Le « milliard doré », a concrètement, parasité les autres peuples pendant des siècles, insiste-t-il
« Les élites se remplissaient le ventre de chair humaine et se remplissaient les poches d’argent depuis des siècles»,
« Ils ont mis en pièce les malheureux peuples d'Afrique, ils ont exploité, déchiré l'Amérique latine, exploité les nations d'Asie. Personne n'a oublié cela.»
« Le bal des vampires se termine »
Cette réouverture, loin de célébrer l’héritage catholique de Notre-Dame, participe à un vaste programme de désacralisation. Les élites mondialistes utilisent ce jour sacré pour détourner ses valeurs spirituelles et inverser la signification profonde de l’Immaculée Conception. Ce n’est plus une question de foi ou de dévotion, mais une tentative de profaner l’âme chrétienne de ce lieu millénaire, en imposant une nouvelle idéologie technocratique et matérialiste.
Les travaux de restauration, sous prétexte de modernisation, ont en réalité transformé Notre-Dame en un espace neutre et multiculturel, déconnecté de ses racines spirituelles. Il ne s’agit plus d’une maison de Dieu, mais d’un centre culturel au service d’un agenda mondialiste. Ce projet vise à effacer les racines chrétiennes et à imposer une religion universelle, dépourvue de toute transcendance divine.
L’Immaculée Conception, qui symbolise l’élévation spirituelle et la lumière divine, est pervertie dans cette logique d’inversion. Les élites globalistes remplacent la quête spirituelle individuelle par des rituels collectifs imposés, formatant un "homme nouveau" totalement soumis à leurs agendas. Cet homme nouveau n’est plus tourné vers Dieu, mais vers une entité matérialiste et destructrice, servant des intérêts technocratiques.
La réouverture de Notre-Dame le 8 décembre n’est pas une célébration, mais une étape stratégique dans une guerre spirituelle globale. Derrière les apparences se cache une attaque contre les fondements religieux de nos sociétés, une tentative d’éradiquer la foi chrétienne pour remodeler l’âme des peuples au profit d’un contrôle total.
Ce 8 décembre pourrait bien marquer un tournant historique. Quel sera le vrai visage de cette inauguration ? Découvrez l’envers du décor et les vérités occultées derrière ce projet mondialiste grâce à l’analyse de Marie Pascale Rémy et Nicolas Stoquer, en direct sur Géopolitique Profonde.
La société Aubriat, impliquée dans le traitement des poutres de la cathédrale, a appliqué un gel anti-champignons. Le choix de faire intervenir cette société interroge d’autant plus que le logo de l’entreprise présente des similitudes troublantes avec des symboles ésotériques, renforçant les spéculations sur une conspiration. Cette intervention soulève des doutes sur la sécurité des travaux réalisés sur ce patrimoine emblématique, écho aux controverses historiques liées à la restauration des monuments en France.
Le phénomène de la fumée jaune durant l’incendie, attribué par certains au plomb fondu, a nourri des interprétations plus mystiques. Cette couleur inhabituelle a conduit certains à y voir des signes d’influences occultes, évoquant la symbolique associée à la fumée dans des rituels magiques. Notre-Dame, chargée d’histoire et de spiritualité, est souvent associée à des événements au-delà du rationnel, et son aura a longtemps captivé l’imaginaire collectif. Ces éléments renforcent l'idée que des forces symboliques ou culturelles pourraient être à l'œuvre autour de cet événement.
Enfin, les prophéties de Nostradamus, qui auraient annoncé cet incendie avec une étonnante précision, ajoutent une dimension intrigante. Des interprétations lient même certains passages de ses écrits à Emmanuel Macron et son rôle dans la reconstruction de la cathédrale. L’utilisation supposée d’un langage codé dans ses discours évoque des pratiques ésotériques. Ce drame dépasse donc sa réalité matérielle pour devenir un carrefour d’interprétations mêlant histoire, politique et mysticisme, un sujet qui continue de fasciner et d’alimenter les débats.
On analyse ce sujet important avec Ludovic Malot, Marc Daoud, Frigide Barjot, Andrzej Linowiecki et Mike Borowski sur GPTV.
Ludovic Malot, franco-suisse, est économiste et entrepreneur. Il est un expert sur les fondamentaux d’une monnaie saine adossée à l’or et l’argent métal et détaille dans son ouvrage "Le suicide monétaire", le système actuel frauduleux avec ses nombreuses implications notamment politiques, économiques, financières, sociales et environnementales.
Nous sommes tous d’accord sur la définition du mot renaissance : il s’agit de naître une nouvelle fois, ou naître nouveau. Qui ne veut pas vivre une renaissance dans sa vie, être nouveau ? Et, est-ce possible ?
En langage des oiseaux, nous pouvons entendre ou lire « ren’Essence » = rends essence… ou essence redonnée, ou mise au monde.
Allons plus loin dans cette ouverture révélatrice !
Nous sommes tous d’accord sur la définition du mot renaissance : il s’agit de naître une nouvelle fois, ou naître nouveau. Qui ne veut pas vivre une renaissance dans sa vie, être nouveau ? Et, est-ce possible ?
En langage des oiseaux, nous pouvons entendre ou lire « ren’Essence » = rends essence… ou essence redonnée, ou mise au monde.
Allons plus loin dans cette ouverture révélatrice !
On emploie très souvent l’adjectif essentiel, qui signifie majeur, crucial, à mettre au centre, indispensable. On en parle autant pour des objets que des sujets. Mais on utilise assez peu le nom essence. On a même fait devenir cet adjectif essentiel un nom, qui gomme le mot essence dans le langage : « ceci est mon essentiel ».
On oublie peu à peu l’essence…
On peut parfois la retrouver dans des questionnements : quelle est l’essence de ton projet ? par exemple, et… difficile de répondre à une question que l’on se pose rarement ! En creusant, on va l’entendre comme étant l’origine du projet, ou sa valeur fondamentale, ce qui le fait vivre. Mais c’est tout de même assez rare de nos jours : on emploie davantage essentiel. L’effet produit est que cela focalise sur le résultat, qui est ce dont chacun tient surtout compte de nos jours, car nous sommes dans un monde matérialiste, orienté vers et obsédé par les apparences physiques et les résultats matériels.
Or chercher l’essence requiert de passer au-delà du voile des apparences !
Il est très différent de dire : je vais te parler de l’essence de mon action, et je vais te parler de l’essentiel de mon action ! Quand on dit l’essentiel, on synthétise et on n’aborde que le plus important de ce qui a été agi. Quand on dit l’essence, on s’extrait de l’action, et on revient plus haut, derrière, dans l’invisible, on se retourne vers la source causale, la vie originelle, spirituelle, éternelle, qui a induit qu’une action est ensuite advenue. C’est très différent !
Nous ne pourrons certes pas changer le fait que les gens aient fait disparaitre le nom essence de leur langage courant, en revanche, nous pouvons nous efforcer, en plus de le voir en face, de comprendre pourquoi ce miroir nous est tendu, ce qu’il signifie, et comment le résoudre, au-delà du langage en lui-même.
Présentement, force est de constater, au travers du changement linguistique décrit ci-dessus, que l’on fuit l’essence. Dès lors, le mot essentiel se trouve vidé du nom, du sujet, dont il provient. Eh oui, l’adjectif essentiel provient du nom essence, et sans l’essence, rien ne peut être essentiel, ceci est une lapalissade !
On laisse l’essence dans l’obscurité, dans les confins grisâtres de l’ignorance générale, si ordinaire et acceptée comme normale ! On ne s’y intéresse pas : même le langage le montre ! Avoir une belle copine, c’est essentiel, avoir de l’argent c’est essentiel, réussir sa vie, c’est essentiel… Oui, bravo, on insiste bien sur ce qui est essentiel pour soi, mais « soi »… ? Quelle est l’essence de soi qui réalise plein de choses prétendument essentielles dans sa vie ?
Ne pas connaître l’essence de l’être que « Je suis » n’est pas du tout normal ! C’est symptomatique d’une civilisation qui exclut Dieu de sa vie ! En effet, l’essence de « soi » se définit par la source spirituelle, l’Âme Céleste, ce qui est de l’ordre du divin, de l’éternel, du fondamental.
Agir plein de choses soi-disant essentielles, d’accord… mais si je ne connais pas mon essence, quel est vraiment l’essentiel de mon acte ?
L’adjectif essentiel qualifie l’acte que j’accomplis, dans la mesure où je suis conscient de manifester mon essence. Sinon, ce n’est pas un acte essentiel ! Ou alors, il faut inventer un autre mot pour le qualifier : un acte manqué, par exemple, puisqu’il provient d’un manque d’essence.
De nos jours, 95% de ce que l’on appelle essentiel sont en réalité des mensonges. Et l’on ne s’en rend pas compte, ou l’on ne veut pas. Finalement, très peu de choses sont sincèrement essentielles : même si l’on en prononce le mot, c’est creux, c’est faux !
Et le drame est que c’est surtout à « soi » que l’on ment !
On se pourlèche à prononcer que regarder les informations à la télévision, c’est essentiel, fonder une famille, c’est essentiel, avoir un travail bien rémunéré, c’est essentiel, avoir de belles relations, c’est essentiel, être à la mode, c’est essentiel, avoir des diplômes, c’est essentiel… mais tout est à l’extérieur de « soi » ! C’est comme une coquille vacante, ou nous dirons emplie de rêves, de conditionnements, mais notre essence n’existe pas, elle en est absente !
« Je » ne suis pas dedans, car sans mon essence, la coquille vide, c’est moi : « Je » suis éteint.
Ceci est dangereux, car l’être humain est avant tout un esprit, un sujet divin, une création sublime, éternelle, dont le but est de se révéler en tant que tel sur Terre, en jouant à l’école de la vie, en créant, en aimant, en agissant seul et avec ses frères et sœurs ! Et s’il ne le fait pas, alors… sans son essence de vie, l’être humain perd le sens de sa vie, et par là même, son humanité.
A un moment donné, il se sent en effet vide, à côté de sa vie, épuisé de courir après on ne sait quoi, parfois résigné, voire désespéré. C’est caractéristique, mais personne n’est obligé de continuer ainsi, et ce serait même grave de le faire ! Cela explique pourquoi ce que l’on appelle la matrice, avec ses forces de mort et de destruction, est aussi prédominante ! L’être humain vit sans son essence consciente, il est donc faible, il n’apporte quasiment rien en termes de puissance de Bien pour contrer, avec des moyens vertueux, cette emprise permanente qui cherche sa perte.
En somme, nous dirons que plein de gens sont sur la Terre, oui, en apparence, mais pour autant l’Humanité n’est pas au rendez-vous ! Or il est certain qu’elle aime les rendez-vous… essentiels ! Ne pas les vivre est une vraie souffrance, et la ressentir est salvateur : cela montre que la quête n’est pas si loin… Tout reste possible !
L’important est donc de quêter et trouver : « Quelle est mon essence !? » Ainsi, je pourrai vraiment habiter ma vie de mon essence consciente, et ma vie deviendra enfin… sincèrement essentielle ! Ce sera la clé pour une vie nouvelle, une renaissance !
Pour cela, il existe une méthode : la méditation créatrice, créée par Pierre Lassalle.
Ce n’est pas une baguette magique, mais à la pratiquer régulièrement, il est vrai que la notion de magie ou de miracle prend tout de même un sens plus palpable !
Rencontrer notre essence requiert un recul puissant face à l’attraction de la matière qui, si nous nous y identifions trop, nous projette et nous enfonce loin du divin, de l’Âme.
Or, cette méthode de méditation a justement ceci de particulier qu’elle permet une entrée profonde en soi, qui procure une bienfaisante expérience de détachement vis-à-vis de tout ce qui est matériel : ce qui alourdit et qui est éphémère, futile, utilitaire, extérieur à soi, bref, beaucoup de charge et un état d’esprit focalisé sur le monde physique, alors que ce n’est pas la vraie réalité de l’existence d’un être humain sur Terre.
C’est ce que Pierre Lassalle appelle l’Intériorisation. Ce processus, qui précède et permet l’expérience de la méditation créatrice, a fait ses preuves sur des milliers de personnes, depuis plus de 30 ans. L’Intériorisation permet un déplacement de la conscience, un passage de l’extérieur de soi vers l’intérieur de soi, garantissant que l’être humain qui souhaite vraiment découvrir son essence puisse y parvenir !
Ceci n’est pas une simple vue de l’esprit, encore moins du channeling, de la médiumnité, ou autre méditation orientale, ou de pleine conscience ou de rêve éveillé, ou autres : c’est totalement différent, et donc unique !
Il s’agit de créer en soi une nouvelle arche, pour rejoindre son Soleil intérieur, sa Source spirituelle : son Essence avec un E capital ! C’est comme un pont que l’on construit en soi, et qui permet de traverser les apparences physiques, pour pénétrer dans sa profonde intériorité.
Pour ce faire, la méditation créatrice se pratique non pas dans le corps physique, mais dans le corps éthérique, le corps de la vie (corps vital ou énergétique). Pénétrer dans cet univers intérieur permet de se ressentir vivant, certes, et aussi de ressentir sa vraie appartenance, sa vraie patrie, et… sa vraie essence !
C’est une méthode qui est enseignée en stage, en direct, pour amplifier cet aspect vivant.5 Elle permet de lâcher l’éphémère pendant le temps de la méditation, et d’apprécier ce qui est vraiment vital, pour ensuite l’amener dans sa vie de tous les jours.
Certes, c’est une façon de se détacher du monde extérieur, mais comme elle s’appelle méditation créatrice, il s’agit aussi de cultiver une dynamique intérieure, de façon à créer une relation avec sa partie divine… son essence… qui existe vraiment ! Elle vit dans le monde spirituel, et chacun a la chance et les moyens de se relier à elle par le biais de son corps éthérique. C’est pourquoi cette méthode de méditation est unique et vitale, car justement elle se pratique dans le corps éthérique !
C’est une révolution en termes de méditation ! Elle est sans comparaison aucune.
Ainsi, lorsque l’on vit l’Intériorisation, et que l’on se retrouve dans son corps éthérique, (dans son cœur éthérique, ou chakra du cœur), l’on a ce ressenti suprême de se retrouver « chez soi », et l’aspiration à rejoindre ses hauteurs célestes devient évidente.
Bien sûr, cela demande des efforts de concentration, de dynamisation de la pensée, d’élévation de conscience, mais les questions Qui suis-je ? ou D’où viens-je ? ou Quelle est mon essence ? émergent par le fait même de cette reconnaissance que « Je » ne suis pas qu’un corps, « Je » suis un esprit : dans le corps éthérique, ceci est une certitude, une reconnaissance, « Je » le ressens, « Je » le vis !
Par la suite, ce sera une démarche de dévoilement conscient et persévérant : quelle est, ou qui est mon essence ? C’est un jeu d’exploration !
Autant l’on a fait le tour de son corps physique, autant le corps éthérique est inexploré ! C’est paradoxal au fond : il nous permet d’être en connexion, en proximité avec notre vrai monde, le monde spirituel, mais en même temps, nous y intérioriser en conscience, voici qui est nouveau !
C’est très unique : dès la première reliance intime avec sa Source spirituelle… oh, comme elle est bouleversante cette vie divine qui est « soi » ! Ce n’est pas une vague énergie, ni quelque chose de rêvé ou intellectualisé, non, c’est réel, c’est vrai et c’est Soi de toute éternité !
Chaque expérience dans le cœur éthérique, l’une après l’autre, ôte tous les doutes et sentiments de vide et de désespérance.
[...]
ils ont toujours, pour leur malheur, raison trop tôt ; ceux qu’on appelle complotistes sont ceux qui devinent à l’avance les projets des comploteurs.
La lobotomisation des populations par l’Ordre mondial qui fut particulièrement efficace en Europe et surtout en France, n’a pas débuté en 2020 avec la pseudo-pandémie et le pseudo-vaccin, qui étaient tous les deux des instruments destinés à réduire les populations et à initier l’hybridation homme-robot voulue par les transhumanistes. Cette date indique juste le moment où « l’élite » mondialiste actuelle, héritière des sectes satanistes qui l’ont précédée, a jugé qu’il était temps de donner le coup de grâce final, les peuples ayant été suffisamment désinformés depuis des décennies, des siècles et des millénaires.
54 secondes de lecture, 90% de lecteurs en moins
A partir de cet instant, c’est-à-dire 54 secondes de lecture, j’ai déjà perdu 90% de mes lecteurs potentiels.
C’était exactement mon but ; si ces 90% n’ont toujours rien compris à l’énorme manipulation dont ils sont les victimes, il n’y a plus grand-chose à tenter pour qu’ils ouvrent enfin les yeux. D’autant plus que les mondialo-satanistes ne cachent plus rien de leurs projets !
A la vérité, ce n’est pas tant qu’ils sont stupides ou non-éduqués puisqu’on trouve parmi eux, et même en majorité, des gens ayant reçu une instruction supérieure, mais c’est parce qu’ils refusent absolument de se remettre en question et de sortir de leur « zone de confort » (comprenez: de leur fauteuil et de leur télé installée au beau milieu de leur salon), ce qui ferait d’eux des révolutionnaires éventuels.
Je ne m’adresse donc qu’aux 10% restants (soyons optimistes, à l’échelle planétaire, ça fait quand même 800 millions d’individus et, à l’échelle française 7 millions !)
Où sont passés les Gaulois ?
Il est vraisemblable que ce qui les a le plus choqué (je parle des 90% qui ont renoncé à poursuivre la lecture de cet article au-delà de ces 54 secondes), c’est que je fais remonter à des millénaires le début de leur endoctrinement que je situe au début de l’Âge de fer, le kali-yuga, le début de notre fin de cycle indo-européen, qui correspond, est-ce un hasard ?, aux débuts de l’écriture, vers 4500 avant notre ère.
Les historiens ne remontent guère leurs recherches au-delà de 800 ans avant J.-C., tout ce qui précède étant considéré, à peu de choses près, comme de la préhistoire, quelque chose de très flou, en gros, l’âge des cavernes, où les hommes ont seulement appris, en plusieurs millions d’années, à lever un gourdin pour pouvoir se nourrir et à dessiner quelques animaux sur la paroi de leurs grottes ; les historiens officiels laissent donc alors la place aux élucubrations de leurs collègues tout aussi officiels que sont les archéologues et anthropologues qui sont censés remonter le temps indéfiniment grâce aux vestiges qu’ils vont analyser pour trouver l’origine du monde, de la Terre et de ses habitants ; ainsi, les « historiens » ne connaissent de l’Histoire du monde que le dernier moment de notre cycle final, celui où tout est déjà en décomposition depuis longtemps et leurs collègues archéologues et anthropologues tournent en rond, butant sur les mêmes vestiges, la plupart des grandes civilisations passées ne laissant aucune trace de leur passage, comme ce sera le cas de la nôtre.
Les études historiques s’apparentent à la rédaction d’un journal, un quotidien, qui recense les faits divers et les vies et actes des hommes responsables de ces faits divers quand ils n’ont pas leur source dans des phénomènes naturels.
L’Histoire officielle, ou profane, que certains considèrent comme une science, n’est donc que la relation de péripéties et d’anecdotes plus ou moins superficielles qui engagent les hommes et la nature, mais qui ont quand même un intérêt, celui de permettre de comprendre, comme les symptômes d’une maladie à venir – une éruption de boutons, par exemple - les mouvements de fond invisibles qui vont surgir à la surface comme paliers de la grande Histoire cyclique ; ces alertes constituent, pour un individu, l’avertissement qui lui est donné de procéder à des changements quelquefois radicaux dans ses habitudes de vie, et, sur le plan civilisationnel, pour une société tout entière, d’avoir à changer de cap au risque d’un écroulement, lent ou soudain.
La majorité des humains ne prend comme étalon du temps que la durée de leur propre vie, à l’heure actuelle approximativement 85 ans, les historiens profanes remontent à 10 fois plus loin en arrière. Les primordialistes – tenants de la Tradition primordiale -, eux, s’appuyant sur la durée des cycles naturels, ceux des civilisations, l’observation des mouvements stellaires et les connaissances transmises par les sociétés traditionnelles, élargissent considérablement leur vision du monde en estimant qu’il est plus sage de se référer à un autre étalon temporel qui est la durée de notre grand cycle, le Manvantara, qui a commencé il y a 64.800 ans.
Les analyses et découvertes des historiens, des archéologues et autres anthropologues profanes n’ont qu’une crédibilité limitée du fait que leur démarche est fondamentalement faussée, et va même à l’inverse de la réalité; elle se base sur les découvertes techniques qui se sont succédé en avalanche à la fin du 19e siècle en même temps qu’est apparue la théorie évolutionniste de Darwin sur l’origine simiesque de l’Homme. Ces pseudo-scientifiques se sont alors convertis à la religion scientiste du progrès qui a remplacé le christianisme à bout de souffle, fondant leurs théories sur une évolution qui va du pire au meilleur alors que l’on constate exactement le contraire lorsqu’on observe les lois naturelles et que le cycle qui s’achève procède, comme tout ce qui existe sur Terre, d’un déroulement involutif du temps et de la grande Histoire cyclique qui va du meilleur au pire, de la spiritualité à la matérialité, de la connaissance à l’ignorance, du bien au mal, de l’ Âge d’or à l’Âge de fer avant de recommencer un nouveau cycle.
L’instruction qui a été donnée à nos enfants procède de cette involution, puisqu’on peut dater l’organisation de l’école telle qu’on la connaît aujourd’hui à cette fin du 19e siècle avec les lois instaurées par Jules Ferry (photo); même si la qualité de l’instruction française, hors cette anomalie fondamentale, s’est maintenue à un très bon niveau – inévitablement superficiel cependant - jusqu’au milieu du 20ème siècle, exactement jusqu’à mai 68. Elle n’a cessé de se dégrader depuis au fil de l’inaction des ministres de l’Education nationale qui se sont succédé jusqu’à nos jours dans l’unique but de la faire disparaître.
Et c’est ainsi que Marion Maréchal, fondatrice d’une grande école, a pu déclarer le 8 octobre 2024 sur Cnews : « Nous affirmons notre droit à la continuité historique et notre attachement à notre héritage grec, romain et chrétien », oubliant que notre héritage direct n’est ni grec, ni romain, ni chrétien, mais venant de nos ancêtres les Gaulois, la plus grande composante du peuple celte établie sur un territoire supérieur à celui de la France actuelle, dont cette jeune femme d’origine bretonne ne devrait pas avoir à rougir. Car, même si nos ancêtres n’ont pas construit d’aqueduc ni d’amphithéâtre, même s’ils n’ont pas laissé des ouvrages d’histoire ou des recueils de poèmes, les Romains ont pu les envahir grâce aux routes construites par les Gaulois, et ont pu apprendre à cultiver la terre avec la charrue inventée par nos ancêtres; si les Gaulois n’ont pas laissé d’œuvre écrite, ce n’est pas parce qu’ils ne connaissaient pas l’écriture, c’est parce qu’ils privilégiaient l’enseignement par l’effort de la mémoire, et aussi, parce qu’ils étaient de grands orateurs. De même, s’ils n’ont pas laissé d’œuvre architecturale ni de statue, c’est parce qu’ils confectionnaient leurs maisons et leurs icônes en bois.
La sagesse et la spiritualité de nos druides était universellement respectée et leurs connaissances saluées jusqu’en Inde; Pythagore y a puisé l’essentiel de son enseignement. Mais le pays de Descartes, ce philosophe qui assimilait les animaux à des machines (ça n’était déjà pas de très bon augure !), a toujours préféré le rationalisme grec et la force romaine comme fondements de sa société.
En fait, les Français ont toujours privilégié ce qui vient d’ailleurs, même si ces apports extérieurs constituent certaines composantes de l’esprit de notre peuple, je pense, là, surtout au christianisme -heureusement- européanisé. Et, pour être un peu plus critique, je pense aussi à la propension peu louable, qui nous vient également des Gaulois, à la collaboration, oui, comme celle que les Français ont pratiquée sans vergogne pendant la deuxième guerre mondiale, penchant peu glorieux qui a vu le jour avec les « Gallo-Romains », c’est-à-dire la soumission à l’envahisseur, qui consiste à pratiquer une xénophilie teintée d’admiration béate pour l’étranger qui ne vient pas toujours avec les meilleures intentions du monde ; dans ce contexte, l’islam qui, justement, signifie « soumission », a de belles perspectives d’avenir en France.
Ceci pour montrer que même une Marion Maréchal, a priori opposée à l’invasion étrangère, a été suffisamment bernée par l’éducation reçue jusqu’à en oublier ce qui constitue – qu’on le veuille ou non - la colonne vertébrale du peuple français, sa marque de fabrique : son origine gauloise.
Cette origine n’est pourtant pas si lointaine et s’inscrit même dans le laps de temps auquel ont accès les historiens profanes puisque les premiers Celtes font leur apparition en Gaule au 6e siècle avant notre ère. Pourquoi cet ostracisme ? Pour nous couper de nos véritables racines.
Cette anecdote sur Marion Maréchal n’est que l’un des aspects négatifs de l’action, ou de la pensée, de cette jeune femme qui a déjà vendu son âme au diable puisqu’elle est, comme sa tante, réceptive à toutes les consignes édictées par l’Ordre mondial (voir nos articles : Voyage en Absurdie, les députés européens votent pour la guerre contre la Russie et aussi : Traditionalistes contre globalistes : le grand chambardement planétaire.)
Il est vraisemblable que le prochain but de cette ambitieuse politicienne sera de remplacer Marine Le Pen dans ses mêmes fonctions et de continuer son œuvre de détournement du vote de plus de 10 millions de Français qui croient encore naïvement que l’une comme l’autre vont accéder au pouvoir afin d’exaucer leurs vœux. Elles ont bien d’autres chats à fouetter (ou à caresser).
On se rendra compte que, par ce biais, ce ne sont pas seulement les Gaulois qui seront passés à la trappe mais leurs descendants lobotomisés de l’après-2020, à savoir les Français eux-mêmes.
Cette présentation nous permet également de montrer que Macron n’a pas grand mérite à revendiquer la destruction de la France, dans son corps et dans son esprit: le gros du travail a été fait bien avant son arrivée au pouvoir; il n’a eu qu’à pousser ce qui allait tomber. Il est une sorte d’exécutant des basses œuvres, en clair, on appelle ça un bourreau.
Le règne du démon
J’ai souvent démontré que Titan et Satan ont la même origine sémantique et même fonctionnelle, les deux faces d’une même médaille, tous les deux rêvant de remplacer Dieu sur Terre, le premier travaillant dans le cadre de la société traditionnelle afin de la corrompre dans le déchaînement technologique et robotique qui est l’apanage de la matérialité, du « progrès », et le second, créature maléfique issue des religions du Livre, attendant l’heure de se manifester au grand jour et de se proclamer roi de ce monde, en tout cas roi du monde cauchemardesque pour les humains qui se met en place.
Satan a déjà commencé à activer ses réseaux d’adeptes de par le monde; les cérémonies ouvrant et fermant les J.O. sont là pour le prouver ainsi que les divers spectacles offerts par les saltimbanques satanistes qui rassemblent, chacun, des dizaines de milliers de fans (fanatiques). Actuellement, ce sont les scandales à connotation pédophile, impliquant certains membres de « l’élite », qui sont révélés de plus en plus nombreux comme l’éclosion de fleurs vénéneuses qui surgissent brusquement de la pourriture des profondeurs [1].
C’est l’action de ces frères jumeaux, Satan-Titan, et celle de leurs suppôts au travers de diverses sectes pendant de nombreux siècles qui a produit cette dégénérescence, voire cette disparition à court terme, dont nous sommes victimes.
Ce qui se passe réellement, en ce moment même, est hors de portée de compréhension de nos concitoyens patelins.
Il me faut encore recourir à l’aide de nos ancêtres les Gaulois qui pensaient qu’il existait trois mondes : celui d’en bas, celui d’en haut et le leur, celui qu’ils co-naissaient et dont ils s’appropriaient le sol pour l’enrichir de leurs labours et de leurs moissons: la surface de la Terre.
Celui d’en bas est le royaume de Satan, tapi jusqu’à présent dans les profondeurs de la planète, secondé d’une manière plus voyante par son compère Titan qui ne cesse de ravager, par ses constructions et implantations artificielles tapageuses et polluantes, la terre de nos ancêtres qui étaient essentiellement des artisans et des paysans jusqu’à une période encore récente.
Il y eut un tournant décisif lorsque le diable est sorti de sa boîte en 2020, accompagné de sa cohorte de zombies.
J’ai dit et répété maintes fois que de l’inférieur ne peut naître le supérieur, que le monde spirituel est supérieur au monde matériel, que le grand privilège du monde d’en haut, le monde spirituel, est d’avoir la capacité de descendre s’il en est besoin alors qu’il est strictement impossible au monde d’en bas, le monde matériel, de monter sans autorisation du monde spirituel; c’est pour cette raison qu’il est utopique pour les titano-satanistes de penser gagner la guerre des deux mondes qu’ils ont bien imprudemment déclenchée.
C’est vrai qu’ils auront quand même un avantage: la guerre, du fait de l’impossibilité du monde d’en bas de monter, se fera sur le terrain qui est le leur, qu’ils partagent avec l’Humanité dont ils ne rêvent que de se débarrasser.
Diable ! Le moment est arrivé où je viens de perdre encore 90% des 10% de lecteurs qu’il me restait à convaincre. Nous en sommes donc désormais à 1% de lecteurs capables de nous suivre. C’est amplement suffisant pour continuer.
Une nouvelle génération d’éveilleurs
Le monde des étoiles appartient au monde d’en haut. C’est une lapalissade.
Nos ancêtres ont observé le ciel pendant des millénaires (ils ne se contentaient pas de gribouiller au fond de leurs cavernes) ; leurs connaissances en astronomie étaient même quelquefois supérieures à celles de nos savants contemporains, et ils disposaient de bien d’autres pouvoirs inaccessibles aux petits hommes d’aujourd’hui obligés d’inventer des prothèses, comme tout ce qui a trait au domaine de la technologie, pour remplacer ces pouvoirs perdus.
Même l’intelligence devient artificielle ; ces petits hommes en sont fiers [2], qui considèrent cette I.A. comme l’aboutissement de leurs recherches et leur ultime espoir de pouvoir transformer les hommes en robots.
L’I.A. ne pourra pourtant jamais remplacer cette petite flamme qui brille en chaque être humain depuis la nuit des temps et qui le relie, comme un héritage précieux et permanent, aux origines de la vie, aux origines de l’Homme, aux origines du monde, mais aussi aux origines de lui-même, cette petite flamme transmise, concrètement et symboliquement, de génération en génération pendant plus d’un millier d’années par les vestales romaines, qu’ont évoquée quelques grands penseurs, dans des registres bien différents, comme Jean Giono, ou René Guénon [3].
Une amie m’a conseillé de regarder les vidéos d’un jeune astrologue qui reprend cette idée dans une vidéo qu’il intitule : Message pour la Résistance de 2050 ; il assimile cette petite flamme à ce qui constitue la partie immortelle de l’être humain, l’âme, à travers la succession des vies passées et à venir, sans pour autant prononcer le mot de « réincarnation », peut-être pour ne pas effaroucher ses auditeurs. Il rejoint nos propos sur le sujet en prédisant que cette petite flamme sera la seule issue de secours contre les projets funestes que nous a concocté l’Ordre mondial.
C’est encore dans cette vidéo qu’il explique que la séquence « vaccin », ou plutôt « pseudo-vaccin », de 2020 était surtout destinée à inaugurer le cycle d’intrusion du projet totalitariste dans ce que l’être humain a de plus intime : l’intérieur de son corps et il démontre de façon magistrale que l’Intelligence artificielle n’aboutira qu’à nier le statut même de l’être humain qui, passant par l’hybridation, sera progressivement transformé en robot [4].
Le titre de cette vidéo suggère que la partie de l’espèce humaine qui ne s’est pas soumise aux injonctions du Système finira par se révolter et casser le processus de robotisation dans les années 2050. Il nous paraît que cette échéance est bien lointaine et que l’auteur de cette vidéo ne tient pas compte de l’accélération qui se produit en fin de cycle, si tant est que son analyse astrologique intègre le principe même d’un temps cyclique, une notion naturelle issue de l’observation des cycles des végétaux, des animaux, des saisons et des astres qui était commune à toutes les anciennes civilisations traditionnelles dont se réclament les primordialistes, avant que cette notion ne soit abandonnée pour celle, toute artificielle, d’un temps linéaire (un début-une fin) avec l’arrivée des religions du Livre.
Cet astrologue nouvelle génération s’appelle François Barthomeuf (photo), il anime un site consacré à l’astrologie [5] où il propose notamment des cycles de formation à cette discipline qui constitue l’une des plus anciennes sciences sacrées (avec l’astronomie ou l’alchimie, entre autres).
Les Chaldéens mésopotamiens sont les plus anciens sages connus ayant exercé cette discipline et l’ayant transmise de par le monde.
Diodore de Sicile écrit ceci, à leur propos, dans son ouvrage Bibliothèque historique :
« Les Chaldéens enseignent que le monde est éternel de sa nature, qu'il n'a jamais eu de commencement et qu'il n'aura pas de fin. Selon leur philosophie, l'ordre et l'arrangement de la matière sont dus à une providence divine ; rien de ce qui s'observe au ciel n'est l'effet du hasard ; tout s'accomplit par la volonté immuable et souveraine des dieux. Ayant observé les astres depuis les temps les plus reculés, ils en connaissent exactement le cours et l'influence sur les hommes, et prédisent à tout le monde l'avenir. »
Lorsqu’on s’aventure sur Wikipedia, désormais totalement sous la tutelle du Système, on s’aperçoit que l’article consacré à l’astrologie a été parasité par ce qu’on appelle les officines de « vérification », en fait, la nouvelle Inquisition qui frappe d’excommunion (ou d’excommunication) toute idée ou propos qui ne s’insère pas dans le politiquement correct établi par l’Ordre mondial et nos nouveaux maîtres titano-satanistes. Mais leur intervention est tellement caricaturale qu’elle enlève toute crédibilité à leurs propos, jugez-en vous-mêmes : « L'astrologie est considérée comme une pseudoscience relevant du charlatanisme, une croyance indûment présentée comme scientifique, ou comme une superstition. L'astrologie se place, par sa méthode même, en dehors du domaine rationnel ou scientifique. Ses prétendues capacités prédictives ont été réfutées par diverses études scientifiques. »
En quatre lignes, tous les mots-clés propres à effrayer le « progressiste » moyen y sont: pseudoscience, charlatanisme, croyance, superstition.
Nous pouvons en déduire que le Système sait parfaitement où sont ses ennemis. Cela nous conforte dans l’idée que nous sommes sur la bonne voie.
François Barthomeuf consacre trois autres vidéos au thème astral d’Emmanuel Macron qui nous apportent de surprenantes révélations :
Episode 1 : Pluton et le thème d’Emmanuel Macron [6]
Macron est arrivé au pouvoir en se cachant sous un masque, ce qui est l’une des caractéristiques de ceux qui sont marqués par la planète Pluton. Mais François Barthomeuf avait détecté, dès son accession à la Présidence, sa véritable personnalité qui est celle d’un dictateur en potentialité.
Le pouvoir va mater férocement les premières révoltes (Gilets jaunes, paysans).
C’est le règne du mensonge et de la dissimulation qui atteindra son apogée avec les premières mesures vexatoires envers le peuple sous couvert de pseudo-pandémie en 2020 ; les macronistes en profitent pour démanteler les structures financières et économiques de la France et vendre à l’encan nos pépites industrielles.
Episode 2 : Le Monarc [7]
L’anagramme de Macron dévoile sa véritable ambition : Monarc ; Macron se dénommera lui-même Jupiter, le roi des dieux, ce qui est conforme à sa mégalomanie.
Dans cette phase, où les citoyens commencent à montrer les dents, Macron va s’ingénier à fragmenter les revendications et à dresser les différentes fractions sociales les unes contre les autres pour gagner du temps avant que le peuple, dans son ensemble, ne s’aperçoive qu’il a affaire à un pouvoir totalitaire et que les élites ne sont pas du tout bienveillantes envers lui mais, bien au contraire, qu’elles ne visent qu’à le détruire.
Episode 3 : Révolution de 1789 et Révolution de 2026 [8] :
François Barthomeuf évoque une configuration exceptionnelle en mars-avril 2026 qui annonce des bouleversements décisifs en France : c’est Pluton dans le signe du Verseau opposé à Jupiter dans le signe du Lion ; quand on remonte le temps, la seule conjonction identique se situe en… juillet 1789 !
François Barthomeuf évoque aussi à la même époque l’éventualité d’un procès de Macron, suite à ce qui paraît s’annoncer comme une Révolution, mais il nous fait remarquer qu’il faut aussi, pour que cette Révolution réussisse, qu’elle soit menée, d’en haut, par un personnage qui disposerait « d’une légitimité morale, par rapport à la France, un nom qui résonne à l’oreille des Français, qui dépasse les clivages des partis, qui réunisse toute la population française fragmentée au travers d’une vision philosophique (spirituelle ?) pour la France. »
J’ai pensé, en lisant ce portrait, à Pierre De Gaulle, petit-fils du Général, personnage de caractère mais discret, aux idées pleines de bon sens et de sagesse, suffisamment jeune (61 ans) pour exercer de hautes fonctions. Encore une fois, c’est en lisant sa biographie éditée par Wikipedia que je me rallie, par contrecoup, à l’éventualité de sa candidature.
En effet, les rédacteurs de Wikipedia, anonymes, bien sûr, ont montré, en rédigeant cette biographie, leurs aspects les plus répugnants, car elle ne peut pas être plus infâme pour cet homme qui, me semble-t-il, mérite le respect. Le Système fera tout pour qu’il ne puisse pas constituer un recours le moment venu.
Je me suis aussi intéressé à François Barthomeuf parce qu’il pourrait représenter l’un de ces nouveaux éveilleurs de conscience que nous appelons de nos vœux. L’un de ceux que Julius Evola appelait les « êtres différenciés », susceptibles de préparer le nouveau cycle qui s’annonce.
Préparer les germes du cycle futur
Pour expliquer pourquoi j’ai accepté, sans trop de chagrin, que certains de mes lecteurs ne me suivent plus à tel moment de cet article, je voudrais rappeler que René Guénon disait, dans Le Règne de la quantité que les événements qui vont inévitablement advenir « ne pourront pas être compris par la généralité, mais seulement par le petit nombre de ceux qui seront destinés à préparer, dans une mesure ou dans une autre, les germes du cycle futur. Il est à peine besoin de dire que, dans tout ce que nous exposons, c’est à ces derniers que nous avons toujours entendu nous adresser exclusivement, sans nous préoccuper de l’inévitable incompréhension des autres ».
D’autre part, le présent article est constitué de plusieurs strates ; son titre évoque la guerre que se livre depuis bien longtemps les forces d’en haut et les forces d’en bas, pour simplifier, celles du bien et celles du mal. Les propos de François Barthomeuf évoquent plutôt celles du milieu, qui sont à la surface de la Terre qui est le domaine des hommes et que veulent conquérir celles du bas, en éliminant tout simplement ses habitants ou en les transformant en esclaves ou en robots.
Les cyclologues savent qu’une fin de cycle voit toujours le déchaînement à la fois des forces surnaturelles, celles des hommes et celles de la nature.
Les fins de cycle décrites par Mircéa Eliade sont souvent liées à des déluges ou à des catastrophes naturelles, mais bien souvent aussi couplées à des guerres entre les peuples ou entre des forces invisibles, selon les traditions du monde. Il semble bien que, pour la première fois, il pourrait s’agir aussi - en plus - d’une guerre entre les élites au pouvoir et leurs propres peuples à un niveau planétaire, ces élites ayant fait alliance avec les forces d’en bas, que nous appelons titano-satanistes.
François Barthomeuf situe en 2026 une possible révolution en France, un auteur primordialiste chrétien, Jean Phaure (1928-2002), également astrologue, situe la fin de notre cycle en 2030 [9], de même que Nicolas de Cuse (1401-1464). Ces deux dates sont fort proches ; s’agirait-il du même événement, celui de 2026 à l’échelon local, amplifié quatre ans plus tard à l’échelon planétaire ?
L’avenir nous le dira.
Pierre-Emile Blairon
Le mot « karma » provient du sanskrit kárman (« action, travail »), de la racine verbale kṛ (« faire, agir, créer »). Dans les Evangiles et autres textes sacrés, on le retrouve aussi sous le terme « œuvre ».
Il y a karma lorsque l’individu provoque inconsciemment une réaction et qu’il a perdu conscience de la cause lorsque l’effet se produit.
Le karma et l’entre-deux vies
Une fois notre vie achevée, nous reverrons notre vie à l’envers dans la sphère (spirituelle et invisible) de la Lune, et nous nous engagerons à régler une part de notre karma durant notre vie future. Ce karma sera ensuite élaboré durant notre entre-deux vies par des entités très élevées du monde spirituel, connues sous le nom de « Seigneurs du Karma ». Il en sera de même des actes de bonté dont nous aurons fait preuve, qui seront également élaborés pendant notre entre-deux vies dans les sphères supérieures à celle du Soleil.
Lorsque nous nous réincarnerons, nous nous retrouverons face à notre karma, et c’est à notre Ange gardien que sera confiée notre destinée, afin que notre karma se manifeste au mieux de nos intérêts spirituels, et au bon moment.
Nous intéresser à notre karma revient à nous poser ces questions : « Pourquoi ai-je vécu mes relations ainsi ? » – « Pourquoi ai-je vécu ces épreuves plutôt que d’autres ? » – « Pourquoi ai-je ces dons ou capacités plutôt que d’autres ? »
Le karma repose sur la responsabilité.
[...]
La fin des temps est une chaîne YT consacrée à l'avenir de la France selon les prophéties chrétiennes et comment se préparer aux fléaux annoncés par de pieux visionnaires comme Padre Pio, le curé d'Ars, l'abbé Souffrant, Marie Julie Jahenny, Anne Catherine Emmerich, avant le règne de paix du Sacré-Cœur de Jésus et du Cœur Immaculé de Marie dans quelques années.
Découvrez cette première entrevue d’une série inédite avec Pierre Lassalle, auteur du livre « Marie, Apôtre du Christ » (éditions Terre de Lumière, 2024)
Alors que je suis assise ici, réfléchissant au chaos qui semble engloutir chaque aspect de notre existence, il est difficile d'ignorer les parallèles entre cette sagesse ancienne et la folie moderne qui sévit de manière incontrôlable à travers le monde.
Une première version de l'expression apparaît dans les vers 620-623 de la pièce Antigone de Sophocle : τὸ κακὸν δοκεῖν ποτ᾽ ἐσθλὸν τῷδ᾽ ἔμμεν' ὅτῳ φρένας θεὸς ἄγει πρὸς ἄταν ; traduit par « Le mal apparaît comme un bien dans l'esprit de ceux que Dieu conduit à la destruction ». Et puis, dans La République, Platon (380a) cite un fragment attribué à Eschyle : θεὸς μὲν αἰτίαν φύει βροτοῖς, / ὅταν κακῶσαι δῶμα παμπήδην θέλῃ ; traduit par « Dieu implante le crime chez les humains / Quand il veut ruiner complètement leur maison ».
Au cours de mes recherches approfondies, qui s'étendent sur plusieurs décennies et portent sur de multiples sujets et ouvrages, je me suis souvent penché sur l'idée que l'orgueil démesuré et la folie collective de l'humanité pourraient bien être les précurseurs de sa destruction. Dans The Apocalypse: Comets, Asteroids and Cyclical Catastrophes [L'Apocalypse : Comètes, astéroïdes et catastrophes cycliques - NdT], j'ai exploré la notion selon laquelle les forces cosmiques, qui échappent à notre contrôle, ont toujours joué un rôle important dans le destin de notre planète et de ses habitants. Mais ce ne sont pas seulement les corps célestes que nous devons craindre ; ce qui pourrait finalement nous mener à notre perte, c'est notre folie intérieure, car un aspect « stimulus-réponse » semble être à l'œuvre dans ce processus de destruction cosmique.
INTENTIONS CÉLESTES
En parcourant les piles de livres sur l'archéologie, l'Histoire (supposée et raisonnablement reconstituée à partir des données), et surtout les apports qu'offrent les sciences telles que l'astronomie, la géologie et la génétique, lesquelles devraient correspondre précisément à l'archéologie et à l'Histoire - mais ne le font généralement pas pour de nombreuses raisons -, afin de rassembler le matériel pour mes différents livres, la seule chose qui est devenue de plus en plus évidente est que, encore et toujours, cette planète a été bombardée par divers types d'impacts, le plus commun étant l'explosion aérienne de fragments de comète de type Toungouska. Ces catastrophes ont à plusieurs reprises mis à genoux des cultures, des nations, voire des civilisations. Des âges sombres en résultent inévitablement et, lorsque la société humaine commence à se reconstruire, des mythes sont créés, des religions naissent ou renaissent avec des torsions et des distorsions et, invariablement, les faits qui se sont produits lors de la précédente ère de destruction sont dissimulés sous des voiles de métaphores et d'allégories.
Pourquoi ? À quel genre de déraison avons-nous à faire ?
C'est en fait très simple. Historiquement, lorsqu'un peuple commence à percevoir des perturbations atmosphériques, géologiques et climatiques, et tous les maux que cela entraînent pour une société, y compris, à terme, famines, fléaux et épidémies, il se tourne individuellement et collectivement vers ses dirigeants pour qu'ils remédient à la situation. C'est de là qu'est né le concept de Roi divin : au nom de son peuple, le roi était censé pouvoir intercéder auprès des dieux. Si l'intercession du roi n'aboutissait pas, il fallait trouver une solution. On procédait à des sacrifices, on accomplissait des rituels et, bien sûr, si le résultat n'était pas au rendez-vous, si les dieux restaient en colère, le roi devait mourir. Si les dieux sont en colère, il faut trouver un bouc émissaire. Évidemment, lorsque rien ne va plus, les boucs émissaires les plus probables sont ceux qui sont au pouvoir, c'est-à-dire le « roi » et l'élite. En outre, ces derniers savent instinctivement qu'ils sont vulnérables à cette réaction. En postulant que cette corruption (et sa propagation dans la société) constitue le mécanisme par lequel une civilisation attire une catastrophe cosmique (un peu comme une charge électrique), une bonne solution est de blâmer et destituer l'élite, ce qu'elle ne veut évidemment pas.
En fin de compte, le peuple et l'élite recherchent tous deux un paradigme qui minimise les catastrophes cycliques, mais chacun le fait pour des raisons différentes. Le peuple veut soulager l'énorme angoisse d'une catastrophe majeure, certaine mais imprévisible, tandis que l'élite veut rester au pouvoir. Le compromis qui sert les deux objectifs est l'illusion d'une élite capable de protéger le peuple de tout désastre. Cette illusion peut prendre diverses formes : procéder à des rituels pour apaiser les dieux, réviser l'Histoire pour qu'elle présente une évolution uniformisée et sans bouleversement de l'humanité, et une abondante propagande.
[...]
Pour faire de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques la plus « gay de tous les temps », les responsables parisiens ont également présenté une parodie LGBTQ de la « Cène » ainsi qu'un défilé de mode « woke » mettant en scène des mannequins transgenres et des vêtements qui ne respectent pas le genre.
Nombreux sont ceux qui se sont demandés ce que les Jeux olympiques voulaient dire aux téléspectateurs à propos de Paris.
Nombreux sont celles et ceux qui ont été dégoutés par ce spectacle nauséabonde, quelques réactions sur les réseaux sociaux...
Comme The Gateway Pundit l'a précédemment rapporté, lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques, un groupe de drag queens habillées de manière provocante se tenait derrière une longue table, semblant recréer la Cène du Seigneur.
Pendant une autre partie de la cérémonie d'ouverture, un cheval pâle a couru à toute vitesse avec un cavalier portant une cape olympique.
L'apparition du cheval pâle a incité des centaines d'utilisateurs de médias sociaux à affirmer qu'il symbolisait le cheval pâle dont il est question dans le livre de l'Apocalypse de la Bible.
Alors que les prix de l'or montent en flèche, cette société aurifère basée sur la foi montre aux gens comment entrer dans l'or maintenant.
Quelques extraits de ce que l'on peut lire et voir sur les réseaux sociaux...
« Je regardai, et voici un cheval pâle. Le nom de son cavalier était la Mort, et le séjour des morts le suivait. Il leur fut donné autorité sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l'épée, par la famine, par la peste, et par les bêtes sauvages de la terre. »