux doses du vaccin COVID19 et de la faire ensuite interner dans l’aile fermée d’une institution psychiatrique.
Un tribunal de la ville allemande de Stuttgart a ordonné la séquestration et la vaccination de force d’une compositrice juive d’origine ukrainienne, survivante de l’Holocauste. Cette incompréhensible décision a heureusement été annulée par une cour d’appel, mais la vieille dame ne se sent plus en sécurité chez elle et a fini par quitter son domicile pour être hébergée par des connaissances, dans un endroit tenu secret. L’idée d’être enfermée et de ne plus pouvoir jouer de la musique la désespère, car c’est ‘ce qui la garde en vie’.
Le média autrichien, qui fut le premier à contacter la vieille dame et qui s’est déplacé pour effectuer un entretien, affirme que, bien qu’elle s’exprime avec une certaine lenteur (en allemand, sa langue principale étant le russe), elle ne souffre pas de problème mental visible et semble avoir un discours tout à fait cohérent. Elle ne semble pas non plus présenter de danger pour elle-même, ni pour autrui.
Comment justifier aujourd’hui l’imposition d’une vaccination forcée, compte tenu de la fin officielle de la pandémie? Il s’agit clairement d’une décision qui ne peut avoir de motif valable, ni sur le plan médical, ni sur le plan juridique. Tout cela sent l’arbitraire et le déni de justice. Le fait que l’ordonnance autorise spécifiquement l’usage de la violence et d’une intervention policière est tout simplement effarant.
« Qu’est-ce qui a pu motiver un tribunal allemand à prendre une décision aussi draconienne, et qui fait inévitablement penser au passé abominable de cette nation? S’agit-il à nouveau d’une situation où le pouvoir judiciaire travaille main dans la main avec le gouvernement pour se débarrasser des personnes âgées, considérées comme des ‘bouches inutiles à nourrir’? Que se passe-t-il en ce moment? Pour moi, ainsi que pour d’autres survivants, c’est tout simplement inconcevable. Et pourtant si, voilà un cas bien réel. Cette dame de 86 ans a du fuir son domicile et se réfugier chez des amis. Mais pour combien de temps? J’espère qu’elle va pouvoir quitter le pays et terminer ses jours dans la tranquillité et la sécurité. Car moi, je ne ferai pas confiance aux allemands. Ils peuvent très bien renouveler cette ordonnance et la mettre à exécution. Tout ceci est glaçant. N’ont-ils vraiment rien appris de leur histoire ? »
A force de persévérance l’analyste allemand Tom Lausen a marqué un beau coup. Après avoir obtenu et analysé les données de la KVB, l’association des caisses d’assurance maladie, qui comprend 72 millions d’assurés, et constaté le décuplement des ‘morts subites inexpliquées’ en 2021 et 2022, soit depuis le début de la vaccination Covid, l’expert est parvenu à faire remonter son dossier explosif jusqu’au niveau fédéral. La conférence de presse du 12 décembre où il a présenté les données indiquant que les chiffres des décès et de différentes autres maladies sont absolument hors norme, a été suivie d’une interpellation au parlement fédéral par des députés de l’opposition. Les partis de la majorité sont sur la sellette et contre-attaquent en force.
La Hot-Line a de suite été renforcée car l’affluence est énorme. Les gens sont désespérés. Alors qu’ils étaient accueillis avec joie par les médecins lorsqu’ils voulaient se faire vacciner, maintenant qu’ils sont aux prises avec des problèmes de santé après l’injection, ils sont froidement ignorés. L’association fait le point – et tire une conclusion : l’accompagnement des victimes de la vaccination Covid sera désormais l’un des principaux sujets des médecins critiques.
En effet les médecins disent : « nous sommes au milieu d’une nouvelle pandémie, une pandémie de dommages causés par les vaccins dont on a longtemps été averti. La souffrance des personnes atteintes de dommages causés par les vaccins s’est vraiment abattue sur nous. Entendre les histoires de malheur dans un volume aussi dense vous fait crier de colère ou vous taire de désespoir. »
« Les gens se plaignent de symptômes neurologiques, de fatigue chronique, de problèmes cardiaques, de problèmes de coagulation, de sensations de brûlure dans tout le corps, de picotements nerveux et de douleurs chroniques. Beaucoup sont incapables de travailler depuis des mois et ont de grands besoins financiers. En plus des plaintes physiques, la déception et la perplexité face à l’ignorance dont ils font preuve sont particulièrement perceptibles. La plupart d’entre eux disent que les médecins ne les prennent pas au sérieux, c’est pourquoi ils dépendent de l’aide de proches ou essaient d’obtenir le soutien de ce type de hotline. »
Mais grâce à la valeureuse police allemande, au renseignement intérieur et à la vigilance civique toujours en éveil, notre ami Olaf va pouvoir rester chancelier et notre autre grande amie, Annalena, continuer à pouvoir apprendre l'histoire militaire et la géographie de l'Europe et du monde pour faire son job de ministresse des Affaires Etrangères. Le fascisme est toujours renaissant mais les femmes et les hommes de progrès veillent: no pasaran! Une fois qu'on a ri un bon coup, on comprend cependant que, derrière le scénario farcesque, qui consiste à prendre les citoyens allemands pour des imbéciles, se profile une intimidation d'envergure contre tous ceux qui critiquent l'incompétence du gouvernement allemand et son aliénation à Washington, Davos et Pékin.
Le coup d’Etat était presque parfait
A vrai dire, la seule chose hilarante dans le scénario proposé, c’est que les ingrédients attendus y sont. Je ne résiste pas au plaisir de citer le copié-collé du très macroniste Figaro, sous le titre “L’Allemagne déjoue un complot d’extrême-droite” – rien que ça ! Accrochez-vous à la table, fou-rire assuré.
Alors que l’Europe affiche un optimisme de façade en prévision de l’hiver qui s’annonce, signalant qu’elle a plus qu’assez de gaz en stock pour compenser la perte de l’approvisionnement russe, même dans le scénario du « plus grand froid », en coulisses, la plus grande économie d’Europe se prépare tranquillement au pire des scénarios, à savoir des foules en colère et des faillites si des pannes d’électricité empêchent la population d’avoir accès à des liquidités.