La vaccination massive des adolescents a, quant à elle, engendré des drames humains totalement ignorés de façon déloyale par les médias ou les journalistes.
Issu de plus de 18 mois de recherches en science des données, cet ouvrage délivre des indicateurs statistiques sur l’impact physiologique et psychologique des protocoles sanitaires en milieu scolaire et dresse un état des lieux des risques concernant la vaccination anti-Covid19 chez les enfants et les adolescents.
Ce livre est dédié à chaque parent qui s’interroge légitimement et propose un éclairage sur les conséquences des mesures sanitaires gouvernementales sur la santé des enfants et des adolescents.
De retour de la magnifique rencontre de Saintes où plus d’un millier de personnes ont, le 28 oct 2022, partagé dans cette conférence-débat leur soif de savoir, leur soif de rencontres humaines dans une ambiance chaleureuse et familiale formidable1, j’ai été surprise de voir dans l’article de sud-ouest qui lui était consacré, un encart faisant l’écho des récriminations de deux associations de Saintes, alertant le maire de la présence de « Reinfocovid » qui « serait suivi pour dérives sectaires » ! 2
J’ai cru qu’il s’agissait d’une calomnie isolée, mais le 3 novembre 2022, je suis tombée sur cette annonce d’une secrétaire d’État annonçant de prochaines « assises contre les dérives sectaires et le complotisme ». Bingo !
Depuis que le mur du pouvoir se fissure, celui-ci dégaine une nouvelle arme pour faire peur et surtout faire TAIRE. Inquiet de l’accumulation de preuves sur la gestion catastrophique et malhonnête de la crise covid, et l’accumulation de mensonges, de contre-vérités et de décisions délétères pour le peuple, la DIVERSION se prépare.
Nous pouvons dire ceci : nous voyons une confrontation horizontale, notre armée contre nos opposants, nous contre l’OTAN (bien sûr, pas contre l’Ukraine, ça va sans dire). Mais il y a une autre dimension à cette guerre : la verticale. C’est une guerre du Paradis contre l’Enfer. C’est une guerre des armées angéliques. C’est une guerre de l’armée de l’Archange Michel contre le Diable. Cette dimension verticale est l’idéologie, le royaume des idées. C’est le royaume de l’esprit dans lequel cette guerre, sa principale substance, se déploie. Et le discours de notre président le 30 septembre a évoqué la nature satanique de la civilisation occidentale. Ce n’est pas une métaphore.
Aujourd’hui, le Saint-Patriarche, dans son merveilleux sermon, a fait une légère allusion au personnage qui se tient de l’autre côté, qui définit, inspire, organise nos ennemis. Ce personnage est très proche : nous ne savons pas l’époque, personne ne sait, même pas le Fils de l’Homme, [quand aura lieu] la fin des temps. Mais nous pouvons savoir par les signes combien elle est proche. À cet égard, il est très important [de réaliser] que nous sommes confrontés à une idée.
Mais nous ignorons ce qu’ils font à nos portes depuis trente ans, notamment la guerre civile qu’ils conduisent depuis huit ans. Notre propre stupidité nous permet de supporter les cris de guerre de nos responsables politique aux côtés de ces criminels.
Lorsque survient une guerre, les gouvernements croient toujours qu’ils doivent renforcer le moral de leur population en les abreuvant de propagande. Les enjeux sont tels, la vie et la mort, que les débats se durcissent et les positions extrémistes font recette. C’est très exactement ce à quoi nous assistons ou plutôt la manière dont nous nous transformons. Dans ce jeu, les idées défendues par les uns et les autres n’ont aucun rapport avec leurs présupposés idéologiques, mais avec leur proximité du pouvoir.
Au sens étymologique, la propagande, c’est juste l’art de convaincre, de propager des idées. Mais à l’époque moderne, c’est un art qui vise à reconstruire la réalité pour dénigrer l’adversaire et magnifier ses propres troupes.
Alors que certaines personnes banalisent ce geste, ce refus est tout sauf banal. Il est au cœur de ce que nous sommes, de ce que nous faisons, de ce que nous voulons faire et de ce que nous voulons être.
Nous saurons le 29 novembre prochain lors de la rentrée parlementaire à Québec s’ils pourront y siéger ou non ; s’ils pourront faire le travail pour lequel ils ont été choisis ou non.
Menacée par Ursula Von Der Leyen dès l’annonce de son élection à la tête de l’Italie, Giorgia Meloni, cheffe de file du mouvement Fratelli d’Italia (Union des Droits), a capitulé en nommant dans son gouvernement des personnalités pro-européennes et un ministre de la Santé favorable au maintien du Pass Sanitaire, une mesure sanitaire que le nouveau gouvernement avait pourtant menacé de faire sauter. Sur les réseaux sociaux, les électeurs de Meloni ne cachent pas leur immense colère.
Écrit en 2020 pendant l’état d’urgence sanitaire, « le grand virage de l’humanité » annonçait déjà que la société de contrôle numérique, qualifiée de « foutur », vers laquelle ces mesures semblaient nous conduire, était en train de disparaître au profit d’un nouveau futur qualifié de « futé lumineux », sur la base de l’observation de « traces du futur » dans les évènements ayant précédé la crise.
Dans ce dernier futé lumineux, l’homme s’éveille enfin à la véritable nature de sa réalité et apprend à se relier à plus grand que lui, non pas dans une démarche religieuse mais plutôt spirituelle et laïque, par une connexion retrouvée avec son âme et son esprit. Cela se produit d’autant plus vite que la vraie science finit par admettre les fondements rationnels de ces deux derniers concepts spirituels, comme l’explique ce livre en seconde partie.
Où en est-on aujourd’hui ?
Quelques points saillants :
• Le document de cadrage publié par le gouvernement en 2014 fixait des orientations très générales et invitait les autorités locales à prendre des initiatives en vue de l’application généralisée du dispositif d’ici 2020.
• Pourtant, il n’y a actuellement aucun dispositif de crédit social au niveau national, et l’auteure de la conférence estime que la généralisation du système est impossible.
• En Occident, on confond souvent ce dispositif avec le système des points de fidélité mis en place par des entreprises privées.
• L’application du crédit social est complètement décentralisée au niveau provincial, régional ou municipal.
Cet opposant au Linky avait trouvé un point faible au dispositif : les concentrateurs, qui rendent les compteurs « communicants ». Las de suivre la voie légale qui ne reconnaissait pas l'électrohypersensibilité, il a commencé à en « faucher » une petite centaine avant de se faire pincer.
Enedis a voulu faire un exemple.
MORT D'UN INVISIBLE
Il y a quelques jours, Christophe M. a mis fin à ses jours. Originaire de la Vienne, il vivait, travaillait et militait en Bretagne. Nos routes se sont croisées, il y a déjà un paquet d’années, à la faveur d’activités militantes. Plutôt qu’activité militante, « combat » serait un mot plus juste. Pour lui, se résigner n’était pas une option de vie. Ni se résigner, ni se soumettre.
Devenu EHS – électrohypersensible – il avait dû cesser son activité professionnelle. Il a alors consacré l’essentiel de son temps et de son énergie à faire connaître cette pathologie – méconnue et niée, en dépit des chiffres maintenant officiels de l’Anses, soit 3,5 millions de personnes (en France) en 2018. Il s’est attelé, de diverses manières, à faire connaître la nocivité des brouillards perpétuels d’ondes électro-magnétiques dans lesquels nous baignons tous, ondes qui impactent plus ou moins notre santé, et qui rendent la vie « normale » impossible aux malades : de lourds symptômes douloureux, difficiles à soigner et invalidants, entraînant exclusion scolaire et professionnelle, vie sociale impossible, en tous lieux puisque les ondes sont omniprésentes…. et recherche sans fin de zones blanches – plutôt grises, à ce jour – se raréfiant de plus en plus avec l’arrivée des 5 et 6G. Ces malades ont découvert la réalité d’un confinement total, bien avant la « crise sanitaire » . Et pour eux, ça ne s’arrête pas sur décret gouvernemental !
Dans le microcosme, Christophe était connu en tant qu’intrépide et joyeux militant anti-Linky. Nous, les militant-es Stop-Linky, ne sommes pas nombreux. Il est très difficile de mobiliser, les ondes ne se voient pas – donc elles n’existent pas ou sont inoffensives – et la majorité des gens ont tellement bien digéré le message technophile qu’ils sont persuadés que les problèmes créés par la technologie seront réglés par la technologie. Ignorant – volontairement ou non – que c’est une course sans fin puisque voulant et prétendant résoudre les problèmes qu’elle a générés, la technologie en crée de nouveaux…. Bref, parmi les quelques militants actifs énervés par l’alien vert-fluo (et ses frangins), Christophe était sans doute le plus audacieux, intrépide et activiste. Ses petits bricolages pour désactiver les envahisseurs ont fini par être dénoncés à la police par une « bonne Française ». Enedis, agacé et voulant faire un exemple, a fait traduire notre camarade en justice et lui a demandé une quarantaine de milliers d’euros de dédommagement, demande suivie par le juge. Christophe avait renoncé à faire appel, découragé par son avocat qui prédisait un second verdict plus lourd encore que le premier.
Même si, dans diverses luttes, les « minuscules » remportent parfois de beaux combats contre les « puissants », David ne gagne encore que rarement contre Goliath. Sans emploi ni source de revenus donc incapable de s’acquitter de la somme réclamée, non reconnu dans ses activités de lanceur d’alerte, très isolé en dépit des quelques déclarations de comités de soutiens, Christophe s’est trouvé pris à la gorge… il n’y avait plus qu’un petit pas jusqu’à la corde qu’il s’est passé au cou ce mercredi 28 septembre.
Si on considère le résultat de certains combats, on peut parler d’échec. Il est pourtant tout à fait possible de le regarder autrement. Dans cette société où les injustices, de plus en plus nombreuses, sont d’État, dans ce temps gangréné par l’individualisme, refuser de se soumettre, refuser de se résigner, résister, agir dans le sens du commun et du meilleur, dans quelque domaine que ce soit, c’est déjà une victoire. Contre l’indifférence et le fatalisme. Contre la perte galopante de notre humanité – de notre essence, donc.
Christophe (Linkiller) était mon camarade, mon frère d’armes – et d’âme – mon ami. Personne n’a le droit de le juger, et surtout pas ceux qui n’ont ni son courage, ni son engagement. Ses obsèques auront lieu dans le petit cimetière de St Pierre les Églises à Chauvigny, ce mercredi 5 octobre à 10 h.Le 3 octobre 2022
Touchant à la question environnementale et surtout sociale, elle pourrait bien devenir l’un des principaux enjeux des prochaines années. Tour d’horizon de ses composantes majeures.
L’hiver approchant, la question des passoires thermiques va inévitablement revenir sur le devant de la scène. Et pour cause, la France ne compte pas moins de 7,2 millions d’habitations peu ou pas isolées. Parmi elles, 5,2 millions constituent des résidences principales, soit 17 % du parc immobilier. Le reste représente des résidences secondaires (1,2 million) et des logements vacants (800 000).
Nous sommes empoisonnés par un président plus préoccupé de plonger notre pays dans la guerre plutôt que de jouer la carte de l’apaisement dans le conflit russo-ukrainien.
Nous sommes empoisonnés par un déficit et une dette publique record, par une précarité et par une misère grandissante, pendant que la caste dirigeante continue à s’en mettre plein les poches. Les grands patrons du CAC 40, continuent de recevoir chaque année 200 milliards de cadeaux fiscaux (Subventions publiques, crédit d’impôts, et exonérations fiscales).
Nous sommes empoisonnés par des politiciens corrompus qui ne démissionnent pas et qui ne seront probablement jamais jugés correctement. Qu’il s’agisse d’Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, mis en examen pour « prises illégales d’intérêts », d’Eric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, accusé lui aussi de « prises illégales d’intérêts », et d’Édouard Philippe bientôt convoqué le 24 octobre 2022 devant la Cour de justice de la République, reste-t-il un politicien intègre dans notre pays ?
Nous sommes empoisonnés par des écolos de pacotille, les « Khmers Verts », favorisant les éoliennes qui, non seulement produisent peu d’énergie, mais dont les pales, les montants et les batteries sont non recyclables. Quand tous les parcs éoliens défigurant la France seront achevés, les éoliennes ne produiront que 13% de nos besoins en électricité. Des milliards d’euros investis pour rien, mais pas perdus pour tout le monde. Bienvenue dans le monde glauque de la cupidité.
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Qui peut croire à ça ? Je rappelle que l’avion de l’entrepreneur de la maintenance des NordStream s’est volatilisé en vol. Enquête classée immédiatement.
Seule la CIA a cette puissance de nuisance, et seuls les pays vassaux des US ont cette puissance à se coucher !