Bonjour Nicolas,
Merci grandement pour avoir été notre guide vers ce sublime Monastère de Sel hier, cette balade m’a fait du bien, les barreaux de ma prison ici se sont un peu écartés le temps de cette bonne lecture.
Des nouvelles fraîches d’Ukraine, mon ami me dit que depuis des mois beaucoup n’ont plus rien à manger et fouillent les poubelles pour trouver un peu de pourriture nourriture à se mettre sous la dent. Et ceci pour les affamés « les plus chanceux » qui ne craignent pas de sortir et d’être embarqués manu militari vers un front hachoir à viande vers l’est, c’est à dire les plus âgés, complètement abandonnés à leur sort. Les plus « jeunes » se terrent car ils n’ont pas envie d’être envoyés vers un autre Marioupol ou un autre Bakhmout. Il écrit que pour ce qui sert de gouvernement là bas, tout ce qui ne combat pas ne sert à rien et est donc complètement laissé de côté, sans aucune aide.
Le génocide de la race blanche avance bon train sur ses rails de coke aussi.
Ici lutte en mode solo plus que jamais, mon âme me chuchote que pour être sauvés, nous devons nous souvenir que le Patron a demandé il y a deux millénaires à ce qu’on persévère jusqu’à la fin, sans s’écarter de la Voie étroite afin de ne pas rater la petite Porte.
Donc plus de compromis. Aucun. Évidemment en face, ils apprécient très moyennement et me le font savoir… survols multiples de bruyants anges noirs et d’aciers à très, très ( trop ) basse altitude parfois pour me rappeler ma place en enfer, des fois que j’aurais tendance à oublier que je suis de « ceux qui ne sont rien ». Ça m’apprendra à ne pas déclarer mes impôts et à leur écrire ( insolent en plus à ne pas vouloir tendre l’autre joug! ) sans langue de bois ce que j’en pense, enfonçant le clou pour la deuxième fois en trois ans après réception de leurs courriers à entête de « liberté égalité fraternité » ( la meilleure blague depuis deux siècles ).
D'origine française, russe et géorgienne, Alexandre Havard vit à Moscou depuis une quinzaine d’années. Juriste de formation, il a exercé le métier d’avocat plusieurs années avant de se consacrer au développement du système de Leadership Vertueux : une approche du leadership fondée sur la science de la vertu élaborée par les anciens Grecs.
Pour Alexandre Havard, bien que notre civilisation soit obsédée par l’idée de « Progrès », la conception que nous en avons désormais, si elle se pare de toutes les vertus, est devenue étrangère à toute notion d’élévation spirituelle.
« Certains pensent qu’un système politique peut résoudre tous les problèmes de l’humanité, ils mettent toute leur foi dans la politique. Ils nient la nature humaine, ils nient le fait que le mal extérieur n’est qu’une conséquence du mal intérieur, qui se trouve dans le cœur de l’homme. Cela mène à l’idéologie », observe Alexandre Havard. Nous vivons dans un monde où règnent le politiquement correct, le culturellement correct, le religieusement correct, etc. »
« D'autres pensent que le progrès technique va provoquer le progrès moral, que la technologie va sauver l’humanité, poursuit-il. Le développement technologique permet de réaliser des choses incroyables, mais si l’on refuse de comprendre qu’il existe des tendances basses dans le cœur des hommes contre lesquelles il faut lutter, ce progrès technologique peut conduire à la fin du monde. »
« L'humanité n'a pas besoin d'être sauvée par un système. Elle a besoin d'être sauvée par le caractère, par la vertu, pour que chaque individu dépasse ses tendances misérables et devienne une personne excellente, ajoute-t-il. Le vrai Progrès c'est le développement spirituel. Il faut encourager chacun à prendre de bonnes décisions, à vouloir faire le bien, à vouloir être bon », ajoute-t-il.
Selon Alexandre Havard, nous traversons une crise du leadership, la plupart des responsables politiques au pouvoir n’étant pas de véritables leaders à même d’exalter les aspirations les plus nobles de leur peuple.
« Nos dirigeants ne sont pas des leaders, ils ne méritent pas le pouvoir, souligne-t-il. Mais on se rend bien compte que ces hommes politiques ne dirigent rien du tout. Ce sont des marionnettes élues par la finance et les médias, ceux qui dirigent sont derrière eux, ce sont des gens très influents, qui ont beaucoup d’argent, et qui ont une vision désastreuse de la personne humaine. »
« Je pense que la société va vers un chaos total provoqué par ces manipulateurs, mais qu’il y a d’autres personnes au-dessus d'eux qui veulent ce processus pour se présenter comme des “sauveurs”, poursuit Alexandre Havard. Ces “sauveurs” sont très différents, ils ont l’air bons, ils ont l’air capables, ils sont très attrayants. Ce sont les plus dangereux. Beaucoup de gens regardent les manipulateurs mais pas ceux qui viendront après. C’est là que sera le grand combat. »
Et Alexandre Havard de conclure : « Le drame de l’homme moderne vient du fait qu’il perd le sens de sa propre liberté. Il ne faut pas renoncer à la liberté au nom de la sécurité, du pain et des jeux. Là où il n'y a pas de liberté, il n'y a pas d'amour, il y a des esclaves et des zombies. Ce n'est pas l'objectif de notre existence. »
00:00 Introduction
01:49 Quelle est la différence entre la vocation et la mission ? Pourquoi est-il important de découvrir sa mission dans l’existence ? Comment y parvenir ?
11:08 En quoi le monde moderne fait-il l’expérience d’une crise de la formation et d’une crise de l’éducation ?
19:26 Qu’est-ce qui distingue le tempérament du caractère ? Pourquoi est-il fondamental de faire la différence ?
34:02 Quelle est la différence entre l’éthique des vertus et l’éthique des règles ? En quoi l’éthique des vertus favorise-t-elle davantage l’épanouissement individuel et collectif ?
40:33 En quoi la notion de progrès a-t-elle été dévoyée ? Pourquoi le perfectionnement moral d’un individu constitue-t-il le progrès véritable ?
49:48 Nos dirigeants sont-ils de véritables leaders ? Incarnent-ils la grandeur ou la pusillanimité ?
01:00:22 Comment surmonter les bouleversements auxquels nous sommes confrontés ?
01:14:10 Qu’est-ce que « l’Idée russe » ? Quelles sont les particularités qui distinguent la Russie de l’Occident ?
01:22:54 En quoi la France et la Russie ont-elles une affinité historique et culturelle particulière ? La guerre en Ukraine risque-t-elle de compromettre de manière durable les rapports entre nos deux pays ?
Le Miserere ou Miserere mei, Deus, selon l'incipit du Psaume 50, est une œuvre de polyphonie composée vers 1638 pour le chœur de la chapelle Sixtine par Gregorio Allegri, chapelain du pape Urbain VIII.
L'œuvre illustre bien les propos émis par le pianist Étienne Guéreau dans sa capsule sur l'effondrement du niveau musical.
Ahriman nous conduit à l’ancienne Perse, à une vieille civilisation plus respectable que la société du mercantilisme et de la prédation que l’Occident a répandue à travers le monde. Il n’est pas étonnant que les Etasuniens, peuple élu d’Ahriman, veuillent abattre l’Iran, pays où la sagesse antique survit dans la « hikmat ilâhîya » de l’Islam iranien. La « hikmat ilâhîya » est la fleur de la pensée de la communauté mystique millénaire, elle était l’objet de la quête du philosophe iranien Sohrawardî.
Le mythe d’une entité révoltée et déchue est quasi universel. Lucifer, le Kumarbi des Hourrites, le Phaéton des Grecs, le Loki des Germains, le Gukup Cakix des Mayas expriment le même mythe.
Ahriman inspire les fausses religions et les sciences sans conscience. Il est l’instigateur de la religion scientiste qui sera imposée par le nouvel ordre mondial. « Le 21e siècle sera religieux ou ne sera pas. » La célèbre formule, attribuée à tort à André Malraux, est plus vraisemblablement un mot d’ordre des loges qui œuvrent à l’instauration d’une nouvelle religion et d’une synarchie d’hommes robotisés.
L’apocalypse égypto-grecque, rédigée à la basse époque gréco-romaine, sans doute à Memphis, par un prophète de l’école de Thôth-Hermès, annonçait la chute de l’humanité dans l’âge noir : « Les hommes préféreront les ténèbres à la lumière, et la mort à la vie… Un douloureux divorce séparera les dieux des hommes, et seuls demeureront les anges noirs ! »
Intéressant, ce mot : « intoxication ». Il nous vient du grec « toxicon », qui signifie le venin, mais un venin inoculé par des flèches. En effet, « toxon » veut dire « arc ». L’intoxication, en son sens premier, désigne donc un acte d’agression volontaire, calculé, et non pas naturel. Un acte destiné à tuer.
Le venin, ici identifié, est le mensonge. Dans la tradition biblique, le mensonge ne se rapporte pas premièrement au discours mais à une action. Il exprime une trahison de la confiance, spécialement contre Dieu qui est fidèle. Le mensonge est ainsi le propre d’une action diabolique tendant à détruire la création divine et à ensevelir avec elle l’humanité elle-même.
M. Breton évoque également une distinction entre le mensonge qu’utiliseraient des politiciens pour protéger leurs citoyens et le mensonge-venin dont il parle. Platon, déjà, distinguait le mensonge « utilitaire » du gouvernant, qu’il identifiait d’ailleurs à un « mensonge en paroles », et qu’il excusait par son utilité protectrice des citoyens ; et le « mensonge véritable », qui consiste à plonger volontairement l’âme d’autrui dans l’erreur, et qui est toujours détestable.5
Tous ces éléments se trouvent ici conjugués. Le mensonge moderne est bien une arme, volontairement maniée par des puissants contre les citoyens de toutes les sociétés occidentales, dont ils trahissent la confiance, afin d’asseoir sur eux leur emprise en empoisonnant leurs esprits. Leurs « flèches » sont tous les vecteurs de propagande, politiques, culturels ou médiatiques qui, par la manipulation, la novlangue ou la persécution directe, fichent dans les esprits et les mœurs le « venin » de la subversion et du mensonge.
Et si nous vous disions que le monde dans lequel vous vivez n’est peut-être pas réel ?
Cela peut sembler tout droit sorti de Matrix, mais selon certains des plus grands esprits du monde, l’idée que nous vivons à l’intérieur d’une simulation informatique sophistiquée n’est pas seulement possible, elle est peut-être plus probable que l’idée que nous vivons dans le monde réel.
Toutefois, il sera probablement beaucoup plus difficile de s’échapper d’une telle simulation que de simplement prendre la proverbiale « pilule rouge ».
Dans un article récent, Roman Yampolskiy, informaticien à l’université de Louisville, s’est penché sur l’idée d’une réalité simulée et, plus précisément, sur la manière d’y échapper.
Moshe Gafni et Yaakov Asher, membres du parti ultra-orthodoxe Yahadout HaTorah, ont déposé un projet de loi qui rendrait l’activité missionnaire en Israël passible d’emprisonnement. Le projet de loi déclare que « les groupes missionnaires, en particulier chrétiens », ont accru leurs efforts de prosélytisme en Israël. Le projet de loi a été critiqué, condamnant une persécution des chrétiens qui croient en Jésus.
La loi a provoqué une tempête principalement dans la communauté évangélique – qui compte 600 millions de membres dans le monde et 60 millions aux États-Unis – et est considérée comme un ami d’Israël et du soutien idéologique de la droite et des colons en Israël.
Message personnel de Véronique Jeanne Lévy qui répondait à une critique de Jacques Attali l'a qualifiant de femme fragile manipulée par l'extrême droite identitaire anti-sioniste. Véronique se décrit comme une femme chrétienne, comme une patriote française, mais affiliée à aucun parti politique.
Un témoignage bouleversant et inspirant d’une femme qui a rencontré le Christ et qui veut le faire connaître au monde.
« Bonsoir monsieur Attali…il paraît que vous avez parlé de moi dans une revue.. vous avez évoqué ma route comme un chemin perdu, celui d’une femme fragile manipulée par l’extrême droite identitaire anti-sioniste… la sœur de BHL comme vous m’appelez s’est radicalisée avec les intouchables… oui je suis devenue une stigmatisée, non pas hélas des saints stigmates du Christ mais de ceux des innommables… les surnuméraires, les furieux, les extrêmes, les édentés, les réfractaires, les vandales, et pourquoi pas les black blocs bientôt…Ou déjà, qui sait? Je suis au Christ Jacquot, au Roi des juifs , de la terre et des Cieux; au Seigneur désarmé et Nu , je suis dingue du très Haut Qui Se fit très bas… et Se cacha dans la chair douce comme du lait d’une vierge de Nazareth. Je suis de Sa famille Jacques, j’ai retrouvé les miens: je suis chrétienne comme l’étaient déjà les prophètes, les poètes et les rois de l’Alliance native… gravée dans la pierre de la loi avant qu’elle ne se fit chair dans le Coeur de Sa miséricorde… aux entrailles maternelles d’un Dieu d’Amour. Il faut que je vous confie un secret… oui je vous l’offre comme le cadeau d’un départ, un présent pour la route, une chanson pour la vie, une berceuse pour traverser la mort: j’attends mon amour, je l’attends, je L’attends… je guette Ses pas… je L’attends. Mon corps est déchiré de la blessure de Sa Lumière et Sa lumière est une épée, la Vérité. Je L’ai épié dans le fin murmure d’un silence pénétrant comme le prophète Elie… je me languis de Sa Présence et je respire à la brise du soir le parfum de Son Souffle… au fil tranchant de Son Verbe… Mais Il Se cache… Et Se dévoile soudain dans le visage défiguré de ceux qu’on assassine sur un cri silencieux, les non nés ou non conçus encore et dont la voix se perd aux coulisses d’une vie exterminée in utéro, ou bien labellisée aux laboratoires privés du triage génétique. Cri silencieux des germes d’hommes congelés aux chambres fortes du planning familial. Mon Bien-Aimé m’appelle au secours aussi dans le sourire dépouillé des vieillards endormis de mort lente, de la « bonne mort » dites-vous, assistés médicalement dans les couloirs de la santé publique… Hélas il n’y a pas assez de lits…. et toutes les croix sont arrachées. Une mort sans croix c’est une mort sans pourquoi, sans fenêtre ouverte, sans les bras du Ressuscité étreignant la solitude et la douleur pour les coloniser de Son éternité et de Sa Paix. Une mort à la sauvette, une mort honteuse, une mort qui se veut propre mais qui pue le chien crevé et les viscères ouvertes comme ces pauvres macchabés de l’université Paris Descartes qu’on a laissé pourrir et qu’on a profanés dans une haine de l’Homme qui ne croit plus au Ciel, qui n’espère plus… programmant l’immortalité car il a peur de Son éternité. Elle le regarde de Ses eaux infinies. Jacques, je ne suis d’aucun parti, d’aucun clan, d’aucune tribu, je m’arracherai la peau avec le matricule anti-viral que vous voulez, vous, les marchands du temple de nos corps, graver dans notre chair… à Son Image et à Sa ressemblance nous furent créés et Son Visage est notre liberté… je suis à mon Amour tout simplement et Il m’appelle toujours plus loin, en eaux profondes dans le silence des vies d’enfants jetées à la poubelle ou bien brûlées comme combustible dans les fours crématoires des hôpitaux anglo-saxons. Et puis je suis de France, car la France voyez vous… ce n’est pas la potée, les binious , les bérets… la France c’est le cœur d’une vierge aussi… une vierge qui dit oui à l’Archange saint Michel… dans les clairières de sa Lorraine natale… La France c’est une Annonciation qui se déploie, du Calvaire à Chinon… de Chinon à toujours… car sa mission à la France c’est de chanter sur la plus haute branche avec saint Irénée et pour le monde entier: « la gloire de Dieu c’est l’Homme vivant! »
La modernité à travers les yeux de la tradition
Passons maintenant à une partie absolument différente de l’anthropologie : la manière dont la philosophie et la science de l’Occident moderne présentent l’homme, son essence, sa nature. Nous commençons presque toujours par des notions modernes, que nous tenons pour acquises (« le progrès est obligatoire »), et à travers leur prisme, nous nous tournons vers d’autres notions, par exemple pré-modernes. Avec un certain degré d’indulgence.
Si tel était le cas, toute anthropologie religieuse, et en particulier sa section eschatologique, apparaîtrait comme une généralisation naïve et arbitraire. Or voici ce qui est intéressant. Si nous regardons de l’autre côté et essayons d’évaluer les théories anthropologiques de la modernité à travers les yeux d’un homme de la Tradition, une image choquante s’ouvrira devant nous.
Si l’histoire est le processus de division de l’humanité en moutons et en boucs, c’est-à-dire l’actualisation finale, à travers quelques étapes successives, de la liberté des hommes à choisir soit en faveur des enfants de la lumière soit en faveur des enfants des ténèbres, alors les derniers siècles de la civilisation de l’Europe occidentale, qui se positionne de plus en plus en retrait de Dieu, de la religion, de la foi, du christianisme et de l’éternité, apparaîtront comme un processus continu et croissant de glissement vers l’abîme, un glissement massif vers le côté Denitsa, un vecteur conscient et structurellement vérifié de lutte directe contre Dieu.
La modernité européenne est la « voie des boucs », c’est-à-dire l’invitation compulsive faite aux sociétés et aux peuples à devenir des boucs émissaires lors du Jugement dernier. La civilisation européenne occidentale de la modernité s’est construite dès le départ sur le rejet de la religion: d’abord par la relativisation de ses enseignements (le déisme), puis par un athéisme dogmatique pur et simple.
L’homme est désormais pensé comme un phénomène matériel/psychique indépendant, porteur de rationalité. Dieu apparaît comme une hypothèse abstraite. Dans la culture New Age, ce n’est pas Dieu qui crée l’homme, mais l’homme s’invente un « Dieu », dans la quête naïve d’expliquer l’origine du monde. Avec cette approche, ni les mondes spirituels ni les anges n’ont de place dans l’existence, toute la spiritualité est réduite à l’esprit humain.
En même temps, l’acte même de la création et l’éternité créée sont rejetés; par conséquent, l’idée de la structure du temps et de l’histoire change : le Paradis et le Jugement dernier sont présentés comme des « mythes naïfs » ne méritant aucune considération sérieuse. L’apparition de l’homme est décrite comme une étape dans l’évolution des espèces animales et l’histoire de l’humanité comme un progrès social graduel menant à des formes d’organisation sociale considérées toujours plus parfaites, avec des niveaux de confort et de développement technologique toujours plus élevés.
Cette image du monde et de l’homme nous est si familière que nous réfléchissons rarement à ses origines ou aux hypothèses sur lesquelles elle repose, mais si nous nous y intéressons quand même, nous voyons qu’il s’agit d’un rejet radical de l’ontologie du salut, d’une volonté d’interdire catégoriquement à l’homme de créer son être dans les domaines propres aux moutons de l’eschatologie. Le paradigme de la modernité tourne le dos à Dieu et au ciel et, par conséquent, se dirige vers l’intérieur.
Il y a un danger croissant de la pratique de l’euthanasie chez les jeunes, comme le montre le cas récent d’Olympe, une jeune femme atteinte de troubles de la personnalité et de psychiatrie qui a annoncé sa décision de mettre fin à ses jours par suicide assisté. Elle a expliqué être fatiguée de vivre avec ses troubles mentaux et son passé difficile, mais cette décision soulève des questions sur l’état de notre société et les options de soins disponibles pour les personnes atteintes de troubles mentaux graves.