La loi anti-sectaire va faire du mal aux utilisateurs de Google, c'est-à-dire à peu près tout le monde. Google se réserve le droit de modifier et supprimer votre compte. Ne pas obéir aux fameuses « règles de la communauté » pourra même vous mener en Justice. Le naufrage de la liberté d'expression et d'information est annoncé. Pile pour la campagne aux élections européennes.
Google détient 93,18 % de la recherche en ligne. Ses nouvelles conditions de censure — pardon, ses nouvelles conditions d’utilisation — impliquent donc d’énormes répercussions dans toute l’Europe. À partir du 22 mai 2024, juste pendant la campagne des élections européennes — comme c’est bizarre ! — Google vous prévient : « […] si vous enfreignez nos conditions d’utilisation, nos recours ne se limitent pas à la suspension ou à la résiliation de votre accès aux services, mais peuvent inclure d’autres réparations en vertu de la loi applicable […] ».
Google sait ce qui est bon pour vous
« Nous poursuivons un programme d’études rigoureux sur les produits. Par conséquent, avant de modifier un service ou de ne plus le proposer, nous examinons attentivement vos centres d’intérêt en tant qu’utilisateur, vos attentes raisonnables, ainsi que leur impact potentiel sur vous et autrui. Nous ne modifions des services ou cessons de les proposer que pour de bonnes raisons. »
D’ailleurs c’est ça ou rien : « Si vous n’acceptez pas ces nouvelles conditions, supprimez vos contenus et cessez toute utilisation de nos services. Vous pouvez également mettre un terme à votre relation avec nous à tout moment en clôturant votre compte Google. » Et la menace se termine par : « Merci d’utiliser les services Google ! » Rompez !
Les sectes, c’est vous, les haineux
La loi « contre les dérives sectaires » vise à « imposer aux fournisseurs d’accès à internet (FAI) et aux hébergeurs de contenus en ligne de concourir à la lutte contre les abus de faiblesse et au délit de sujétion, à l’instar de ce qu’il leur est déjà imposé pour lutter contre le harcèlement scolaire ou moral ou encore la provocation à la haine. » Google se plie donc à la nouvelle législation.
Qualifié de charlatan par Olivier Véran, le Pr Didier Raoult est une des premières cibles de la loi anti-dérives sectaires qui vise, entre autres, les professionnels de santé « déviants ». Les députés n’étaient pas nombreux le jour du vote de la loi. Alors, qui s’y est vraiment intéressé ? qui l’a rédigée et finalement qui a édicté les nouvelles conditions de Google ? Peut-être McKinsey, mais sans aucun doute la secte Pfizer, Rockefeller, JPMorgan, Rothschild, Vanguard, BlackRock & Cie. Alors Google serait victime d’une conspiration sectaire ? Non, car Google appartient à ceux qui sont à l’origine de cette loi. Il en est donc un des responsables. Très officiellement, Google vous prévient : à partir du 22 mai 2024, désormais, la secte, c’est vous ! Et votez bien !
Le graphène est contagieux et se transmet des vaccinés aux non-vaccinés. Jean-Michel Jacquemin-Raffestin confirme que le vaccin Covid-19 est une arme issue de la DARPA. Ils préparent une pandémie pour 2024. En terrorisant les gens, vs en faites ce que vs voulez, ils ont peur de mourir.
En effet, et depuis le début de ma carrière, j’essaye de comprendre pourquoi elle a de la valeur, alors qu’elle ne coûte rien à produire, comment et par qui elle est créée, ce qui se passe quand celui qui a la charge de la création en crée trop ou pas assez… et sur toutes ces questions, je n’ai qu’une chose à dire, merci Milton Friedman…
Et donc, comme ceux qui ont la charge de cette création en ont vraiment créé beaucoup depuis que Draghi a détruit la Bundesbank (2012), je suis arrivé à quelques conclusions d’investissement sur ce qu’il ne fallait PAS avoir dans son portefeuille.
En fidèle disciple de Jacques Rueff, j’ai remarqué que les pouvoirs publics en Europe ou aux USA avaient renoué avec leur fâcheuse habitude de créer de l’argent « ex nihilo » pour subventionner des dépenses qui ne rapportaient rien (L’inflation consiste à subventionner des investissements qui ne rapportent rien avec de l’argent qui n’existe pas. Jacques Rueff). Comme l’inflation n’est en rien une hausse des prix mais simplement une baisse de la valeur du billet dans votre poche, cela revient à dire que détenir une obligation de l’Etat Français à qui vous auriez prêté 100 e d’aujourd’hui pour être remboursé 100 e dans 10 ans était vraiment une opération idiote puisque le pouvoir d’achat de mon capital aura baissé de 50 % sur la période.
Et je suis arrivé à cette conclusion comme un grand, sans l’aide d’aucune boîte noire, ordinateur ou tableau Excel.
Depuis que je suis arrivé à cette conclusion remarquable d’originalité, un portefeuille d’obligations à 10 ans émises par le Trésor[1] Français a baissé de 25 % tandis que des obligations de même duration émises par le gouvernement Chinois sont montées de 25 % en euro.
J’ai certes honte d’être un mauvais Français, mais cette honte est tempérée par la certitude que ceux qui devraient aller se cacher sont messieurs Sarkozy, Hollande, Lemaire, Tricher Draghi et autres madame Lagarde, et pas moi, qui n’ait fait qu’essayer de protéger mes chers lecteurs de l’IDL contre l’incompétence abyssale des sus mentionnés.
Le but était bien sûr de procéder à l’euthanasie du rentier.
Et si j’en juge par les récentes lois qui sont passées au Parlement, on va passer de l’euthanasie financière à l’euthanasie réelle
Apparemment, d’abord il faut ruiner les vieux, (ce qui est en bonne voie) pour ensuite leur faire une piqûre miséricordieuse de façon à leur éviter une vieillesse dans la pauvreté. En espérant bien entendu qu’ils seront les premiers à réclamer, avec une dignité de bon aloi, la fin de leur misère. C’est en tout cas ce que préconise monsieur Attali.
De façon à s’assurer de l’extinction des inutiles, les caisses de retraites existantes ne seront pas nationalisées mais régulées.
Ainsi, tout versement sera réparti entre trois investissements (c’est déjà quasiment le cas) :
La moitié ira aux obligations d’état, officiellement placement sans risques et dans la réalité un certificat de confiscation.
Quarante pour cent ira à des investissements dans les sociétés produisant des moulins à vent et des miroirs magiques.
Et dix pour cent à des logements sociaux destinés à des travailleurs immigrés en situation irrégulière bien incapables de payer quoique ce soit, mais il s’agit de faire œuvre humanitaire et non pas de gagner de l’argent sur le dos de la misère du monde. Curieusement, ceux qui bâtissent ces logements sont souvent proches des hommes politiques au pouvoir, et eux gagnent de l’argent.
La valeur des retraites versées va donc s’écrouler, ce qui favorise la disparition des inutiles.
La première étape était donc de se débarrasser de ceux qui ne produisent plus rien en les empêchant de se constituer une épargne qui leur permettrait de vivre dignement pendant leur vieillesse, entourés de l’affection des leurs.
Ce but est en voie d’accomplissement.
Il est temps de passer au deuxième stade vers un monde meilleur.
Apres avoir empêché les anciens de se constituer une épargne, il faut ensuite aider ceux qui contribuent au PIB à dépenser leur argent de façon socialement utile.
Pour cela, il faut créer une monnaie numérique.
Voici le projet...
Ce n’est un secret pour personne que les mannequins créés par l’IA font un tabac en ligne ces jours-ci. Le modèle de fitness Aitana Lopez a plus de 300 000 followers sur Instagram et elle n’est même pas une personne réelle, Emilly Pelegrini, une autre influenceuse numérique, a été surnommée le modèle le plus sexy du monde, et la “petite amie parfaite” Lexi Love gagne plus de 30 000 dollars par mois en jouant le rôle d’un intérêt romantique pour des personnes seules.
Aujourd’hui, une autre influenceuse virtuelle fait la une des journaux en raison de sa popularité en tant que modèle de voyage. Le profil de Lily Rain sur la plateforme sociale Fanvue, accessible par abonnement, montre la jeune femme séduisante dans divers endroits du monde qui attirent l’attention, mais le fait que ces photos soient entièrement l’œuvre d’une intelligence artificielle ne semble pas déranger ses légions de fans.
“Lily est l’exemple même d’une créatrice qui comble une lacune dans l’espace des influenceurs de voyage”, a déclaré la créatrice de Lily au Daily Star. “Elle peut créer des photos idylliques et pittoresques sans les longues durées de voyage et les frais de déplacement supplémentaires, et tirer parti des différentes saisons pour attirer son public. L’utilisation des saisons et des voyages à la mode pour adapter le contenu et le monétiser est une affaire importante. Lily peut apparaître comme une Kardashian profitant de son séjour annuel au ski dans les meilleures stations de montagne que l’on puisse acheter.”
De nombreux modèles de voyage humains sont encore plus populaires que des concurrents numériques comme Lily Rain, mais ils doivent en fait travailler beaucoup pour leur base de fans. Elles doivent investir des ressources considérables dans les frais de voyage, le maquillage approprié et la garde-robe pour chaque saison et chaque lieu, elles doivent établir des plans de voyage et respecter un emploi du temps serré. Les mannequins IA comme Lily peuvent apparaître sur de superbes photos dans des lieux exotiques en quelques clics de leurs créateurs.
Selon Fanvue, Lily Rain génère environ 20 000 dollars de revenus par mois, et on s’attend à ce qu’elle devienne beaucoup plus rentable à mesure que l’IA se généralise. Et elle n’est pas la seule à être à l’origine de la poussée de l’IA. Will Monange, PDG et fondateur de Fanvue, affirme que les créateurs d’IA ont contribué à hauteur de 15 % au chiffre d’affaires de Fanvue, soit une augmentation de 100 % par rapport au mois précédent, et que cette contribution devrait augmenter de manière significative à l’avenir.
Apparemment, les influenceurs numériques dotés d’IA sont devenus si populaires que certains aspirants mannequins humains se plaignent de devoir rivaliser avec ces avatars à l’apparence parfaite.
Nous sommes avec « The Voice Kids Russia », Edith Piaf – ‘L’hymne à l’amour’ et la France a récemment annoncé que la chanteuse Aya Nakamura serait pressentie pour interpréter l’Hymne à l’amour d’Édith Piaf lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris en 2024. Cependant, une jeune russe avait donné une véritable leçon de chant à la France avec sa propre interprétation de cette chanson emblématique.
Dans une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, la jeune fille, chante l’Hymne à l’amour d’Édith Piaf avec une voix puissante et émouvante. Sa prestation est d’autant plus impressionnante qu’elle parle le français parfaitement, ce qui ajoute une dimension supplémentaire à sa performance.
En comparaison, la prestation d’Aya Nakamura, qui a été critiquée pour son manque d’émotion et sa prononciation approximative, semble bien pâle. La jeune russe, quant à elle, a su transmettre toute l’émotion et la passion de la chanson, laissant les spectateurs bouche bée et pour certain en larmes.
Cette vidéo soulève également des questions sur le choix de la France de sélectionner Aya Nakamura pour interpréter cette chanson emblématique. Bien que la chanteuse soit populaire auprès des jeunes, sa prestation ne semble pas à la hauteur de l’événement. La jeune russe, quant à elle, montre que le talent et la passion peuvent venir de n’importe où dans le monde.
Mais aujourd’hui, le soleil est plus haut dans le ciel. La sève monte dans les forêts du nord. La terre se soulève. Les bourgeons gonflent et rougissent. Il y a quelque chose dans l’air. Les animaux sortent de leur long sommeil hivernal. Les autochtones s’agitent.
Les deux divisions politiques traditionnelles, libérale et conservatrice, sont mortes avec l’opération Covid. Désormais, il n’y a plus que les sains d’esprit contre les fous. Les sains d’esprit en ont assez d’être bousculés par les fous. Les fous n’enregistrent pas grand-chose de ce que la réalité essaie de leur dire. Ils disposent d’un corpus d’idées insensées pour les réconforter et les protéger des rigueurs de la réalité. Appeler ce corpus d’idées une “idéologie” est beaucoup trop poli.
Le fait que les fous se qualifient eux-mêmes de “progressistes” est la signature de leur folie. Progrès vers quel meilleur état des choses ? Vers une suprématie de monstres, de sadiques, de dégénérés et de crétins s’emparant des richesses et du pouvoir par tous les moyens malhonnêtes possibles, en dehors de l’État de droit et de la décence commune ? Il n’est même pas convenable de les appeler “communistes”. Ils n’ont pas l’idéalisme nécessaire pour cela. Ils n’espèrent pas mettre l’épaule à la roue avec leurs semblables. Ils veulent juste s’emparer de vos affaires et vous tuer pour ne plus avoir à vous entendre vous plaindre.
Les fous ne croient à aucune des conneries théoriques qu’ils veulent vous faire avaler. Ils se moquent du changement climatique. C’est juste une matraque qu’ils utilisent pour frapper tout le monde sur la tête afin de pouvoir voler vos affaires. Ils se moquent de la “démocratie”. Ce n’est qu’un tissu de conneries pour couvrir leur vol d’élections. Pensez-vous que des personnes saines d’esprit continueraient à utiliser des machines à voter électroniques manifestement connectées à Internet, et donc piratables, si elles se souciaient de l’intégrité des élections ? Bien sûr que non. Ils s’arrangeraient pour les mettre au rebut et utiliseraient des bulletins de vote en papier, et uniquement par des gens venant en personne dans les bureaux de vote, avec des exceptions pour les “absents” uniquement pour les personnes à l’étranger.
Les fous ne se soucient pas de la santé publique. Tout ce que l’on sait sur les vaccins Covid-19 montre qu’ils ne sont pas sûrs et qu’ils n’empêchent pas l’infection ou la transmission d’une maladie de type grippal qui n’est peut-être même pas celle qui a été officiellement étiquetée comme telle. Nos responsables de la santé publique au sein de la FDA, du CDC et d’autres services du ministère de la santé et des services sociaux mentent sur tout ce dont ils sont responsables. Cette semaine, le CDC (sous la direction de Mandy Cohen) a publié une étude de 148 pages sur les réactions de myocardite aux injections d’ARNm. Chaque mot de chaque page du document a été expurgé. Le CDC a imprimé d’innombrables copies du rapport avec 148 pages totalement vierges, et les a ensuite proposées aux médias. En quoi cela n’est-il pas insensé ?
Les fous ne se soucient pas de l’État de droit. La “guerre du droit” consiste à subvertir la loi par des moyens malhonnêtes. Il s’agit d’une sorte de racket. Et c’est pourquoi les voyous de Lawfare tels que Marc Elias, Norm Eisen, Andrew Weissmann, Mary McCord, Lisa Monaco, Matthew Graves et Merrick Garland devraient être inculpés en vertu des lois fédérales RICO pour avoir conspiré en vue de priver des citoyens sains d’esprit de leurs droits et de leurs biens dans les nombreuses affaires liées à l’émeute du 21 juin au Capitole des États-Unis.
Jusqu’à présent, le mystère de l’histoire contemporaine reste entier : comment le procureur général de New York, Letitia James, a-t-il pu s’en tirer en poursuivant Donald Trump dans une affaire immobilière qui n’était rien d’autre qu’une affaire banale entre un emprunteur et ses prêteurs ? Mme James s’est présentée à ce poste électif en promettant de “coincer” M. Trump sur quelque chose, n’importe quoi. Ce n’est pas ainsi que fonctionne l’État de droit. Dans un État de droit, on détermine d’abord s’il y a un crime et on cherche ensuite qui l’a commis.
Letitia James doit être folle et/ou très stupide. Le gain à court terme que représente le vol de la propriété de M. Trump sous une fausse couleur de loi et la création d’obstacles à sa campagne électorale lui reviendra tôt ou tard sous la forme d’une poursuite malveillante et, de manière plausible, d’un racket également. Elle finira par être déshonorée publiquement, comme l’a déjà été sa coéquipière Fani Willis dans le comté de Fulton, en Géorgie. Je vais vous dire une chose que toutes les personnes saines d’esprit savent maintenant mais dont elles ne parlent pas de peur d’être écrasées par les leviers du Lawfare : cela ressemble à un effort concerté de la part de personnes de couleur pour mettre au pas des personnes qui ne sont pas de couleur. Si vous pensez que c’est une bonne chose pour les relations interraciales dans notre pays, vous êtes fou.
Voici un tas d’autres choses qui sont insensées : Il est insensé de remettre en question le premier amendement. Il signifie ce qu’il dit et l’énonce clairement. L’ouverture des frontières est insensée. Aucun État souverain crédible ne l’autoriserait. Il faudrait s’y opposer par la force, si nécessaire. Transformer des enfants en transsexuels à grande échelle est insensé et diabolique. Tout le monde sait que ce n’est pas bon pour les enfants ou pour notre société dans son ensemble. Mais les monstres doivent être monstres, et si vous essayez de les empêcher d’être des monstres, vous vous rendez coupable de “haine”.
La guerre en Ukraine est insensée. Nous ne l’avons certainement pas déclenchée au service de la “démocratie”. Notre pion, Zelensky, a annulé les élections nationales l’année dernière. La guerre était sans doute une tentative de notre CIA de priver la Russie de son marché pour le gaz naturel en Europe, et donc de priver la Russie d’une grande quantité d’argent, c’est-à-dire de la prospérité. Le projet a échoué. La Russie a surmonté l’armée supplétive de l’OTAN et a trouvé d’autres marchés pour son gaz. Faire sauter les gazoducs Nord Stream n’a servi qu’à appauvrir et à affaiblir nos alliés de l’OTAN, qui n’ont plus de gaz abordable pour faire fonctionner leurs industries. Les dirigeants de ces alliés étaient trop fous pour reconnaître que l’opération Nord Stream était un acte de guerre contre eux. Ils sont également occupés à se détruire eux-mêmes, comme les États-Unis, avec des frontières ouvertes. Ils finiront dans un nouveau médiévalisme, gouverné par des sauvages. Il faut être fou pour s’organiser de la sorte.
Ce qui est le plus manifestement fou dans notre pays, c’est que le parti fou fait semblant de nommer le gardien de la Maison Blanche mentalement inapte, “Joe Biden”, pour sa réélection. On pourrait penser que si ce parti voulait conserver le pouvoir, il présenterait un candidat qui, bien que fou, ne serait pas aussi visiblement sénile. Mais la base de ce parti est trop folle pour voir que cette esquive ne fonctionne pas. Ils prétendent de toutes leurs forces que tout va bien, que la faction croissante des sains d’esprit ne s’en aperçoit pas.
Sentant l’impatience croissante des électeurs à l’égard de leur folie, le parti des fous a atteint son point de désespoir terminal. Quelle sera leur prochaine tentative ? Le meurtre ? Pourquoi pas ? Rien d’autre ne semble fonctionner. Ils sont trop loin dans leur folie pour comprendre que l’hiver est terminé. Nous sommes entrés dans la saison de la renaissance et du renouveau, en commençant par une appréciation renouvelée de la raison et de cet ingrédient indispensable qui rend possible la liberté dans une société libre : la bonne foi. En réalité, la seule question qui reste est la suivante : Jusqu’où ont-ils l’intention d’aller pour empêcher le retour de la raison et de la bonne foi ?
James Howard Kunstler
“Ceux qui ont organisé le désastre profiteront de l’inévitable mécontentement résultant des efforts pour le surmonter, car s’il y a une chose qu’ils savent faire, c’est la démagogie.”
Récemment, on a appris que des tribunaux américains ordonnaient à YouTube (Google) de fournir des informations sur les utilisateurs – une forme d’enquête draconienne qui n’avait jamais été signalée auparavant. Des détails supplémentaires sur cette pratique apparaissent aujourd’hui.
Forbes a révélé l’affaire le mois dernier après avoir pris connaissance de documents montrant qu’une décision de justice concernait tous les utilisateurs de YouTube ayant regardé certaines vidéos au cours d’une période donnée. Les données personnelles requises par les services répressifs dans ces affaires étaient très détaillées.
En ce qui concerne les utilisateurs de Google, il s’agit d’informations provenant de leurs comptes Google (nom, adresse, numéro et relevé de téléphone, historique des paiements en ligne, adresse IP, etc…), tandis que toutes les autres personnes visitant les URL énumérées dans l’ordonnance ont vu leur adresse IP restituée.
Une ordonnance de non-publication d’une durée d’un an a permis à Google de s’assurer que rien de tout cela n’était rendu public, et nous en entendons maintenant parler parce que ce délai a expiré.
Toutefois, les documents sur lesquels se basait l’article original n’ont pas été publiés à l’époque ; aujourd’hui, des rapports indiquent qu’ils ont été mis à disposition sur la plateforme Bluesky.
L’ordonnance couvre les huit premiers jours de l’année 2023 et trois vidéos YouTube apparemment obscures et inoffensives en soi (la cible de l’enquête était une personne soupçonnée d’activité illégale, tandis que les URL des vidéos ont été « échangées » au cours d’une communication entre des enquêteurs infiltrés et leur cible).
[...]
Vous savez tout le bien que je pense de la volonté de notre professeur Trouposol d’envoyer nos soldats se faire trouer la peau aux Dardanelles.
Vous savez aussi, que dans le monde qui est le nôtre, tout se simule. Tout se compte, tout se préparer et tout se modélise.
Nous savons avec une relative précision combien coûtera une pandémie en pourcentage de PIB et l’exercice « Event 201 » qui avait simulé une pandémie mondiale sur base de coronavirus, avait donné des résultats très proches de la réalité.
Alors, il faut fouiller un peu dans les exercices de haute intensité pour avoir une petite idée des dégâts, de nos moyens et de ce que cela pourrait être.
Exercice Warfighter avril 2021
« Une force d’intervention française composée de deux brigades interarmes, soit 15 000 soldats, est engagée. Au bout de 10 jours d’âpres combats, 1 700 ont été tués, 11 000 blessés, soit 1 100 par jour. C’est le bilan de l’exercice Warfighter conduit aux États-Unis en avril 2021. Outre le retour d’expérience sur l’interopérabilité avec l’allié américain et britannique, la séquence a permis de pointer le nombre conséquent de blessés à traiter en cas de conflit de haute intensité » (source Le Point ici).
Voilà donc à quoi pourrait ressembler un engagement massif français de troupes au sol en Ukraine. Nous aurions d’abord du mal à dépasser les 15 000 hommes et donc effectivement deux brigades modernes format OTAN.
Ces deux brigades tiendraient 10 jours et puis… plus rien. Tous morts (ou blessés).
Dans cette simulation on arrive à 1 700 morts et 11 000 blessés (et c’est pas juste un ongle retourné). Cela fait 12 700 soldats perdus ou hors de combat, soit 85 % des effectifs de départ en… 10 jours.
Vous comprenez pourquoi l’armée ukrainienne a du mal à tenir dans la durée sa guerre.
Comme vous le savez, il est impossible de parler des pertes ukrainiennes sans être accusé de faire de la propagande pro-russe…
[...]
Le même jour, on apprenait que l’école primaire hors contrat Saint-Pierre-Julien-Eymard, tout près de Grenoble, était menacée de fermeture par le préfet de l’Isère à la suite d’un rapport vipérin du rectorat qui a inspecté l’établissement catholique traditionaliste, proche de la Fraternité Saint-Pie X, en janvier dernier. Selon le Dauphiné libéré, les services de l’État ont donné trois mois à la direction de l’école pour se mettre en conformité avec la loi avant de prononcer une fermeture temporaire voire définitive de l’établissement. Mais qu’a donc fait de si abominable la direction de cette modeste école primaire pour qu’on la menace ainsi de disparition pure et simple, alors même que le maire, très hostile, l’avait déjà provisoirement fermée 24 heures en février en arguant de manière erronée d’une grave insuffisance en matière de sécurité des locaux ?
Le rapport du rectorat relève, manifestement effrayé, « des activités physiques et sportives non mixtes et genrées, avec du football pour les garçons et de la corde à sauter pour les filles » !
[...]
Autrement dit, les écoles où des transsexuels viennent exhorter les enfants et adolescents à se grimer, à se travestir, à changer de sexe, à réaliser leur transition de genre, bref à se mutiler, souvent de manière irréversible et ô combien douloureuse et dangereuse pour leur santé physique et mentale, pour leur salut de leur âme et pour leur vie ici-bas sont parfaitement conformes aux valeurs de la République, à l’ordre républicain mais pas les rares établissements privés qui dispensent encore un enseignement et une morale traditionnels.
Voilà où l’on est dans un pays qui fut appelée la fille aînée de l’Église, qui compte tant de saints, de héros et de martyrs dans son histoire, où tant d’églises et de chapelles se dressent encore dans nos villes et nos villages, où les oratoires, les calvaires, les statues des saints et de la Vierge dominent les carrefours de nos rues, de nos chemins et de nos sentiers ou sont placés au sommet de nos collines et de nos montagnes.
Toujours ce 20 mars, mercredi de la Passion, votre serviteur comparaissait devant la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris (chambre de la presse) pour trois dossiers distincts : un article mordant de Jean-Philippe Robiquet paru dans Rivarol du 6 septembre 2023 et évoquant l’homosexualité de Gabriel Attal qui venait alors d’être nommé ministre de l’Éducation nationale et qui nous vaut une accusation d’homophobie (un an de prison ferme encouru), un éditorial du 15 février 2023 consacré au discours d’Élisabeth Borne, alors Premier ministre de Macron, au dîner annuel du CRIF pour contestation publique de crimes contre l’humanité (un an également de prison ferme encouru) et enfin une vidéo rivarolienne postée sur notre chaîne YouTube le 19 février 2023 pour « provocation publique à la discrimination, à la haine et à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée » et également pour contestation de l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité (encore deux ans de prison ferme encourus).
Au terme d’une audience se déroulant dans une ambiance très hostile et devant un tribunal totalement féminin (la greffière et le procureur étaient également ce qu’on appelait autrefois des personnes du sexe), Madame le procureur de la République a requis contre le directeur de Rivarol 18 mois de prison ferme (dont la révocation de neuf mois de prison avec sursis) et 15 000 euros d’amende. Elle a explicitement refusé tout aménagement de peine (bracelet électronique, travail d’intérêt général ou semi-liberté), malgré les six enfants mineurs (dont un bébé de quinze mois), expliquant que puisque votre serviteur ne comprenait toujours pas, il fallait frapper très fort, la haine envers les homosexuels et les juifs étant parfaitement intolérable.
Pourtant, la seule haine que l’on voyait dégouliner lors de cette audience, c’était la sienne pendant son réquisitoire totalement glaçant. En tout, l’on réclame bien plus de 50 000 euros au directeur de Rivarol puisque les deux parties civiles, l’Observatoire juif de France (OJF) et le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) exigent à eux deux près de 30 000 euros de dommages et intérêts, plus trois publications judiciaires aux frais du condamné dans Le Figaro, Le Monde et Le Parisien, ce qui ajoute, au moins sur le papier, quelque 15 000 euros supplémentaires. Enfin, cerise sur le gâteau, Sébastien Chenu, vice-président du RN et de l’Assemblée nationale, a réclamé via son avocat, Me Alexandre Varaut, 15 000 euros de dommages et intérêts car Jean-Philippe Robiquet aurait moqué son homosexualité dans son article daté du 6 septembre 2023. Voilà où en est aujourd’hui le RN mariniste mais cela n’étonnera que les naïfs.
Par exemple, des centaines de soldats de la Garde nationale sont utilisés pour vérifier les sacs des passagers du métro de New York. C’est un précédent très inquiétant, et je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas plus de gens qui s’en émeuvent. Nous venons d’apprendre que des troupes de la Garde nationale seront déployées lors de la grande éclipse américaine du 8 avril. Qu’est-ce qu’ils espèrent qu’il se passera pendant cette éclipse ?
Il s’agira sans aucun doute d’un événement historique.
Comme je l’ai dit précédemment, on prévoit qu’il s’agira de l’événement astronomique le plus regardé de toute l’histoire de notre pays.
Le 8 avril, des millions d’Américains se rendront dans des endroits où ils se trouveront sur la trajectoire de l’éclipse solaire totale. L’Oklahoma est présenté comme l’un des meilleurs États pour cela, et il est rapporté que la Garde nationale de l’Oklahoma « fournira des premiers intervenants ainsi que des unités ayant des capacités d’intervention en cas de matières dangereuses »…
Pour les lecteurs du Réseau Voltaire, il appelle à sauver dans l’urgence le peuple palestinien et à résoudre enfin le problème israélo-arabe. À le résoudre sur le fond, en proclamant l’égalité de chaque homme, qu’il soit juif ou arabe.
Il est des vérités encore plus assassines que tous les complots qui visent la vérité , surtout dans cette terrible époque où règnent le mensonge , la terreur et l’injustice . Désormais tout un chacun parmi vous pourrait oser, s’il le voudrait, dire la vérité sans crainte aucune de subir la redoutable correction « guillotinaire » qui n’est autre que l’accusation d’antisémitisme et ses conséquences douloureuses que se soit sur sa vie professionnelle ou sur sa vie familiale et sociale ; accusation dont on use et on abuse.
Cette fois-ci la vérité est sortie d’où on ne l’attendait pas et d’une personne censée ne jamais l’avouer : le général israélien Yitztshak Barik. Fidèle aux pratiques inhérentes à ses fonctions à la tête du service de sécurité intérieure, le général Barik représentait, aux yeux des Palestiniens, la cruauté personnifiée. C’est la poignée de fer de l’entité étatique sioniste en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Et pourtant c’est bien lui, l’homme par qui la surprise arrive.
Barik ose justifier l’attaque palestinienne du 7 octobre 2023, ose reconnaître, implicitement et par ricochet, la vocation résistante du mouvement Hamas tout en attaquant le duo chef de file de l’extrémisme sioniste gouvernementale en la personne du ministre de la Sécurité, Itamar Ben-Gvir, et de son collègue des Finances, Bezalel Smotrich, dont l’influence sur les décisions officielles est prépondérante et décisive.
Ce sont bien ces deux ministres qui ont imposés comme principale priorité dans l’action de l’Exécutif israélien l’accélération de l’éradication de la présence palestinienne, sur la terre de Palestine — d’abord les zones occupées en 1967, suivies de celle occupées en 1948, c’est à dire la purification ethnique de l’ensemble du territoire de la Palestine historique, entre la rivière du Jourdain et le littoral de la Méditerranée ; « From the river to the sea », selon la fameuse chanson devenu mondialement célèbre grâce aux manifestations gigantesques contre le génocide perpétré au vu et au su de tous les habitants de la planète Terre —
Fort de ses performances guerrières de 1973, dont témoignent ses blessures au visage et au corps, lors des batailles du Sinaï, ce général connu pour son franc-parler se considère en plein droit de se porter donneur de leçons pour les jeunes générations de son peuple guidées tout droit vers l’abime par leurs dirigeants actuels qu’ils qualifié de ... « menteurs ».
Dans une récente interview accordée, il y a quelques jours, à la chaine AI-Jazira d’expression anglaise, le général Barik résume l’état des lieux de la population palestinienne en général et gazaouie en particulier en des termes on ne peut plus clairs :
— Barik : « Ils rêvent de la liberté, mais ils n’arrivent pas à la saisir. Qu’on le veuille ou non, nous contrôlons la vie de millions [d’entre eux ] ».
— Al-Jazeera :« Si vous étiez Palestinien et si vous viviez en Cisjordanie ou à Gaza comment jugeriez-vous Israël ? »
— Barik : « Je combattrais Israël pour obtenir ma liberté ».
— Al-Jazeera : « Jusqu’où vous iriez dans votre combat ? ».
— Barik :« Je ferais tout pour obtenir ma liberté ».
Voilà.
[...]
Une journée pour évoquer le traité de l’Organisation mondiale de la Santé qui prévoit de nouvelles dispositions pour les prochaines crises pandémiques. A la fin de la conférence, et à l’initiative de Martin Loizillon, par petit groupes, les participants ont échangé sur les divers sujets de société liés au projet politique de l’OMS.