Celui-ci ne se veut en aucun cas exhaustif : il détaille les différentes actions possibles ou déjà employées par des collectifs ou des personnes seules pour lutter contre l’installation de caméras dans nos rues. Il a aussi vocation à être modifié et critiqué. Aidez-nous à l’améliorer en nous envoyant un mail à ou directement sur le forum Technopolice.
Ne faisant pas honneur à sa réputation de méchant, le Forum économique mondial a publié un article suggérant qu’il serait « solide et rationnel » d’implanter des puces électroniques aux enfants. Oui, vraiment.
L’idée est promue dans un billet de blog sur le site de l’élite de Davos, qui évoque l’avenir de la réalité augmentée et d’une « société augmentée ».
L’article avance l’idée que les humains augmentés sont inévitables et que les élites mondiales doivent établir un monopole du pouvoir sur la technologie afin de la réglementer « éthiquement ».
Un groupe de milliardaires « philanthropes » américains consacrent des millions de dollars à la recherche en psychologie comportementale pour inciter à se faire vacciner contre le covid-19. Il s’agit d’une énorme opération de communication appelée Projet Mercury. Son slogan est « Ensemble, nous pouvons construire un environnement d’information plus sain ».
À l’image de son cousin du monde de l’entreprise, ses contours sont larges et recouvrent autant une situation paroxystique, potentiellement lié à un événement traumatique (violences, défaite…), qu’un syndrome d’épuisement installé dans la durée, marqué par l’abattement et la résignation face à un monde qui sombrerait inexorablement.
Pour faire face à ce phénomène de « burn-out militant », l’organisation Ulex propose des formations inédites sur la gestion des risques psycho-sociaux dans les organisations militantes. En mai 2022, dans les Pyrénées catalanes, une quarantaine de militant·es de 19 à 58 ans, venues de toute l’Europe, se réunissaient durant une semaine pour découvrir les secrets du « militantisme régénératif ».
« Nous vivons dans une culture du burn-out inhérente à la société capitaliste. Il ne s’agit pas de remettre le compteur à zéro pour continuer, mais de développer de nouvelles pratiques qui préfigurent le monde que nous voulons et qui soient capable de le soigner : c’est cela l’activisme régénératif »
Dans l’article précédent, nous décrivons les réseaux sociaux comme un hyper-média, une arme d’espionnage et de propagande convoitée par les États. Une arme dont nous sommes les munitions, par les données que nous laissons.
Nous allons voir comment éviter l’espionnage des réseaux sociaux aussi bien sur leurs plateformes qu’en dehors.
Bien évidemment, le meilleur moyen de ne pas se faire voler les données est encore de ne jamais aller sur les réseaux sociaux. On ne loupe pas grand-chose à se passer de Facebook, Twitter, Instagram ou Tiktok. Toutefois, même en tant qu’utilisateur, on peut limiter la casse.
Éviter le mobile. Une application mobile a davantage de possibilités qu’une simple page web. Si vous acceptez un peu vite les permissions, c’est open bar ! L’app peut analyser vos photos, vos contacts, vos SMS, vos appels, votre position GPS.
Toutes ces choses sont impossibles avec un simple site web. De plus, le site s’arrête une fois l’onglet fermé. Alors que les apps peuvent tourner en permanence en arrière-plan. Mieux vaut donc accéder aux réseaux sociaux par un navigateur web plutôt qu’une application mobile.
La nature est bien faite. Le fait même d’éprouver un sentiment de répulsion à l’endroit d’une chose n’est jamais le fruit du hasard. Ainsi, si la plupart d’entre nous est contre la légalisation du mariage homosexuel, cela n’est pas par homophobie à l’endroit de la personne concernée (l’homosexualité cachée et en privée, même si elle demeure un très grave péché, ne dérange au fond que peu de monde), mais bien plutôt parce que nous savons intuitivement que la «normalisation-universalisation» absolue de l’homosexualité mettrait en péril la reproduction de l’espèce (puisque les gays, en effet, ne peuvent pas se reproduire entre eux). Quand l’être humain rejette spontanément une chose, c’est qu’en général cette chose n’est pas bonne pour lui. Ce principe, qui fonctionne d’ailleurs également pour les espèces animales, est à la base de l’évolution (attention, cela ne fait pas de moi un partisan de Darwin, loin s’en faut…)
Car oui, vous n’y couperez pas : vous aurez peur de manquer de chaleur, de nourriture, de lumière. Vous aurez peur que l’Europe soit irradiée ou qu’un conflit nucléaire éclate.
Nos élites nous rappellent, par leur incroyable talent prévisionniste, que gouverner c’est prévoir, vous allez voir ce que vous allez voir.
D’ailleurs, on a vu : ayant su prévoir – avec un brio inégalé – que la France pourrait largement se passer de nucléaire grâce à sa batterie de moulins à vent et de petits panneaux solaires, nos formidables politiciens arrivent à présent et très progressivement à la conclusion que les premiers mois de 2023 pourraient être marqués par autant de tensions dans les rues qu’il n’y en aura plus aucune dans les câbles EDF.
Ligne Droite est une émission indépendante. Ligne Droite refuse toute ressource publicitaire et ne vit que grâce à ses auditeurs.
Une émission dirigée par Clémence Houdiakova
Réalisation : Franck et Arnaud
Production audio : Franck
Journalistes et programmation : Emmanuelle, Corentin, Valentin et Louis
S’il est incontestable que la liberté a un prix encore faut-il analyser où et par qui la liberté est menacée, qui sont les responsables des atteintes à cette liberté, qui en sont les défenseurs et finalement quel en est le prix et qui doit payer.
Oui votre responsabilité engagée dans cette crise et votre faute est énorme.
La décomposition du joug bruxellois de bureaucrates non élus est déjà visible depuis longtemps et son effondrement a été prédit il y a des années. Il y a d’abord eu le Grexit (qui a été évité au dernier moment à un coût énorme), puis le Brexit, qui s’est effectivement produit, et ensuite une jungle alphabétique de Frexit, Italexit, Nexit, Dexit, Polexit, etc. Aujourd’hui, la question est la suivante : après le Royaume-Uni, qui sera le prochain ? Un choix populaire est la Hongrie. Mais qui sait ? En dehors du Royaume-Uni, pays aux prises avec des problèmes d’imbécillité, trois pays de l’UE, la Bulgarie, l’Estonie et l’Italie, connaissent déjà des turbulences politiques.
Tout porte à croire qu’il ne s’agit là que du « début des problèmes ». L’hiver arrive en Europe le 1er décembre avec de probables émeutes de la faim, des pillages et des désobéissances civiles massives, provoquées par le refus et l’incapacité de payer des factures d’énergie qui s’envolent à cause du refus de l’élite millionnaire européenne d’acheter du gaz russe. La seule issue est que les pays européens se libèrent des chaînes des USA pour retrouver leur place naturelle en tant que partie du monde eurasien, ou plutôt afro-eurasien. Cette libération mérite un signe. Il n’y a pas de signe plus actuel – ou plus indigène au monde occidental – que le signe « Z ».
Explications...
« J’ai gagné la première place », a déclaré un utilisateur connu sous le nom de Sincarnate dans un message sur Discord, au-dessus des photos des toiles générées par l’IA et exposées à la foire. La victoire de Sincarnate a suscité des discussions animées sur les médias sociaux sur la nature de l’art et ce que signifie être un artiste. Certains commentateurs pensent que l’art humain est condamné par l’IA et que tous les artistes sont destinés à être remplacés par des machines. D’autres pensent que l’art évoluera et s’adaptera aux nouvelles technologies qui se présenteront, citant les synthétiseurs dans la musique.
Les artistes sont furieux.
Nul n’est plus désespérément ignorant que celui qui croit faussement être informé.
Nul n’est plus désespérément victime de la propagande que celui qui ne sait pas qu’il est soumis à de la propagande.
Vivre dans une démocratie occidentale libérale signifie avoir la liberté de critiquer la tyrannie de son gouvernement, mais au lieu de cela, passer son temps à critiquer la tyrannie des gouvernements étrangers que votre gouvernement n’aime pas.
La liberté d’expression dans une démocratie libérale occidentale signifie que vous avez la liberté de dire ce que vous voulez sur les abus de votre gouvernement, et que la presse a la liberté de vous marteler de propagande pour s’assurer que vous ne le fassiez jamais.