Cette vidéo a été traduite par Danilette.
Les professionnelles ont ainsi remarqué que les petites filles s’affirment davantage, au fil des mois : elles ne se laissent plus chiper les jouets des mains par les garçons. Les marges de liberté des garçons se sont également élargies : ils se montrent plus sensibles et s’autorisent à pleurer car ils savent qu’ils en ont le droit.
« Poursuivre l’objectif de vaccination obligatoire universelle sans l’assumer […] c’est le pire des choix »