Écrit en 2020 pendant l’état d’urgence sanitaire, « le grand virage de l’humanité » annonçait déjà que la société de contrôle numérique, qualifiée de « foutur », vers laquelle ces mesures semblaient nous conduire, était en train de disparaître au profit d’un nouveau futur qualifié de « futé lumineux », sur la base de l’observation de « traces du futur » dans les évènements ayant précédé la crise.
Dans ce dernier futé lumineux, l’homme s’éveille enfin à la véritable nature de sa réalité et apprend à se relier à plus grand que lui, non pas dans une démarche religieuse mais plutôt spirituelle et laïque, par une connexion retrouvée avec son âme et son esprit. Cela se produit d’autant plus vite que la vraie science finit par admettre les fondements rationnels de ces deux derniers concepts spirituels, comme l’explique ce livre en seconde partie.
Où en est-on aujourd’hui ?
Quelques points saillants :
• Le document de cadrage publié par le gouvernement en 2014 fixait des orientations très générales et invitait les autorités locales à prendre des initiatives en vue de l’application généralisée du dispositif d’ici 2020.
• Pourtant, il n’y a actuellement aucun dispositif de crédit social au niveau national, et l’auteure de la conférence estime que la généralisation du système est impossible.
• En Occident, on confond souvent ce dispositif avec le système des points de fidélité mis en place par des entreprises privées.
• L’application du crédit social est complètement décentralisée au niveau provincial, régional ou municipal.
Cet opposant au Linky avait trouvé un point faible au dispositif : les concentrateurs, qui rendent les compteurs « communicants ». Las de suivre la voie légale qui ne reconnaissait pas l'électrohypersensibilité, il a commencé à en « faucher » une petite centaine avant de se faire pincer.
Enedis a voulu faire un exemple.
MORT D'UN INVISIBLE
Il y a quelques jours, Christophe M. a mis fin à ses jours. Originaire de la Vienne, il vivait, travaillait et militait en Bretagne. Nos routes se sont croisées, il y a déjà un paquet d’années, à la faveur d’activités militantes. Plutôt qu’activité militante, « combat » serait un mot plus juste. Pour lui, se résigner n’était pas une option de vie. Ni se résigner, ni se soumettre.
Devenu EHS – électrohypersensible – il avait dû cesser son activité professionnelle. Il a alors consacré l’essentiel de son temps et de son énergie à faire connaître cette pathologie – méconnue et niée, en dépit des chiffres maintenant officiels de l’Anses, soit 3,5 millions de personnes (en France) en 2018. Il s’est attelé, de diverses manières, à faire connaître la nocivité des brouillards perpétuels d’ondes électro-magnétiques dans lesquels nous baignons tous, ondes qui impactent plus ou moins notre santé, et qui rendent la vie « normale » impossible aux malades : de lourds symptômes douloureux, difficiles à soigner et invalidants, entraînant exclusion scolaire et professionnelle, vie sociale impossible, en tous lieux puisque les ondes sont omniprésentes…. et recherche sans fin de zones blanches – plutôt grises, à ce jour – se raréfiant de plus en plus avec l’arrivée des 5 et 6G. Ces malades ont découvert la réalité d’un confinement total, bien avant la « crise sanitaire » . Et pour eux, ça ne s’arrête pas sur décret gouvernemental !
Dans le microcosme, Christophe était connu en tant qu’intrépide et joyeux militant anti-Linky. Nous, les militant-es Stop-Linky, ne sommes pas nombreux. Il est très difficile de mobiliser, les ondes ne se voient pas – donc elles n’existent pas ou sont inoffensives – et la majorité des gens ont tellement bien digéré le message technophile qu’ils sont persuadés que les problèmes créés par la technologie seront réglés par la technologie. Ignorant – volontairement ou non – que c’est une course sans fin puisque voulant et prétendant résoudre les problèmes qu’elle a générés, la technologie en crée de nouveaux…. Bref, parmi les quelques militants actifs énervés par l’alien vert-fluo (et ses frangins), Christophe était sans doute le plus audacieux, intrépide et activiste. Ses petits bricolages pour désactiver les envahisseurs ont fini par être dénoncés à la police par une « bonne Française ». Enedis, agacé et voulant faire un exemple, a fait traduire notre camarade en justice et lui a demandé une quarantaine de milliers d’euros de dédommagement, demande suivie par le juge. Christophe avait renoncé à faire appel, découragé par son avocat qui prédisait un second verdict plus lourd encore que le premier.
Même si, dans diverses luttes, les « minuscules » remportent parfois de beaux combats contre les « puissants », David ne gagne encore que rarement contre Goliath. Sans emploi ni source de revenus donc incapable de s’acquitter de la somme réclamée, non reconnu dans ses activités de lanceur d’alerte, très isolé en dépit des quelques déclarations de comités de soutiens, Christophe s’est trouvé pris à la gorge… il n’y avait plus qu’un petit pas jusqu’à la corde qu’il s’est passé au cou ce mercredi 28 septembre.
Si on considère le résultat de certains combats, on peut parler d’échec. Il est pourtant tout à fait possible de le regarder autrement. Dans cette société où les injustices, de plus en plus nombreuses, sont d’État, dans ce temps gangréné par l’individualisme, refuser de se soumettre, refuser de se résigner, résister, agir dans le sens du commun et du meilleur, dans quelque domaine que ce soit, c’est déjà une victoire. Contre l’indifférence et le fatalisme. Contre la perte galopante de notre humanité – de notre essence, donc.
Christophe (Linkiller) était mon camarade, mon frère d’armes – et d’âme – mon ami. Personne n’a le droit de le juger, et surtout pas ceux qui n’ont ni son courage, ni son engagement. Ses obsèques auront lieu dans le petit cimetière de St Pierre les Églises à Chauvigny, ce mercredi 5 octobre à 10 h.Le 3 octobre 2022
Touchant à la question environnementale et surtout sociale, elle pourrait bien devenir l’un des principaux enjeux des prochaines années. Tour d’horizon de ses composantes majeures.
L’hiver approchant, la question des passoires thermiques va inévitablement revenir sur le devant de la scène. Et pour cause, la France ne compte pas moins de 7,2 millions d’habitations peu ou pas isolées. Parmi elles, 5,2 millions constituent des résidences principales, soit 17 % du parc immobilier. Le reste représente des résidences secondaires (1,2 million) et des logements vacants (800 000).
Nous sommes empoisonnés par un président plus préoccupé de plonger notre pays dans la guerre plutôt que de jouer la carte de l’apaisement dans le conflit russo-ukrainien.
Nous sommes empoisonnés par un déficit et une dette publique record, par une précarité et par une misère grandissante, pendant que la caste dirigeante continue à s’en mettre plein les poches. Les grands patrons du CAC 40, continuent de recevoir chaque année 200 milliards de cadeaux fiscaux (Subventions publiques, crédit d’impôts, et exonérations fiscales).
Nous sommes empoisonnés par des politiciens corrompus qui ne démissionnent pas et qui ne seront probablement jamais jugés correctement. Qu’il s’agisse d’Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, mis en examen pour « prises illégales d’intérêts », d’Eric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, accusé lui aussi de « prises illégales d’intérêts », et d’Édouard Philippe bientôt convoqué le 24 octobre 2022 devant la Cour de justice de la République, reste-t-il un politicien intègre dans notre pays ?
Nous sommes empoisonnés par des écolos de pacotille, les « Khmers Verts », favorisant les éoliennes qui, non seulement produisent peu d’énergie, mais dont les pales, les montants et les batteries sont non recyclables. Quand tous les parcs éoliens défigurant la France seront achevés, les éoliennes ne produiront que 13% de nos besoins en électricité. Des milliards d’euros investis pour rien, mais pas perdus pour tout le monde. Bienvenue dans le monde glauque de la cupidité.
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Qui peut croire à ça ? Je rappelle que l’avion de l’entrepreneur de la maintenance des NordStream s’est volatilisé en vol. Enquête classée immédiatement.
Seule la CIA a cette puissance de nuisance, et seuls les pays vassaux des US ont cette puissance à se coucher !
Et pour ce faire, il ne lésine pas sur les moyens.
En juillet dernier, une vidéo mise en ligne par le prince héritier Mohammed Ben Salmane (MBS) montre le projet mégalomane du centre-ville. Grâce aux images de synthèse, on peut voir s'étendre The Line (le centre-ville) sur 170 kilomètres tout en abritant deux gratte-ciels massifs recouverts de miroirs. Deux immenses bâtiments effilés de 500 mètres de haut, placées parallèlement, formeront ainsi le centre de la ville, un projet estimé à plusieurs centaines de milliards de dollars.
Nicolas Bonnal nous fait découvrir Bernays, un homme qui aimait rester dans les coulisses, comme Jean Monnet, mais, comme ce dernier, ne résista pas à raconter comment il avait mis en place une "machine" devant emmener les peuples là où ils ne voulaient.
Edouard Bernays est un expert en contrôle mental et en conditionnement de masse. C’est un neveu viennois de Freud, et comme son oncle un lecteur de Gustave Le Bon. Il émigre aux États-Unis, sans se préoccuper de ce qui va se passer à Vienne… Journaliste (dont le seul vrai rôle est de créer une opinion, de l’in-former au sens littéral), il travaille avec le président Wilson au Committee on Public Information, au cours de la première Guerre Mondiale. Dans les années Vingt, il applique à la marchandise et à la politique les leçons de la guerre et du conditionnement de masse ; c’est l’époque du spectaculaire diffus, comme dit Debord. A la fin de cette fascinante et marrante décennie, qui voit se conforter la société de consommation, le KKK en Amérique, le fascisme et le bolchévisme en Europe, le surréalisme et le radicalisme en France, qui voit progresser la radio, la presse illustrée et le cinéma, Bernays publie un très bon livre intitulé Propagande (la première congrégation de propagande vient de l’Eglise catholique, créée par Grégoire XV en 1622) où le plus normalement et le plus cyniquement du monde il dévoile ce qu’est la démocratie américaine moderne : un simple système de contrôle des foules à l’aide de moyens perfectionnés et primaires à la fois ; et une oligarchie, une cryptocratie plutôt où le sort de beaucoup d’hommes, pour prendre une formule célèbre, dépend d’un tout petit nombre de technocrates et de faiseurs d’opinion. C’est Bernays qui a imposé la cigarette en public pour les femmes ou le bacon and eggs sau petit déjeuner par exemple : dix ans plus tard les hygiénistes nazis, aussi forts que lui en propagande (et pour cause, ils le lisaient) interdisent aux femmes de fumer pour raisons de santé. Au cours de la seconde guerre mondiale il travaille avec une autre cheville ouvrière d’importance, Walter Lippmann.
Le statut vaccinal pour matcher plus ?
Le Pew Research Center a publié le résultat d’une enquête menée auprès de 6034 utilisateurs des sites de rencontre aux États-Unis entre le 5 et 17 juillet dernier. Le sondage concerne l’opinion des panélistes concernant l’affichage du statut vaccinal sur le profil des utilisateurs des applications de rencontre. Avec une politique liberticide qui serait déployée pour des raisons sanitaires, le barrage aux non-vaccinés s’invite également sur les plateformes de rencontres. Outre le physique, les valeurs, les convictions … le statut vaccinal est devenu un critère de choix à mettre en avant sur son profil pour vite trouver son alter ego.
A noter qu’en Suisse, il existe des plateformes de rencontres entre personnes non vaccinées comme Impffrei:Love, avec ses quelques 13.000 membres, des Allemands pour la plupart.
Edward Snowden a été inculpé le 22 juin 2013 par le gouvernement américain sous les chefs d’accusation d’espionnage, de vol et d’utilisation illégale de biens gouvernementaux. Il avait révélé des informations classées top-secrètes de la NSA sur la captation des données de connexion des appels téléphoniques aux États-Unis, ainsi que les systèmes d’écoute mondial sur Internet. Risquant la prison, Snowden avait trouvé un asile temporaire en Russie. Il avait obtenu un accord de résidence permanente depuis 2020.
« Après des années de séparation d’avec nos parents, ma femme et moi n’avons aucun désir d’être séparés de nos fils. Après deux ans d’attente et près de dix ans d’exil, un peu de stabilité fera la différence pour ma famille. Je prie pour leur vie privée – et pour nous tous. »
Ainsi, dernièrement, on apprend que même occupé illégalement, votre logement doit être entretenu.
Eh oui m’ame Ginette, même lorsque votre bien est squatté, vous avez obligation de vous en assurer le bon entretien et tout faire pour éviter que l’occupant ne subisse aucun préjudice provoqué par un défaut de maintenance. C’est en tout cas ce qu’a récemment jugé la Cour de Cassation dans une affaire où l’occupant illégal d’un logement s’est blessé en tombant par la fenêtre dont le garde-corps avait cassé faute d’entretien.