« Jésus est le premier personnage qui nous a proposé un système-monde, quelque chose qui est universel, et qui part d’ailleurs d’une double inversion hégélienne, c’est très intéressant : c’est inverser la polarité du judaïsme, qui est quand même un truc élitiste et racial, et en inversant le judaïsme, en faire un truc universel et d’amour, alors que le judaïsme est un religion de haine raciale, c’est une religion de haine et une religion raciale.
Jésus est un juif qui a inversé le judaïsme, pour faire d’un truc de haine raciale un truc d’amour universel, et bien qu’il ait été tué très vite par le Sanhédrin, c’est-à-dire les élites qui ne voulaient pas que les juifs dans un premier temps se convertissent de la haine raciale à l’amour universel, parce que c’est ça l’histoire de la passion du Christ, et ce que nous racontent les Évangiles, et bien qu’il ait échoué en apparence puisqu’il a été mis à mort et crucifié, il a ressuscité au troisième jour, donc ça c’est déjà la croyance religieuse, à la limite je peux m’en passer, c’est qu’en fait son idéologie d’amour universel, qui est la première dans l’histoire du monde, c’est ce que je dis dans mon bouquin, ça n’existe pas chez les Hindous, ça n’existe pas chez les Chinois, voilà, c’est Jésus, eh bien ça s’est propagé dans le monde par l’empire romain par la conversion de Constantin.
C’est-à-dire que ça a été une haine raciale inversée en amour universel qui a été propagée dans tout l’Occident par un empire païen militaire, donc c’est une double inversion hégélienne. »
Une réflexion philosophique sur la dystopie actuelle à partir de la crucifixion du Christ.
« Durant le procès de Jésus, Pilate demanda à la foule, comme c’était la coutume, quel prisonnier il devait relâcher. Il demanda : « Qui voulez-vous que je relâche : Barrabas ou Jésus, appelé le Christ ? » La foule exigea la libération de Barrabas et la crucifixion de Jésus ! Cela en dit long, l’ami. En effet, on en revient toujours à la même histoire : celle de La Boétie. En effet, quand une tyrannie triomphe, c’est plus à cause du peuple qui obéit en masse au tyran qu’au tyran lui-même. C’est la foule qui a réclamé la mort de Jésus alors qu’elle aurait pu le sauver et c’est la foule qui réclame la tyrannie en s’agenouillant devant le tyran et en le soutenant alors qu’elle pourrait dire non. Ces deux dernières années en témoignent. Le message ici est clair : tout ce qui se passera dans les années à venir, absolument tout, sera de ta faute, peuple. C’est toi qui a les cartes en main, c’est toi qui peux choisir de te crucifier ou non. Tes enfants et petits enfants porteront la croix ou les fers aux pieds que tu auras accepté qu’ils portent. Accepté en acceptant l’inacceptable. Mais surtout, accepté en refusant de regarder dans quelle direction tu courais : c’est-à-dire en suivant le mouvement de la foule dirigée par des maîtres malveillants, en fermant les yeux et en te bouchant les oreilles. Peuple, tu n’as pas compris la leçon de Jésus, ni celle de Socrate, ni celle de La Boétie, alors tu revivras le déluge. Tu le revivras pour apprendre comme un enfant qui doit grandir. Telle est la réalité de l’Homme du XXIe siècle : c’est un enfant avec la technologie dans les mains, rien de plus. Un enfant qui envoie des fusées dans l’espace mais qui manque de sagesse. Un enfant qui refuse de méditer sur les messages émancipateurs et qui en paiera le prix fort. Celui de la liberté. »
Cette horreur tue mais aussi se diffuse, tel un nuage dans le monde entier qui devient un peu plus sombre. L’espoir s’en va, le désespoir s’installe partout. La solution est complexe et quasiment insoluble. Rien qu’au niveau idéologique, comment expliquer que trois religions qui ont au départ une base biblique commune, arrivent à s’entre-déchirer. C’est absurde.
Si les grands n’y comprennent rien, comment l’expliquer aux enfants ? Faut-il les laisser dans l’ignorance et l’impuissance toute leur vie ? N’y a-t-il pas un moyen de leur offrir une porte de sortie. Sans entrer dans la théologie ne peut-on pas leur expliquer les choses simplement.
C’est dans cet esprit, que je présente à chaque enfant ce petit problème de calcul mathématique et philosophique.
Combien il y a t il d’enfants dans ta classe et dans ton école ? Combien il y a t il d’écoles dans ton pays et dans le monde ? Combien d’enfants sont allés à l’école depuis 100 ans ? Cela fait un nombre impressionnant. Si chaque heure d’enseignement représente une petite pierre carrée d’un centimètre de coté, qu’elle serait la taille de la pyramide que l’on pourrait construire avec toutes ces pierres ? En réalité, elle est immense.
Depuis la nuit des temps, les parents cherchent à enseigner le meilleur à leurs enfants qui sont tous plus ou moins, avides de savoirs. Si la masse d’enseignements et de savoirs augmentent ainsi naturellement comment se fait-il que le monde reste aussi mauvais, aussi barbare ? Pourquoi ce décalage ? Pourquoi n’y a t il aucune évolution ?
La réponse est liée à la nature humaine. Depuis la nuit des temps, la dignité humaine ne peut s’acquérir que d’une seule manière qui est la reconnaissance de notre propre conscience. Dès que l’homme dit «JE», il a conscience de sa liberté de penser. C’est la condition nécessaire et suffisante pour une reconnaissance totale et entière de la dignité humaine. Il n’existe pas de demi-mesure. C’est d’ailleurs cette simplicité qui garantit l’égalité entre chaque homme.
La liberté est une valeur très particulière. Tout d’abord, c’est la plus simple de toutes les valeurs. Elle est aussi facile à appréhender qu’un mur. D’autre part, elle est universelle dans le monde animal. Même une amibe examinée au microscope cherche à s’échapper de là où on l’a placée. Mais surtout, la valeur liberté est une valeur exclusive. Il est important de noter que le facteur humain importe peu. C’est juste une question de vocabulaire. Par définition, la Liberté ne peut dépendre d’aucune autre valeur. Elle se doit d’être Libre, donc seule.
S’il n’y a pas d’évolution dans la nature humaine, c’est à cause de son rapport avec la valeur liberté.
Notre média a eu le plaisir de recevoir Véronique Lévy à l’occasion de la sortie de son livre intitulé Chœur de chair : Le cœur de l’Eglise est une femme, publié aux éditions Artège. Dans cet interview, Véronique relate son histoire peu commune, depuis son enfance jusqu’à sa rencontre avec le Christ et son baptême. Alors qu’elle craint viscéralement la mort qui guette chacun d’entre nous. Pour conjurer cette peur, elle s’est jetée à corps perdu dans les plaisirs du monde dès l’âge de douze ans, multipliant les petits copains et prenant des risques inconsidérés. Mais sa rencontre avec le Seigneur va tout changer jusqu’à changer son cœur de pierre en cœur de chair.
Dans cette passionnante interview, Véronique Lévy évoque également son engagement contre l’injustice envers les non-vaccinés et le confinement, ainsi que la question délicate de l’avortement.
Cher Monsieur le Tribunal,
J’ai pris connaissance il y a quelques jours de votre décision d’interdire la crèche de Noël traditionnellement installée dans le hall du Conseil Général de la Vendée.
Quelle mouche vous a donc piqué ?
Vous avez fait des études je suppose. Peut-être savez vous donc que Noël vient du latin « Natalis » qui veut dire Naissance.
Alors je vais vous livrer un secret que vous voudrez bien transmettre à vos confrères qui peut-être nagent avec complaisance dans la même ignorance que vous.
La naissance dont-il est question est celle d’un certain Jésus de Nazareth né il y a un peu plus de 2000 ans. je dis ça parce qu’étant donné que vous n’avez pas interdit les illuminations de Noël, je suppose que vous ignoriez ce détail.
Voyez-vous, Noël n’est pas l’anniversaire de la naissance du Père Noël ( je suis désolé si je casse ici une croyance ancrée en vous ) mais bien celle de ce Jésus. Interdire une crèche sans interdire toute manifestation publique de cette fête est aussi stupide que si vous autorisiez la fête de l’andouillette tout en interdisant la consommation d’andouillette le jour de la fête de l’andouillette.
La crèche c’est ce qu’on appelle une tradition. Et ne me faites pas croire, Monsieur le Tribunal, que le principe de la tradition vous est étranger. Sinon comment expliquer que les magistrats exercent leur métier dans un costume aussi ridicule si ce n’est parce qu’il est le fruit d’une tradition ?
[...]
«C'est notre pays, le monde russe, qui a plusieurs reprises dans l'histoire, s’est opposé à ceux qui prétendent aujourd'hui être les maîtres du monde», a déclaré ce 28 novembre Vladimir Poutine, lors d’une allocution aux participants de la XXVe séance plénière du Conseil mondial du peuple russe. «Nous sommes contre une dictature, une hégémonie», a notamment précisé le chef d’Etat. «C’est notre pays qui aujourd’hui est aux avant-postes de la justice mondiale», assure-t-il.
«Sans une Russie souveraine, il n’y a pas d’ordre mondial possible», a-t-il poursuivi, pointant du doigt l’Occident. Face à un pays «vaste et diversifié», dont la «diversité de cultures, de traditions et de coutumes» constitue à ses yeux un «énorme avantage concurrentiel», Vladimir Poutine a mis en garde contre un Occident, qui selon lui «en principe, n'a pas besoin d'un pays aussi grand et plurinational que la Russie, avec ses traditions, ses cultures, ses langues».
Les Occidentaux «sont contre tous les peuples de la Russie»
Des Occidentaux, ou plus précisément des élites occidentales, dont il fustige la vision du monde. «La Russie, ils la considèrent comme une prison des peuples», a-t-il lancé. «La russophobie, d'autres formes de racisme et le néonazisme sont pratiquement devenues l’idéologie des élites dirigeantes occidentales», a estimé le dirigeant russe. Une approche, selon lui, non seulement dirigée contre les Russes, mais également «contre tous les peuples de la Russie».
«N’importe quelle ingérence de l’extérieur – ou toute tentative de générer des conflits religieux – sera combattue», a mis en garde Vladimir Poutine. «Nous lutterons contre le terrorisme comme instrument de lutte contre nous, nous réagirons», a-t-il insisté. «Nous ne permettrons pas de diviser la Russie qui doit être une», a encore assuré le président russe.
En errant sur les réseaux sociaux, je suis à nouveau tombé sur cette étrange pensée de Rudolph Steiner :
« Dans le passé, on a éliminé l’esprit. On éliminera l’âme au moyen d’un médicament. En partant d’une « saine vue des choses », on trouvera un vaccin grâce auquel l’organisme sera traité dès la prime jeunesse autant que possible, si possible dès la naissance même, afin que ce corps n’en vienne pas à penser qu’il existe une âme et un esprit ».
Et plus loin, il évoque des hommes qui découvriront «un vaccin qui puisse dès la prime jeunesse, par la voie du corps, extirper la tendance à la spiritualité».
Je ne connais que très peu l’œuvre de Steiner et le peu que j’en sais ne m’attire pas du tout. Cependant, cette phrase est étonnante et m’a toujours laissé dubitatif. Quel rapport le vaccin pouvait-il avoir avec la spiritualité ? Comment imaginer qu’un produit pharmaceutique puisse détruire l’âme ? Comment une préparation biologique pourrait-elle altérer le principe de la pensée pourtant distinct du corps qu’est l’âme ? Si la spiritualité est cette réflexion qui porte sur les rapports entre le particulier et le Tout, comment le vaccin pourrait-il la saccager ? Quels liens entre l’individu et le Grand Ensemble le vaccin altérerait-il ? Avec quelles conséquences pour l’humanité ?
[...]
À l’issue pacifique de la crise, plusieurs procédures de sauvegarde ou, comme nous les appelons aujourd’hui, des «garde-fous», ont été mises en place pour éviter que la compétition entre les États-Unis et l’Union soviétique pour le contrôle de la destinée humaine ne dégénère soudainement en une guerre chaude. Une «ligne rouge» téléphonique a été mise en place pour permettre aux chefs d’État de se contacter au cas où les actions de l’un ou l’autre camp seraient interprétées à tort comme une attaque nucléaire. Ce dispositif a fait l’objet d’une moquerie célèbre dans le film anti-guerre Dr Strangelove.
Décennie après décennie, au cours du siècle dernier, d’autres garanties procédurales sont apparues sous la forme de traités sur la limitation des armements, puis sur la réduction des arsenaux nucléaires, avec des inspections sur place, le tout dans l’intention de renforcer la confiance entre les deux parties hostiles et méfiantes.
Néanmoins, il est arrivé à plusieurs reprises que seul le sang-froid d’un officier ayant le pouvoir de lancer des missiles, qu’il soit russe ou américain, ait empêché que de fausses lectures radar sur l’activité des missiles de l’autre partie n’entraînent une frappe «préventive», en appliquant le principe «utilisez-les ou perdez-les» à l’égard de l’arsenal qu’il contrôlait. Le fait que nous ayons traversé le XXe siècle sans encombre peut être considéré comme une «chance insensée», comme on dit en anglais américain, ou comme un «miracle», comme le diraient les personnes qui ont foi en Dieu.
Dans ce contexte, je soutiens que ce qui s’est passé hier au Congrès américain est un acte d’intervention divine pour nous sauver de nous-mêmes. Le délai d’avertissement de trente minutes avant qu’un missile balistique intercontinental ne frappe ou le délai d’avertissement d’une heure avant qu’un bombardier nucléaire n’atteigne sa cible, comme dans le cas de Dr Strangelove, est un luxe qui n’existe plus. L’existence de missiles américains à portée intermédiaire dotés d’armes nucléaires aux frontières de la Russie et de missiles russes hypersoniques logés sur de petits navires de surface ou des sous-marins dans les eaux internationales au large des côtes des États-Unis signifie que le délai d’alerte a été réduit à cinq ou dix minutes, c’est-à-dire qu’il n’y a plus de tampon contre les fausses alertes et les lancements automatisés. Si les États-Unis devaient poursuivre leur politique d’escalade en Ukraine, avec l’aide et la complicité des Britanniques et des Allemands, qui viennent d’annoncer leur intention d’introduire des avions à réaction Typhoon ou des missiles TAURUS dans la guerre en Ukraine, nous n’aurions pratiquement aucune chance d’empêcher l’OTAN ou la Russie de passer aux armes nucléaires tactiques, puis stratégiques, ce qui signifierait la fin de la civilisation sur terre.
C’est là que survient l’intervention divine.
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L’étang de la fin ou le lac de la fin correspond à un temps à ne pas négliger. Oups !
En effet, l’expression « la fin des temps » représente une période annoncée depuis environ deux mille cinq cents ans (par le prophète Daniel en premier), et qui est marquée par les Tribulations ou les Epreuves de l’Humanité. C’est une époque difficile, confirmée par le Christ il y a deux mille ans (cf. la petite apocalypse, et aussi plus récemment), et qui devrait durer – dans sa période la plus dramatique – environ trois ans et demi.
Mais, ces tribulations font elles-mêmes partie de la fin des temps qui durent plus longtemps (environ une quinzaine d’années !).
C’est en 2020 que nous pouvons situer le début de la « fin des temps ».
La crise du Covid-19 qui dissimulait l’installation de la 5G, et qui déboucha sur le fait qu’environ 80% des Occidentaux se sont soumis au mal, a été une sorte de cataclysme que la plupart des gens n’ont même pas vu !
La Vierge Marie a beaucoup parlé de la fin des temps lors d’apparitions dans de nombreux pays, depuis plus d’un siècle...
Ce changement dans la personnalité de l’être humain signifie que son « Je » a été « enfermé » dans sa tête, dans son crâne.
Depuis, nous pouvons dire que le « Je » habite principalement le chakra frontal.
Imaginons le « Je » vivant dans la « boule » fermée que constitue le crâne humain, d’une part, « coupé » du monde spirituel, mais d’autre part, également « coupé » du monde extérieur. Bien sûr, ces coupures ne sont pas totales et il suffit de certains efforts de l’être humain pour les abolir.
Nous pouvons donc nous représenter l’Âme céleste (ou Moi supérieur), dans le Monde spirituel, sous la forme d’un soleil rayonnant, par exemple ; en dessous, il y a une ligne « infranchissable », une frontière, puis nous trouvons la tête humaine abritant le « Je », enfermé en elle, et enfin, après une seconde ligne de démarcation, le cœur, d’où partent les membres qui agissent dans le monde...