Rapport d'expert rédigé par Mark Steele, ingénieur britannique, inventeur, rédacteur de brevets et chercheur en armement.
La grande majorité des populations à travers l’Occident, en particulier celles de la communauté Five Eyes, l’alliance du renseignement Anglosphere regroupant l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et les États-Unis, ont été injectées à leur insu avec des antennes en nano métamatériaux et vont malheureusement subir des taux de mortalité accrus en raison des émissions de rayonnement réfléchissantes localisées du radar urbain 5G. Tous les symptômes connus du coronavirus peuvent être attribués à la pollution par les rayonnements ionisants et non ionisants. IV.1, IV.2
La 5G a été identifiée dans un certain nombre d’articles publiés comme la cause réelle de la pandémie, dont le début a coïncidé avec la mise en marche du réseau 5G dans la province de Wuhan, dont la population venait d’être vaccinée contre la grippe obligatoire. La 5G a le potentiel de fournir des niveaux d’énergie ionisants qui entraîneraient une suppression du système immunitaire, laissant le corps à risque de maladie. IV.3
Il a été cliniquement démontré que l’utilisation régulière du téléphone entraîne une détérioration de la matière grise, la partie du cerveau qui permet les mouvements moteurs, la mémoire et les émotions.
Ce phénomène est probablement dû aux champs électromagnétiques de radiofréquence (CEM-RF) émis par les smartphones.
Une étude suisse menée en 2015 indique que l’exposition aux CEM-RF émis par les téléphones portables était liée à des problèmes de mémoire.
Avertissement. Le dossier transmis ici est exceptionnellement documenté et précis. Je le reprends pour enrichir la réflexion et l’hypothèse de travail autour de la transhumanisation des peuples. Toutefois, aussi longtemps que nos autorités sanitaires refuseront de faire procéder à des analyses indépendantes du contenu de fioles contenant les produits à injecter, nous serons incapables d’affirmer si, et dans quelle mesure, la liste des éléments indésirables listés dans ce document ont pollué la production industrielle des injections réalisées depuis une année.
Des décennies de recherche ont déjà prouvé que l’exposition aux rayonnements des tours cellulaires ainsi que d’autres sources de rayonnement sans fil est biologiquement nocive.
Des personnes aux États-Unis et dans le monde entier continuent de signaler des symptômes et des maladies après l’installation et l’activation d’infrastructures 5G et/ou 4G à proximité d’elles (voir 1, 2, 3, 4, 5, 6). Certains engagent des actions en justice pour désactiver les tours et arrêter le déploiement (voir 1, 2, 3, 4). Félicitations aux habitants de Mahopac, dans l’État de New York, qui ont empêché l’installation d’une tour cellulaire dans leur quartier.
Et pourtant le monde continue, regardant, mais aveugle, écoutant, mais sourd, prenant le silence pour du confort, les flammes qui avancent pour un avenir radieux.
Sur l’île néerlandaise de Texel, qui se trouve à l’extrémité sud d’une ligne d’îles séparant la mer des Wadden de la mer du Nord, une importante colonie de reproduction d’oiseaux marins appelés sternes de Sandwich (« grandes sternes » en néerlandais) a fait la une des journaux le mois dernier en mourant. Sur les 7 000 oiseaux qui nichaient dans la réserve naturelle de De Petten jusqu’à la fin mai, il n’en restait plus aucun à la mi-juin. 3 000 cadavres d’oiseaux ont été collectés, les autres étant morts ou ayant abandonné leur nid.
La politique de santé publique relative aux maladies à coronavirus (COVID-19) s’est concentrée sur le virus du syndrome respiratoire aigu sévère coronavirus 2 (SRAS-CoV-2) et ses effets sur la santé humaine, tandis que les facteurs environnementaux ont été largement ignorés.
En considérant la triade épidémiologique (agent-hôte-environnement) applicable à toutes les maladies, les chercheurs ont étudié un facteur environnemental possible dans la pandémie de COVID-19 : le rayonnement radiofréquence ambiant des systèmes de communication sans fil, y compris les micro-ondes et les ondes millimétriques. Le SRAS-CoV-2, le virus à l’origine de la pandémie de COVID-19, est apparu à Wuhan, en Chine, peu de temps après la mise en place d’un système de radiations de communications sans fil de cinquième génération (5G) à l’échelle de la ville.
Nous ne parlerons pas ici des drogues ni de duels en voitures ou autres moyens très bas de gamme et largement has been.
Nous ne discourrons pas sur « sa majesté » le smartphone 5G, le N°1 de l’autodestruction actuelle, ni sur les « piquouses » tendance soi-disant anti-pandémies !
Nous laisserons également de côté les jeux vidéo, surtout ceux de guerre où l’on vous apprend à « dézinguer » votre prochain !
Vive la technologie ! qui peut, en deux temps et trois mouvements, vous envoyer six pieds sous terre pour visiter les mondes « quantique »
Non, cette fois nous voulons exprimer quelques mots sur les tatouages.
L'intérêt du document de Glaser de 1972 est de contrer les déclarations selon lesquelles il n'existe pas de recherches "crédibles" montrant les effets non thermiques. Il s'agit d'une fausse déclaration promue par ceux qui, soit ne connaissent pas la littérature, soit ne veulent pas admettre que ce rayonnement, aux niveaux auxquels nous sommes actuellement exposés, peut être nocif.
Des recherches crédibles existent, elles existent depuis des décennies et elles ont été largement ignorées par les responsables de la santé publique et professionnelle.
Le document de Glaser est téléchargeable ici.
Note : Ce document est "non classifié" et "a été approuvé pour une diffusion et une vente publiques ; sa distribution est illimitée"