Or, il s’avère que les immigrés ne constituent guère une charge financière pour leurs pays d’accueil. Bien au contraire. Une étude de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) vient de le démontrer en affirmant que la contribution des immigrés sous la forme d’impôts et de cotisations était supérieure aux dépenses publiques consacrées à leur protection sociale, leur santé et leur éducation.
Le rapport de forces a commencé lundi 15 novembre, comme annoncé lors de la conférence de presse au Palais de la mutualité de Pointe-à-Pitre. Les leaders syndicaux avaient prévenu par la voix de Maïté Hubert M’Toumo, secrétaire générale de l’UGTG : « Le président français a dit que les vaccins c’est la liberté, la liberté est donc conditionnée à un vaccin, un vaccin qui n’est pas maîtrisé, un vaccin qui génère de plus en plus d’effets secondaires graves. C’est ça la liberté ? C’est pas possible. Donc à partir de lundi, la guerre est déclarée ! »